Chapitre exclusif : L’arme secrète.
Vendredi 22 juillet.
05h 40min
Désert Afghan.
Choc mortel.
Le sergent McLely ouvrit une canette de bière et se laissa porter par les notes de « Sweet dream are made of this » de Marylin Monson. Il but une gorgée qui mouilla sa moustache et passa la canette à l’homme qui était sur le siège arrière du Humvee : le soldat Marcus, un jeune homme de 26ans engagé dans l’armée. Le jeune homme prit le M4A1 qui était sur ses genoux et le posa à coté de lui pour pouvoir se pencher en avant et saisir la canette.
- Merci, remercia-t-il le sergent McLely.
- Harrison est toujours dehors ?
- Oui, je sais pas ce qu’il fout.
McLely fronça les sourcils.
Harrison avait quitté le humvee deux minutes plus tôt pour faire sa ronde, les marines étaient là pour surveiller une ferme, les talibans avaient menacé ses occupants.
McLely regarda par la fenêtre, il vit le soldat français qui marchait, dix mètres plus loin du véhicule.
- Bon, on va encore attendre un peu.
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L’inconnu plongea ses yeux dans sa paire de jumelle couleur sable, comme sont uniforme d’ailleurs. Il était invisible dans son camouflage.
Dans ses jumelles il voyait un soldat avec le blason français cousu sur le bras tenant un fusil d’assaut Famas et marchant de droite à gauche à dix mètres du hummvee.
Il vérifia que son couteau était bien dans sa ceinture et s’assura que son pistolet automatique Smith & Wesson était bien calé dans son holster sous son aisselle. Il n’y avait pas de silencieux, de toute manière, si tout ce passé bien, il n’aurait besoin que de son couteau, c’était un professionnelle, le top du top en matière d’assassinat.
Il se leva, laissa tomber son manteau camouflage, il saisit son couteau et gravit accroupi la dûne de sable.
Il sortit son couteau et s’élança vers le soldat qui lui tournait le dos.
Il bondit sur son adversaire avec une vitesse époustouflante, en un éclair, il enfonça son couteau dans la gorge du soldat et d’un coup sec lui fit sauter les cordes vocales et la carotide, le floc de sang se déversa dans la gorge du Français, le noyant dans un liquide rouge.
Si quelqu’un avait observé la scène, il n’aurait vu qu’un homme bondir sur un autre et lui toucher le cou, le couteau était tout petit et le meurtre commis avec la rapidité d’un félin.
L’assassin courut et s’allongea par terre pour que sa tenue de camouflage le rende invisible.
La porte du humvee s’ouvrit et un soldat moustachu portant un fusil M4A1 sortit.
Le sergent McLely avait vu Harrison s’écrouler.
Le tueur bondit, fit un roulé boulé et donna un puissant coup de tête au pauvre sergent en se levant. Tandis que McLely vacillait, le tueur planta son couteau dans sa cage thoracique.
En un fragment de seconde, il dégaina son pistolet et posa le canon sur la vitre arrière, là ou le soldat Marcus était assis, il appuya sur la détente, la fenêtre explosa, la cervelle du jeune soldat aussi, le plafond du véhicule fut entièrement repeint de fragments d’os et de cervelle, et de sang.
Et le tueur disparut en un clin d’œil, comme dans un rêve.
Sweet dream are made of this.
FIN
le tueur fait partie de choc mortel 
mentalité zéro, le écriture pourquoi pas mais j'ai peur que le style "guerre" ne les fasse plonger dans le -15 squatte l'écriture et qu'on me chasse à coup de balais, je vais voir comment présenter ça façon "littérature".