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Super Smash Bros. Brawl

Sujet : Le sens des choses.
Gygas
Niveau 10
31 décembre 2007 à 16:41:15

Oui ou non ou chips ?

Quebecois spotted :noel:

dark-atomik
Niveau 5
31 décembre 2007 à 16:41:18

chui en vacance je cherche pas a comprendre

Gouloudrioul
Niveau 10
31 décembre 2007 à 16:42:08

Y´a rien à comprendre :noel: .

Neshez
Niveau 5
31 décembre 2007 à 16:43:14

C´est de la littérature absurde :) J´écris un livre :)

Gouloudrioul
Niveau 10
31 décembre 2007 à 16:44:26

Ca doit être hilarant 300 pages de poèmes incompréhensible comme ça :lol: .

Elektroboy445
Niveau 5
31 décembre 2007 à 16:44:49

Le LSD cay mal :noel:

Neshez
Niveau 5
31 décembre 2007 à 16:45:57

Bah j´en suis à 40 pages en 5 chapitre.
Format livre de poche :)

Gygas
Niveau 10
31 décembre 2007 à 16:46:10

Notre monde est sous un sceau
Même notre amour est scellé dans nos larmes
A la terre où les rêves oubliés ne deviennent plus faux
Allons ensemble trouver ce charme

Seuls, allons nous retrouver
Sur la plaine où des oiseaux chantent, le matin
Et le sort de la roue brillante sera brisé
Un jour, quand je tiendrais ta main

Pour toujours.

L´aventure commence
Ce jour de douce bonté
Telle après une rude semence
Un long soir d´été

Seuls, allons nous retrouver
Sur ce moulin où le monde est infini
Et le sort de la roue brillante sera brisé
Là pour savourer la présence d´un ami
Pour toujours.

Quand je regarde la lune
J´ai l´impression de revoir
Une partie de notre lacune
Chacun doit savoir

Pour toujours.

Et voilà le mien, 99% custom.

Gouloudrioul
Niveau 10
31 décembre 2007 à 16:47:45

Marrant mais pas assez incompréhensible :peur: :) .

Neshez
Niveau 5
31 décembre 2007 à 16:48:46

Nuage précaire

Si très important, il ne faut manquer ça
Ou juste congelée une source d’angoisse.
Une technique qui nécessite un traitement.
Dans les années à venir,
Toutes les vies seront parfaites.
Voilà les enfants de l’homme
L’orphelin qui adopte le monde
Ciel, dieu ou autre chose,
Faites qu’ils s’en sortent

De la causalité ou du libre arbitre.
Est-ce donc le destin qui gouverne du choix ?
Est-ce donc le choix qui gouverne ldu destin ?
Mais qu’importe si brûle le choix de l’idée,
Qui transforme sage en marionnette,
Et si périe la flamme,
Qui tente sagesse au fou.

Comme des fantômes qui désespérément
Tentent d’effacer leurs agitations.
Ou leurs inspirations,
Expulsés de par la raison.
Une question apporte la joie
Sous couvert de pâles horizons.

L’histoire d’un succès,
Délicieuse addition
Propriété d’avenir ;
Le moment qui s’efface,
Qui déplais au crane,
Douloureux rocher brillant.

Gouloudrioul
Niveau 10
31 décembre 2007 à 16:52:10

J´adore :rire: . Tiens j´en fait un compréhensible, à prendre au second degrés :

Ô la guerre,
La guerre c´est pas bien,
Et il faut,
Oui...
Il faut savoir que ce n´est que nature.
Car la nature,
Oui...
La nature c´est bien.
Quand je vais m´asseoir le soir
Sur ma chaise,
Là je me dis,
Oui...
Je me dis que même nous
Oui...
Même nous...
La nature...
Oui...
La nature...
C´est bien.
La guerre...
Oui...
La guerre...
C´est pas bien.
Et quand j´écoute le chant des oiseaux
Je me dis...
Oui...
Je me dis...
Que c´est beau...
Et quand je voie les ailes d´un papillon
Je me dis...
Oui...
Je me dis...
Que c´est magnifique...
Et pourtant...
Oui...
Et pourtant...
Des morts meurent dans le monde...
Pourquoi ?
Parce que c´est pas bien.
Pourquoi ?
Car les choses ne sont qu´éphémères.
Alors autant me dire...
Oui...
Autant me dire...
Que si les gens périssent...
C´est à cause de Mère Nature...
Car les choses ne sont que vulnérable.
La nature est elle donc pas bien ?
Oui...
Si la guerre c´est pas bien...
Et que la nature c´est bien...
Si la nature n´est que guerre...
Et que la guerre n´est que nature...
Oui...
Mais la nature c´est bien...
Car quand je voie...
Oui...
Car quand je voie
La marée montante...
Je me dis...
Oui...
Je me dis...
Que des dauphins doivent être heureux
Sous l´océan...
Et alors je me dis...
Oui...
Je me dis...
Que le monde n´est pas si triste...
Pourtant...
Oui...
Car il y a un pourtant...
Pourtant...
Les fantômes font peur...
Alors pourquoi ?
Pourquoi ?
Je ne sais pas.

Neshez
Niveau 5
31 décembre 2007 à 16:54:03

C´est génial :)

Un talent certain :ok:

Neshez
Niveau 5
31 décembre 2007 à 16:55:22

La gentillesse. Que dire, au sens, en certain mot, serait-ce une sorte de monnaie, un profit plus arrondit, une forme de discours à qui dépend des choses, une boucle partagée ou encore mieux, manipulée. Mais alors en plus si servante, en intérêt et en attende, comment encore la confondre aux autres couleurs ? Osée en d’autres termes, à l’inverse, la colère, en son contraire, suspectée de rareté, comme un criminel qu’on justifiais, une permanente logique encrée au fond de nous, elle est heureuse ou malheureuse tel un mythe oublié, au fond du cœur, enterrée depuis longtemps. Un arrosoir pour certains, une bombe qui fait boom, une idée perdue sans trop de fouilles. Bannie, au royaume des bananes de vanille, survolant le ciel en peine, à terre avec un balais, qui les appellent à regret, un sac de verre en retour, les bordels. Point de ressemblance ici à l’origine. Un match de bateau, au dessus des fusées, en dessous des avions, quelque part entre les buissons. Un A plus Un B. B plus A ? A vos souhaits ! Périr de rire, au goût d’un sens trop vertueux, comme un sketch pris trop au sérieux. La tête qui tourne des heures perdantes. Un cocktail en retard, un peu trop amusé. Un sachet pour la poubelle. A la tête des sourds, les lunettes de l’aveugle, une canne d’un volcan arrachée, une offre spéciale, ordinairement différente, trois cents grammes de bonheur déterrés du fond d’un cauchemar.

Gouloudrioul
Niveau 10
31 décembre 2007 à 16:57:56

Looooool. Je sais pas pourquoi, j´ai l´impression que c´est de plus en plus drôle xD .

Neshez
Niveau 5
31 décembre 2007 à 17:03:07

Voyage d’une pensée abstraite.

Chapitre I : La bataille des mots

La nuit, deux yeux et le noir.
Une tache sombre quelque part.
Sur le bois, un bruit dans la tête,
Comme un ressort dans le cœur ?

