Blabla moins de 15 ans

Mais si

Et c'était qui ?

Dounia.. Mais je pense que je me suis tromper de fic Sinon Choix 2

Merci, et oui, tu as confondu avec une autre fic, Mysterious Island si ma mémoire est bonne. Et je te remercie pour ce vote.

De rien Sinon ta fic est super

Eh bah purée, beaucoup de compliments. Vraiment merci, [Licornes], et je suis content que ça te plaise.

Pas de problème

Tu pourrais être écrivain Et a la fin de ton livre tu écris : Merci à Dounia...

Loul.

Merci.

De rien

Partie 1
Chapitre 10
Tom
12 juillet 2013, 9h04, Ichar, Isla Cortar.
Point de vue : Pedro Alvaré.

http://www.youtube.com/watch?v=6ArYwQ1d9ck

"Cours, Pedro ! Cette saloperie nous rattrape !
_ Saute ! Saute !"

Je poussais un cri tout en sautant vers le toit suivant. Un rugissement déchira l'air tandis que j'atterrissais en roulade sur le sol. Tom arriva à son tour, se releva d'un bond et se remit à courir. Je regardais si Forrest était toujours accroché à mon épaule puis le suivit.

Quelques minutes plus tard, alors que nous étions arrivés à Ichar. Nous avions décidés de vérifier un toit auquel nous pouvions accéder par une échelle. Nous y avions même vus Dimitri et Marie aller avec d'autres personnes en direction d'une maison. Tom, furieux, avait entrepris de descendre. Il se méfiait de Dimitri, et il voulait savoir ce qui se passait. J'avais tenté de le raisonner, mais il m'avait engueulé, avant de s'avancer vers l'échelle.

C'est alors qu'un monstre horrible, haut comme deux maisons et avançant sur quatre pattes de reptile affublées de griffes énormes, sortit des marécages. Il attaqua plusieurs bâtiments et nous fonça dessus. Nous entreprîmes alors de sauter de toit en toit vers l'autre bout d'Ichar, afin de rejoindre le reste du groupe et de nous enfuir. Mais le monstre gagnait du terrain !

Forrest était accroché à mon sac. Il tremblait comme une feuille et poussait de sortes de gémissements dés qu'on sautait. J'ignorais sa plainte et courus derrière Tom. Il sauta vers un autre toit, et y arriva. Il se retourna et me pressa.

"Allez, Pedro, vite ! Sautes !
_ Tu crois que je fais quoi ?! Le sermonnais-je en m'approchant du bord.
_ Ahh !"

Tom désignait un point derrière moi. Je me retournais, mais trop tard : le monstre donna un violent coup dans la maison. Le toit vola en morceaux. Par réflexe, je bondis vers l'autre maison. Mais j'étais trop loin ! Je me cognais contre le bord. J'eus le souffle coupé et battit désespérément des bras pour me rattraper, mais je n'y parvins pas. Tom plongea alors à mon secours et me rattrapa les bras in extremis.

"J'te tiens ! Lança-t-il en me remontant."

Forrest était toujours là. Je remerciais mon ami d'un hochement de tête et me remis à avancer. Je transpirais comme un boeuf et mes jambes me faisait mal. Les risques du métier ! Du tant que je survivais, un point de côté ne m'aurait pas gêné. Tom se prépara à bondir, mais le bâtiment s'ébranla et il tomba à la renverse. Forrest chuta à son tour, entraînant mon sac et me me mis à glisser le long du toit qui était désormais à la diagonale ! Le français attrapa mon sac et mon paresseux et tenta de me rattraper, mais trop tard.

Je tombais dans le vide et m'écroulais sur le sol. Un autre hurlement du monstre se fit entendre. Un autre bruit sourd retentit. Le toit vola en éclats sur un autre bâtiment, qui s'effondra à son tour. Mon ami fit un vol plané dans les airs, heurta le toit d'une maison voisine qui se déroba. Puis, un "boum" et un bruit métallique se firent entendre.

