1) Zack (Boost, Sheikah, page 1)
2) Harpant Tastre (Allo41, Humain, pages 2-14)
3) Yrion (Linkoura, Garo, page 3)
4) Akira Randori (Sharingan, Humain, page 3)
5) Ephraim Harada (Sagara, Humain, page 3)
6) Zassu (Gouloudrioul, Race Inconnue, page 3)
7) Isana (Linka, Elfe Noire, page 3)
8) "Masuku" (Roxxe, Hylien, page 5)
9) Albatard (Superglover, Hylien, page 6)
10) Signe (Signe, Hybride Elfe Noir/Gerudo, page 6)
11) Herbert (Tenji, Hylien, page 6)
12) Général Welth (Imp, Guerrier d'Ikana, page 7)
13) Satic (Linki, Mojo, page 8)
14) Takeo (Darkdamore, Elfe Noir, page 8)
15) Elle (Bagdad, Gerudo du Nord, page 9)
16) Kurst Keiger (FoxFeather, Reptilien Extraterrestre, page 10)
17) Syd (Mage_Kimosabe, Hylien, page 10)
18) Venus (M-I, Hylienne, page 10)
19) Vlad (Jojodrago, Hylien, page 11)
20) Dread (Dread, Humaine, page 12)
21) Arix'amal (Narth, Démon Atal'hakar, page 16)
22) Hon'Liu (Hache_Viande, Hylien, page 18)
23) Nessaura (Nessaura, Humaine, page 19)
24) Rogg (Armstrong, Humain, page 25)
25) Joël Pomme (Gbakool, Humain, page 31)
26) Herorta (Goten, Gerudo, page 31)
27) Grim Tok (Bananas, Nain, page 34)
28) Fly (Baby-Link, Humain, page 36)
29) Eniae (Ganon, Humaine, page 58)
Inscrits :
- Hylia
- Combat 1 : Zack/Yrion. Intro page 13. Combat page 23. Vainqueur : Yrion.
- Combat 2 : Satic/Herbert. Intro page 18. Combat page 36. Vainqueur : Herbert.
- Combat 3 : Welth/Masuku. Intro page 28. Combat page 43. Vainqueur : Welth.
- Combat 4 : Akira Randori/Dread. Intro page 34. Combat pages 54-55. Vainqueur : Dread
- Combat 5 : Kurst Keiger/Hon'Liu. Intro page 37. Combat page 57. Vainqueur : Kurst Keiger.
- Combat 6 : Albatard/Elle. Intro page 43. Combat page 62. Vainqueur : Albatard
Combat 7 : Ephraim Harada/Syd. Intro page 50. Combat pages 66-67.
Combat 8 : Isana/Rogg. Intro page 58. Combat page 72.
Combat 9 : Harpant Tastre/Fly. Intro page 63. Combat page 75.
Combat 10 : Nessaura/Venus. Intro page 66. Combat Lundi 16 (19h10).
Combat 11 : Signe/Arix'amal. Intro page 72. Combat Mercredi 18 (20h00).
Combat 12 : Zassu/Grim Tok. Intro page 73. Combat Samedi 21 (20h00).
________________________
Score final :
Albatard : 8 (Linkoura, Gouloudrioul, M-I, Baby-Link, Hache_Viande, Linki, Linka, Gbakool)
Elle : 0
_________________________
Ephraim Harada : 4 (Bagdad, Gouloudrioul, Linka, Superglover)
Syd : 0
Fin des votes Lundi 16 (20h00).
_________________________
Isana : 2 (Gouloudrioul, Sagara)
Rogg : 0
Fin des votes Mercredi 18 (22h15).
__________________________
Harpant Tastre : 0
Fly : 2 (Bagdad, Signe)
Fin des votes Samedi 21 (20h15)
Comme vous pouvez le constater, les votes pour le combat entre Sagara et MK s'achèvent dans une demi-heure, et la limite minimale de votes qui est de 7 n'a pas été atteinte. Comme je n'ai pas encore eu le temps de voter moi-même, je vais le faire, et je vais exiger deux autres votes de la part de deux participants choisis au hasard. Ils devront voter sous 24h sous peine de sanction.
Mais bien sûr vous pouvez encore voter dans la demi-heure restante.
Ah et aussi, si jamais cette mesure prend effet, tous les autres auront aussi le droit de voter pendant 24h.