Ce soir, le soleil s´est couché plus tôt. La fumée continue à jouer, l´eau continue à verser. C´est arrivé d´un coup puis le feu est tombé.
Il fait froid à présent, il faut se réveiller. Songer à dormir. Voyager. Voyageons. Dans le rêve d´un albatros? Soyez un oiseau. Une girafe qui vole, c’est tout évident. Ou un dragon, faites donc, c’est comme il vous plaira. Et puis donc ? Apres tout moi non plus, ou peut être moins que vous, ne sait ce que c´est qu´un dinosaure. L´important sera qu´il ai deux grandes ailes. Une de chaque côté, cela va de soit. Pensez donc voler. Ou bien fermez les yeux. Un poids sur le bec, puis le vent vers la vu. Voilà un looping. A vous d´essayer.. ou de choisir.

oh... quel horrible cauchemar.. le temps sur l´horizon.. ou un adulte dans une boite.. bien vu. Vous rendez-vous compte ? On ne sait absolument pas de quoi il parle... identifié ?, à moins que je ne me souvienne.. et c´est fait avec quoi ? C´est sûrement exact.. ou inexpliqué..
Un cadeau pour un ami, il fait plus clair à présent. Le bruit blanc du brouillard. Dans la tête ou dans le monde. Marcher déjà encore. L´eau est tombée, la lumière l´a vaincu. Les gens du monde. Le chaud revient. Dans le monde ou dans la tête, il veut s´échapper. Allons savoir ne pas savoir quoi faire. Mais pourquoi voler ? On ne va pas tarder à le découvrir. Relâchons-le. C´est vrai ce qu´il raconte ? Oui mais c´était il y’a fort longtemps. Mais enfin, qu´est-ce que tu veux que je fasse de ça.. Ce n´est pas la Littérature. Ah ! Il vous suit ! Bien visé ! Une épée dans le ventre. Voilà qu’il t’apprendra. Encore une, et un coup vers la vue.

prenons la fuite, par-là, venez avec moi. Voila,.. Calmons-nous à présent. le ciel... le vent dans les nuages.. les feuilles planent et écoutent le bruit de l´eau. Désolé, je ne fais pas ça très bien. A vrai dire, je ne suis pas là pour ça. Pour tout autre chose, mais sachez avant tout, qu´il a été jugé que je prendrais des risques à vous parler. Pensez donc ; il semblerait qu´un jour qu´on redouta viens d´arriver. La menace vient de partout, soyez prudent...

DrInG ! DRinG ! PooM ! PAF TcHaK !
Le soleil déjà. Couche tôt et lève tôt ? Ou en ce moment ? Mais quel pouvoir tout de même. Quelle force malgré lui ? Le soleil ? Rassurons-nous qu´il n´est pas humain.
Assis sur le lit puis un pied par terre. Manger quelque chose puis le moment est venu. Toc toc et puis s´en va. Un silence. Encore un s´il vous plait. Allons-y..
Le temps, dans la tête ou dans le monde. Avons-nous raté ou réussi. Du calme, encore un silence dépêchons. Mais comment ? Il faut partir. Nous enverrons un chèque pour payer. Dormons à présent, pour mieux manger demain.

Tu as joué, tout va brûler, tu as perdu. L’adition. Le temps a gagné mais après tout, tu ne pouvais que participer. La différence. Il y’a évidence, la raison ne suffit pas. On peut rien ou tout faire, toujours un problème de connexion.
L´éveil triomphe.. Encore un drôle de rêve. Trop de questions, trop de réponses, pas assez de problèmes. Ne nous réjouissons pas trop vite. Il est arrivé trop souvent d’assez s’y rapprocher. La lumière alors, ne dévoile plus rien. Et on se rappelle pourtant, le doute c’était le paradis. Mais voilà ; après tout, le monde du rêve, dans le monde ou dans la tête. Il faut penser à choisir. ; l’histoire racontera sous la volonté de l’auteur ou de celle des mots. Tournons-ci après, restons là un instant. Maintenant, c’est le bon moment. Ou peut être pas ? Mais dans ce cas, il ne serait que nécessaire de rattraper dans la condition d’être juste. Soyez libre et sautez l’obstacle. Mais sachez qu’être trop libre sera mauvais. Ou la meilleure façon d’être esclave. Il n’a pas encore été écrit de remplacer les libertés par les maisons.

Il faut se taire à présent. Au risque de changer le monde, racontons autre chose. Voyageons dans l’histoire d’un berger qui par-dessus les montagnes ou par-dessous les étoiles amena les moutons, une fois reposés, vers le monde des rêves. Voyez donc, eux, les moutons, l’ont bien compris. Ils ne franchiront la barrière que dans le rêve du berger qui s’amusera à les compter pour mieux s’endormir. Ca s’appelle le potentiel de la tête dans le monde à s’en aller dans le rêve. Encore un raisonnement absurde ! Pensez donc aux autres qui encore pensent par la raison. Ne laissons personne de côté.

Le rêve s’achève. Par contre, la nuit est encore là. Mais il n’y a rien à raconter ici. Passons alors. Le jour se lèvera sûrement ailleurs, et la lumière tralala sur l’aube et puis aussi la chaleur du soleil. Sans doute ! Mais à quoi penser aujourd’hui ? Et que pourrais t-on faire demain ? Changerons-nous la semaine prochaine ? Eh ! Déjà la fin de l’année ?
Une année passe. Allez, encore une. Soyons fous et contons trois fois plus tard. Cela laisse au temps de penser le passé. Si j’avais planté un arbre, de quelle belle fierté j’aurais fait l’expérience aujourd’hui. Ou alors ? Tiens donc, si j’allais en forêt pour en trouver un qui convient. Adopter un arbre pour tuer le temps. Voilà un remède, si j’avais été malade. J’aurais dormi longtemps. A moins qu’il ne faille avoir la tête dans le monde pour pouvoir le rêver. Voilà l’inconnu, vivre pour mourir ou vivre pour revivre.

Créons des toilettes pour chier dedans. Un travelling sur une même couleur, personne ne s’en rendra compte. Mais sur quel pied tenons-nous ? Peut être n’avons nous pas assez rit avant.. Il est hors de question. C’est un livre pour lire. Alors à quoi bon les arguments, si ce n’est soutenir le mensonge. Il n’y a sûrement pas de compte à rendre et rien à comprendre ici. Peut être à la page suivante. Plus rien dans ce paragraphe je n’écrirais.

L’eau recommence à chuter. Que faut-il choisir de comprendre ? De toute manière, encore une fois ça va passer. En effet, l’averse s’en va. Je ne sais pas pourquoi, mais plus personne ne hante mes rêves. Comment pourrais-je savoir ? Ah si je savais quoi penser.. J’aurais eu des idées. Voilà un fantôme. Il était temps, cela devenais monotone. Lui aussi, un jour, un esprit lui parla. Créons une religion. Organisons une élection et trouvons un messie. Revoilà les moutons. Je vais pouvoir rêver un peu.

