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Fire Emblem : Shadow Dragon

Sujet : [Jeu] Les mercenaires d'Orion
Sir-Ike
Niveau 10
18 juin 2010 à 16:49:34

Blood, change de compte :noel:

Et ne t'inquiète pas, je reprends entre autres toutes mes missions, donc tu vas-y être certain :noel:

Et j'ai aussi modifié le monde sur Word avec un schéma et j'en suis fier, j'avais jamais essayé :-)

yop009
Niveau 10
18 juin 2010 à 16:53:18

Aucun problème :)

Sir-Ike
Niveau 10
18 juin 2010 à 16:54:30

Merci, lorsque j'aurai fini (peu probable avant un TRÈS long moment :rire2: ) je le posterai probablement dans un topic à part pour vous montrez le résultat :noel:

Même s'ils n'acceptent pas que ce soit mon projet :hum:

tbbw
Niveau 10
18 juin 2010 à 17:52:36

Voilà Bisout mission :)

Dans son lit, Bisout réfléchissait.
Depuis une heure.
Il ne s’était pas passé un jours sans qu’il ressasse cette question née de la discussion avec Thyi.
Qui avait trahi?
Qui trahissait encore?
Maï?
Pier?
Harvey?
Léon?
Andrev?
Ou Marie?
Cela faisait des jours qu’il y pensait sans arrêts, dans son lit, sous la douche, à table…
Partout.
Et il n’était pas parvenu à se décider.
Il ne savait pas.
Pourquoi un de ces hommes aurait il accepté une mission dans laquelle il fallait tuer un de ces alliés?
Cela n’avait pas de sens. Ou alors il y avait autre chose.
Un plan qu’il ne pouvait pas comprendre. Quelque chose de plus grand, d’énorme même. Un plan à l’échelle mondiale qui nécessitait toutes les cartes en main pour y voir clair.
Un plan que Thyi ou le chef de l’autre organisation menait tout les deux.
Et lui n’était qu’un pion.
Mais lui, Bisout, n’avait aucune des cartes en mains.
Il ne comprenait pas.
De même qu’il ne comprenait pas pourquoi on voulait le tuer. Juste pour un créancier, certes riche mais si ces organisations étaient puissantes, c’est parce qu’elles ne manquent pas de moyens.
Aurum potestat est.
Le pouvoir, c’est l’or.
C’est pour cela qu’il y avait certainement autre chose. Et quand il y repensait encore plus profondément, on avait pas vraiment voulu le tuer LUI.
Mais les autres.
Certes Arthuros l’avait blessé sévèrement.
Mais la blessure n’était pas mortelle, elle était faite pout faire perdre connaissance lui avait dit Hellein lorsqu’il était allé la voir.
Et d’ailleurs Arthuros….
Il n’arrivait pas à croire que ce dernier ait été son ennemi.
Certes il l’avait carrément envoyé chier lors de cette fameuse mission.
Mais quel but cela avait eu?
L’observer lui, Bisout?
Pourquoi?
De plus, depuis son combat contre Arthuros, il avait constaté sa faiblesse.
Il n’avait eu aucune chance contre l’ancien général.
Et cela le mettait dans une rogne…
Alors il s’était entraîné sans relâche depuis des jours et des jours jusqu’à ce qu’il reçoive la lettre de Thyi. La lettre portée par le type roux.
Qui les avait suivi sur ordre de Thyi.
Cela suffisait encore à le convaincre qu’on ne lui avait pas tout dit…
La lettre lui indiquait l’emplacement d’un des bastions de « noire machin » comme l’appelait Bisout.
Thyi lui demandait de tuer un des lieutenants de noire machin.
Il fallait qu’il lui redemande le nom de l‘organisation d‘ailleurs.
Cela voulait dire plein de bleus en perspective.
Si ce n’est plus…
Il soupira, puis s’endormit enfin sur ces noires pensées.

