C'est UN rempart :3
Oh ?
Suite !
Suite tant que je suis libre :
Chapitre 8 :
Après de nombreuses minutes qui était longue, enfin, Nimbus revint. Satur était encore agonisant, affalé contre le rempart. Il le regarda avec inquiétude. Celui-ci ricana méchamment et s'écria :
-Gyah ha ha ! Je vais tout de même te tuer, pour récupérer tes pouvoirs ! Car, même si je ne suis point avec ma nièce, ce n'est pas grave ! Je la tuerais elle aussi et garderais le pouvoir uniquement ... pour moi ! Gyah ha ha !
-Espèce ... D'égoïste ... De traitre .. De ....
Nimbus le regarda avec dégou et écrasa son pied sur son visage, puis le tourna en l'enfonçant. Il prit ensuite un revolver, le charga et le planta sur le front ensanglanté de Satur qui pleurait.
-Comment peut-tu faire cela, Nimbus ? Toi qui avant était gentil avec ma fille .. Qui jouait avec elle ... Qui était blagueur ... Qui était le parfait grand-père protecteur ... Qui ....
Le visage rigolant et moqueur de Nimbus se changea en un visage furieux, énervé et fou de rage.
-Tais-toi ! Ne me parle pas de cette triste et malheureuse époque. Je la regrette, vois-tu. Je ne suis plus la même personne, à présent, et je ne veux plus jamais ne serait-ce qu'en entendre parler !
Il marqua un temps de pause pour reprendre rapidement son souffle et déclara, toujours aussi furieux :
-Je ne suis plus cette personne là. Ne prononce pas les mots "grand-père protecteur" en parlant de moi, car c'est faux. Je tolererais pas que tu continues à parler de moi ainsi. J'espère que tu as compris tout celà.
-J'avais remarqué, vois-tu, que tu avais changé. Avant tu jouais avec ma fille et maintenant tu l'as tu. Je ne suis pas un aussi grand vieillard que toi ; j'ai encore toute ma tête !
Nimbus le foudroya du regard et se mordait la lèvre inférieur. Cette fois, c'était au tour de Satur de rigoler, malgré sa toux intense. Après un blanc qui aurait gêné tout personne normalement constituée, ce fut Nimbus qui brisa ce blanc à l'aide de sa parole épineuse :
-Comment oses-tu me faire cela ?! Te moquer de moi alors que tu es en bien mauvaise position ! C'est plutôt toi le vieillard ... Tu es même fou ! N'importe qui pleurerait et serait capable de se mettre à genoux pour que je l'épargne ! Mais toi, tu fais tout le contraire ! Tu es bien dérangé dans ta tête, je suis navré de te le dire, mais c'est la triste vérité ! Enfin, ce n'est point grave car tu vas à présent mourir ... Par cette simple balle ... Gyah ha ha ha ha !
Il enleva la sécurité de son arme et descendit son viseur ; il le passa du crâne -qui était à présent en sueur- au coeur.
-Adieu ! s'écria-t-il.
Puis, au lieu de passer dans l'au-delà, ce fut le tueur qui fit des yeux blancs et s'écroula, sans vie en lachant son revolver qui tomba au loin. Satur, malgré son assurance qui était pleine il y a quelques minutes, regarda autour de lui. Puis il l'a vit et s'écria, plein de bonheur :
-Marquise !
-Père ...
Fin du Chapitre.
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SWEEEEET
C'est super !
C'est très bien
Suite :
Sweeet !
C'est très bien
Suite !
Chapitre 9 :
Marquise avait des larmes qui coulaient le long de ses joues qui avaient toujours leur teintes rosée.
-Oh, père, je suis si heureuse de vous voir ... En vie !
-Moi de même, ma fille ... Mais ... Pas que je ne sois point heureux de te voir, mais je te croyais ... Morte ... ?!
-Oh non, père, je me doutais que ce n'était pas vous. J'ai donc créé un mirage et me suis cachée sous le lit. Il y a cru, bien évidemment et a été persuadé de m'avoir tuée ...
Il la serra dans ses bras. Soudain, les blessures de Satur guérirent miraculeusement.
-Ma fille ! Ton visage ! Il est aussi capable de guérir des blessures ! C'est merveilleux !
-Oh oui, Père ... Cependant, il vous reste du sang ... Je m'en vais de ce pas le nettoyer.
Elle partit dans la salle de bain et pris une boîte. Elle s'agenouilla auprès de son père et prit un coton plein d'eau et le passait à présent sur le sang qui se nettoyait facilement. Elle prit une serviette et essuya l'eau qui envahissait le bras de Satur. Il se releva et dit :
-Mais ... Marquise ... L .... Le ... Cerisier ?
Elle souria :
-Mais oui ! C'est vrai !