Le nombre de fois, les visites ? vous êtes au courant ? Certes j’ai connu moche à l’étonnement, le pays des morts, et mieux s’exprimer, je m’en vais.. C’est une forme de procès. Grâce, n’en demandez pas tant. Dehors, les étoiles et la lumière, encore le monde des rêves, c’est un fait divers, illuminé à peine et l’arme en vrac, un cercle de feu, l’esprit qui rend impropre.
Quelle erreur ? trois rabbins de la beauté, j’allais mourir pour la seconde fois.. discute encore pour un câlin, un appétit et la patience, l’heure des sportifs avaient sonné. Même pour les hommes, simulé un vol, les sceptiques vous le dirons : vous êtes ici, jamais les anges n’ont menties. Soyez frissonnant à ce point.. L’exploration c’était le paradis. Le second ou le troisième. Les yeux, les efforts. Manipule et évite les trucages. Une première ronde le feu de son coté, il s’installa sur l’estrade, la pudeur hypocrite, après le second mur, un rire dévastateur.
Pour toi chérie, mon amour sera inconditionnel. Ou à la condition du tiens. Voilà encore un cercle insatisfait. Replonger dans le bain ? Un rond-carré ? L’eau est froide, le temps a coulé. Le feu n’a vaincu. Certes l’amour n’est pas humour, et pourtant, l’humour c’est de l’amour. Voilà que je n’ai plus que trois œufs. En lancerais-je un pour un nuage ? ou pour mieux continuer ? Ou bien tomberais-je si je chute ? De toute manière je ne puis rester, c’est une loi naturelle. Ah j’aurais bien adopté le temps si d’autre ne l’avais pris avant. Mais sans doute serais-je mort si j’avais pu le permettre. Pourtant, elle est partie emportant les jetons. Un quatorze ou un six ? Bonne idée ! Ou un chiffre en trop ? Ramène-moi un verre. C’est si important ? Et s’il tombait du toit ? Qui sait, parfois le vent ne réagit plus. Ah, déjà ?, mais j’aurais bien fait une sieste en plus.
Il est à toi ? Notamment ! Mais ce n’est qu’une chaîne d’argent. La cagnotte ne sert plus, il a remporté la victoire. Dans une dizaine de minute, les meilleurs ouvriers rentreront chez eux. Encore une occasion de manifester. Mais voilà qu’elle ne sait plus pleurer, rien ne lui a apprit à chanter ? Je ne pense pas pouvoir assurer à cet incendie. Encore des yeux ? Où irais-je demain ? Je me demande si je puis encore rêver. Sans doute, ce sera un rêve dans le rêve.
Une fleur ? Contons ici un évènement heureux. Tous les personnages sont joyeux. Sans doute, nage t-on dans l’eau comme sur le bonheur qui vole. Et plein de fruit savoureux.

De l’herbe et une sorte de brouillard, l’éveil avance. Eveiller. Eveillerais-je, dans le monde du rêve ? Enfin ! J’y suis arrivé ! Pile au point de non-retour ? En voilà une chose de satisfaite. Penser le rêve de l’intérieur et enfin s’éveiller à l’heure. C’est sûrement comme des nuages sur du sable fin, lumière, chaleur et rouge.

Voici une panne d’inspiration. Ci-ici, le roman, ralenti. Cette, phrase-ci, sera, extrêmement, lente. Pas, moins, que, celle-ci. Sans, doute. Peut-on, aller, encore moins,. vite ? Essayons. Peut, être, ainsi.. ? V.o.i.l.a. . u.n. . p.e.u. . c.o.m.m.e. . ç.a.. C..e.. . s..e..r..a.. . .l..’..h...i. ..s. ..t...o...i...r. ..e... . d. . ..e. . . . . l..a. . .. . v. ...i. ...e. ... . d. . ...’ . . ...u. . ...n. . ..... . e. . . ...n. . . ...f. . . ...a. . . ...n. . . ...t.. .

Suivez-moi, ne restons plus ici. Venez, brûlons cette science inexacte. Je ne puis vous dire que je ne vous avais prévenu. Ecoutez-moi donc cette fois-ci, le danger ne se vaincra pas comme ça. Prenez garde, il s’agit d’un jeu. Vous revoilà prévenu.

En voilà une drôle d’expérience.

La boite de réception. J’allais oublier de chercher le courrier. Cette fois je n’y manquerais pas. Et la fleur ? a t-elle fanée ? Lui aurais-je retirée son parapluie ? Oui c’est vrai, je l’ai laissé au feu. C’est sans doute plus logique. Juste une énigme d’enfant. Soit un champ, une fleur et un feu sous l’averse. A qui donc donner le parapluie ?
Toc toc encore ? Aurais-t-il oublié quelque chose. Peut être, mais sous la pluie, rien n’est moins sur. L’esprit danse et le chemin vole dans la ville des gens. La ville des gens c’est les gens de la ville et des gants dans ma ville porte les gens.

Ou sommes-nous ? Je me suis perdu... Je me suis perdu ? Fallait-il tourner ? Avant ou après ? Inventons un mot et continuons. Un gaboulime. Il s’écrira « gaboulimaux » quand il y’en aura plusieurs et « gaboulimauto » quand il y’en aura vraiment beaucoup. Appelons vite les responsables des dictionnaires.

AHHHH !! !!! Badaboum Boomerang…. Paf Pouf TchaaaaaakK ! Zzzzzzzzzz…. Broum broum zzz brrrrrrrrrr zzzzz zbrrrrrr zzz « ‘( ierfgopt gkr tgot’( ;g f’ià(ç)=-« ((-‘1è_z-( fdsfdsfd sfd a eopiz, fds 48o_l4p86ù4^)86 :456b4fe 56c4 ze5f4’8t 97jk_il(-j7iè-j864tyhj56fg4 h6f Ds4f5 dfg6df4f ds65cg4df56gh 4g56h gr56h461h 654564h 56 hg h1 h6g7fg…

J’obtiendrais sûrement un prix de littérature.

Je t’emmènerais mon amour, loin, loin, par ici vers la-bas, plus haut vers le pays des papillons et le vent courbant sur la plage au soir, je t’écrirais le plus nul des poèmes. Et un baisé de bisou.

Qui donc inventa les fausses règles ?

Le bonheur, parlons-en. Débattons ce soir de la manière d’être heureux demain. Ca fait combien de page que j’écris de la merde ? Le problème de pollution. Les nuages tiennent pas. Il pleut dehors. Qui a donc inventé les taxis ? Je ne savais pas que ça existait, encore une drôle d’idée. Le rouge contre le bleu, qu’est ce qu’encore que cette histoire. Je l’ai pas déjà dit ça ? Sûrement. Tout le monde le dit.

-C’est sans doute une forme. Une forme de raison. Il n’y échappera pas. A la raison. Ce livre. La lutte. La raison vaincra.

Gouloudrioul
Niveau 10
31 décembre 2007 à 17:04:52

Gwark ! C´est long :peur: ... Allez je prends mon courage à deux mains et je me prépare à bien rire :noel: .

Gouloudrioul
Niveau 10
31 décembre 2007 à 17:11:34

:rire: . Je me demande comment tu fais pour trouver toutes ces idées absurdes.

kingfantasy
Niveau 10
31 décembre 2007 à 17:55:15

J´en ait moi aussi :o))

Chapitre II

Le vent, le bonheur sur l’eau et un oiseau par-dessus. Un soleil dans un lac. Des ronds ou des cercles peint en bas. Plouf ! Une mauvaise blague. Pourquoi ? Mais pourquoi pas ? Et pourquoi pas une goutte dans la tête ? La tête dans le monde. Le monde dans le rêve de la goutte. Voilà qu’il radote. Toujours plus de mot, toujours plus, toujours toujours. Encore moins de mots, toujours moins, en voilà plus, un peu plus de mot. Une poésie appauvrie par tant de chemin.
Un ballon tomba dans l’eau en plein sur le soleil. Cela m’éclaboussa ou l’éclaboussas, comme il vous plaira. C’est peut être mal formulé. Mais après tout, ce n’est peut être pas vrai.
Deux yeux et le noir. Une goutte avait mal visé. Seulement une et pourtant c’était deux yeux qui s’étaient fermés. Etait-ce un rêve ou un albatros ? Je revois encore l’oiseau. C’était une drôle de bête. Pourtant, je ne saurais la d’écrire. Il faut dormir, ou songer à se réveiller.