"AAAARRGGGGHHH ! PEDRO ! SAUVES-MOI !"

Je me relevais avec peine et courus vers la porte, ignorant les feulements de la créature. Je défonçais la porte d'un coup d'épaule. Le spectacle qui m'attendais me stoppa net.

Tom tait couché sur le dos. Forrest rampait à côté, avec une petite coupure au dos. Mon sac, éventré, trônait un peu plus loin, toutes les provisions éparpillés. Mais ce n'était pas le plus préoccupant.

Deux morceaux de toit étaient plantés dans la jambe gauche de mon camarade. Le sang giclait de la plaie et il pouvait à peine la bouger. Il tenta d'en enlever un, mais poussa un gémissement de douleur et s'effondra, inerte.

"Merde ! Oh, Tom, non ! M'étranglais-je, horrifié."

Pour seule réponse, un feulement. Je levais la tête. Par le trou béant du mur droit, j'aperçus le monstre qui s'avançait. Soudain, un bruit étrange eut lieu. Comme une étincelle. La créature se retourna, et de derrière une maison surgit un homme noir, plutôt vieux, et avec un petit bouc. Il tenait une fusée éclairante et poussa un cri en français :

"Hé ! Fils de pute, tu me reconnais ?! Viens là ! J'ai un truc pour toi !"

Notre étrange sauveur agita un peu la fusée, puis partit en courant. Le monstre rugit, écrasa une maison avec un cadavre à côté et partit à la suite de l'homme. Forrest poussa un grognement, qui me fit me retourner. Tom, évanoui, était pâle comme un drap et une flaque de sang coulait en-dessous de sa jambe blessée. Forrest me regarda avec ses grands yeux tandis que je m'approchais. Les cris de l'animal retentissaient au loin.

"Pedro ? Tom ? Oh, bordel... Fit une voix derrière moi."

J'avais reconnu cette voix. Trovsky ! Je regardais dans sa direction. L'Ukrainien fixait Tom, horrifié.

"Bon sang...
_ Dimitri, ça... TOM ?!"

Marie débarqua dans la salle et courut auprès de son frère.

"Tom, non, non, non ! Pleurait-elle."

Dimitri restait à côté, sans voix. Un autre homme, âgé d'environ une cinquantaine d'années, et une femme noire de mon âge arrivèrent. Ils s'arrêtèrent, et Dimitri avança.

"Faut qu'on fasse quoi ? Bégaya-t-il en regardant Tom."

Je désignais mon sac.

"Y'a une bouteille d'eau et une autre de désinfectant là-dedans. Amènes-les moi. Et j'aurai besoin d'un mouchoir. Déclarais-je.
_ Je peux vous en prêter un. Me proposa la fille noire. Je suis Christine, et voilà Michael.
_ Merci, Christine. Donnes-la moi. Ordonnais-je à Dimitri, qui revenait avec les deux bouteilles.
_ Vous allez nettoyer la plaie avec le mouchoir ? Sanglota Marie, en train de caresser les cheveux de son grand frère.
_ Non, sinon, en moins de deux, il sera couvert de sang. On va désinfecter la plaie et lui retirer ça. Dimitri, verses l'eau sur les morceaux de toit."

Le policier obéis. Ces mains tremblaient. Son regard trahissait sa peur et son inquiétude. Forrest s'approcha de Marie. Elle l'attrapa et le serra dans ses bras. J'entrepris de prendre le pouls de Tom. Le français était encore vivant, mais il fallait stopper l'hémorragie au plus vite. Dés que les bouts de bois furent nettoyés, je pris du désinfectant, le versait sur le mouchoir et nettoyait la plaie. Ensuite, je détachais ma ceinture et l'enroulais autour de la jambe de mon camarade, afin de faire un garrot. Puis je me tournais vers Dimitri.

