Fable II

Bonjour bonjour ! Voici une petit fic que j'ai entreprise aujourd'hui même, venant de terminer le jeu...

Prologue

La jeune fille arriva à temps dans les vieux quartiers de la ville pour arrêter les deux canailles. Se munissant d'une grosse pierre moussue qui gisait là en compagnie de tant d'autres, elle courut vers eux et lança son projectile dans la tête du premier, qui s'écroula dans un cri de douleur, surpris. L'autre eut de bons réflexes et dégaina une courte épée de bois usagée. Il tenta de donner à la nouvelle arrivante un coup sommaire qu'elle esquiva tout en lui envoyant un coup de pied dans le ventre, suivi d'un autre dans l'articulation de la jambe. Il fut forcé de s'agenouiller, le souffle coupé. Il donna vaguement un coup de poing devant lui, qui ne fouetta que l'air. La fille s'était déjà éloignée, se dirigeant vers la victime des deux délinquants. Ceux-ci commencèrent à se relever, et préférèrent abandonner le combat.
J'espère que vous avez compris la leçon, lâches ! Lança la vainqueuse.
Elle regarda les deux voyous partir en courant, couverts de honte, puis se retourna vers son petit frère en pleurs qu'ils avaient attaqué sans raisons. Il portait quelques bleus, mais heureusement il en était plus triste qu'il n'en souffrait.
T'inquiètes pas, petit frère, ça va aller ! Je doute qu'ils recommencent un jour... Allez, viens, rentrons à la maison, papa et maman t'y préparerons un bon chocolat chaud. T'en verras d'autre ! Allez viens, te dis-je... Je vais même t'offrir quelque chose pour te consoler, ça te va ?
Le petit garçon ne pleura déjà plus : il hochait la tête, souriant. Il entreprit de suivre sa sœur Sedane. Ils se dirigèrent alors vers le marché, où la jeune fille lui dégota un sympathique bracelet de perles multicolores.
Ils étaient de retour, heureux, dégustant un goûter en famille. Mais leur bonheur fut de courte durée...
Déjà, au loin, retentissait des cris d'agonie, accompagnés de cris de victoire inhumains.

( Bien sûr, ce chapitre na pas de grande utilité, mais... Heu, c'est un prologue, voilà )

Aïe ! Il semble qu'il y ait eu un souci avec ce Copier/Coller !

Prologue

La jeune fille arriva à temps dans les vieux quartiers de la ville pour arrêter les deux canailles. Se munissant d'une grosse pierre moussue qui gisait là en compagnie de tant d'autres, elle courut vers eux et lança son projectile dans la tête du premier, qui s'écroula dans un cri de douleur, surpris. L'autre eut de bons réflexes et dégaina une courte épée de bois usagée. Il tenta de donner à la nouvelle arrivante un coup sommaire qu'elle esquiva tout en lui envoyant un coup de pied dans le ventre, suivi d'un autre dans l'articulation de la jambe. Il fut forcé de s'agenouiller, le souffle coupé. Il donna vaguement un coup de poing devant lui, qui ne fouetta que l'air. La fille s'était déjà éloignée, se dirigeant vers la victime des deux délinquants. Ceux-ci commencèrent à se relever, et préférèrent abandonner le combat.

- J'espère que vous avez compris la leçon, lâches ! Lança la vainqueuse.

Elle regarda les deux voyous partir en courant, couverts de honte, puis se retourna vers son petit frère en pleurs qu'ils avaient attaqué sans raisons. Il portait quelques bleus, mais heureusement il en était plus triste qu'il n'en souffrait.

- T'inquiètes pas, petit frère, ça va aller ! Je doute qu'ils recommencent un jour... Allez, viens, rentrons à la maison, papa et maman t'y préparerons un bon chocolat chaud. T'en verras d'autre ! Allez viens, te dis-je... Je vais même t'offrir quelque chose pour te consoler, ça te va ?

Le petit garçon ne pleura déjà plus : il hochait la tête, souriant. Il entreprit de suivre sa sœur Sedane. Ils se dirigèrent alors vers le marché, où la jeune fille lui dégota un sympathique bracelet de perles multicolores.
Ils étaient de retour, heureux, dégustant un goûter en famille. Mais leur bonheur fut de courte durée...
Déjà, au loin, retentissait des cris d'agonie, accompagnés de cris de victoire inhumains.

Voilà qui est beaucoup plus lisible

c'est pas mal du tout! félicitation!

Merci !

J'étoffe quelque peu mon premier chapitre et je vous le poste

j'adore !! ^^ a quand la suite :p

Heu, bah... Quand le prochain chapitre sera fini, voyons
Mais, y'a des chances que ça arrive dans peu de temps...