Elle partit en vrille vers le bas vers le cerisier. Il lui restait une seule feuille. Elle s'agenouilla à ses côtés et attendait. Attendait qu'un Marquel faisait une bonne action. Enfin, la feuille se décrocha et s'envola aux cieux. Tous les Marquels se regroupèrent autour de l'arbre. Il illuminait. Elle déclara :
-Merci ...
Puis laissa faire. Le cerisier commença petit à petit à se transformer en jeune femme, encore plus splendide que Marquise. Elle avait une chevelure blanche et bouclée. Elle avait un teint bronzé et des yeux bleus turquoise. Aussi turquoise que les billes avec lesquels les enfants jouent dans la fossette. Sauf qu'elle, elles étaient dans ses yeux. Ce bleu était tout simplement superbe. Elle portait une robe blanche et longue, avec des voiles par dessus, et elle avait une couronne de fleur de cerisier. Elle souriait et s'inclina devant ses "spectateurs" et ouvrit la bouche pour parler :
-Merci à vous tous. Le sortilège s'est enfin brisé grâce à vos bonnes actions. Je vous remercie et je vous serez reconnaissante pour toute ma vie.
Marquise sauta dans ses bras.
-Oh, mon dieu, Lùa, tu es enfin avec moi !
Elle tourna la tête et ouvrit de grands yeux.
-Marquise ... ?
Fin du Chapitre.
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C'est pas un peu rapide, 9 chapitres ?
Enfin, suite !
C'est bien.
Mais comme la fait remarquer Liz, membre des "Trorezoneuh", c'est un peu rapide pour 9 chapitres...
Suite !
Excusez moi, j'ai loupé un jour et en plus ça va trop vite je vais essayer d'aller plus lentement.
D'ailleurs, avez vous devinez à qui je faisais allusion en parlant de l'oncle de Lùa ? « Un vieillard qui paraissait aveugle » …. Indice : C'est un personnage très connu.
Chapitre 10 :
La jeune femme sauta sur Marquise.
-En...Enfin ! Nous sommes enfin réunis !
-Oh, Lùa, je suis si heureuse moi aussi ! Après ces deux siècles nous sommes enfin réunis ! C'est si … Merveilleux !
Elles pleurèrent de joie, en se tenant dans les bras. Cependant, Satur arriva. Il s'écria, à l'honneur de la nouvelle arrivante :
-Toi ! Ton oncle a tenté de me tuer !
Elle parut choquée.
-Mon … Mon oncle … ? Nimbus … ?
-Oui, ton oncle Nimbus. Moi qui le croyait inoffensif, il a tenté de tuer Marquise et moi même. Le comprenez v …
Marquise le coupa :
-Père ! Ne gâchez pas ces heureuses retrouvailles, voyons ! Te rends-tu comptes que nous sommes heureuses ?! Ne viens pas gâcher cela ! Voilà 2 siècles que j'attends, et tu viens t'interposer entre nous et notre bonheur !
Il parut surpris.
-Excuse-moi, Marquise. Je reviendrais dans ces cas-là dans une petite heure, pour parler de cela. Excuse-moi encore ma fille.
Il se retira et retourna aux cieux. Il y avait à présent un gros regroupement de personnes. De Marquels, évidemment. Puis les deux jeunes filles se levèrent et Marquise prit la parole :
-Merci beaucoup, cher habitants de ce royaume. Moi et mon amie, nous vous sont éternellement reconnaissante. A présent, comment mon père et moi vous l'avions promis, nous allons satisfaire votre besoin ; monter au royaume. Entrez dans le portail que je vais faire apparaître et vous serez directement amenés.
Comme prévu, elle fit apparaître un portail d'une couleur bleue verte, et l'ouvrit pour ensuite prendre la main de son amie pour entrer avec elle. Les Marquels les suivirent. Ils arrivèrent au royaume. Ils étaient tous avec la bouche grande ouverte.
Je ne vous ai pas bien décrit le royaume, alors en voilà une plus brève explication : il était couleur crème et or, tout en marbre (et en or, évidemment). Il y avait plusieurs étages, qui formaient un carré avec un trou au milieu qui donnait une vue plongeante sur une fontaine avec des statues des dieux et des déesses grecs. Enfin, seulement les plus connus ; Athéna, Apollon, Aphrodite, Hermès, Héra, Poséidon, avec, au milieu, évidemment, le roi des dieux, Zeus. Il y avait plusieurs écritures gravées sur les murs ; des hiéroglyphes, des écritures grecs, etc. Il y avait également des dessins représentant des choses comme les jeux olympiques, ou le rituel d'un sacrifice grec. En fait, cela était, entre autre, un palais grecs, mise à part les autres écritures que cela. Enfin, grec ou pas, ce palais était superbe. Marquise déclara :
-C'est là que nous habitons. A présent, vous pourrez venir quand vous le désirez dans les 3 premiers étages, mais pas dans le 4ème, car c'est l'étage de mon père et moi. Et maintenant, il est aussi l'étage de Lùa.