Le lendemain matin, il se réveilla tôt, comme d’habitude. Il essaya de descendre sans faire de bruit, n’y parvint pas.
Dans la salle commune de l’auberge, ils dormaient dans une auberge à proximité de l’endroit de ma base, il trouva Léon et Harvey.
En train de jouer aux cartes.
Bataille corse.
Inutile de dire que Léon écrasait Harvey.
« Mais putain pourquoi t’es TOUJOURS plus rapide que moi? »
« C’est l’habitude petit »
« Je suis pas petit »
« Cause toujours »
« Ah et pourquoi t’as tout les valets? »
« Parce que je te les ai piqué »
« Ah ta gueule! »
C’est à ce moment qu’il appercut Bisout.
« Yo Bisout! Bien dormi? » lui demanda t-il
Léon remarqua alors aussi la présence de son chef.
« Oui ça va » répondit Bisout « Et vous? »
« Pas mal »
« Pas mal non plus » renchérit Léon, « mis à part que je ne sais toujours pas où on va. »
En effet il ne les avait pas avertis de l’endroit où ils se rendaient.
Trop dangereux.
Si l’un d’entre eux était un traître, il se ferait un plaisir d’alerter la base.
Et le reste de la bande se ferait gentiment accueillir à l’entré.
Ce qui n’était pas au goût de Bisout.
« Je vous le dirais quand on y sera » le rassura t-il.
« En attendant tu fais une partie? »
« En attendant quoi? »
« Que les autres se réveillent Banane! »
« Ouais Ok ».
Une heure plus tard, Léon ayant gagné toutes les parties (« MAIS PUTAIN C’EST PAS POSSIBLE D’AVOIR AUTANT DE MOULE! ») et le reste de la bande étant réveillée, ils se mirent en route.

Tandis qu’ils chevauchaient, Bisout repensait aux indications de Thyi tandis que Harvey et Léon se chamaillaient sur une énième connerie.
Il fallait trouver un grand arbre blanc, puis alors se diriger vers le sud. Ils atteindraient la base dans la soirée.
Sauf que ce PUTAIN d’arbre ne venait pas.
« Ouais mais tu monte à cheval comme un pied! »
« Qu’est ce que cela vient faire là petit? »
« JE SUIS PAS PETIT! »
« Oui mais tu vois…. »
AH et les deux autres glands n’arrêtaient pas!
Il se tourna alors vers ses compagnons.
« Par équipe de deux on se disperse. On cherche un arbre blanc dans les environs. »
« Hein?
« Quoi? »
« Comment? »
« QU… »
« VOUS M’AVEZ TRES BIEN ENTENDU BORDEL! PAR EQUIPE DE DEUX CHERCHEZ UN CHENE CENTENAIRE BLANC! »
« Pourquoi par équipes de deux? »
Léon venait de poser la question qui intriguait tout le monde.
« Oui » renchérit Maï « On irait plus vite chacun de notre coté! »
« Ouais c’est vrai ça » approuva Andrev.
« SI il arrive une bricole à l’un d’entre nous quand on est séparé on est dans la merde. Donc Marie avec moi, Léon avec Harvey et Pier, Maï et Andrev ensemble. Rendez vous ici dans une heure. »
Ils se séparèrent en maugréant.
Et bien sûr ce n’était pas pour la raison qu’il avait avancé qu’il les mettait par deux. Le traitre devait connaître cette indication, celle de l’arbre. Il se douterait bien alors de leur destination. En les mettant par deux, Bisout empêchait le traître de communiquer avec sa base. En effet si l’un de ces Hommes envoyait une pigeon, l’autre le signalerais et Bisout saurait alors qui est le traître.
Ou alors si l’un des hommes laissait une trace…
De même, si l’un des hommes revenait seul…
C’est sur cette pensée qu’avec Marie, ils partirent vers l’ouest.
Ils cherchèrent pendant une demie heure sans succès l’arbre, ce qui mit Bisout de bonne humeur.
Et en, plus ils se perdirent sur le chemin du retour…
Bien :non non:
Mais de retour à l’endroit, ils trouvèrent Léon, Harvey et Pier avec des sales têtes.
« Non on l’a pas trouvé » répondit Pier à la question muette de Bisout « Et on se disait qu’on aimerait bien savoir ce qu’on fait. Où est ce qu’on va au final? »
Bisout soupira.
« Je vous le dirais quand les autres reviendront »
Dix minutes plus tard, Maï et Andrev revenaient.
Avec un gros sourire sur le visage.
« On sait où il est » triompha Andrev, « Il est à l’est d’ici près d’une grosse rivière. »
Ouf. C’était déjà ça.
« Bien je vais vous expliquer ce qu’on va faire. »
Il avait dit ça sur un ton badin.
Immédiatement il captait l’attention de son groupe.
« On cherche une base de l’organisation qui veut notre peau. Et on s’y rend par des indications qui me demandent de trouver un arbre blanc. Voilà »
« AH! »
« Eh bah voilà! »
« Pourquoi tu nous l’as pas dit plus tôt? »
Il hésita avant de répondre à la question de Pier.
Puis il décida d’être honnête.
Ils avaient le droit de savoir.
« Il y a un traître parmi nous… »
Silence.
« Un traitre? »
« Oui qui fait parti de l’organisation machin chose là. »
« HEIN? »
« QUOI? »
« QUI? »
« Je ne sais pas justement. Je voulais donc l’empêcher de communiquer. »
« Eh ouèch latêtedemamère (Bon Ok je déconne :oui: ) Eh je vous jure que c’est pas moi! »
« Et qui t’as dit ça? »
« Le vieux Thyi. »
SI l’un d’entre eux était un traître, putain quel bon comédien.
Ils avaient tous l’air aussi surpris.
« Donc voilà, pas de raison de plomber l’ambiance. On évite de s’accuser les uns les autres d’accord? On finira bien par trouver qui c’est. Et ce jour là…. »
Ils se rendirent compte que Bisout ne plaisantait pas.
Ils se rendirent alors à l’arbre blanc.
Il faisait nuit à ce moment, donc ils décidèrent de camper.