Je suis en train de les lire
Bon, j'ai fait une liste de 9 pseudos qui fréquentent régulièrement ce topic, j'vais demander à un volontaire de me donner deux chiffres entre 1 et 9.
3 et 6
Sur ce je retourne à mes cartes
Suspens insoutenable
Il s'agit donc de Signe et de Baby-Link.
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-15592-20-1-0-1-0-0.htm
Vous avez jusqu'à demain 20h00 pour voter, ou vous vous exposerez à une sanction.
Signe Le mien faisait pas plus de quatre pages aussi je crois, mais pas 6, si je me souviens bien.
Après tout dépend de la police et tout et tout .
Hmm, y'a des votes qui se terminent avant la fin de la semaine, là, où c'est bon ? (j'veux dire, à part mon mien)
De la fière et jeune Nessaura, il ne restait plus qu'une dépouille hideuse ravagée par l'eau. Sa carrure si imposante autrefois semblait maintenant se ratatiner en un corps apathique. Sa peau, tant imprégnée d'eau qu'elle paraissait pâteuse, se décollait par endroit, formant de petits monticules de chairs. Ses cheveux avaient perdu leurs reflets roux, prenant une teinte terne et macabre. Au contraire, le visage avait pris bien des couleurs : la carnation mêlait jaunâtre et bleuâtre, contrastant avec des lèvres violettes presque noires et des yeux laiteux qui semblaient vouloir s'échapper de leurs orbites. Si l'on observait assez, on apercevait de multiples brûlures de part et d'autre du cadavre... Le poignet droit, disgracieusement retourné, avait été tordu violemment. Preuve que cette mort ne résultait pas d'un accident, mais bel et bien d'un affrontement.
Les Geldmans avaient retrouvé ce corps dans la source d'une oasis juxtant le Palais du Désert, et contemplaient maintenant ce cadavre peu ragoûtant, triste témoin de l'horreur dont l'homme/hylien était capable. S'ils avaient un visage de chair, on aurait pu y lire l'incompréhension.
Pour ce peuple primitif du sable, l'eau restait avant-tout une source de vie. En créant le concept de la « noyade », l'homme s'en faisait aussi bien une source de mort.
Alors qu'elle avait été amenée à se battre là où la sécheresse dominait, parmi les dunes de sable dorées, sous le regard sévère du soleil flamboyant, ce n'est pourtant pas la chaleur qui l'avait tuée... Mais bel et bien l'eau...
L'un d'eux, poussé par la curiosité, se pencha vers le corps et « observa » davantage. Observa comme nul autre espèce ne pourrait le faire. Observa au delà du présent, usant de ces dons de Geldmans.
«Corps Torturé, Vie Arrachée,
Raconte-Nous l'Histoire, Ton Dernier Souffle d'Espoir.»
Il fut alors noyé à son tour. Noyé dans un flot de notes mélancoliques...
Le soleil résidait à son point le plus haut, le sable brûlant éclatait de mille feux, les hautes dunes dorées narguaient sournoisement le ciel. Seuls quelques vautours décharnés, s'acharnant sur d'ancienne carcasse de voyageur insouciant, apportaient un brin de vie futile dans ce paysage hostile.
Celui qui savait regarder remarquerait également quelques points de verdures isolés, ainsi qu'une ombre grise – peut-être un temple – apparaissant dans les confins du désert. Si ses yeux étaient aussi précis que ceux d'un faucon, il percevrait également quelques petits monticules de sables se déplaçant étrangement, de ci, de là. Mais faut-il encore qu'il existât quelqu'un daignant examiner cet endroit oublié de tous, coupé du monde, ainsi qu'un lieu surélevé où l'on pourrait jouir d'une vue d'ensemble. Car malgré son aspect inhospitalier, ce désert restait magnifique.
Et c'était dans ces lieux que se déroulerait le combat entre la colombe musicienne et l'orgueilleux albatros.
Un bruit semblable à un déchirement se fit entendre, brisant le silence habituel du Désert.
Les dimensions se chevauchèrent, l'équilibre atmosphérique parut perturbé. Puis deux jeunes femmes apparurent dans l'étendu de sable, diamétralement opposées.
Une à l'Est, l'autre à l'Ouest.
La première était grande et forte, la seconde petite et frêle.
L'une confiante et orgueilleuse, l'autre impassible et discrète.
Jusqu'alors assommée par ce voyage inter-dimensionnelle, elles ouvrirent leurs yeux en même temps.
Le Soleil porta son regard sur celle venu de l'Est.