Jay pas lus

Cela me ravit, tu ne le mérites pas

Plaisante, cette fic !
J'attends la suite

Quel regal

vivement la suite !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Le chapitre 3 demeure à la ligne... Heu... " Chapitre 3 ".
En fait, non, même pas. Mais je m'y mets tout de suite, point d'inquiètude

Voili voilou, tout chaud ! ( Prenez garde à ne pas vous brûler en lisant, surtout )

( Et cette fois-ci, je réussis à poster un chapitre du premier coup ! )

Chapitre 3 – Réveil

Des oiseaux. Ou plutôt, leur chant. Ce chant mélodieux qui accompagna son réveil embrumé. Elle ouvrit les yeux pour observer le lieux où elle se trouvait. Couchée dans un confortable lit, autour d'elle s'alignaient de nombreux meubles luxueux dans une pourtant peu spacieuse maison de bois. Par la fenêtre, elle apercevait une flore luxuriante. La maison se situait apparemment dans une petite plaine recouverte d'herbes hautes. Sur les meubles se trouvaient divers livres, pierres, ingrédients et ustensiles d'alch... Sang. Tout lui revenait soudainement en mémoire.

Comment le bonheur si court ou elle avait pu oublier avait-il été possible ? Cris, larmes, sang, mort. Des mots qui lui revenaient sans cesse, l'assaillant de toute part, qu'elle essaie d'y penser ou non. Cris, larmes. Les siens cette fois ci. Elle s'agenouilla sur le lit, pleurant, maudissant tous ces être ignobles qui avaient détruit tout ce qui comptait pour elle.

C'est alors que s'éleva dans l'air un son plus mélodieux encore que celui du chant des oiseaux. Un son apaisant, une berceuse aux airs tristes. La berceuse d'une boite à musique. Sa provenance n'était pas localisable, la musique emplissait toute la pièce. Comme munie de pouvoirs, la berceuse stoppa ses larmes, chassa lentement chaque souvenirs douleureux de ses pensées. L'origine du son sembla se concentrer, lentement, en un point précis...

Thérésa apparut de nouveau devant elle. Dans ses mains se tenait la boite à musique, répétant infiniment sa mélodie...

- Oublie tes souffrances. Grâce à moi, elles disparaitront à jamais. Tu retrouveras auprès de moi le bonheur qu'on t'a arraché.

Sedane écoutait attentivement. Tant de promesses alléchantes... « Oublie tes souffrances » ... La mélodie s'occupait peu à peu d'effacer les tristes évènements récents. Peu à peu, seul restait dans sa mémoire le bonheur.

- Prend ma main, n'aie pas peur, lui demanda l'aveugle, dont les yeux l'envoutaient.
- Ai-je... Vraiment... Le choix ...?

Elle tendit lentement sa main vers celle de la vieillarde. Elle hésitait, mais quelque chose la poussait à terminer son geste. Un sourire se dessina sur le visage de Thérésa, qui bougea la main en signe de précipitation, faisant tinter ses divers bracelets. Soudain, la musique stoppa net, en compagnie d'un bruit de claquement de porte. Sortant d'une transe étrange, la jeune fille rapprocha rapidement sa main d'elle, méfiante. Elle tourna son regard vers l'embrasure de la porte. De nouveau l'homme en bleu, le visage encore dissimulé derrière sa capuche.

- Ne cesseras-tu donc jamais tes manigances, vieille sorcière ? Éloigne-toi d'elle ! rugit-il
- M'y obligeras-tu ? Je serais toujours là, Faux. Toi aussi, je le reconnais...
- Qu'essayais-tu à nouveau de faire ? Désirais-tu l' emmener à la Flèche, crevarde ?
- Elle ne sait même pas encore qui elle est... Tu as raison, ce serait dommage que je l'utilise si vite... Mais je le ferais bien un jour ! Finit-elle, disparaissant.

« Faux » - était-ce son nom ou Thérésa usait-elle du mot courant ? - s'approcha de Sedane, toujours quelque peu dans les nuages. Il s'agenouilla devant elle et posa une main qui se bleutait sur son front.

- Où trouveras-tu la force de te venger sans ne plus en avoir la raison, ma petite ?

Peu à peu, tout aussi lentement qu'ils étaient partis, revinrent en sa mémoire ce que la boîte à musique avait effacé. Cris, larmes, sang, mort.

Vengeance.

Bonne lecture ( Un peu inutile en fin de post... Mais j'ai la flemme de remonter, voyez-vous ? )

D'ailleurs... J'aimerais en même temps que vous critiquiez aussi !

Du genre, les tournures maladroites, les fautes ignobles...

j'adore !!! très bon début j'ai hâte de savoir la suite !
et ne laisse pas tombé je connais plusieurs fics qui on coulées
continue !!
et combien de temps après fable 2 se passe cette fic (je sais que c'est pas longtemps après fable 2 mais je voudrais savoir stp
et continue !!!

Mais quelle horreur ! Je n'avais encore jamais relus mes chapitres ( J'écris, mais lire... ) et je constate un bon nombre de fautes.

Sachez-le, je ne manquerai pas de me relire à l'avenir !

