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Blabla moins de 15 ans

Sujet : La seule vie [...] réellement vécue...
jobxleduc
Niveau 10
14 juillet 2014 à 18:41:28

ok, bon j'ai voulu écrire un conte donc c'est pas très poussé ni profond, j'espère que ça ne me désavantage pas. :hap:

Caïmiri n'avait peur de rien. Il avait déjà maintes fois fait preuve de ses talents et de sa force. Son audace semblait sans limites. La curiosité poussa Caïmiri à franchir les montagnes et à pénétrer dans le royaume du Mal absolu.
Les animaux détalaient devant lui, les bêtes les plus dangereuses s'écartaient de son chemin. Caïmiri ne se donnait pas la peine de les poursuivre. Il s'amusait de la crainte qu'il suscitait.
Mais le Dragon Jaune ne s'enfuit point. Il était si terrible que les fleurs dépérissaient dans son ombre. Chacune de ses pattes se terminait en une griffe énorme et meurtrière. Il se jeta sur le Sorcier en lui promettant la plus affreuse des morts. Caïmiri tira son épée et para l'attaque. La bataille fut longue et sanglante. À l'heure où le soleil décline, le Dragon Jaune reconnut sa défaite.
- Laisse moi la vie et je t'offrirai le plus précieux des cadeaux.
- D'accord, répondit Caïmiri.
La terre s'effondra à ses pieds. Au fond du trou, il y avait une petite clé d'or.
- Voici la clé qui ouvre toutes les portes, dit le Dragon Jaune.
Alors que Caïmiri se penchait pour prendre l'objet, le Dragon Jaune se précipita vers lui en hurlant de rage. Miricaï fut le plus rapide et lui transperça le coeur.
- Stupide dragon ! Je t'aurais épargné ! Et maintenant, tu expires ton dernier souffle !
Caïmiri empocha la clé et continua sa route.
Le matin suivant surgit me Dragon Bleu. Il était si terrible que les fruits dépérissaient dans son ombre. Chacune de ses pattes se terminait en deux griffes énormes et meurtrières. Il se jeta sur le sorcier en lui promettant la plus affreuse des morts. Caïmiri tira son épée et para l'attaque. La bataille fut longue et sanglante. À l'heure où le soleil décline, le Dragon Bleu reconnut sa défaite.
- Laisse moi la vie et je t'offrirai le plus précieux des cadeaux.
- D'accord, répondit Caïmiri.
La terre s'effondra à ses pieds. Au fond du trou, il y avait un petit miroir en argent.
- Voici le miroir qui cache aux autres ton vrai visage, dit le Dragon Bleu.
Alors que Caïmiri se penchait pour prendre l'objet, le Dragon Bleu se précipita vers lui en hurlant de rage. Caïmiri fut le plus rapide et lui transperça le coeur.
- Stupide Dragon ! Je t'aurais épargné. Et maintenant, tu expires ton dernier souffle !
Caïmiri empocha le miroir et continua sa route.
Le matin suivant surgit le Dragon Rouge. Il était si terrible que les arbres dépérissaient dans son ombre. Chacune de ses pattes se terminait en trois griffes énormes et meurtrières. Il se jeta sur le sorcier en lui promettant la plus affreuse des morts. Caïmiri tira son épée et para l'attaque. La bataille fut longue et sanglante. A l'heure où le soleil décline, le Dragon Rouge reconnut sa défaite.
- Laisse moi la vie et je t'offrirai le plus précieux des cadeaux.
- D'accord, répondit Caïmiri.
La terre s'effondra à ses pieds. Au fond du trou, il y avait un petit livre à la couverture de bronze.
- Voici le livre qui dévoile l'avenir, dit le Dragon Rouge.
Alors que Caïmiri se penchait pour prendre l'objet, le Dragon Rouge se précipita vers lui en hurlant de rage. Caïmiri fut le plus rapide et lui transperça le coeur.
- Stupide Dragon ! Je t'aurais épargné ! Et maintenant, tu expires ton dernier souffle !
Caïmiri empocha le livre et continua sa route.
Le matin suivant surgit le Dragon Vert. Il était si terrible que les animaux dépérissaient dans son ombre. Chacune de ses pattes se terminait en quatre griffes énormes et meurtrières. Caïmiri tira son épée. Le Dragon Vert ne bougea pas.
- Tu ne me promets pas la plus affreuse des morts ? s'étonna Caïmiri.
- A quoi bon se battre ? répondit le Dragon Vert. A l'heure où le soleil décline, je devrai reconnaître ma défaite.
- Sans doute. Et je te laisserai la vie si tu m'offres le plus précieux des cadeaux.
Le Dragon Vert baissa la tête en signe de soumission. Il sourit de toutes ses dents pointues.
- Tu as déjà trois précieux cadeaux. Je te mets en garde, cependant. Ce sont des armes à double tranchant.
- Comment cela ? demanda Caïmiri.
- La clé t'ouvrira toutes les portes, y compris celle qui te conduira à ta perte. Le miroir te permettra de changer d'apparence, mais si tu en abuses, tu perdras ta véritable identité. Quant au livre aux pages blanches, il te rendra fou si tu cherches à y lire ton propre destin.
- Il y a des risques qu'il faut prendre. Et toi, que m'offres-tu ?
La terre s'effondra à ses pieds. Au fond du trou, il n'y avait rien.
- Regarde mieux, conseilla le Dragon Vert.
Caïmiri se pencha et aperçut un petit objet enfoncé dans la glaise. Il le ramassa pour l'examiner et ne vit qu'un noyau sec.
- Qu'est ce que c'est ?
- Une graine.
- Oui, merci ! Je sais que c'est une graine ! Où est la magie ?
- Plante-la et un amandier fleurira. Cet amandier donnera une graine que quelqu'un plantera à son tour et qui donnera un autre amandier.
- Te moquerais-tu de moi ?
A cet instant, le Dragon Vert se précipita vers lui en hurlant de rage. Caïmiri fut le plus rapide et lui transperça le coeur.
- Pourquoi ? s'écria Caïmiri. Je t'aurais épargné !
- Nul ne peut aller à l'encontre de sa nature, soupira le Dragon Vert. La mienne est de combattre les sorciers.
- Maintenant, tu expires ton dernier souffle ! Et tu ne m'as même pas dit en quoi ce vieux noyau sec était magique !
- C'est le plus grand de tous les pouvoirs, répondit le Dragon Vert, je n'ai rien à ajouter.
Le Dragon Vert mourut en prononçant ses mots. Caïmiri s'assit sur un rocher et contempla le noyau. Une graine qui donne un amandier qui donne une graine qui donne un amandier ? Ça, le plus grand de tous les pouvoirs ?
Puis Caïmiri comprit qu'au creux de sa main il tenait le pouvoir de la vie.