Sur ces mots, elle se tourna vers elle et déclara :
-Je suis si heureuse. Viens donc pour que nous parlions un peu.
Puis elles s'éloignèrent et s'assirent sur un fauteuil. Lùa dit :
-Je … Enfin … Je dois te dire quelque chose de très important.
Fin du Chapitre.
Désolé si cela va trop vite !
Ca va un peu vite ^^
Mais c'est bien quoi que pas très plausible
Suite !
C'est un peu bizarre en effet, pourquoi elle vouvoie son père et puis après plus ?
Suite !
Désolée, je me suis embrouillée avec les paroles de Marquise ... J'ai pas le temps de faire la suite aujourd'hui, donc demain ou peut-être après demain !
Oki
Enfin la suite !
Chapitre 11 :
Elle la regarda, perplexe.
-Que se passe-t-il Lùa ? Ça ne va pas ?
-Eh bien … En fait … Je viens d'avoir une vision. Et elle n'était pas joyeuse, je suis navrée de te le dire.
Marquise se mordit la lèvre. Comme tout le monde, elle n'aimait pas les mauvaises nouvelles …
-Qu'était-elle ?
-Eh bien … J'ai vu ton père, allongé dans un lit avec des yeux blancs, la main sur le coeur, la bouche grande ouverte. Tu étais à ses côtés, en train de pleurer. Si cette vision est exacte … Ton père mourra de maladie …
Marquise secoua la tête.
-Ah ! Ce n'est point l'heure de s'attarder aux visions. J'en ai eu un tas, moi aussi, et je peux te dire qu'une seule sur dix se produisait ! Si cela ne te dérange pas, je m'en vais de ce pas … Expulser le superflu de la boisson !
Lùa lâcha un petit rire quand elle entendit ces derniers mots.
-Toujours aussi polie, dis-moi ! Allons, je te laisse faire mais reviens vite !
Sur ces mots, Marquise s'éloigna vers une petite salle bleue turquoise. Lùa se pencha sur le rempart et observait les Marquels. Ils étaient encore sous le choc et étaient réunis autour de Satur qui était debout parmis ceux-ci qui étaient assis, et qui parlait, triomphant, comme s'il avait gagné une bataille :
-A présent, vous pourrez venir ici comme si c'était un lieu normal. Il y aura de l'eau à souhait. C'est votre récompense pour avoir fait renaître le cerisier. Je vous en suis fort reconnaissant, car ma fille a enfin retrouvé le sourire. Cela faisait bien longtemps que je ne l'avais pas vu comme cela, voyez-vous ! Ah ! Mes confrères ! J'aimerais vous serrez dans mes bras jusqu'à vous en étouffer, mais nous allons nous contenter de paroles, ha ha ha !
Tous les Marquels riaient à pleines dents, pas un rire jaune éclatait. Dans la salle régnait une atmosphère joyeuse et Lùa souriait à présent aussi. Mais Marquise mis ses mains sur le bord de son lavabo et se regarda dans le miroir. Elle ne pleurait pas, mais elle n'était pas en train de rire, et encore moins très joyeuse non plus. Elle finit par dire :
-Cette vision … Serait-elle vraie ? Est-ce que je vais vraiment perdre mon père ? Non, je ne peux point l'accepter … Je n'ai pour l'instant jamais cru aux visions, pourquoi la plus grave m'inquièterait ?
Elle marqua un temps de pause, souffla et déclara :
-Peut-être parce que je ne peux que croire ma meilleure amie Lùa. Elle n'a jamais et ne mentira jamais. Enfin … Que faire ? Je ne sais plus du tout où donner de la tête … Morbleu !
Elle s'étonna, ria et dit :
-Ah, j'utilise les mêmes jurons que mon père. Preuve que je tiens de lui. J'espère ne pas le perdre …
Lùa commençait à s'impatienter et dit en élevant la voix :
-Marquise ? Qu'est-ce que tu fiches ? Tu as un problème ?
-Non, ne t'inquiètes pas, Lùa. J'arrive tout de suite !
Elle resta un peu devant le miroir pour se pomponner, se recoiffer, puis sortait à présent de la salle plus belle que jamais. Elle referma la porte derrière elle et Lùa lui dit :
-Regarde leur visage lumineux. Ils sont si heureux rien qu'en voyant ton père. Il a l'air de leur dire de gentille chose … Ils sont remplis de bonheur ! Tout c'est précipité, ces temps-ci. Tu ne trouves pas ? D'un seul coup, on se voit, j'ai une vision, qui j'espère, ne se réalisera pas, les Marquels vont dans le royaume … J'ai l'impression d'être dans un rêve.
-D'ailleurs, questionna Marquise, pourquoi tu as été emprisonnée dans cet arbre, déjà ? Parce que tu avais refusé quelque chose, non … ?
-Ah, oui … Je vais te raconter. Assieds-toi.
Fin du Chapitre.
OWIIIIIII
SWEEEEEEET
Très bon suspens
Suite !