Il n’y avait pas ces fleurs-ci la dernière fois. Drôle d’endroit. Je vois que l’arbre à changer ses branches, il va beaucoup mieux ainsi. La lumière m’éblouies un peu par la, je ne vois plus les champignons et les joueurs de cartes. Je vais aller un peu par la-bas. Le lac est toujours aussi beau. Les feuilles sentent si bonnes. Je lance un caillou dans l’eau. Une baleine vient à ma rencontre.
-Aie, tu m´as fait mal !
-Tu es une baleine, tu n’as rien senti, et je ne savais pas, sans doute je pensais donc, et puis que fait une baleine ici ?
-Sache qu’il est autorisé de jeter des cailloux dans l’eau à condition de jeter de l’eau sur les cailloux. Répliqua la baleine.

Plouf et la baleine plongea. Drôle d’animal, drôle de question. Je ne pense pas avoir compris. Je poursuivrais bien par ce côté. Voilà une porte au milieu d’un désert. Pourtant je marche depuis des heures. Déjà la porte ou à quand le désert ? En haut, le ciel étoilé et la baleine parlante :
-voilà des questions qui t’attaquent.
Il ouvre la porte, et la traverse. Me revoilà dans le désert. A moins qu’il ne soit parti. Peut être ais-je avancer. En fin de compte cette réponse ne l’aiderait guerre. Revoilà la baleine :
-voilà une réponse qui t’attrape.

Trois mètres plus loin. Me revoilà dans la forêt des fleurs (et des arbres aussi). J’y ferais bien une sieste.

Il fait sombre, la lune éclaire. A force de raison plus personne ne l’a regarde. Mais voilà qu’elle regarde le fou. Et le sage voit le fou se moquer de son doigt. C’est le sage qui observe le fou et le fou qui regarde le doigt du sage. La lune s’en va. Le fou lève la tête, le sage regarde encore le fou. C’est le monde à l’endroit

Peu à peu, le monde du rêve s’éteint. L’orage dans la tête. Pourtant, comme dans le monde, on le pensait impersonnel. A mesure d’élargir, un milliard de milliard de milliard, il ne dévoile plus rien. Je n’aurais su le dire, ce monde là obéissait à la loi de l’éthique qu’on appuyait sur la raison, la pauvre servante du temps. Que faire quand ? Le chemin n’avance plus. Les yeux, le décor vers la tête. Le cœur contre la vue. Faut-il reculer ? Derrière lui, un brouillard. Un nuage ou un mouton ? Un verre d’eau. Un nuage. Mais alors ? Un nuage de moutons ? Un verre d’eau. Sans doute une goutte. A l’évidence, le décor ne parle plus. J’aurais bien tourner avant.

Un grand tremblement. Une bille tombe et chute sur une autre. A l’intérieur de cette dernière ; un grand tremblement, une bille chute et tombe sur une autre. A l’intérieur de cette dernière ; un grand tremblement, une bille tombe et chute sur une autre.
Me voilà trois mondes du rêve plus haut. Dans le monde ou dans la tête, toc toc et puis s’en va.

Une carte pour jouer. Un mur ? On aurait tendance à vouloir en mettre. C’est indispensable. Pour le soir, les bienfaits de la lumière. Un besoin d’angoisse, où est le lien ? Ca baisse, ça continue. Une pause ; imite la transe. Le corps change comme la joie. C’est une question de couleur. A qui le tour, le sens a changé ?

Il grogne. Un temps, il regrogne. Son lourd dans le cœur, sur les murs de plus en plus haut et sur lesquels les pieds tapent dessus. Un cric sur la porte. Bizarre. Silence du son aveugle. Mon royaume pour un chuchotement : sûrement le maigre espoir pour la couleur.
Il faut recommencer. Un vent en pleine forme. Souriant et frais. Il n’est pas seul, mythe ou réalité ? C’est toujours la même chose. Il ne bouge plus.

Voilà que notre idéal se cacherait-il peut être en un de notre inconscient, penserions-nous de la raison. Avons-nous des sentiments inconscients, des émotions invisibles ?
Je trouve cela inadmissible. Ne vous inquiétez pas, tout le monde vit ça au quotidien.. bien le bonjour, c’est la première fois que vous venez ? J’entends des voix ? Tu n’as pas à avoir peur. Je suis un livre, un livre un peu improvisé. J’aurais bien pensé à ranger avant mais te voilà déjà. Certes tu as trouvé de bonnes idées. Mais ne voudrais-tu pas me ranger un peu ? Non pas ici, laisse-moi une chance, je sais voler. Des livres comme ça, j’en vendrais bien des milliards. Merci de ne pas abîmer nos forêts.

L’univers des océans.. la poubelle du monde.. des robots dans les gens. J’aime parfaitement un peu plus là-bas ou ici vers là, sûrement plus ici.
Absurde, un ange céleste. Mais ça fait monter le suspense, rattachez bien les bouts. Ca y ‘est ! il va trouver. La chaise ? Non un peu plus la-bas. Il se fout de ma gueule. Un peu plus ici, mais quel sens dans ça, ou un sens dans toute cette histoire ? Qu’a tu choisi, toi ? De mon sens, ce qui était à disposition. C’est que je ne souris plus. Souris du verbe sourire et sans doute nul sourie ici. Arrêtez ça suffit, cela n’est pas amusant, mais alors sous condition, c’est tout autre chose, un paragraphe ennuyant ?

Changeons. Celui-ci sera peut être mieux. Croyez par ailleurs, je ne désirerais vous embêter. Ceci espérer, ce n’est pas parce-qu’elle n’a pas ses cheveux bleus aujourd’hui. C’est tout autre chose, une histoire de fromage ? Moi je n’aime pas ça, le fromage. Rien à faire, ce sera du fromage ! Trois fois de suite ? le fromage ? Et maintenant voilà que quatre, il faut songer à varier. Non ce n’est pas ici qu’il fini, ce paragraphe là. Bien au contraire et même bien loin de là. D’ici un peu moins cela va de soit. Il sera probablement long. Vous en voyez la fin vous ? Louchez donc un peu. Mais près tout peut être serait-il amusant ? Ou peut être juste distrayant ou emmerdant ? Que dis-je, vous ou toi?, moi je suis un papier. Je meurs, je te laisse. Voilà que je meurs encore un peu, cette fois je suis mort. Les oreilles sur la vue, il s’en alla.. oh loin, pour un autre monde. Un monde meilleur tout naturellement, sinon à quoi bon conter. La tête sur le poteau, l’esprit s’éleva vers le ciel ou bien l’âme monta vers les cieux, choisissez votre tournure favorite. On continue ? Le paragraphe n’est pas terminé. Allons courage, en avant. C’est un petit chapeau. Un petit chapeau, un petit chapeau. Un petit chapeau. Un grand chapeau. Voilà pour varier. Un petit chapeau. Un petit chapeau. Un petit chapeau. Un petit château. L’avez vous remarquez ? Un chapeau dans un château. Voilà qui est ridicule. Un château dans un château. Bien mieux. Un chapeau sur le poteau d’un château. Burlesquement pauvre. J’aurais pu l’inventer, quelque ligne par-dessus. Ni la phrase précédente. Ne changeons pas le passé. Mais ici. Lorsqu’une virgule, rencontre un point, ça fait un point virgule ; pas mal ? Un point qui rencontre un point donne un double point : mais par contre virgule, trois points donnent ça …

L’arbre chuta, c’était certains, à un stade tel que celui ci, on ne peut que compter, sauter la marche, vers un sol plus douloureux où jadis se cachais le monstre sous le lit qui attrapais mon pied dans le monde du rêve.