voilà :noel:

jobxleduc
Niveau 10
14 juillet 2014 à 18:49:01

des avis ?

citoyen[JV]
Niveau 9
14 juillet 2014 à 19:07:41

Très bien jobxleduc!

Elle est bien ma production?

Les vacances

Une plume, un morceau de papier, une horizon ensoleillé, voilà ce qu'il me faut, pour m'inspirer et m'épanouir. Le seul remède contre le stress c'est les vacances. Je compare les vacances à une station de repos, où on peut se dégourdir les jambes, jouer, souffler, après une longue route ou une longue année.
Après une année plus ou moins difficile nous essayons de plus penser à l'année qu'on a passé, rencontre avec des personnes malveillantes, disputes et divers problèmes, nous essayons plutôt de penser aux bons moments que nous avons vécu. Les vacances sont pour certaines personnes trop rapide car ils ont beaucoup d'occupations et pour d'autres personnes les vacances sont aussi longue qu'un siècle entier. Les vacances sont sources de joie, de bonheur, de plaisir, de satisfaction. 15 jours avant la rentrée on se pose des questions et on se remet en question car on a l'impression de ne pas avoir profiter pleinement des vacances, on continue de profiter mais on sent qu'il manque quelque chose, le temps. 5 jours avant la rentrée ça devient sérieux, on prépare sa rentrée, puis généralement on rêve la nuit de la rentrée que nous réaliserons, ce rêve est parfois loin de la réalité. À la rentrée on est enfin face à la réalité. Des rageux et des balances par dizaines vois-tu, ils font mine d'être cool et sympa mais en réalité ce n'est qu'illusion, ignorant, tu leurs parlent et fais comme ci c'était tes amis, les rageux et les balances ne font qu'un. Sache que si tu joue ton malin ils n'attendront qu'une chose, t'épingler. Les nouveaux, il faut aussi savoir s'en méfier. La rentrée c'est aussi synonyme de joie, nouveaux professeurs, nouvelles affaires etc. Petit, sache que le travail porte ses fruits et que tu peux t'en prendre qu'à toi même.
Ensuite, si tu as passé de bonnes vacances, tu auras des souvenirs gravé à jamais dans ton cerveau, tu t'en souviendras en sortant des photos, en sortant divers souvenirs. À la fin des vacances on a généralement envi de revenir à l'école car nous avons tous des bons souvenirs de l'école.
Bref, les vacances c'est vraiment trop bien!

