Génial
Mais y'a des fautes
J'en reste sans voix
Sweeeeet
Désolée des fautes ^^' Si j'ai le temps la suite se fera peut-être ce soir .. Enfin je vais déjà faire un brouillon sur bloc notes
Suite Flo'
Merci de vos encouragements, en deux jours plus de 20 posts merci beaucoup. Je posterais la suite ce soir sans doute
"je l'ai est insulté" je veux bien passée sur les petites fautes, mais là, ça va loin... Relis-toi
La conversation du début entre le père et la fille ne fait pas très réelle.
Le suspens est très bien laissée.
Suite !
Voici la suite que j'ai relue avant de poster
Chapitre 3 :
Satur était perplexe devant sa fille qui était, elle, parfaitement sereine.
-Parbleu ! Ne me fais point patienter plus, ma fille. Je ne vois pas ce que tu veux dire. Quel diable est la phrase dont tu parles, Marquise ?
-Père, père, ne vous impatienter point, et ne vous fâchez pas non plus. Un jeune homme m'a dit : "Mais, Marquise, le cerisier n'a pas perdu toutes ses feuilles !"
-Et alors ? Cela ne change point son âme.
-Cela la change, au contraire. Père, s'il n'avait pas été honnête, il ne l'aurait pas dit. Il se serait tu, juste pour pouvoir monter avec nous. Mais il l'a dit. Cela prouve à quel point il est honnête, n'est-ce pas ?
-Soit, soit. Je ne te cacherais pas qu'il est fort honnête. Mais il devra tout de même attendre comme ceux qu'il fréquente.
-Je n'en attendais pas moins de vous, Père. Sur ce, je vous laisse et vais me coucher ; il se fait tard. Cependant, je vais d'abord observer un petit peu les mortels. Dès demain, j'essayerais d'en savoir plus sur l'homme en question.
Satur la salua et partit lui aussi de son côté. Marquise s'envola en vrille dans le ciel et observa les mortels. Elle pouvait les voir s'émerveiller devant elle, qui était sous forme d'étoile filante. "Je veux ne cacherais pas qu'ils sont gentils et sans défense", se dit-elle avant de repartir.
Le lendemain, aucun Marquel n'avait oublié ce qui s'était passé la veille. Dans les cieux l'on entendait uniquement les mots "Marquise" "cerisier" "royaume", ... Ils étaient plus que tout motivé pour veiller à la santé de leur protégé. Marquise les regardait en souriant.
-Je crois qu'ils ont compris la leçon, Père.
-Je le crois aussi, ma fille. Ah ! Ils ont augmentés d'un rang dans mon estime.
-Je n'en dirais pas moins de moi. Regardez, Père ! Le Marquel qui avait dit la phrase du cerisier. Son protégé a faillu rentré dans une ruelle sombre, mais il l'en a empêcher. Quelle brave homme ! Je crois bien qu'il aura beaucoup de feuilles. D'ailleurs, à propos du cerisier ... Je m'en vais de ce pas voir comment il avance.
-Bien.
Marquise se rendit invisible et plongea en vrille vers le bas pour aller voir le cerisier. Beaucoup de gens y était réuni. Il ne restait plus qu'une ou deux centaines de feuilles aux cerisier, ce qui était très bien, étant donné qu'un Marquel fait aux alentours d'une bonne action par jour ! Elle chuchota :
-Bientôt, tu seras de nouveau là ...
Et versa une larme avant de retourner près de son père.
Fin du chapitre.
Encore une fois, un bon suspens
Suite !
Trop bien
Sxeet !
Décidément, pas beaucoup de critiques à part les fautes. Suite demain, j'en posterais peut-être 2 (de suite) si j'ai le temps
Si on ne critique pas c'est qu'il n'y a rien a critiquer
Je sais, mais justement, je suis contente, je m'améliore
C'est génial !
Je vais commencer à faire le brouillon maintenant, puis demain je relirais et je serais prête à poster rapidement
Voilà la suite :
Chapitre 4 :
Satur rentra de sa petit promenade et demanda à Marquise :
-Ma fille, n'essaie point de cacher ce que tu ressens ; je vois bien que tu as versé des larmes.
-P...Père ...
Elle tourna vivement la tête.
-C'est faux. Ne vous inquiétez point pour moi, je me porte le mieux du monde.
Il soupira.
-Voyons, voyons. Regarde toi ! Tes yeux sont bouffis et ont une teinte rouge. Que s'est-il passé ?
Elle marqua un temps de pause hésitant puis déclara tristement :
-Elle ... Elle me manque ...
-Marquise ... soupira son père avec regret.
Elle se mordit la lèvre inférieur en espérant ne plus pleurer.
La nuit tomba bien vite. Certains Marquils restaient à veiller sur leur protégé mais bien vite la grand place fut vide et il n'y avait plus de bruits. Satur dormait mais Marquise pleurait encore.
-Pourquoi ce maléfice ? Juste à cause de cette parole. Quand je l'aurais retrouvé, je te promets qu'il ne restera plus que cendres de ce démon.
Elle resta un peu à s'acharner sur son sort, puis, enfin, tout le monde sans exception fut enfin endormit. Le lendemain, une Marquelle fut trouvée morte au milieu de la grand place. Personne n'était encore levé. Marquise fut réveillée par la peur et plongea en vrille vers le royaume d'en dessous. Cela faisait bien longtemps qu'un Marquil avait eu une mort autre que de vieillesse.
-Mon dieu ! s'écria-t-elle. Elle est morte d'assassinat ! C'est affreux ! Quelqu'un a tiré sur elle !
Elle pleura. Tout de suite, de nombreux Marquils et Marquelles arrivèrent, inquiets. Puis d'autres pleurs s'ajoutèrent à ceux de Marquise ; la famille, sans doute. Marquise se leva, énervée.
-Je sais qui est le coupable. Où devrais-je dire LA coupable. J'en ai rêvé.
Une jeune femme s'écarta puis plongea en vrille vers le royaume des mortels.
-Reviens ici ! s'écria Marquise.
Elle plongea à son tour. Ses ailes étant plus grandes et plus puissantes, elle rattrapa la fautive en un rien de temps et l'aggripa.
-Espèce d'idiote ! Tu as oublié de te rendre invisible !
En effet, des enfants pointaient la jeune femme de leur doigts.
-Oh non ! Mon dieu ! Je n'y arrive pas !
Puis ce ne fut plus uniquement des enfants qui la regardaient de leur yeux grands ouverts, mais des adolescents, des adultes, des grands-parents et maintenant tout un village.
Fin du Chapitre.
J'ai pas trop compris qui a fait le rêve...
Marquise
Sweet !
Suiiite !
Flo', quand tu voudra, tu pourras inscrire ta fic au " Classement des Fic "
Génial
Merci j'y vais de ce pas
Trotro, Marquise a fait le rêve que la fille se faisait assassiner car tous les Marquels sont ses protégés.