Midi. A ce moment là, lac et savoir rougissent. Le chaud coule sur un prétendu dictionnaire. Assis, sur le chemin long de milliers de rêve, je voudrais attendre pour réfléchir, chercher le bateau et traverser le pont ; voilà une chose à laquelle la terre n’a pas pensée. Mes yeux veulent me tuer. J’aurais chercher, observer ce que je vit ; c’est ce que je veut faire avant que je ne change d’avis. Ensuite on interféreras ; mais qu’est ce qu’il veut ? C’est froid, ça manque de chaleur, c’est endroit secret. Anonyme. Ou rien qu’un pauvre espoir perdant son esprit. La dose était trop faible ? Qui détourne l’attention ? Maintenant.. Le progrès, la conscience ; le film de la vie. L’organisme, ainsi dire, c’est comme deux êtres ou la maladie mystérieuse. Une idée vivante ? L’enseignement de la philosophie, c’est trop tard, Dieu, il n’y a pas assez de gens. Ou en prévision des meurtres ? Alors sortons de nos parapluies car demain l’esprit l’envole. D’accord, sens humiliation pas d’illumination. Mais effrayez les gens, sans doute c’est envier le temps. Comme un peuple primitif chez l’homme, c’est un petit geste simple.

Chapitre III

Voilà que j’aurais tant voyagé, chercher à ne rien trouver, sur le chemin près du pont, vers la montagne, là ou j’emportait l’air dans la mer, le temps, le voyage par de là les étoiles vers la pomme un peu plus loin au temps des première idées, loin de tout, près de rien, comme chaque poussières de ce monde, j’aurais tant pensé devenir, penser la chaise assis au fond du lit, la main sur le pied, je ne voulais finir comme ça, aussi petite que soit la lune, j’aurais écrit le temps, l’aventure d’un bateau et par dessus le bonheur, le lac des fleurs brille encore là ou l’herbe et le sable se mélangent. Toujours là bas, au loin, au travers, sur la philosophie, dans la pensé des gens. Un prétexte en retour et le chemin du bonheur. Que serait-ce que la vie, sans doute une forme de logique, j´aurais cherché alors et c´est ainsi, l´algorithme du bonheur. Toutefois tant partager, en commun ou sans donner, la brise du cœur, le virus du chaud, c´est ce corps qu´on imaginerais terre, serait-il en train de le rejeter, celui la qu’on a qualifié nous d’humain. Pensez, voilà un esprit qui peut être à travers ses mot a su s´envoler. Par opposition, l´image du sage, la vertu, les paroles et les gestes, enfermés entre deux virgules. Non ce n´est pas par là qui allais revenir. C´est ainsi alors, qui donc avec quoi que ceci débattu, re-alors pourquoi penser ? C´est une exercice de d´imagination.

Alors bon sang, pourquoi à quoi bon ? Faute de mieux, c’est nécessaire, Jean Renié Grenet s’envola très tôt ce matin. Comme à l’habitude il alla à la chasse, à la chasse au nuage. Cette fois, il s’agiras d’être prudent, à risque de pas les attraper, disait-il souvent. C’était un ciel bleu. Jean c’était dit qu’aujourd’hui ce serait la dernière, qu’il en attraperais enfin un. Le chasseur de nuage avaient déjà repérer ses proies et nul de ces nuages à cet instant ne pouvait se douter qu’un prédateur les observais. Un vide et d’un bon bond Rénié bondit. Voilà qu’il tiens un nuage dans ses bras. Vite vite, il faut courir. Le ramener à la maison. Mais c’est ainsi puis dire que je ne saurais trop, une mauvais formulation, j’ai raté cette phrase, que Grenet était déjà chez lui. Le nuage avait fondu, mort dans l’art, sur la terre, en un trait mouillé.

A défaut de talent j’ai choisi un personnage malin ; Jean Renié Grenet. Ainsi fait de trois mots, je peut faire plus de phrase sans réfléchir à ne pas me répéter. Une phrase il s’appellera Jean, l’autre Renié, puis Grenet ou parfois il comme beaucoup d’écrivains appellent aussi leurs personnages.

Neshez
Niveau 5
31 décembre 2007 à 18:00:42

Chapitre III : L’attaque de la raison

Les éléments élus des théories humaines - aujourd’hui c’est une lourde défaite ; un grand succès dans cette discipline. Une carrière étroite à la retraite rouge. Le combat sera dur, va. Une enquête sur les opinions ou juste le témoignage d’une couleur.

Voilà que j’aurais tant voyagé, chercher à ne rien trouver, sur le chemin près du pont, vers la montagne, là où j’emportais l’air, dans la mer où le moment s’amuse, le voyage par de là les étoiles, vers la pomme vers là-bas, au temps des premières idées, loin de tout, près de rien, comme chaque poussière de ce monde, j’aurais tant pensé devenir, penser la chaise assis au fond du lit, la main sur le pied, je ne voulais finir comme ça, et aussi petite que soit la lune, j’aurais écrit le temps, l’aventure d’un bateau par-dessus le bonheur, là, ici, où le lac des fleurs brille encore là où l’herbe et le sable se mélangent.
Toujours là bas, au loin, au travers, sur la philosophie, dans la pensé des gens. Un prétexte en retour et le chemin du bonheur. Que serait-ce que la vie, sinon une forme de logique, j´aurais cherché alors et c´est ainsi, l´algorithme du bonheur. Toutefois tant partager, en commun ou sans donner, la brise du cœur, un virus du chaud ; c´est comme ça, ce corps qu´on imaginerait terre, serait-il en train de le rejeter, celui la qu’on a qualifié nous d’être humain. Pensez, voilà un esprit qui peut être à travers ses mots a su s´envoler. Par opposition, l´image du sage, la vertu, les paroles et les gestes, enfermés entre deux virgules. Non ce n´est pas par-là qu’il allait revenir. C´est ainsi alors, qui donc avec quoi que ceci débattu, re-alors pourquoi penser ? C´est un exercice de d´imagination.

Alors bon sang, pourquoi à quoi bon ? Faute de mieux, c’est nécessaire, Jean Renié Grenet s’envola très tôt ce matin. Comme à l’habitude il alla à la chasse, à la chasse au nuage. Cette fois, il s’agira d’être prudent, à risque de pas les attraper, disait-il souvent. C’était un ciel bleu. Jean c’était dit qu’aujourd’hui ce serait la dernière, qu’il en attraperait enfin un. Le chasseur de nuage avait déjà repéré ses proies et nul de ces nuages à cet instant ne pouvaient se douter qu’un prédateur les observe. Un vide et d’un bon bond Renié bondit. Voilà qu’il tient un nuage dans ses bras. Vite vite, il faut courir. Le ramener à la maison. Mais c’est ainsi puis dire que je ne saurais trop, une mauvaise formulation, j’ai raté cette phrase, que Grenet était déjà chez lui. Le nuage avait fondu, mort dans l’art, sur la terre, en un trait mouillé.

A défaut de talent j’ai choisi un personnage malin ; Jean Renié Grenet. Ainsi fait de trois mots, je puis faire plus de phrase sans réfléchir à ne pas me répéter. Une phrase il s’appellera Jean, l’autre Renié, puis Grenet ou parfois il comme beaucoup d’écrivains l’appellent aussi, leur personnage.