Merci Ichi, le chapitre 4 arrivera demain Heu, en fait, je sais pas vraiment à combien de temps se situe la fic après Fable II... En tous cas, le Héros et Rose ne sont plus de ce monde. Restent surtout les immortels...

Chapitre 4 - Connaissance

- Solcius n'aura fait que retarder la destruction de Bowerstone... Et maintenant, par la faute de Thérésa, cette ville n'est plus que cendres, poussières et sang séché, s'attrista Faux, les yeux perdus dans le vide.
- Par la faute de Thérésa ?
- Bien sûr. Tous ces monstres ne sont pas venus par hasard. Pensais-tu vraiment qu'Hobbes, Balverines et homme creux allaient s'allier ainsi pour dévaster la plus grande ville d'Albion ? Tout ça pour t'emmener bien plus facilement... Elle a souvent fait des manigances du même genre... Quelques informations « glissées » à Lucien Fairfax il y a longtemps, par exemple... Et jusqu'à ce que j'intervienne hier, elle a toujours réussi. Dire qu'elle a un jour été une gentille fillette.
- Alors... Cette femme est finalement bien mon ennemie.
- C'est de elle que tu dois te venger. Cette sorcière a amené tant de monstres que la présence des gardes semblait inexistante... Et...

- Il regarda enfin la jeune fille meurtrie intérieurement, ses yeux comme le reste de son visage toujours dissimulés dans l'ombre de sa capuche.

- Elle le savait, la seule personne présente sur les lieux pour sauver à temps la ville a temps n'était pas prête à le faire... Mais ça ne saurait tarder, crois moi. Alors, as-tu d'autres questions ?
- Heu... Je... Je peux vous demander pourquoi est-ce que vous cachez votre tête ?
- Je préférerais ne pas te faire pleurer davantage...
- Heu, d'accord, oubliez ça. Je ne pose jamais les bonnes questions...
- Mais sois-en sûre, tu le verras un jour. Mais pas de sitôt.

Il se leva du lit sur lequel ils étaient assis et sortit dehors en l'invitant à la rejoindre.

- Il faut maintenant que je te parle de ta quête de vengeance. Tu te doutes bien que, même sur-entrainé, un être humain normal ne peut combattre des hordes de monstres et... Thérésa avec.

Sedane se leva à son tour et le rejoignit. Ils marchèrent avec une démarche lente dans la fraiche rosée du matin.

- Seulement... Tu es assez spéciale. C'est ce que Thérésa a « oublié » de mentionner. Tu descends d'une très, très grande lignée de... Héros.

De Héros ? Elle, une petite bourgeoise de Bowerstone, elle descendait des Héros ? Des Archon, de la Tueuse de Balverines, du célèbre héros qui avait abattu le terrible Jack of Blades, et de l'autre qui avait empêché le vieil égoïste Lucien Fairfax d'utiliser la Flèche à mauvais escient ? C'était incroyable ; mais plus incroyable encore était le fait qu'on ne pouvait que rester crédule face à chaque propos de Faux. Cet homme, semblait-il, disait la vérité comme il respirait.

- Et, comme j'aime l'Albion, c'est mon devoir de te former, toi, qui accompliras plus tard d'aussi grandes choses que tes ancêtres, pour chasser de ce monde ce qui le pourrit.
- Je... Enfin, je m'en sens tellement incapable... Êtes-vous sûr que c'est réellement de moi qu'il s'agit ?
- T'inquiètes pas, gamine. « Sauf erreur, et je n'en fait bien sûr jamais » comme dirait l'immortel Reaver. Il faut avouer que seul quelqu'un de plutôt spécial peut rencontrer Thérésa et moi-même dans la même journée ! En toi sont ouvertes les trois voies du Héros : la Volonté, la Force et l'Adresse. Durant les années que tu vas passer avec moi...
- Des années ? s'écria Sedane en écarquillant les yeux.

Il comptait rester avec elle durant des années ? Ce n'était pas mal, étant donné qu'elle n'avait plus aucune famille. Et rester plusieurs années avec un tel personnage semblait un grand honneur. Faisant mine de ne rien entendre, Faux poursuivit :

- ... tu avanceras sur ces trois voies, jusqu'au bout. Tu allieras parfaitement l'épée, l'arme à feu et la magie dans chacun de tes combats. N'aie pas peur : tu descends de tous ceux qui ont réussis. Et tu réussiras avec autant de brio qu'eux. Surtout que tous n'ont pas eu... la chance d'être formés par moi. Sans me vanter, bien sûr. Et on commence... Tout de suite.

Soudainement, un épée de bois se matérialisa dans sa main. Dans l'autre se formait un petit pistolet. Et, sur ses deux bras, les étranges lignes bleues commençaient à rayonner...

Chapitre un peu long je crois... Mais tant mieux, non ?

Horreur ! Malheur !

Tentant de corriger mes défauts, ce sont les lecteurs qui désormais me font défaut

À quand la suite ?

Ah pardon, j'ai posté avant d'avoir fini :

Excellente cette fic !