Adel
Niveau 10
14 juillet 2014 à 19:13:41

oki finalement je vais participer je crois, j'ai un début de bidule sous la pogne.
mais n'oubliez pas que :
"Au cours de notre existence, la vie nous tend toutes sortes de pièges. L'écriture est un d'ces pièges. Certains écrivains ont tendance à reproduire ce qui a déjà plu à leurs lecteurs, ils reçoivent des éloges et s'appliquent à les croire. Il n'y a finalement qu'une personne capable de juger une œuvre : c'est l'auteur lui-même."
Charles Bukowski - Factotum (1975) :-)))

Pseudo supprimé
Niveau 10
14 juillet 2014 à 19:16:37

J'ai adoré jobx. :noel:
Je lis cityoen. :noel:

Pseudo supprimé
Niveau 10
14 juillet 2014 à 19:20:51

J'aime bien aussi. :hap:

Zelie machin t'en penses quoi de ma suite ? :hap:
Finalement je vais en faire plusieurs des trucs comme ça :hap:

cOmpTefAkE40
Niveau 12
14 juillet 2014 à 19:21:23

Pourquoi Sawyer fait partie du jury ? Elle est nulle en écriture, pourquoi pas avoir pris Joyau à la place ? :(

aguma
Niveau 10
14 juillet 2014 à 20:51:52

don't feed :noel:

[Loken]
Niveau 37
16 juillet 2014 à 10:39:08

Si case2000 participe, il vous écrase tous. :noel:

Iave
Niveau 10
16 juillet 2014 à 12:15:11

| Ecrit par « [Loken] », via mobile 16 juillet 2014 à 10:39:08
| « Si case2000 participe, il vous écrase tous. :noel: »

S'il est de la classe littéraire, alors nous faisons jeu à arme égale.

ChienVioIet
Niveau 10
16 juillet 2014 à 13:24:33

Au début j'ai cru que SerdaigIe annoncais sa demission :hap:

Darkness-Dark
Niveau 11
16 juillet 2014 à 15:27:10

Voilà ma participation, un vieux poème de 2013 :hap:

Tu pousses et tu vis aux vents
Ta couleur rappelle ton noble sang
Quand la brise se montre
Tu te plais à danser
Quand le Soleil te rencontre
Dans les belles allées

Tu perds parfois un bout de ta robe
Qu'elle soit rouge ,jaune ou violette
Sur le sol qui se dérobe
Sous ton âme, parmi les rainettes

Seule dans un luxuriant jardin
Où se perdent les esprits malins
Tu ne bouges, narguant mon regard
Qui se ballade dans ton grand hasard

Même par les piquants tu restes douce
Ton teint rouge illumine les cieux
Les ombres tu repousses
O rose aux pétales mielleux

LegendWolf
Niveau 11
16 juillet 2014 à 18:35:52

Jobx, l'idée est excellente, il faudrait juste peut-être reficeler tout ça, ça commence assez abruptement et y'a des passages qui me font tiquer quand

Pseudo supprimé
Niveau 10
16 juillet 2014 à 18:53:58

C'est l'histoire de trois petits canards, pui pataplouf.
Fin. :rouge:

citoyen[JV]
Niveau 9
16 juillet 2014 à 19:35:00

Atreeks Jerry :rire2: :hum: :hap:

Ashlea
Niveau 10
16 juillet 2014 à 19:54:46

Marchant sur les décombres
Et s'approchant de l'ombre
Pleurant ses proches perdus
Suite à un malentendus