Ce soir là le traître eu peur.
Il ne le laissa pas paraître, il avait été entraîné pour ça, mais il flippait.
Sévèrement.
On lui avait pourtant dit que ce serait facile de suivre ce gus. Dès le départ il avait été averti que Bisout tenterait de le contacter. Dès le départ il savait POURQUOI le suivre. C’était important, le maître avait été très clair là dessus….
Mais là ils allaient devoir attaquer le Bastion de la plaine.
Si il était tué dans la bagarre, le maître serait furieux.
Cela plus que tout était à éviter.
Il fallait trouver un moyen de rester en vie.
Et rapidement…

Après une courte nuit, ils se remirent en route aux aurores.
Après une rapide chevauchée, ils trouvèrent le bastion.
Petit, entouré par une muraille moyenne.
Sans oublier les douves.
Au milieu d’un terrain boisé et rocailleux, donc où on pouvait facilement se cacher.
Il n’avait pas l’air très gardé. Pas de sentinelles sur le chemin de ronde, de plus la porte était ouverte.
Il fallait maintenir l’illusion de n’être qu’un petit château au service d’un quelconque aristocrate vénal.
La tour principale était à l’ouest. Comme toutes les autres elle était sale, mais elle possédait un habitacle ou quelque chose qui y ressemblait en haut.
Tout portait à croire qu’un des lieutenants de noire machin y était.
Bisout se tourna vers les autres.
« Bien Harvey et Marie vous partez en repérage dès que la nuit est retombée. Ceci évidemment sans vous faire remarquer. »
La journée fut axée sur l’observation de la forteresse, mais de loin…
Pas de fenêtres, pas de moyens d’entrer autre que la porte.
Il allait falloir utiliser un grappin…que Bisout ne savait pas utiliser…
Putain…
Ils repérèrent un endroit où lancer leurs grappins, sur l’aile est de la forteresse.
Il faudrait donc marcher sur le chemin de ronde sur 500 mètres environ.
C’était dangereux mais c’était le seul moyen.
Ils repérèrent également les rondes des gardes. Combien où et comment.
Lorsque la nuit tomba (enfin), Marie et Harvey se fondirent dans la nuit.
Une bonne heure après ils revinrent.
Pas d’inquiétudes.
Le bastion ne semblait pas alerté.
Ils se préparèrent tous alors pour l’assaut. Ils se mirent en tenue de camouflage, se peignirent la figure et prirent le minimum.
C’est à dire grappin et armes.
Maï traînait les pieds, apparemment malade, mais Bisout n’en avait cure.
Doucement, ils se faufilèrent jusqu’à l’endroit trouvé.
Il avait été décidé que Bisout monterait le premier. Il serait suivit de Harvey, Pier, Maï, Andrev, Marie et Léon fermerait la marche.
Bisout lanca alors son grappin.
Il rata le premier lancer, puis réussi le second. Puis il se hissa jusque ne haut. Personne en vue.
Tant mieux.
Il fit le signe convenu aux autres, qui se hissèrent jusqu’en haut.
Il murmura alors quand ils furent tous là:
« Bien vous suivez le plan. Marie, Léon et moi à droite. Les autres à gauche. Notre objectif est un nommé Reinke, mais il est aussi appelé quatre-doigts car il lui manque un doigt à la main gauche. Sitôt l’objectif rempli, vous lancez le signal et on se repli. Je vous rappelle que trois coup c’est « c’est bon » et deux c’est « On est dans la merde ». A partir de maintenant silence absolu et bonne chance. »
Aussitôt, suivi par Léon et Marie, il se précipita vers la gauche. Ils devaient passer une autre tour avant de rentrer dans celle qui les intéressait. Ils avaient vu deux escaliers différents pour y accéder, donc ils se scindaient en deux groupes.
Ils franchirent rapidement le chemin qui les menaient jusqu’à la première tour, puis entrèrent rapidement.
Personne, mis à part un type qui lisait un parchemin près du feu.
Bisout fit un geste à Marie, qui fit une claquette de la main sur le coup de l’homme qui ne les avaient pas vu.
Pas de morts, cela éveille l’attention.