Le sang de Nessaura ne fit qu'un tour. Elle bondit, saisissant fermement son arbalète, aux aguets. Elle comprit à quel point son geste était inutile en observant les alentours. Tel que l'avait promis « Zacky », le désert. Dans tous les sens du terme. Atterri au sommet d'une imposante dune, elle pouvait aisément admirer... les autres imposantes dunes. Et le paysage plutôt.... Sableux.
Sable, Dune, Dune, Sable, Sable, Dune, Sable, Sable, Sable, Sable, Dune... Avec comme limite des chaînes de montagne lointaines... Dune, Sable, Dune... Un croassement la fit sursauter. Les vautours planaient déjà au dessus d'elle, attendant patiemment qu'elle rende son souffle.
« Rêvez toujours les zoziaux. » murmura-t-elle, une pointe d'amusement dans la voix.
Elle porta son regard aussi loin qu'elle le put, se concentrant davantage. En plissant les yeux, elle pouvait percevoir un point gris au loin. Le lieu de rencontre ? Pas de temps à perdre. Nessaura possédait une arbalète, et donc l'avantage. Il lui suffisait de parvenir au Palais avant son adversaire et de l'attendre patiemment là bas, installée à un point d'observation choisi au préalable. Facile. N'importe quel gamin y penserait. Elle se mit donc en route vers ce qu'elle croyait être le point de rendez-vous, ignorant les rayons intenses du soleil. L'hésitation n'était pas de mise dans les combats. Son père lui répétait souvent... « Papa... Tu vas enfin me voir briller. ».
Mais pour l'instant, le seul qui brillait de mille feu n'était autre que le soleil...
A l'opposé, Vénus préférait rester coucher, à l'ombre d'une dune. Le doux contact du sable sur sa peau, les picotements chaud des grains, la légère bise tiède soulevant ses quelques mèches rebelles... Tout ceci était tellement agréable. De ses mains, elle dessina deux arcs de cercle symétriques, puis pris une poignée de sable qu'elle laissa couler tel un sablier. Rien ne pressait.
S'aventurer dans un désert en pleine journée était d'une absurdité affligeante. Oh, Vénus ne disait pas là qu'elle craignait le soleil, qui ne pouvait blesser que de simple mortel. Cependant, elle ne l'aimait pas, cette raison suffisait amplement.
Quant à l'eau... Il fallait être un faible hylien pour mourir de déshydratation. Oh, Vénus en buvait, bien sûr, mais c'était simplement parce qu'elle appréciait cela... Rien de plus.
Elle referma ses paupières, et laissa son esprit voyager au delà des sables. Sa vision s'envola, loin, loin, suivant le rythme d'une flopée de notes... Qui passèrent successivement d'une lyre à un ancien champ de bataille, puis d'un attroupement de candidats à un jeune pirate espiègle. Pour le revoir, il fallait qu'elle passe ce premier tour.
Le Soleil prenait une couleur orangée. Illusion ou déclinait-il déjà ?
Des serres acérées se plantèrent dans son épaule. Une douleur fulgurante survint. Les vautours n'avaient pas attendu qu'elle succombe à la chaleur. L'assaillant ailé ne perdait pas prise, déchirant de ses griffes le muscle supra-épineux droit de la jeune femme, tentant de son bec d'énucléer les yeux de sa proie. Les coups de Nessaura restaient inefficace, elle ne parvint qu'à lui arracher quelques plumes. L'oiseau lui entailla la joue... La honte envahie la femme. Elle n'arrivait pas à venir à bout d'un simple ennemi emplumé ! La colère l'emporta alors, elle réussit à saisir une aile, et projeta violemment le vautour à terre. Elle écrasa alors sa tête avec son pied, dans un craquement sinistre. Énervée, touchée dans sa fierté, elle continua à le rouer de coup de pied, brisant les côtés de l'animal défunt. Trépignant, crachant, brisant côtes et ailes, pattes et bec, étalant la cervelle de l'oiseau dans le sable, elle ne s'arrêta que lorsqu'il ne fut plus que bouilli de sang et de plume.
Son visage lui seul traduisait toute son hystérie. Les cheveux en bataille, les yeux exorbités, les joues couvertes de sang... Jamais, Plus jamais elle ne se laisserait attaquer par de telles pourritures.