Une arme dans sa main
Accelerant vers son Destin
Ne pensant plus au lendemain
Dans le but d'y mettre fin

Une souffrance magnifique
Et parmis douleur pacifique
Armant sa porteuse de mort
Oubliant tout son tord

-------
Kom je suis poétique,
Toute ma vie n'est que pathétique,
Mais si j'ai réussie un domaine,
C'bien dans le poème,
C'est pas que je m'aime,
Mais j'ai de la veine,

Dr-Mckay
Niveau 10
16 juillet 2014 à 20:34:06

jay pa lu

Amphinoby
Niveau 10
16 juillet 2014 à 20:34:08

Ta maman je l'aimais bien
Mais j'étais trop mongolien
À vouloir forcé à plusieurs
Sans savoir qu'elle pleure.

Sweet ?

LegendWolf
Niveau 11
17 juillet 2014 à 04:17:57

Comme chaque matin, je me lève et me saisis de Tranche-Nuit, le présent qui me fut offert par les dieux.
Le contact familier de son pommeau en bois me donne de la force de me lever, et de trouver mon chemin hors de mon abris de fortune, dans la nuit la plus complète, la même qu'hier, la même que demain, la même que le jour où le soleil s'est éteint.

C'est arrivé sans prévenir, sans crier gare.
Un soir, le soleil s'est couché pour ne plus jamais se lever. Comment c'est arrivé, je ne le sais pas. A mon réveil, l'épée gisait à coté de moi. Elle m'a protégé efficacement des horreurs qui étaient apparues dans la nuit. Des monstres sortis droit des cauchemars les plus horribles. Ils pullulaient déjà partout dans la ville à mon réveil.
Eux non plus ne pouvaient voir, si bien qu'il était assez facile de les éviter. Quand aux autres personnes, je ne savais ce qui leur était advenu. Ils avaient tout simplement disparus.

Serrant bien fort mon arme, je sors prudemment de mon abri. A cause des bêtes, je n'ose pas retourner chez moi, alors je dors dans des ruelles où elles ne vont jamais. Malgré tout, en sortant, je frissonne à chaque fois que j'entends leur grondement. Un grondement terrifiant, horrible, qui l'on entend monter en puissance au fur et à mesure que la créature se rapproche, pour disparaître aussi vite qu'il était apparu. Marchant sans but, je me commence à errer dans ce qui fut ma ville, en me servant de Tranche-Nuit comme une canne d'aveugle pour avancer.
J'entends le souffle d'une créature. Au bruit qu'elle fait, elle ne doit pas être beaucoup plus grande que moi. Je brandis mon épée dans sa direction, mais elle passe à coté de moi sans me remarquer. Je poursuis ma route, avançant à tâtons dans le noir le plus total. Soudain, j'entends le grognement d'une énorme créature qui se rapproche. Je continue de marcher, après tout, ne suis-je pas déjà caché ? Mais celui-ci se rapproche, encore et encore. Je commence à courir pour m'échapper, car le grondement est de plus en plus près. Au moment où il est presque à me toucher, je suis renversé par un autre monstre, averti par le bruit de ma course. J'essaye de me débattre, je fends l'air de mon épée, je m'écrie "Arrière ! Dégage !", mais d'autres se joignent au premier, et je suis rapidement maîtrisé.
Blessé et vaincu, je cesse de bouger, attendant avec angoisse le coup qui mettrait fin à ma vie.
Celui-ci n'arrive pas.
J'attends, mais personne ne daigne m'achever.

LegendWolf
Niveau 11
17 juillet 2014 à 04:21:08

"Arrêtez donc, vous êtes ridicule"
Une voix ? Il y a donc des survivants ?
"Il n'y a jamais eu d’apocalypse, le soleil ne s'est jamais éteint, et vous le savez"
Non, c'est faux, ça ne peut pas être ça. Le soleil s'est forcement éteint, quoi d'autre ?
Mais le mot que je redoute finit par tomber.
"Il faut vous rendre à la raison, vous êtes devenu aveugle."

Bon, c'est franchement pas terrible, et j'ai conscience que la chute est mal amenée mais bon :hap:

Sujet : La seule vie [...] réellement vécue...
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