Il le laissèrent là, assommé puis continuèrent.
Ils coururent sur le chemin qui les séparaient de la tour.
Ils entrèrent dans la salle de l’escalier.
Toujours pas de gardes.
Loin de le réjouir, cela inquiéta Bisout.
C’était trop facile.
Mais ils ne se posa pas de questions et ils continuèrent jusque en haut.
La porte de la dernière pièce était entrouverte.
Ce qu’ils virent les laissa sans voix.
Maï, Andrev et Pier se battaient contre une dizaine d’Hommes. Une personne observait la scène avec délice.
Une personne à qui il manquait un doigt.
Et à coté de cette personne se tenait..
Harvey.
Le traitre.
Souriant, il avait dégainé son poignard et visait soigneusement un de ces anciens compagnons.
« Eh doucement petit » lui dit alors Reinke «  il nous les faut vivants. Et où sont les autres? »
« Je ne sais pas » répondit Harvey.
Sa voix était devenue trainante, désagréable.
En effet Bisout n’avait pas donné aux deux groupes des infos sur l’autre.
Il s’en félicita.
Il fit un signe de la tête à Marie, qui sortait son arc dans le même temps.
Elle comprit ce qu’il voulait dire.
Pas besoin de se parler, ils avaient tissés entre eux un lien.
Bien plus fort que ce qu’ils pensaient.
Léon lui, prenait sa hache d’un air dur.
Il semblait penné par la trahison de Harvey.
Puis sur un geste de la main de Bisout, ils s’introduirent dans la pièce avec fracas.
A la stupeur générale.
Puis avant que qui que ce soit ai pu dire quoi que ce soit, Marie avait armé son arc vers Reinke.
Puis elle avait lâché les doigts.
La flèche atteignit le lieutenant à la gorge pendant que Bisout lançait un sort contre les hommes qui attaquaient Maï, Pier et Andrev.
Léon lui courut vers Harvey, qu’il assomma avant que ce dernier ai pu se remettre de sa surprise.
Un combat furieux s’engagea alors entre les combattants.
Après un rapide assaut et après avoir tué tous les gardes, Bisout et son groupe se dépêchèrent de prendre tout les documents possibles.
Léon prenait Harvey tandis que les autres prenaient les documents.
Ils se dépêchèrent de sortir de la forteresse, puis se remirent à cheval.
Ils devaient se rendre chez Thyi pour analyser les documents.
Et pour faire parler Harvey.
Ils allaient enfin y voir un peu clair….

Bien pour ma prochaine mission, pas de combats STP DZ, je vais faire toutes les révélations :ok:

Sir-Ike
Niveau 10
18 juin 2010 à 18:14:02

Il faut toujours une mission pour les révélations effectivement :oui:

Et très bonne mission :ok: Mais je m'y attendait au p'tit cr*** d'Harvey :noel:

tbbw
Niveau 10
18 juin 2010 à 18:15:20

Ah? Pourtant je pensais créer la surprise :)

Levail57
Niveau 10
18 juin 2010 à 19:16:04

Yop: pour un début c'est trés bien :bravo:

Tbbw: Superbe mission :oui: comme toujours quoi :noel:
Je ma''etndait plus à Maï comme traitre

Levail57
Niveau 10
18 juin 2010 à 19:16:42

Oula :ouch

  • M'attendais
tbbw
Niveau 10
18 juin 2010 à 19:38:26

Oui voilà c'est ce que je voulais: qUe vous pensiez que Maï étais le traitre :oui:

Sir-Ike
Niveau 10
18 juin 2010 à 20:59:39

À un instant je le pensais, mais je gardais des doutes :noel:

Bon, on va dire que Jicross et Mark sont revenus, donc j'y vais pour l'événement de la semaine de ma forge :hap:

Levail57
Niveau 10
18 juin 2010 à 21:02:14

Korshard mission 12 (enfin je crois ;-( )

Korshard avait à peine eu le temps de se reposer de son précédent voyage qu’il fallait déjà qu’il reparte : «Direction Biran, Korshard, avait dit Orion. Cette fois tu vas peut-être devoir t’occuper de véritables soldats : les chevaliers wyvernes. »
Puis dés l’instant ou Orion avait fini sa phrase que Heath avait insisté pour l’accompagner. Korshard avait accepté mais, du fait qu’ils ne se connaissaient pas beaucoup tout les deux, il ne pouvait lui faire confiance comme aux autres membres.