« VOUS M'ENTENDEZ ? Cria-t-elle aux compagnons du défunt, toujours spectateurs, Le prochain de vous qui s'approche, je l'immole ! Priez pour qu'il n'existe pas d'enfer des oiseaux !»
Sa colère n'étant pas estompée, elle visa maladroitement les volatiles et décocha une série de flèches en leur direction. Aucune n'atteignit son but, mais les vautours comprirent le message et se retirèrent, pour le moment.
Nessaura soupira. Elle se sentit bête. Elle venait de s'énerver pour un rien et de gaspiller des flèches inutilement. Ce maudit oiseau l'avait atteinte dans sa fierté... Mais cette crise de nerf avait été d'une inutilité idiote... Elle se jura de ne plus se laisser emporter à cause d'un imbécile à plumes.
L'astre Solaire semblait regarder sournoisement la jeune femme qui avait dépensé ses forces pour rien, et envoya des rayons de plus belle. Il ne déclinerait pas de si tôt.
Combien de temps s'était-elle assoupi ? Peu importe, le Soleil était toujours aussi menaçant, elle pouvait dormir encore un peu. Scrutant le ciel, elle aperçut une meute d'oiseau tournoyant patiemment. Des « vautours », sûrement... Il ressemblait en tout point aux Toukors de son monde. S'ils se comportaient également d'une manière égale, Vénus n'avait pas à s'inquiéter. Jamais un Toukor ne l'avait attaqué jusqu'alors. Une sorte de respect s'était installé entre ces oiseaux là et elle.
Elle préféra ne plus roupiller tout de même. Se réveiller avec un œil en moins ne serait pas vraiment agréable... Elle bailla.... Elle commençait à avoir soif... Non, il n'en était rien, Vénus ne connaissait pas la soif. Elle regarda au loin, pensive, les bandes bleues se dessinant de manière incertaine. Elles apportaient une teinte particulière au sable flamboyant. Ce n'était pas une musicienne qu'il fallait envoyer en ces lieux, mais un peintre. Il s'en serait donné à cœur joie. Elle détourna les yeux des mirages pour les poser sur les oiseaux à nouveau.
Tiens, que c'est drôle... L'un d'eux plongeait en piquer vers elle. « Viens donc établir une relation de respect mon petit ! »
Elle se leva, pogna son bo*, attendant patiemment le volatile... Elle fit quelques pas en arrière, prête à asséner un coup... Puis... Plus rien.
Oui, le soleil déclinait bel et bien. Mais il n'avait en rien perdu de son ardeur, et brilla de plus belle.
Nessaura avait la douloureuse sensation que sa gorge, si sèche, commençait à s'effriter. Son corps bouillonnait, ses yeux pleuraient , sa peau tombait... Zackoestros était soit fou, soit sadique, soit les deux. Traverser ce désert ne relevait pas de l'exploit humain. Le Soleil la regardait, fier de faire tomber une orgueilleuse. Nul ne pouvait vaincre ses rayons, Nul ne pouvait être davantage arrogant que lui.
Mais il lui fallait continuer, encore et toujours... Nessaura s'accrocherait encore à la vie, à ce corps brûlé, tant qu'elle n'aurait atteint son but. Le soleil ferait fondre son cerveau, ferait tomber ses bras, mais n'écorcherait en rien sa détermination.
Elle voyait flou... Il lui fallait un effort intense pour laisser ses yeux ouverts... Au loin... Le point devenait une structure distincte, de plus en plus proche... Et là... Tiens ? De la verdure. Rêvait-elle ? Était-ce un mirage ?
Le Corps, poussé par une folle détermination, marchant d'un pas claudiquant, n'usant plus que du sens de l'instinct, traversait actuellement une oasis. Lui restait-il encore assez de présence d'esprit pour le réaliser ?
Là, une source... Une source d'un bleu azur... Et ici, quelqu'un avait déposé une gourde, des fruits, un couvre chef et des vêtements.
Un petit mot accompagnait ce cadeau du ciel, posé simplement aux côtés des vivres.
Le corps s'effondra.. Mourir maintenant, cela serait si bête. Les yeux, encore en état de marche, se posèrent sur le papier. Des lettres noires et diaboliques disaient :
« Première arrivée, Première servie ! Dans l'optique qu'il ne soit pas trop tard pour vous deux...
Votre Zackoestros adoré. »
Les yeux se fermèrent. La main se referma sur la gourde.
Le Soleil flamboya de fureur. Alors que l'une avait trouvé de quoi se protéger, son autre victime avait disparu. Mais le passage de ses rayons resterai à jamais sur le corps de Nessaura.
