Quatre jours se sont écoulés après cette nuit d’infiltration dans la base. J’ai consciencieusement détruit l’ordinateur portable que j’ai utilisé pour la mission et planqué les lunettes de vision nocturne sur le toit de mes baraquements, là où personne ne peut les trouver sauf s’il lui prend la soudaine envie de faire de l’escalade… Au fur et à mesure des jours qui passaient je recevais les documents demandés à Fabiani sur ma montre terminale. D’abord le fichier des améliorations de la base puis la carte 3D associé. On m’a ensuite envoyé les informations sur le bâtiment administratif, elles étaient assez maigres mais suffisantes ajouté au fait que j’étais déjà parvenu à infiltrer le bâtiment.
C’est alors que je prenais ma douche après une longue série d’entraînement aux manœuvres tactiques avec de nouvelles recrues venues d’Angleterre que j’ai entendu une voix au creux de mon oreille.
« Archer, tu es disponible ? »
C’était Fabiani.
« Ça alors j’entends des voix. »
« C’est pas le moment de plaisanter. On doit limiter les appels dans ce genre de mission. »
« Alors viens en aux faits. »
« Tu as lu la note sur ta montre terminale ? »
« Oui. Butterworth est devenu le symbole médiatique des Five Power Defence Arrangements face aux pressions des extrémistes indonésien. Un peu comme l’USS Walsh était devenu le symbole des Etats-Unis en 2007. Et on se souvient tous comment il a terminé… J’ai une soudaine envie de chanter Titanic. »
« Très drôle. Tu as certainement remarqué également que la Nouvelle-Zélande, le Royaume-Uni et Singapour envoient de nouvelles troupes à Butterworth pour renforcer de symbole d’union ? »
« Comment faire pour ne pas le voir… Ils vont même ouvrir de nouveaux baraquements près des miens. »
« L’opération prend une toute autre ampleur, Butterworth devient un lieu clef. Un lieu à abattre pour le groupe Echo. »
« Puisse qu’on parle de terroristes indonésiens, un nouveau nom est apparu dans le conflit ? Un sorte de Sadono N°2 ? »
« Non. Si c’était aussi simple… La menace reste dans l’ombre. Personne ne sait d’où viennent les ordres. Je crois que même le groupe Echo ne le sait pas. »
« J’aime pas ça… »
« Moi non plus. Mais tu ne sais pas tout : le boîtier espion branché au serveur principal qui relayait les infos vers un immeuble abandonné en ville… Kaden y est allé et a descendu des terroristes là-bas.»
« Et les infos du serveur, où elles allaient ? »
« Vers un autre boîtier qu’un terroriste a détruit avant qu’on mette la main dessus. La piste s’arrête là mais Alister et moi on a découvert que ce boîtier filtrait les informations. Ce qui intéressait les terroristes c’était les données relatives à la simulation en milieu urbain dans la banlieue de Kota Baharu pour laquelle tu dois partir demain après-midi avec tes hommes. Cette simulation sera fortement médiatisé comme étant la preuve que les pays des FPDA peuvent manœuvrer ensemble en milieu hostile. »
« On doit donc s’attendre à un attentat ? »
« On doit s’attendre à tout. La bonne nouvelle c’est que le général Luqman va certainement te faire un speech dans son bureau et que t’auras une chance de copier le dossier sur l’infanterie et les officiers, qui en plus comprendra également les noms des nouvelles recrues. »
« Ça valait le coup d’attendre finalement… »
Une voix derrière la porte :
« Oliver ! Tu ne vas pas y passer toute la journée ! »
Et zut... C’est le problème avec cette arrivée de nouvelles recrues. Plus assez de douches…
« Désolé Fabiani mais je dois y aller. »
« J’avais terminé de toute façon. Bonne chance Archer, on reprendra contact à Kota Baharu. »
Je m’habille et sors de la douche.
Je me rends compte que la situation prend de l’ampleur au fur et à mesure que les jours passent. Si un conflit éclate je serais en première ligne et je ne suis pas sûr qu’Échelon 3 lève le petit doigt pour me sortir de là… D’un autre côté si je parviens à arrêter Echo ce sont des centaines de vies qui pourront être sauvés. Je n’ai vraiment pas le droit à l’erreur.
( NOTE : Si vous n'avez pas joué à tous les Splinter Cell alors il y a des petites références que vous ne pouvez pas comprendre. Mais bon... C'est de votre faute ! Vous n'aviez qu'à avoir joué à tous les Splinter Cell ! Mais si vous voulez des explications n'hésitez pas à me demander ou à demander à Wikipédia. )
Une petite demande aussi en temps qu'auteur de la fiction. Si vous pouviez un peu plus commenter l'histoire en elle même, son évolution...
C'est gentil de dire que c'est bien et de demander la suite mais c'est quand même un retour assez limité. Une discussion sur l'histoire serait plus stimulante.