Certes il n’avait pas vraiment envie de risquer sa vie ces derniers temps : sa vendetta ayant était achever, il voulait prendre du bon temps. Mais il aimé aussi les mercenaires, il ne voulait pas changer de style de vie. Accrochant son épée à sa ceinture et son arc à son dos, il sortit de sa chambre et croisa Hellein, qui était déjà prête.
-Où va-t-on maintenant ?
-A Biran, allé enquêter sur des rebelles, enfin je crois.
-A … Biran.
Korshard avait décelé une certaine tristesse dans sa voix ainsi, qu’une certaine amertume.
-Hellein, sa voix fut plus douce, plus amicale. A chaque fois que je fais référence à Biran, tu … tu change complètement.
-Ce n’est rien c’est que …
-Ca fait déjà trois fois que ça t’arrive. Que c’est-il passé ?
Hellein était gênée ça sentait : elle regardait ailleurs et semblait à cour de mots.
-Je ne veux pas en parler.
-Bon d’accord, décida Korshard. Si tu ne te sens pas prête je ne vais pas te forcer. Mais je voudrai que tu me le dises à un moment d’accord.
-C’est comprit, répondit la sœur.

Ils descendirent tous les deux dans la cour intérieur où Heath les attendait déjà avec sa Wyverne/ Chameau.
-Tu es enfin prêt ?
-Oui on peut y aller.
Lorsqu’il vit Hellein il la regarda avec des yeux gros comme des billes avant de demander à Korshard
-Elle nous accompagne ?
-Oui, pourquoi pas ? Elle m’a déjà sauvé la vie plusieurs fois.
-Oui mais tu n’as pas peur qu’elle risque sa vie comme ça ?
-Eh bien, commença Korshard en se grattant la tête l’air navrée. C’est justement pour ça qu’elle me sauve la vie :rouge: .
-Vous voulez vraiment nous accompagné ? demanda t-il à Hellein.
-Oui, si vous êtes blessée et que je ne suis pas là vous serez dans de beau drap.
-Bon dans ce cas c’est d’accord. Mais soyer prudente.
Puis il s’envola sur sa monture, et quittèrent la tour. Bizarrement ils ne passèrent pas par Sacae mais ils longèrent la côte. Durant toute la journée ils voyagèrent juste à coté de la mer et, en fin de journée, ils entrèrent à l’intérieur des terres. Après avoir passés des petites montagnes ils arrivèrent aux sommets d’une colline qui donnait sur l’empire.
-Bienvenue à Biran, déclara Heath. Maintenant il faut s’occuper de ces rebelles.
-Allons y la nuit ne vas pas tarder à tomber, ordonna Korshard.
Ils pénètrent dans une ville où une auberge tenait ses portes ouvertes : le recueil des voyageurs.

-Vous voulez vous poser là ?
-Oui on va passer la nuit ici.
Heath libéra sa wyverne.
-Il sait ce qu’il doit faire pendant ces moments : il va aller dans les montagnes.
Ils entrèrent dans l’auberge. Certes elle n’était pas aussi nickel que celle de Badon mais ça aller : elle semblait propre, soigné, ranger.
-Bien le bonjour jeune voyageur. Si vous voulez une chambre il y en à justement trois de disponible, très confortable.
-Très bien, on prend les trois.
-Voilà vos clefs. Le repas va être servi tout de suite.
Ils s’installèrent à table et le serveur leur amena le plat du jour : côte de porc :bave: et filet de poisson au choix. (Deviner ce qu’a prit Korshard :rouge: )
Bien évidement Korshard mangea comme à son habitude, en reprenant trois fois. Heath mangeait à sa faim, pas plus, bien qu’il ne se débrouilla pas trop mal.
Mais bizarrement Hellein n’avala presque rien. Elle se contenta de regarder les autres mangers.