"A mon signal, arraches-lui ça.
_ Hein ? Paniqua Marie.
_ Il va mourir si on lui retire pas ça ! Il est train de faire un collapsus cardio-vasculaire ! Et la prochaine étape, c'est l'arrêt cardiaque ! Donc la MORT ! Expliquais-je, inquiet pour mon ami. Vas-y !"

Partie 2

L'Ukrainien ferma ses yeux et retira le premier morceau. Du sang gicla. Le policier donna le morceau couvert de sang à Michael, qui fit une grimace et jeta le bout de bois. Puis, rassemblant son courage, Trovsky attrapa le second morceau et le jeta contre une vitre qui se brisa. Je me mis à désinfecter et sortit des bandages. J'entourais rapidement les plaies, mais un cri m'interrompit dans la manoeuvre. Michael se précipita vers Tom.

"On a de la compagnie ! La vitre a attirée la créature ! Il faut qu'on le sorte de là !
_ Putain, je fais ce que je peux ! Justifiais-je en me dépêchant."

Dimitri sortit son arme, et Christine tendit sa main à Marie. Une fois le bandage fini, Michael agrippa le corps inerte du français. J'empoignais mon sac à dos et posais ma main sur l'épaule de Dimitri.

"On y va ! Lui indiquais-je."

Il hocha la tête en signe d'approbation et partit à la suite de Christine. Je fis de même. L'animal fit s'écrouler la maison, saisit un morceau du mur et le lança dans notre direction. Heureusement, il nous rata. Nous sautâmes par-dessus quelques ruines et arrivâmes à une rue, où trônaient deux voitures. Marie et Michael s'avancèrent vers la seconde. Le vieil homme mit mon ami à l'arrière et monta avec lui, tandis que Marie prit le volant.

"Pedro, monte ! Beugla-t-elle."

Je m'approchais de la portière et Dimitri de l'autre voiture, mais soudain, un rugissement se rapprocha. Le monstre lança un morceau de béton sur la voiture de l'Ukrainien. Il eut le bon réflexe de sauter en arrière, puis il tomba dans l'herbe. La voiture fût direct écrabouillée. Marie paniqua, et violemment, appuya sur l'accélérateur.

"Marie !... Commençais-je."

Trop tard. Elle démarra en trombe, me faisant tomber, et partit à toute vitesse dans les marécages en esquivant la voiture détruite. La créature les poursuivit. Dimitri leva le poing en direction du marais.

"MARIE ! SALE SALOPE ! Gueula-t-il en Ukrainien."

Soudain, que vîmes-nous sur le bord de la route, grimper la colline ? Nos amis les bêbêtes rouges à cornes. Dimitri rampa en arrière.

"C'est pas vrai ! Ils nous ont suivis ?! Constata-t-il."

Christine sortit un hachoir et trancha la tête du monstre tandis que je me relevais. La femme noire aida le policier à se relever et tua une autre bestiole.

"Ils sortent des marécages ! Grogna-t-elle. Il faut repartir sur le refuge. C'est là où on s'est donnés rendez-vous !"

Mais alors qu'elle se tourna, un grognement retentit. Christine se retourna, mais un monstre lui sauta dessus et lui mordit le bras. Christine poussa un cri et fit tomber son hachoir. Les yeux exorbités par la haine, Dimitri attrapa les épaules du monstre et le plaqua au sol. Il se mit ensuite à frapper l'animal de toutes ces forces.

"PERSONNE NE TOUCHE A MES AMIS, COMPRIS ?! Lui reprocha-t-il."

La créature lui chopa alors un poing tandis que je relevais avec peine Christine, qui gémissait de douleur.

"HEY, LACHES-MOI !"

Le policier lui donna un coup de matraque. La créature poussa un râle et ne bougea plus. Mais deux autres arrivèrent. Trovsky leur fit face tandis que je soignais Christine.

"Chut, chut, chut. La calmais-je. Ca va aller, pas de soucis..."