Ca faisait deux heures déjà qu’il attendait dans la voiture. Je me suis décidé à sortir. L’air est frais. La tête d’un sandwich traversa son esprit. Je connais un très bon restaurant. D’un pas bien décider, il claqua la porte, j’allais manger. Combien ça coûte, c’était-il demandé ? Je ne sais même pas si j’ai de l’argent. Mais qui suis-je au juste ? Je fouillais mes poches. Il y’avait un papier à l’intérieur de ma veste. Jean Renié Grenet. Qui ça ? Moi ? Je suis un personnage. Voilà que j’ai faim. Et il ne peut pas payer. Personne n’aurait pensé à me donner de l’argent ; de quoi échanger pour nourrir l’appétit. Du vent dans la bouche, Grenet, c’est ainsi. Monsieur prendra un vin ? Un verre d’eau. Voyons, par ou chercher ? Je sais voyager. Un peu. Il sortit, dehors un désert. Je ne suis pas maître de mon destin. Comment pourrait-il ? Des heures durant, j’ai marché. Des jours durant, je marchais, voilà une belle promenade. Renié hocha la tête, ses yeux vers le ciel. Je ne vois même plus les nuages. Grenet marcha encore longtemps. A bout de force et épuisé, il décida lourdement la défaite. Le fatigue l’endormis. Oh ! Voilà qu’au loin j’aperçois une lumière. Quelque pas et puis c’est bon ; c’est une porte, une porte au milieu du désert. Dessus un papier. Je lis "monde du rêve". Le personnage, la main tremblante sur la poigné, tric et puis dedans.

Une âme assise sur un bois goûtais les plaisirs du paradis artificiel. Une odeur sous vide, une sorte de cuisson. Autour de lui, les justiciers l’observaient dans l’ombre. Ils se disaient : « il s’agit de ne pas la manquer ». Patience, attendons encore un peu, son esprit de s’est pas encore libéré. Un instant aveugle et l’âme se relâchais. Tout à coups, des projeteurs sur la tête, et les justiciers, armes à main, sortant des flaques ; « Rendez-vous sans résistance : » Une voix lourde se mélangeant autour de l’air dans les oreilles. Elle était cernée, sans condition, elle se sépara de l’objet de sa satisfaction. La justice venait de réussir, la justice avait gagnée.

Drôle d’expérience se disait Grenet. Il semblerais que cette fois-ci, je n’ai su être trop discret. Les soldats me conduisirent jusqu’à leur village. Puis un vide dans la tête.
Jean se réveilla. Ou suis-je ? Mince, ma mémoire. « Il s’est éveillé ». Une voie, des pas et une porte s’ouvrante. « Suis-nous ». Je n’avais pas tout à fait repris mes esprits que quatre garde m’emmenaient je ne sais où. Et voilà que j’avais à peine pu distinguer un soleil que je sentit une bandeau autour des mes yeux. Deux yeux et le noir. Je marchais je ne sais où. Mais en fait, ça e changeais pas vraiment de d’habitude. J’était seul mais pas assez. Seul dans mon noir. Comme d’habitude : « Qui êtes-vous, ou suis-je ? ». Rien. Personne. Des gestes sans paroles. Une porte. Un arrêt. Une réponse ? On délia mes liens.

Une pièce vide d’issus et pleins de soldat autour. Face à moi, une homme déguisé. « Qu’est ce que je fait ici ? » demandais-je au hasard. Il disait : « Nous t’avons surpris à dormir au plein milieu de notre désert et cela constitue un acte interdit. Un silence et deux soldats s’avancèrent.
« C’est une folie » déclarèrent-ils en cœur. « Tu sera condamné. » J’était bien dans la merde. « Mais pourquoi ? » criais-je. « Parce-ce que nous t’avons surpris à dormir au plein milieu de notre désert et cela constitue un acte interdit » répéta l’homme costumé. « Je me suis trompé de question ».

« Ici les lois sont aléatoire. Ainsi ni fausse ni juste mais les deux. » L’un des gardes s’emparas de ma main et l’autre glissa une boite dans celle-ci. « Dedans ? » Puis le vide. Jean reçu un grand coup sur la tête.

J’éveillais lentement. J’ai mal à la tête. Du sable et du vent. Je suis dans le désert. Je me souvient à présent. Sacré rêve. Les soldats ou les justiciers ? En route ; j’avançais, j’ai faim, une ville au loin, allons-y. Voilà un bon restaurant. J’entrais. « Bonjour monsieur désire ? me disais la joie du monsieur
- Je ne sais pas. Ca marche ? disais-je.
- Cherchez donc, n’est-ce cette boite que je vois là ?
Il y’avait une boite dans ma poche. Je ne savais pas, voilà qui m’arrange. J’ouvre la boite.
- Monsieur, vous vous moquez de qui ? Voyez , votre boite est pleine. Que voulez-vous que je fasse de ça ? disait le servant.
- Désolé, mais si là est le problème, il n’y a qu’à la vider.
A vrai dire, j’était un peu dans le flou.
- Ah, ne jouez pas au plus malin, j’ai vu la boite. Vous avez vu.
- Désolé.
- Tarte à la fraise, vous avez faim ?
- Oui, mais la boite ?
- Eh bien, la boite, la boite, vous qui vous croyez si drôle, vous y trouverez bien une solution. Voilà votre sandwich

J’allais manger dehors, les gens étaient trop fous ici. Voilà un parc. J’irais m’asseoir sur ce banc. Que d’émotion. Au moins le sandwich, lui, était logique. Je le mangeais et il me rassasiait. Je le trouvais même bon ; quelque chose de normal ? Je me retrouvais comme une âme assise sur un bois. Sur un bois ? Voilà ça me revient. Ah, mais ils ne m’auront pas cette fois. Jamais mon esprit ici ne s’envolera.

Je finissais mon casse-croûte et retournerais à la voiture. Je vérifiais la carte. Elle est juste. Le problème c’est que je ne sais pas ou je suis. J’avais déjà parcouru près de trois cents kilomètres ce matin, il m’en restais bien trois cents autres à découvrir. Broum broum, des arbres qui défilent. « Ou va-t-on » me demande la voiture. « Je ne sais pas ; mais certainement quelque part » lui répondis-je.

Nous avancions sur un chemin vide, pointu de l’autre sens, entre deux débuts de montagne. Nous allions bientôt tombés. « Dis, je vois quelque chose. Par de là le décor du ciel. Une sorte de forme ; deux rond en haut, un cercle au centre, en bas un trait horizontale. » « On l’appelle le lecteur, c’est une sorte d’être essentiel à notre survie ici, tachons de vivre une aventure intéressante au risque de périr. C’est comme une sorte de jeux, il faut que le trait horizontale s’arrondisse vers le bas.

Chapitre 4 (ou IV pour les nuls) : Le grand dérèglement

Douze saisons, quatre mois et trente deux heures, plus tard l’attende venant à manquer, sans début pas de fin, rappelons toutefois, l’oubli et la vertu.

« Non, tu ne la connais pas ? Tu en as de la chance ! » disaient-ils. Deux enfants se promenaient sur l’humour. Ensemble, ils jouaient au jeu des mots. « Raconte-moi encore une blague ». poursuivaient-ils. Ainsi ils s’amusaient, de rien ou de peu de chose, renversant les lettres, bravant la raison. « …puis il va au restaurant et il montre la boite… eh merde ! » « quoi ? » « oh j’ai raté la blague, j’ai dit le truc qu’il fallait dire à la fin » Un étrange présentement, l’alchimie du voyage. « ah voilà, je me rappelle ». L’erreur est logique. Jean Renié Grenet disait : je n’était rien d’autre qu’un personnage dans une blague mal racontée.

Maintenant c’est à toi de jouer.