Une fois le repas finit, ils se dirigèrent vers leurs chambres : Heath leur souhaita bonne nuit et s’éclipsa dans sa chambre.
Korshard posa ses affaires dans la sienne et entra dans la chambre d’Hellein. Celle-ci était assise sur le lit et avait l’air très malheureuse. Elle tourna la tète en entendant la prote grincer et le vit.
-Tu as besoin de quelque chose ? demanda t-elle comme si il ne se passait rien.
Pourtant Korshard vit qu’elle était au bord des larmes.
-Hellein, qu’est ce qui ce passe ?
-De quoi tu parle ?
-Arrête, je vois bien que tu n’es pas dans ton assiette. Rien que ce diner tu n’as rien mangé. (et je l’ai même pas fait exprès :honte: ). Tu ne veux plus m’accompagner en mission ?
-Non ce n’est pas ça mais seulement … je ne veux plus revenir à Biran.
Les larmes commencèrent à s’échapper de ces yeux.
-J’ai trop … de … mauvais souvenir.
Et sur ces mots, elle éclata en sanglot. Korshard s’avança et la prit dans ces bras, la sœur se laissa aller dans cette étreinte et se blottit même contre lui.
-Je ne sais pas ce qui c’est passer, lui chuchota l’épéiste. Mais ca va s’arranger ne t’inquiète pas. Tu n’es pas toute seule.
Ils restèrent là un long moment avant de se s’éparer l’un de l’autre. Elle alla ce coucher et Korshard préféra rester dans sa chambre jusqu'à ce qu’elle s’endormie, ce qu’elle ne tarda pas à faire. Finalement l’épéiste pus regagner sa propre chambre et s’y reposer.

Le lendemain, ils quittèrent l’auberge et ce dirigèrent vers un camp de soldat pour pouvoir les interroger. Heath s’en occupa. Hellein et Korshard, ayant fait comme si rien ne s’était passé devant le cavalier wyverne, s’était mis en retrait, sous demande d’Hellein.
-Ca va ? lui demanda l’épéiste.
-Depuis hier soir oui mais …
-Tu n’es pas à l’aise à Biran, finit-il.
-C’est ca oui.
-Tu ne veux pas me dire ce qu’il c’est passer ?
- …
-Bon d’accord. J’attendrais le moment venu. Tien Heath est de retour.
Le cavalier wyverne était effectivement de retour.
-Alors ?
-Et bien, ce village, qui est situé prés de la capital, se fait souvent attaquer par des wyvernes. C’est peut-être eux que l’on cherche. J’aimerai en avoir le cœur net : je propose de rester ici et d’attendre une attaque.
-Bonne idée mais … , l’épéiste se tourna vers Hellein. Tu es d’accord ?
-Si vous le voulez, ajouta Heath à la sœur. Vous pouvez rester avec les soldats, ils vous protégeront.
-Non, surtout pas, répondit Hellein soudain effrayer. Je veux bien rester ici… mais pas toute seule.

Ils décidèrent donc de passer les nuits suivantes à l’auberge :o)) de la ville. Là ils prirent chacun une chambre.
Rien le premier jour, ni le second. Et le troisième, il y avait même les boutiques fermés. Korshard, ne voyant rien d’autre à faire, s’entraina comme un forcené, sautant même quelque repas (dieu que c’était dur :o)) ). Il s’avait qu’ils allaient devoir ce battre contre de véritable soldats cette fois et, de plus, il n’avait jamais affronté de wyverne de sa vie. Ca allait être une première pour l’épéiste. Par conséquent il améliora son jeu à l’épée, innova de nouvelle technique à l’épée et améliora considérablement sa technique du tir à l’arc.
Finalement ils durent attendre le cinquième jours pour pouvoir enfin atteindre leur but : vers le milieu de journée Heath avait remarqué qu’une bonne dizaine de cavalier wyverne se dirigeait vers le village, armé jusqu’au dent.
-Les voila, les prévint Heath. Korshard ils sont là.
-Ah ben c’est pas trop tôt dis moi, je commençais à ma lasser de cette mission.
«C’est parfait, je vais enfin pouvoir voir les progrès que j’ai pus faire à l’épée ou à l’arc, pensa Korshard d’un air malicieux. »
-Hellein vous devriez vous mettre à couvert.
-Ne t’occupe pas de ça Heath, le prévint Korshard en élevant un peu la voix. Je m’en occupe.
-Ne vous en faites pas pour moi Heath, je sais ce que je fais.