Le policier tua un diable, essuya le sang sur son front et fit face au dernier monstre. Il tenta de le frapper mais le rata, et il se retrouva au sol. Je me levais et courus vers lui. Mais un coup de feu retentit, et la bêbête tomba sur le côté. Je me retournais, et vit deux voitures formant un barrage. Sur le capot d'une se tenait l'homme qui avait éloigné la créature. Il tenait un fusil à pompe fumant. Christine leva la tête et le vieil homme se précipita vers elle.

"Ma puce, ça va ? La questionna-t-il.
_ Ca va, merci. Grâce à Pedro. Répondit-elle.
_ Bonjour, mon vieux, je suis Carl. Sourit-il. On a risqué gros pour vous sauver. Où sont les autres ?
_ Ils nous ont abandonnés. Grommela Dimitri en repoussant le cadavre.
_ Et merde...
_ Y'a d'autres gars avec vous ? Soufflais-je.
_ Oui, trois. Les voilà, d'ailleurs."

Je regardais qui venait. Un petit garçon asiatique trottinait devant, et un autre homme, possédant une casquette, avançait à côté. Et tout derrière...

...Jenny Klock.

Celle qui avait brisé mon coeur était encore en vie.

Une énergie m'anima alors. Un esprit de vengeance. Face à elle. Je fis deux pas, devant l'étonnement des autres.

"JENNY ! ESPECE DE PUTE !
_ Pedro ? S'étonna-t-elle.
_ ET OUAIS, J'SUIS EN VIE ! ET CE SERA PLUS TON CAS DANS DEUX MINUTES !
_ Non, attends !"

Trop tard. Je courus à une vitesse incroyable et me jetait sur elle en poussant des cris bestiaux. Je lui donnais un coup de poing dans la tête, puis un autre. Jenny tenta de repousser mes poings, mais trop tard. Je continua à lui donner quelques coups. Elle saignait du nez et pleurais. Mais on m'attrapa par derrière. Trovsky et Carl me jetèrent au sol, et mon ami me donna un coup de poing dans le nez.

"Mais ça va pas ?! Cria-t-il.
_ Cette fille... A ruiné ma vie ! Répétais-je.
_ Pedro, calmes-toi. Regardes-moi. On est seuls, désormais. Ecoutes-moi. Ca ne sert à rien."

Au bout d'un moment, je finis par me calmer, et me mis à pleurer. Dimitri me rassura, puis me posa une question.

"Mon vieux, il faut qu'on choisisse ce qu'on fait maintenant. On reste ici ou on s'en va, je te laisses le choix."

Je relevais la tête et essayais mes larmes.

1) On s'en va de ce groupe, et on va trouver des survivants seuls. Les Dujaron et ce groupe me semblent horribles, alors on se casse. (Point de vue : Pedro Alvaré.)
2) On reste ici et on va au refuge. Espérons que Marie vienne... (Point de vue : Tom Dujaron.)
3) On part d'Ichar. Allons chercher Marie et Tom. C'est eux notre groupe, pas Jenny. (Point de vue : Marie Dujaron.)
4) On part chasser le monstre des marais, afin de venger Marie et Tom. Ils sont probablement morts... (Point de vue : Xian Li-Chang.)

Et bien voilà, on a failli perdre Tom, mais cette fois, vous aurez l'occasion de choisir le destin du premier groupe ! Et la prochaine fois, une petite surprise... J'en dis pas plus. Allez, à bientôt, en espérant que ça vous ait plut !

Bah putain mon cochon, Tom s'en ait pris plein la gueule.

Je vote deux.

Les références à Battlefield 4 et Jurrasik Park.

Sinon, j'ai bien aimé ce chapitre, et je fait comme PGM (bêbêle le mouton ! \ /)

Pardon à vous deux, j'avais pas vu vos messages.

Et merci pour vos avis, content que ça vous plaise toujours autant ! Alors, le choix deux va-t-il gagner ou non ? A vous de le dire.

Un lecteur, non ?

4 c badasse mdayr

Euh... Merci pour ce choix inattendu...

Mais bon, c'est le choix deux qui est pris. Merci pour avoir lu.

4