Que pensez vous de l'histoire d'Archer ?
J'ai pas lu toute ta FIC mais je te jure elle déchire!!!!! Continue comme sa!!!!
PS: Je sais que sa n'a rien n'à voir mais j'ai fini tout les splinter cell, le 5 je l'ais fait 15 fois ^^ je l'ai adorer tout comme ta FIC.
Aller bonne continuation.
Re code52 toujours un plaisir de lire ta fic toujours aussi passionnante
Je pense que tu devrais faire en sorte qu'il y ai des terroriste dans tes recrue pour la simulation urbaine ca serais sympa
ps : je n'ai joué que a conviction mais je comprend quasiment tous
J'adore ta fic vivement la suite
La suite svp
Bien joué pour tout.
Merci à vous Jo-aime-Diine et jimm50 !
c'est normal tu n'est pas un artiste mais presque je te respecte au plus profond de moi
suite svp
(dsl double post)
juste si j'ai bonne mémoire ; Sonolo c'est dans pandora tommorow, l'uss walsh c'est dans chaos theory ( le meilleur splinter cell pour moi, l'introduction du couteau )
Oui c'est ça ! Sauf que c'est Sadono et pas Solono, mais sinon c'est ça ! ^^
Désolé Code52 mais mon nouveau compte n'ai plus jimm50 mais jimm5001 car j'ai été banni pour mauvaise pub
personnellement por moi la fic est bien plus fidèle à la série que le nouvel opus. Je suis désolé mais tuer 4 individus en moins de 5 secondes ( en balançant une grenade iem pour étourdir ces futures victimes ) c'est pas du vrai sam fisher. Le vrai Sam fisher ne se fait même pas repérer et il ne prendrait pas ce genre de risque. Lorque je rejoue au anciens splinter cell j'ai vraiment du mal parce que l'infiltration du 5 est vraiment simplissime par rapport aux opus précédents.
La au moins archer évite le contact avec les gardes
c'est pas la même raison ni la même histoire ce n'est pas forcément comparable
C'est pour quand la suite
Ce n'est pas la premiere fois que sarah se fait enlever. Sur double agent sur PS2 elle se fait enlever par des terroristes sur un bateau. Sam va s'inflitrer dans le bateau mais ne vas pas tuer tout le monde avec un marquer exécuter mais normalement, comme dans les splinter cell plus anciens.
Le jeu n'est pas moins bien il est juste un peu facile
si vous regarder la cinématique d'intro de la première mission
de Splinter Cell Conviction
il dise que le Sam d'échelon 3 est mort et que c'est un nouveau Sam avec une autre conviction
Pour participer un peu à ce débat je dirais que l'on a la possibilité de choisir comment on veut jouer dans Splinter Cell : Conviction. Même si on nous pousse un peu au mark and execute et aux gadgets IEM par moment il y a toujours moyen de trouver des techniques d'infiltrations digne des premiers Splinter Cell si on cherche bien (plus je rejoue les niveaux, plus je trouve de nouvelles techniques, un peu comme dans un Hitman). Bref, c'est au joueur de rester fidèle à sa propre vision de Splinter Cell. Il peut choisir entre infiltration, action ou un mélange des deux. Et ne soyons pas hypocrite non plus : le mélange infiltration/action a été superbement réussie par les créateurs du jeu et on ne tombe jamais dans l'action bourrin pure et dure.
Tu dis par exemple azertyuiop226 : "Je suis désolé mais tuer 4 individus en moins de 5 secondes ( en balançant une grenade iem pour étourdir ces futures victimes ) c'est pas du vrai sam fisher. Le vrai Sam fisher ne se fait même pas repérer et il ne prendrait pas ce genre de risque.".
Et bien fait tout pour ne pas te faire repérer et ne prend pas ce genre de risque. On aura beau dire : c'est aussi simple que ça ! Moi je vois par exemple sur le forum des gens qui se plaignent du mark and execute mais qui l'utilisent quand même ! Il suffit de jouer comme on en a envie. En plus ça apporte plus de challenge de jouer 100% infiltration dans cet opus que dans les autres.
C'est vrai aussi que Sam Fisher ne travaille plus pour Échelon 3, c'est d'ailleurs l'argument qu'on agite sous notre nez pour tout justifier. Et cet argument, n'en déplaise à certain et à moi même, est malgré tout un bon argument. Espérons juste un retour à la normale (un retour à Échelon 3) pour le prochain opus maintenant que l'intrigue "Sarah Fisher" est bouclé.
Faut relativiser aussi : dans l'âme Sam Fisher est toujours un Splinter Cell puisse qu'il sauve les États-Unis d'un terrible complot. L'intrigue "Sarah Fisher" et "je cogne pour obtenir des réponses" est juste la manière dont on nous a fait la publicité du jeu. Faut pas oublier non plus toute la partie complot terroriste.