A vrai dire j’avait plutôt mal commencé. Jean Renié Grenet, j’avouerais ici que ce prénom était stupide. Etonnant qu’il n’ais pas plu. J’ai trouvé une solution, la voici : Jean Renié Grenet, l’aventurier aux cents milles désert, mourus honorablement, hier en fin de soirée, à la lueur de la lune, à la fraîcheur du soleil, avalé dans son sommeil, par son chameau. Voilà qui est fait. J’oubliais ; le chameau se désintégra dans les minutes qui suivirent. Maintenant c’est fini, il ne viendra plus vous embêter, celui la, dont le nom ridicule je t’airais. Je vais en faire un autre ; un bien mieux. Il aura plus de vingt points d’intelligence, des potions magique, une grosse épée et plein d’autres choses. Même qu’il s’appellera Tbal ! Ni Tal ni Bal, mais Tbal ! Plus facile à écrire qu’a lire, je vous l’accorde. Non, pas Tbal, mais « ni Tal ni Bal ». C’est ça qui est plus facile. Ou plus difficile à lire qu’à comprendre, plus facile à comprendre qu’a écrire ? C’est bête, je ne sais pas si vous m’avez compris. Qu’est-ce qui est bête ? Quoi : La blague ? ou de comprendre la blague ? Ou ses trois lettres ? Lesquels ; toi ou moi ? La politesse, après toi, d’abord moi. Mais d’après moi, d’abord toi.

C’est plus propre.

Tbal était un grand guerrier à la mode aux pays des problèmes. Aujourd’hui il été attendu au château du roi Logique. Toc Toc. « Ah, mon cher Tbal, vous êtes là, me voilà ravi » disait le roi. « Merci bien, c’est que je suis pressé, à bientôt » disait Tbal. « Vous voilà ravi, c’est l’essentiel. » disait-il encore. Encore une fois Messire c’était fait avoir.

Tbal, homme, ou personnage, un aventurier sans peine. Trois milles, un vendeur d’occasion. Ca reviens. C’est une mission ? Allons y. J’irais plus haut ; une quête pour la forme. Va, tu iras chercher dans les néants, sous la poussière. Voilà ta tache.

Le conseil avait décidé. Une route confiée à Tbal, le meilleur pour du moment. Le sage des sages l’ouvra : « Pars, trouve, à l’intérieur ou à l’extérieur, les yeux dans les deux sens et à l’envers, celui qui nous hante, celui qu’on cherche tous et qui s’est transformé en mythe, lui, le fil, le fil directeur de tous cet écrit.

Tbal s’était mis en route. Beaucoup comptais sur lui, il ne fallais échouer. Un lourd poids sur la confiance. Ping pong droit au cœur ; comme le son de ses pas qui faisait sur le sol. Tbal ne savait ou chercher. Mais comment faire ? C’était un vagabond, un bon début, certes loin de la marche conquérante. Tbal se promenais. Allons réfléchissons se disait-il. Tentons les questions ; ou suis-je ? Tbal se trouvais en pleine air à quelque lieu de son village. Pensons plutôt autre chose, par exemple ; ou serais-je ? Tbal était arrivé dans un désert. Stop ! Bien, ainsi eu ça va. Donc le destin me conduira ici ; dans ce désert. C’est étrange, un sentiment familier, on dirait un décor. Malheur , il s’agit de trouver. Qu’est ce qu’il y’a ici ? « Bonjour Tbal ». Une voix ?! J’entend une voix ? Qui ça où ? Une baleine dans le ciel parlais. Vite, il faut que j’y vois plus claire, vas y ! Allons bon : Tbal leva la tête. « Bonjour baleine volante, où est le fil directeur ?

- Voilà une question qui t’attaque, disait encore la baleine.
- Je ne tomberais pas dans ton piège, je suis un grand guerrier, disait Tbal.
- Ton prédécesseur était moine arrogant.
- Qui ça ?
- Celui dont on ne prononce plus le nom.
- Voilà que je t’ai eue !
- Voilà une réponse qui t’attrape.

La baleine disparu. Un prédécesseur ? Ce mot faisait encore écho dans la tête de Tbal.
La baleine réapparu : « Dis donc, ce n’est ça qui devrait faire écho, c’est les questions qui attrapent ! » criait-elle rageuse. « Je t’avait dit que je t’ai eue » répliqua le guerrier. La baleine repartit.

A moi de nouveau, cherchons par là. Au loin, une lumière dans les yeux de Tbal. C’est ça, allons voir. « Mince juste le soleil ». Tbal s’était trompé mais à peine eut-il eut le temps de rigoler qu’il aperçut autre chose. « Un mirage » ! Allons voir ! C’était bien un mirage. Rien ici. Vers la bas un nuage. « Vite ! ». Mince, un nuage ça ne sert pas…

A force de connerie Tbal finit par trouver quelque chose. Une tombe. Une tombe en plein milieu du désert. Dessus, il était inscrit ; « Jean Renié Grenet, personnage d’une blague mal racontée ». A coté, une boite. Tbal la saisit et l’ouvrit. A l’intérieur il découvrit des ficelles. « Merde » se disait-il, « lequel est-ce ? ». Il tenta la raison.

Tbal retourna au village. Quelques pas encore, la porte et le conseil. « Bien le bonjour » dit Tbal. « J’ai rempli ma mission, voici le fil conducteur, dans cette boite » Les sages découvrirent les ficelles. « Lequel est-ce ? » demandait-ils en cœur. « Voilà une question qui vous attrapent ».

Tel fut les paroles de Tbal.

Neshez
Niveau 5
31 décembre 2007 à 18:01:29

Chapitre 5 : Fleurs abandonnées

Quelle déception ! Merci. C’est quoi ? Une forme de cadeau. Navré ! Un petit détail, drôle de service.

Pourtant, ça marchais la dernière fois…

Une meurtre ou un suicide ? Ce ronflement me faisais craquer. De temps en temps, on ne devine plus rien. Je peut vous poser une question ? Non. Le porte-feuille à ses problèmes. Autant pour moi. Il respire toujours ? Oh, un touriste vers la postérité. Bien mauvaise thèse. La robe rouge ? Quoi d’autre ? Paraît qu’il la battais. Mais donc ? Un défilé de plage, poom, poom. Perdu, tremblant tel un papillon, la peur au but du stylo, musique pour le chaud, la norme, l’équilibre, bien autrement. Il va bien ? Mais d’abord ; est-il recevable ? Excuse-moi un week-end ? C’est un juste. Juste un bougie, parler avec une serviette et danser avec une armoire. Je peut avoir à boire ? Du clavier au champ, il ya une échelle vers les fourmis, pff, c’est comme bébé qui fait des maths. Non ne lui donne rien. Le lait ? Non au bébé. L’autre, il respire par le nez. Rafraîchissante innovation. Toi aussi tu l’a deviné ? C’est comme la peinture à oreilles, l’écriture des yeux, jeter des mots. Attention je fait des cercles. Si. Et la fête en l’honneur du gâteau. Voilà que ça met tout le monde d’accord. Fichtre, et d’abord personne n’est comme tout le monde. Mais qu’avez vous demandé ? On dirait qu’ici les mots sont mélangés. Mais qu’importe tant qu’il ne m’attrape pas déguisé en pingouins. Qu’est-ce qui ce passe ? Bonjour. C’est vrai, j’aurais du voir ça de suite, mais savez-vous, croire c’est plus qu’un métier.

Inconnu ? Tac touc, c’est finit. Every super. Laisse-moi, mouton. Mange des fleurs. A domicile. Un bouquet. Non essaie un autre. Je t’aime. A plus. Payer c’est pas maintenant. On est pas obliger. Oh zut. C’est pour moi. Une chose indépendante, une épine dans un cheval, c’est un problème spécial, faut pas tirer. Un peu c’est pas possible. La preuve, c’est marqué. Allons faire un tour.