Ils se mirent en position : Heath dans les airs pour être le premier à les accueillir, Korshard qui avait sorti son arc se tenait en retrait et Hellein se tenait derrière l’épéiste/archer avec son bâton de soin. Les wyvernes se s’approchèrent de plus en plus quand soudain Heath fonça vers eux.
«Mais il est fou, ma parole :ouch2: . »
Korshard décocha une flèche et tira. Le trait fusa dans les air avant de venir se planter dans le torse d’une wyverne qui mourut et s’écrasa sur le dos au sol. Son cavalier mourut, écraser sous le poids du dragon. Il tira une seconde flèche qui se planta dans l’aile droite d’un autre dragon. Celui-ci s’immobilisa dans les air. Heath, passant par là, arriva à sa hauteur dans transperça son cavalier de sa lance puis il se retourna. Sa monture fit un écart pour éviter une attaque et mordit la monture de son opposant, Heath s’occupant de son cavalier. Il en tua deux de plus. Korshard fut très impressionné par ses prouesses :
«Il manie la lance comme un vrai maître d’arme. » se disait l’épéiste alors que Heath en repoussa trois en même temps en faisait tournoyer sa lance, puis celle-ci s’abattis dans le cœur d’un autre opposant. L’arme, mortelle ne lui laissa aucune chance.

Mais ils étaient encore deux fois plus nombreux qu’eux et deux d’entre eux se dirigèrent vers l’épéiste. Korshard esquiva une lance mais se prit l’aile du dragon dans le ventre.
«Note à moi-même : ne pas jouer à leur petit jeu. ». Se remettant de sa douleur il vit le second cavalier wyverne se dirigeait vers lui et tenta un truc plutôt suicidaire : il prit son élan et sauta à la rencontre du dragon. Il donna un coup d’épée qui blessa le dragon au niveau de la tête, puis prenant appuis sur la monture il fit un deuxième saut et planta son arme dans le cœur de l’ennemis.
Il se retourna et vit une wyverne se dirigeait vers Hellein.
-ATTENTION, NE RSTE PAS LA.
Mais la sœur fut tout simplement pétrifier par la peur et ne bougea pas. Korshard réagit instinctivement et courut vers la sœur. Juste avant que l’attaque ne toucha la sœur, Korshard l’avait rejoins et se jeta au sol avec elle, lui servant de bouclier par la même occasion, alors qu’ils tombaient, l’épéiste sentit la lance ennemis lui taillader le dos. Faisant fit de la douleur il se releva et tua d’une flèche son attaquant.

De son coté Heath … s’était débarrasser de tous ces opposants. Il atterrit au côté des deux autres mercenaires. Hellein était en train de soigner Korshard quand le cavalier wyverne leur annonça :
-Apparemment, il n’avait pas de raison de se rebeller, juste l’envie de quelques fous qui désiraient renverser le royaume mais … j’ai trouvé ça dans le sac de l’un des soldat.
Il reversa un petit sac en toile par terre et Korshard fut choquer de ce qu’il y tombait : des aiguilles, des aiguilles similaire à celles qu’utilisait l’assassin qu’ils avaient combattues tantôt dans la forêt de Sacae.
-Ils savaient que nous viendrions, c’était un piège, en conclut Korshard. Il faut vite partir de Biran, retournons à la tour.
Ils se mirent tout de suite en marche, pendant le voyage une terrible pensée se saisit de l’épéiste :
«Pourquoi est ce que cet ennemis à voulut foncer sur Hellein plutôt que sur moi, alors que j’étais plus dangereux pour eux ? Finalement c’est peut-être à Hellein qui en veulent et pas à moi. Dans ce cas l’assassin aussi alors, c’est se qui expliquerai pourquoi il n’a pas respecté ses promesses. »
Ce jurant de la surveiller et de rester prés d’elle pour les jours à venir ils finir, au bout de deux jours, à regagner la tour d’Orion.

-Aller vous coucher tout les deux, je vais faire le rapport auprès d’Orion, proposa Heath.
Il commença à monter les escaliers quand l’épéiste le rattrapa.
-Heath, attend. Je dois dire que je t’ai mal jugé au début, si j’ai pu te sembler insociable où exécrable excuse-moi.
-Mais du tout, tu es quelqu’un d’intéressant et je me suis plus dans cette mission avec toi.
-Je dois dire que tu m’as beaucoup impressionné lors de la bataille : je n’en ai eu que trois et toi tout le reste. J’espère qu’on aura de nouveau l’occasion de se battre ensemble et cette fois c’est moi qui te battrait :ok: .
-On verra.
Et Heath dévaler les escalier, dans le but de faire son rapport.