Concernant ma fiction, je l'écris tout comme je joue à Splinter Cell : Conviction, donc avec une certaine fidélité aux anciens opus !
Je ne sais pas quand la suite va venir. Je suis sur d'autres projets qui me prennent plus de temps et je suis en vacances là donc je vais en profiter pour les réaliser .
De toute façon la donne ne change pas : j'abandonne pas la fiction et jamais je ne l'abandonnerais et que j'avance lentement ou rapidement j'avance irrémédiablement ! On a tout notre temps !
Et puis si je ne fait qu'écrire ma fiction, je n'ai plus de temps pour jouer à Splinter Cell !
vivement la suite j'adore ta fic
Comme on pouvait s’en douter le général Luqman m’a fait appelé dans son bureau. Je m’y rends avec mon scanner portatif bien caché au fond du sac à dos. Ce n’est pas tous les jours qu’on peut aller dans le bureau du général alors je vais devoir bien profiter de cette fenêtre de tir ou je peux dire adieu à ce dossier.
J’entre et ferme la porte derrière moi.
« Officier Blaine ! Content de vous revoir. »
« Général Luqman, vous vouliez me parler ? »
« Oui. Un café sans sucre c’est bien ça ? »
Il me tend un gobelet de café que je prends en lui affichant un sourire quelque peu exagéré de gratitude. Pour compenser ma déception en fait… Je pensais que j’aurais pu scanner le dossier quand il serait parti nous chercher des cafés comme la dernière fois. Il n’a plus de raison de quitter la pièce maintenant.
« C’est ça en effet. Bonne mémoire. »
« Merci. Parlons maintenant de ce qui nous intéresse. »
« La simulation à Kota Baharu. »
« Oui, vous regardez les infos ? »
« Un peu, je me rends bien compte qu’on parle beaucoup de nous en ce moment et de cette fameuse simulation. »
« Je vais vous expliquer la situation. Je ne sais pas si vous vous intéressez à la politique mais en Indonésie les groupes les plus extrêmes, presque révolutionnaires, parlent de chasser la Malaisie du nord de l’île de Bornéo. De vieilles querelles refont surface… Et le pire dans tout ça c’est que le gouvernement indonésien est tellement instable qu’il est vulnérable à un coup d’état qui pourrait propulser ces révolutionnaires au pouvoir. »
« Je vois… Et nous dans tout ça ? »
« Nous sommes un symbole. Le symbole que la Malaisie dispose de puissants alliés et ne se laissera pas faire. »
« Ça explique l’arrivée de nouvelles recrues ces derniers jours. »
« Oui, tout ça c’est de la communication… Je vais être franc avec vous Oliver. La simulation à Kota Baharu va être très médiatisé et des gens hauts placés me mettent la pression pour que tout se passe comme prévu et que la Malaisie et ses alliés fassent bonne impression. »
« Je ferais tout mon possible pour que tout se déroule parfaitement. »
Il écarte un petit dossier rouge, ouvre mon dossier personnel et le consulte brièvement.
« Je l’espère et je vous crois. Vous avec été formé à West Point, puis vous avez servi à la caserne de Victoria et à Lavarack avant d’arriver ici. En bref, on vous a entraîné aux Etats-Unis puis vous avez entraîné des hommes en Australie et finalement vous êtes venu former des malaisiens et, aujourd’hui, des anglais à Butterworth. Vous êtes un parfait modèle de cette union entre les pays et c’est pourquoi je vais vous proposer de jouer un rôle important dans cette simulation à Kota Baharu. »
« Un rôle important ? »
Le général Luqman se lève et se tourne vers la fenêtre ouverte. Il n’a pas cessé de bouger les mains comme un homme politique durant toute sa tirade, cet homme a de grands talents d’orateurs et le fait qu’il se tourne de cette manière et qu’il désigne les baraquements à l’extérieur d’un ample geste de la main produit son petit effet.
Mais ce n’est pas la beauté de la mise en scène qui me fait réagir. C’est plutôt le fait que le dossier est dans le tiroir du haut de l’étagère, tout près, et que Luqman me tourne le dos.
« Vous voyez toutes ces recrues dehors venues de nos pays alliés officier Blaine ? Ce n’est pas un symbole, c’est LE symbole d’une union parfaite… »
Je ne dois pas hésiter. La fenêtre est ouverte et le bruit des manœuvres dehors et de la construction des nouveaux baraquements est largement suffisant pour couvrir le son de la fermeture éclair de mon sac et de l’ouverture d’un tiroir.