Un tour comme une blague. Un tour rond. Une tour ronde. Un bêtiser d’intelligence, l’empire d’un démon. On répète. Je répète. J’voudrais avoir l’air d’un guignol. Le compte est bon. On y arrivera. Forcément, sans se forcer, va falloir forcé, forcé d’admettre que ça répète. On est en plein dedans. Le problème c’est pas n’importe quoi ; sacré docteur clown. Moi je ne sais pas. C’est lui ? Explique moi. Je crois. Ah ben non les enfants. Elémentaire, mais comment ; quatre ou orange ? Caillou, symbole, bouleversement. La scène. Non ? Ou ça ? Ah qui la faute ? A la roue, le parachute de secours. Un schtroumfs. Flûte, voilà le contrôleur.

Police ! Brigade des stups ! Non je déconne. Avant tout, des hommes comme les autres. La responsabilité des hommages. Le droit en avant. Une possibilité. Avant tout, une tache morale et il ne faut faire n’importe quoi . Allô ? Coucou madame. Quoi ? Des jeunes ? Ou ça ? On arrive.

Eh bien ? Vous êtes toujours là ? Délicieuse fidélité, ou quoi d’autre qu’une odeur douteuse, d’un drôle de passé. Bleu. Jaune. Vert. Y’en a marre. Un Tableau-fenêtre. Affichage et vingt trois en forme automatique. Tiens moi au courant. On y ira voir une pierre à l’occasion. Le temps d’un cookie, sur les marches du palais. Je m’appelle reviens.

Une tarte à la pizza avec du fromage. Rien de plus beau en ce jour d’automne où le vent jouaient des dernières feuilles qui soufflaient de l’espace pour la première fois. Un oiseau me conta que lorsque la dernière fleur chutera de l’arbre, un voyage débutera. Un rond disait-il. A vrai dire je n’avais pas saisit la toute première fois. Le moment venu où l’arbre s’endormis, les oiseaux, en cercle s’élevèrent, en eux, une couleur dans les yeux. Appel de la chaleur, quelque part ailleurs ou d’autres se réveillent.

La gentillesse. Que dire, au sens, en certain mot, serait-ce une sorte de monnaie, un profit plus arrondit, une forme de discours à qui dépend des choses, une boucle partagée ou encore mieux, manipulée. Mais alors en plus si servante, en intérêt et en attende, comment encore la confondre aux autres couleurs ? Osée en d’autres termes, à l’inverse, la colère, en son contraire, suspectée de rareté, comme un criminel qu’on justifiais, une permanente logique encrée au fond de nous, elle est heureuse ou malheureuse tel un mythe oublié, au fond du cœur, enterrée depuis longtemps. Un arrosoir pour certains, une bombe qui fait boom, une idée perdue sans trop de fouilles. Bannie, au royaume des bananes de vanille, survolant le ciel en peine, à terre avec un balais, qui les appellent à regret, un sac de verre en retour, les bordels. Point de ressemblance ici à l’origine. Un match de bateau, au dessus des fusées, en dessous des avions, quelque part entre les buissons. Un A plus Un B. B plus A ? A vos souhaits ! Périr de rire, au goût d’un sens trop vertueux, comme un sketch pris trop au sérieux. La tête qui tourne des heures perdantes. Un cocktail en retard, un peu trop amusé. Un sachet pour la poubelle. A la tête des sourds, les lunettes de l’aveugle, une canne d’un volcan arrachée, une offre spéciale, ordinairement différente, trois cents grammes de bonheur déterrés du fond d’un cauchemar.

Un point malgré tout, le savoir-faire des ingrédients. Les meilleurs moments, un public à l’écoute et déjà le couché du soleil.

Et alors ? A quoi bon, tant de mal ? L’expérience de la folie. Du désespoir contre la haine ? Un idéal trop caché. Montrer à l’envers, pensez, la mise en forme, fondue de l’autre coté. Avec et pour tout trois près de quatre, un insécable compteur, mimé, pensais certain. A vrai dire, il serait ainsi plus raisonnable, d’approcher de ce sens-là, là où la direction s’envole. Malgré plus d’un autre, je ne saurais faire sans atterrir à l’endroit, relatif, ou plus démoniaque qu’après avoir essayé. Il en va cent dires, même deux cents de temps en temps. C’est comme une rareté quotidienne, aller vers là-bas ou nul part. Nul par ailleurs que particulièrement manqué. Un tir plus à l’ouest aurait suffit. Je ne pense plus dire, passer la fenêtre vers l’aventure.

Rappelons toutefois, le magicien, qui, gentil rêveur, contourne logique, fond les yeux, module savoir, au mieux pour s’amuser ; une héroïque de façon de jouer le monde, vaincre la raison, du moins en son image. Délicieuse trahison d’avoir vert en bleu, croire rouge pour montrer jaune. Un cadeau incompris.

A vrai dire je ne savais plus, aller vers ici par là-bas, et je ne sais où ; ailleurs, où quelque chose l’emportera, quelque pas vers quelque part, ou combien de temps encore près d’ici, ça non plus, je ne sais. Une masse absurde dans l’espace. La haut et même en bas. Trop peu de temps avant la fin ; la division du drôle. Un silence inconnu, c’est une porte, fermée de l’autre coté. Ca fait bizarre. Mais depuis quand ? Depuis où ? Oui ou non ou chips ? Pas ici en toute raison. A l’abris dans le ciel, une tomate magique et l’accent aigu oublié de toute maniere. Un métier paranormal, une nature politique, accusée d’oubli. La peur, elle aussi se dérègle, certes plus près du jardin, notamment si couleur bleu ciel ou orange nuage s’échangent en morale absconse. Une mystérieuse complexité, preuve d’un plausible parallèle à plafond ténébreux tristement tombé de l’aquarium.
Le village de Tbal comptait dix huttes. L’une servait de rassemblement pour les sages. C’était eux qui dirigeaient la petite communauté depuis déjà fort longtemps. Dans cette contrée, on nommais, sage, celui qui maniais la logique. Tbal ressortait justement de cette hutte. Heureux, il venait de triompher d’une formidable épreuve de n’importe quoi. Autour le lui, il observais neuf huttes. Que choisir, pensait-il. Essayons ici. Tbal rentrait dans une hutte choisie un peu au hasard.

A l’intérieur, une chaise, une table et un livre posé dessus. Tbal observait l’endroit ; rien d’autre. Bien, il s’assis et analysa l’ouvrage. Il s’agissait d’un dictionnaire. Un dictionnaire laissé ouvert à la lettre G. On lisait : « gaaaploup », «gabaaploom », « gabibou » « gaboulime », « gadribloup »…. Intéressant pensa Tbal. Cherchons un peu plus loin, vers la lettre T. Mhh : « Taba » « Tacrouc » « Tbal »…. ! Tbal ! Malheureusement la définition était arrachée. Flûte alors. Tbal, déçu, sortit. Il en tenta une nouvelle hutte. A l’intérieur, trois personnes riaient assis autour d’une table. L’un tenait un papier. Tbal s’en empara. Il s’agissait d’un dessin de baleine. Flûte alors, Tbal était une baleine. Le guerrier, déçu, sortit de la hutte. Il continua dans une autre. A l’intérieur de celle-ci, des objets et des numéros à coté. Au fond un bonhomme assis derrière une table parlais à un autre bonhomme, lui debout devant la table. Ce dernier tentais d’échanger au premier boite contre sandwich. L’autre sandwich contre numéro. Misérable problème disais Tbal. Il raisonna et conclut : « Cette boite m’intéresse, tentons ceci ; j’échangerais numéro contre boite, ainsi nous auront tous nos sandwichs.

J´ai gagné ?

Sujet : Le sens des choses.
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