Sujet :
[Fic : l’enfance de végéta]
c´est enorme! 
Goldy, tu pourrais m´enlever tout ce flood stp? 
Bonsoir tout le monde! Etant très inspiré, j´ai et viens de finir d´écrire à l´instant le prochain chapitre. Celui ci est très long!!! En outre, je l´ai rédigé au mieux que je le pouvais! Sans doute, aurais je pu encore l´écrire mieux, mais j´ai décidé de vous l´envoyer maintenant. J´attends vos commentaires et surtout comment vous envisagez la suite!
CHAPITRE 18 : DIRECTION LA PLANETE YARDRAT !
Les deux acolytes, Zarbon et Doria arrivèrent dans la vaste salle du trône en compagnie de leur maître, Freezer. Lorsque ce dernier pénétra dans la pièce, il resta de marbre, immobilisé, sous les regards effarés de ses deux sbires. Puis, il s’approcha subitement de son fauteuil volant et s’installa confortablement dans celui-ci. Contrairement aux autres fois, le fauteuil paraissait être défraîchi, fatigué, mais plus particulièrement flasque. Il présentait en effet des avaries dues à on ne sait quel motif. Ces petits défauts ne manquèrent pas d’éveiller l’attention de Zarbon et de Doria qui n’en faisaient toutefois pas part à leur supérieur, le tyran Freezer. Ce dernier ne semblait pas remarquer les défauts que présentait son fauteuil et il paraissait comme à ses habitudes, serein, placide, mais surtout relativement posé. Tout à coup, il pointa son index en l’air et commença à produire une source d’énergie qui fut suffisamment puissante pour être perçue par ses comparses. Puis, comme par enchantement, une rasade de vin apparut tout à coup dans sa main droite, sous les regards déconcertés et ébahis de ses deux valets. Il se mit alors à pousser un rire à gorge déployée, qui se fit entendre à plusieurs mètres de l’endroit d’où il se trouvait. Sans doute, était il ravi de constater le fait que Zarbon et Doria venaient de voir son œuvre ?
Zarbon et Doria, eux, regardaient et contemplaient leur maître avec insistance sans comprendre la raison pour laquelle il venait de railler pareillement. Ils continuèrent à fixer Freezer dans les mirettes, jusqu’au moment où ce dernier remarqua que ces acolytes le regardaient comme une bête curieuse. Il leur engagea donc la conversation tout en buvant et en savourant son vin par petites gorgées :
<< Nous allons détruire la planète Végéta aujourd’hui ! dit alors celui-ci d’un ton sarcastique tout en faisant gesticuler son verre dans tous les sens. Il n’y a plus aucunes raisons pour que je ne la fasse point exploser ! Pour la première fois de ma vie, je vais pouvoir célébrer en votre compagnie cet événement. >>
Le tyran s’arrêta soudainement de parler ; il leva le verre de vin qu’il tenait dans ses mains, l’approcha et l’inclina tout près de sa bouche informe, puis il le reposa subitement sans boire une seule goutte, sous les regards médusés de Zarbon et de Doria, qui ne s’expliquèrent pas sa réaction singulière. Il reprit alors la conversation :
<< Comme les compagnons de Barduck se trouvent actuellement sur la planète Yardrat, je souhaiterais que tu te rendes là bas Doria, mais auparavant, je te déconseille fortement de t’y rendre seul ! Demande à certains de mes hommes de t’accompagner sur cette planète !> >
Doria resta de marbre et ne sut que dire ; cependant, comme il ne voulait point décevoir son maître en ne lui répondant pas, il dit :
<< Très bien ! Seigneur Freezer ! Je me rends immédiatement dans la salle des machines afin d’inciter quelques uns de vos soldats à m’escorter sur la planète Végéta. Cependant, Zarbon peut-il m’accompagner là bas ?
- Non ! répliqua alors le maître de l’univers d’un ton grave, austère. Je préfèrerais que Zarbon ne t’accompagne pas !
- Pourquoi ?? ? Seigneur Freezer !? demanda alors Doria, haletant et tremblant.>>
Le frère de Cooler détestait qu’on lui pose des questions de ce type ; c’est la raison pour laquelle, il se mit aussitôt dans une furie immense et répondit d’une manière hautaine et méprisante à la question qui lui fut auparavant posée par son interlocuteur.
<< Ne pose pas de questions ! dit Freezer en criant et les yeux exorbités. Va t-en et ne discute pas !> >
Doria s’exécuta sans plus attendre comme un vulgaire pantin et gagna la salle de contrôle à grandes enjambées, sans se poser de questions. Lorsqu’il y fut arrivé, il pénétra dans la pièce à brûle-pourpoint sous les regards étonnées des soldats qui allaient vite en besogne. Il s’immobilisa durant quelques secondes sans prononcer le moindre mot car il était haletant ; puis lorsqu’il récupéra enfin son souffle, il prit la parole :
<< Bonjour tout le monde ! Alors le travail avance ? dit alors celui-ci d’un ton purement ironique, sans penser réellement à ce qu’il proférait.
Les soldats répondirent alors de manière courtoise à la question qui leur fut posée :
<< Nous allons bien ! >>
Un des gardes, qui semblait travailler ardemment et paisiblement dans son coin se leva subitement de sa chaise pivotante et s’approcha, sans se presser, de la boule rose. Il lui demanda alors quel était le motif de sa présence ici et l’autre répliqua :
<< Freezer m’a demandé de me rendre sur la planète Yardrat afin d’éliminer les complices de Barduck ! Cependant, ne désirant point que j’y aille seul, il m’a dit de vous contraindre à m’accompagner là bas ! Alors, certains guerriers souhaitent-ils m’accompagner sur cette misérable planète ?> >
On dénombrait plus d’une dizaine de soldats dans cette salle ; certains d’entre eux murmurèrent alors entre leurs dents quelques mots que Doria ne parvenait point à saisir, même lorsqu’il essayait de tendre l’oreille :
<< Non, mais ! J’en ai marre d’obéir aux ordres du tyran Freezer ! dit l’un des soldats, excité. >>
<< Ce ne serait pas de refus ! répliqua un autre, laconiquement, le sourire aux lèvres !> >
<< Un peu d’exercice me fera le plus grand bien, rétorqua un troisième, en tapant dans ses mains >>
<< Moi, je veux bien aller donner une raclée à ces minables de Sayens, prononça un dernier à voix haute>>
Comme Doria constata avec stupeur que la plupart des guerriers présents dans la salle, voulaient se joindre au combat, il leur pria de bien vouloir le suivre jusqu’à une salle où il était écrit en grosses lettres d’imprimeries :
<< VAISSEAUX ET CAPSULES SPATIAUX >>
Tous les soldats, y compris Doria, rentrèrent alors à l’intérieur de la gigantesque pièce qui pullulait de toutes sortes d’engins volants, prirent le premier vaisseau qui se trouvait à portée de main et partirent en direction de la planète Yardrat.
Salut Redflash, je viens de poster la suite!
Merci pour ton commentaire!
Lorsque tu auras lu le dernier chapitre, pourrais tu me dire comment tu envisages la suite stp?
Tu viens de le lire Redflash? Si c´est le cas, tu envisages comment la suite, toi?
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