D’un autre côté il faut moins d’une seconde à un homme pour se retourner et il peut le faire à tout moment. Je ne connais que trop bien les enjeux : si je suis surpris on dira que je suis un traître. On croira même que je travaille avec les extrémistes indonésiens et Échelon 3 ne fera rien pour moi. Il y a une seule règle du jeu dans ce genre de situation : si vous vous faites découvrir le gouvernement américain niera avoir eu connaissance de vos agissements. Je serais alors poursuivi comme étant un terroriste et traité comme tel.
De son côté Luqman continue son monologue sans se douter du grand dilemme que je suis en train de vivre derrière son dos.
« …Et vous savez quoi ? Les terroristes ne visent jamais les installations les plus coûteuses ou les plus utiles à leurs ennemis. Ils visent toujours les symboles. Il n’y a qu’à voir le World Trade Center aux Etats-Unis !...»
Pas le temps de réfléchir. Silencieusement je me lève de ma chaise et pose mon sac sur le sol. J’en sors mon scanner portatif. Chaque bruit du sac me semble être un vacarme terrifiant mais Luqman continue de parler.
Si seulement c’était une caméra glu que j’avais collée dans la lampe du plafond la dernière fois. Alister ou Fabiani verrais ce que je suis en train de faire en ce moment et aurait pu soit me dire de continuer soit me dissuader de faire ce que je suis en train de faire. Ils auraient également pu me prévenir quand Luqman se retournerait.
Je m’avance à pas de loup vers l’étagère. Tout se déroule comme au ralenti.
« …Toute cette histoire de communication autours de l’évènement de Kota Baharu je m’en fiche bien à vrai dire. Mes supérieurs ont beau me mettre la pression ça ne fait pas de moi quelqu’un de plus enclin à faire le guignol devant une caméra pour rassurer la population... »
Je me hisse sur la pointe des pieds et ouvre le tiroir du haut, là où j’ai vu le général déposer le dossier la dernière fois. Et s’il n’était pas à sa place ? Et si Luqman me voyait fouiller ?
« …Ce qui m’inquiète c’est qu’en plus de cette base et de l’évènement en lui-même, ce sont ces hommes là-bas dehors qui sont devenus des symboles. Et donc, comme je le disais, des cibles… »
Je risque un coup d’oeil vers le général. Il est à fond dans son discours…
« …Je parlais de politique tout à l’heure alors qu’il aurait mieux fallu parler de terrorisme… »
Le dossier ! Je le tiens. Il est plus gros que la dernière fois. Plus de pages dons plus de temps à le scanner. J’ai l’impression d’être un funambule sur un fil en flamme.
« …Je vous avoue officier Blaine que j’ai peur pour eux. Je crains un attentat de la part de ces indonésiens. Si j’étais eux ça serait par là que je commencerais pour déstabiliser l’ennemi… »
Je fais aussi vite que je peux pour scanner les pages avec l’appareil. Je sens que Luqman viens au terme de son monologue et je n’en suis même pas à la moitié.
« …En plus, on n’a beau dire l’inverse, la coopération entre les pays est difficile et les différents services de sécurité risquent de s’emmêler les pinceaux à Kota Baharu… »
Arrivé à la fin de ses explications le général va sûrement se tourner vers moi pour voir ma réaction. Qu’est ce que je pourrais lui dire ? Salut général, comme votre discours m’ennuyait j’ai décidé de scanner des dossiers confidentiels, ça vous dérange pas trop j’espère ?
« …Ce serait regrettable. La simulation implique du matériel explosif et j’imagine aisément qu’une mauvaise sécurité pourrait permettre aux terroristes de le détourner. Même si personne d’autre que moi ne l’admettra jamais : il y a un risque que l’on se fasse attaquer là-bas. »
Voilà la dernière page du dossier scanné ! Je range vite fait le dossier et referme le tiroir. Je retourne rapidement à ma place et fourre le scanner portatif dans mon sac. Je me rassois.
« J’ai vu que vous arriviez bien à diriger vos hommes et que vous avez une bonne expérience dans les manoeuvres tactiques… »
Il referme la fenêtre et se retourne. Je réprime avec peine un frisson. Non seulement j’ai l’impression que ce que je viens de faire est marqué sur mon front mais en plus s’il s’était retourné seulement 2 secondes plus tôt...
Je me rassure, en apparence j’ai suivi attentivement ce que disait le général et je bois calmement mon café.
« … C’est pourquoi je vous confie le poste de chef de la sécurité pendant la mission de Kota Baharu. »
Il fait glisser vers moi le petit dossier rouge que j’avais remarqué sur son bureau.
« Procédures de sécurité. Liste du matériel. Codes d’accès. Autorisations maximales. Vous aurez accès à toutes les informations et à toutes les ressources pour assurer la sécurité maximale de la mission. Je vous fais confiance.»
Je vous fais confiance... C’est drôle, quand on entend cette phrase lors d’une mission comme celle-ci on se sent fier et coupable à la fois…
trop top
pense a mettre un caméra glu sur la lampe la prochaine fois
super fiction j'adore