Je vais juste lire moi.
Toujours aussi chaud iave.
-jve ktu sus
-pk
-psk lé sseruzié son bo
-ok
J'ai pris du temps, si avec ça je gagne pas je quitte jvc.
Bg, bg.
J'aurais bien voulu participer, mais j'ai plus d'inspiration depuis bien des mois.
Jvais essayer .
Cocodevil
On t'aime tous
T'es le plus bg
Lovekeur
C'est une chanson que j'entends souvent dans la rue.
Trop famous
Ca à l'ai cool tout ça Pourquoi pas y participer ?
Eh j'essayerai oklm
Il y a de jolis textes, mais j'ai une preference pour celui de OMA.
Proust
Ce génie
Dommage que la plupart de ses phrases soient plus longues qu'un pénis de cheval étiré
Bref, je participerai
Crépuscule. Mes yeux se fermeraient sur ce magnifique coucher de soleil. Enfin ma course effrénée sur cette route apocalyptique se terminerait. Course effrénée. Je me retrouve soudainement sur cette route, ne sachant pas qui je suis ni où je vais. Une route, parsemée de tilleuls, allant droit vers cet océan orange, qui emplit progressivement le bleu-rose du ciel. Je choisis de la suivre. Courant sans relâche. Mais pourquoi courir ? Je me retourne, une barrière orange, partout. Je songeai à me jeter dans l'eau vigoureuse que je suivais malgré moi. Mais avec du recul, pourquoi faire ? J'avançais, je courrais même...sans but. Désorienté, ayant perdu la notion même de temps et d'espace, mon cerveau est lointain témoin de cette poursuite inexorable. Je venais de comprendre que cette route, c'était la découverte amoureuse.
Je teste, même si c'est nul.
Pfff Zeoun c'est pas mal du tout, tu te sous-estimes beaucoup trop.
T'aurais pu faire un truc plus travaillé par contre.
Je présente un truc à l'arrache, j'étofferai pour ma lecture personnelle
Zeoun je t'ordonne une sweet.
Moi j'ai supprimé ma fic putain.
Tu m'as donné envie de faire un texte du genre, peut-être une suite, à voir. Je mets cette idée de côté
Brume épaisse emplit soudain mon coeur, sans que je sache pourquoi. L'on ne voyait pas à des kilomètres sur cette fameuse route, je ne la reconnaissais même plus. Au fur et à mesure que ce brouillard automnal se retirait, je voyais de mieux en mieux un paysage torturé, glauque, oppressant, humide. Le chemin était humide, les tilleuls perdaient leurs feuilles, mais pas comme si l'on était début octobre, ils les perdaient à une vitesse vertigineuse, laissant place à des troncs inexpressifs. La rivière que je suivais quant à elle ressemblait à un marécage boueux couvert d'algues et autres insanités. Je courrus, cette fois-ci pour un motif précis, quitter cet endroit immonde. Plus j'avançais et plus le sol devenait ductile. Une fleur d'un rouge mélancolique, indescriptible rose, m'annonça que la tempête restait à venir. Elle devint soudainement noire, plus noire que les nuits, plus noire que la mort, et une vague de tristesse s'abattit sur moi, tel l'ultime châtiment des divins sur un fauteur. Une dernière et aimable brise se déposa lentement sur ma nuque, et s'éloigna.
on poste où les textes qu'on a écrit ?
ici même
Sympa.