Bilan :-Révolte mis en échec
-Des ennemis en veulent à Hellein
-7 à 3 pour Heath :rire:

Sir-Ike
Niveau 10
18 juin 2010 à 21:25:01

Très bonne mission Blood, j'aime tes idées :noel:

Et maintenant, événement forge I:

« Donc c’est ça ma forge?! Orion m’a donné quelque chose là! »
Mark admirait la salle que son chef venait de lui donner. De grandes fenêtres donnaient sur la cours d’entraînement en-bas. Des armoires avaient été posées sur le mur de droite pour garder tous les éléments nécessaires au nouveau forgeron. Quelques étagères prenaient place à côté de ces armoires pour tous les livres avec les protocoles pour l’imprégnation des différents bonus demandés.
Au milieu, une enclume d’un mètre par deux mètres servait aux armes pour leur donner une forme définie et un immense four était placé sur le mur de gauche. Devant les fenêtres, il y avait une longue table, devant faire dans les trois mètres de long, pour la confection de tomes.
Une vraie forge quoi!
-Bon, se dit le mercenaire à voix haute, il va falloir placer cette affiche sur le mur dehors.
Il sortit et accrocha sa pancarte grâce à la corde de cette dernière et un clou planté dans le mur. C’était la liste des services proposés par la forge avec les prix ainsi que certaines closes:

-Coût de base : 1 000 écus
-Imprégnation d’un sort magique ou d’un effet spécial sur l’arme : 7 500 écus. Une arme peut avoir plusieurs capacités différentes, mais le coût va monter.
-Augmentation de l’efficacité :
- +5% : 8 000 écus
- +10% : 12 500 écus
- +15% : 15 000 écus
- +20% : 17 000 écus
-Imprégnation de l’anti-oxydation : 20 000 écus
-Rabais de 5% les dimanches.
-Le samedi est congé.
-5% des profits seront donnés au forgeron, le reste ira à la trésorerie de la compagnie.

Ce qui n’était pas écrit, c’est que, excepté pour le coût de base, les profits constituaient seulement la moitié du prix, dommage pour le jeune homme.
-Bon, Bisout veut son Thunpocket et Korshard sa Lame Lunaire et j’ai déjà fait le plan de quoi faire et rassemblé les éléments nécessaires à ce qu’ils m’avaient demandés. C’est parti!
Il rentra dans sa nouvelle pièce, située au 8e étage de la Tour, et se mit au boulot.

Bilan de l'événement:
-Tbbw et Blood, vos armes seront prêtes dimanche, vous paierez alors avec le rabais du dimanche +(pour Blood seulement) le cout de base à seulement 500 écus :o))

BloodSword
Niveau 10
18 juin 2010 à 21:26:10

heu....j'ai rien commandé moi :(

Sir-Ike
Niveau 10
18 juin 2010 à 21:27:34

Trompé de nom, pardon :honte: C'est Levail :noel:

Et tu m'insulte, tu aurais pu me commander genre un Gespent avec un bonus d'EXP! :-(

BloodSword
Niveau 10
18 juin 2010 à 21:28:48

nan en fait je voulais absolument un Gespent car je vais lui donner un super effet spéciaux "delamorkitukikoodarkkikarshdufe" :hap:

Sir-Ike
Niveau 10
18 juin 2010 à 21:29:38

Pardn?! :rire: Drôle de sort ça :noel:

Et arrêtons le HS maintenant :oui:

Levail57
Niveau 10
18 juin 2010 à 21:34:43

Sinon Blood toi aussi tu vas commander quelque chose?

Alors t'a aimé ma mission Ike j'avoue qu'elle m'a donné du fil à retordre.
Et toi Blood tu en as penser quoi? Je me trouve un peu moins bon que les autres missions :-(

Sir-Ike
Niveau 10
18 juin 2010 à 21:36:47

On a des phases comme ça mon cher :oui:

Et tu es prêt pour un soutien? :noel:

Levail57
Niveau 10
18 juin 2010 à 21:38:12

Quand tu veux.

Et je ne paye que Dimanche alors :ange: je crois que ce n'est pas moi qui vais faire les courses :rire:

Sir-Ike
Niveau 10
18 juin 2010 à 21:38:55

Tu fais notre premier soutien ou je le fais? :noel:

Sujet : [Jeu] Les mercenaires d'Orion
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