Vénus avait la tête qui tournait. Elle se souvint de son ensevelissement... Elle s'apprêtait à porter un coup fatal au vautour, puis le sol s'était dérobé sous ses pieds... Elle se souvenait vaguement de petites mains qui la tiraient vers les profondeurs du désert.
...Et la voilà couchée sur un confortable duvet de sablon... Où était-elle ? Des petits voix aigües titillaient son ouïe. De petites silhouettes agitées l'assistaient... Sa main tâtonna instinctivement un étui latéral... Vide.
SA LYRE ! On lui avait arraché son instrument, son cœur !
Elle se leva d'un bond, faisant fuir les drôles d'êtres à ses côtés. Ne s'étonnant pas d'attraper du sable, elle agrippa l'un d'eux, serrant ce qui semblait être son coup.
La jeune hylienne calme et sereine avait radicalement changé... L'être lui fila entre les doigts, au sens propre du terme, abandonnant sa petite silhouette humaine pour se reformer une fois hors de portée de Vénus.
« Du Calme Jeune Hylienne
Laisse S'Estomper Ta Haine. »
Le Geldman ayant prononcé ces paroles étaient fait d'un sable différent, blanc, peut-être du gypse. Mais Vénus n'y prêta pas la moindre attention, ce qui lui importait était qu'il possédait sa lyre. Telle une fauve, elle se jeta sur l'objet convoité. L'être blanc n'opposa de résistance.
Une fois sa lyre récupérée, elle la blottit contre son corps, comme une enfant venant de récupérer sa précieuse peluche. Puis, reculant, son dernier regard haineux disparu sur le Geldman de gypse, elle reprit son habituelle expression impassible.
Elle tenait encore sa harpe fermement, néanmoins son souffle redevint calme. Tout en gardant une certaine distance, l'être de sable blanc reprit la parole :
« Point De Mal Nous Te Voulons,
Juste Une Petite Prestation,
Que Tes Doigts Sur Cette Lyre,
Puissent Avec Des Notes Nous Embellir. »
Comme tout hylien normal aurait réagi, Vénus resta médusée.
Le Soleil, devenu rouge, semblait bailler.
L'oasis se situait au bas d'une dune gigantesque, surplombant toutes les autres. Quant au point que l'on voyait de si loin, c'était en réalité une sphère grise titanesque, reposant sur une immense colonne. Il y était gravé un œil... Sûrement était-ce la représentation du regard puissant d'un dieu du désert, capable de vous voir où que vous soyez...
L'observation... En haut de cette dune, Nessaura pourrait parfaitement s'atteler à cette tâche. Maintenant qu'elle possédait les protections nécessaires ainsi que des vivres, elle avait tout son temps... Même si, à travers les épais vêtements, sa peau la faisait horriblement souffrir... Surmonter la douleur, l'important était de surmonter la douleur.
La longue et laborieuse ascension de Nessaura la mena vers une autre découverte. Au sommet de cette dune reposait une immense porte à double battant... Ou plutôt une trappe, puisqu'elle était posée à l'horizontale. Sculptée dans la pierre grise de ce mystérieux portail, on apercevait trois femmes soutenant un livre sur lequel étaient gravés trois petits triangles équilatéraux. A côté de chacune on distinguait de courtes inscriptions : « Nayru », « Farore », et « Din ».
Ici se tenait le supposé lieu de rencontre, le seuil du Palais du Désert...
Nessaura avança un pied, prudemment, et appuya sur l'immense porte. Elle ne risquait pas de s'ouvrir. Par précaution, Nessaura préféra s'installer un plus loin.
Elle jeta un regard autour d'elle... Elle bénéficiait d'un magnifique point d'observation, surplombant tout le désert. Son adversaire ne pourrait échapper à son arbalète... Si cette dernière avait pu, toute fois, échapper au Soleil.
La boule de feu si fière quelques heures auparavant s'apprêtait maintenant à disparaître.
Loin du peuple sauvage et hostile auquel on pouvait s'attendre, les Geldmans étaient des êtres civilisés, cultivés, aimant les arts et la littérature. Fuyant le monde barbare et sanguinaires des hyliens, ils s'étaient construit de gigantesque galeries souterraines sous le sable, un dédale de couloirs complexes, permettant de rejoindre les quatre coins du désert grâce à des échelles bien dissimulées.
Les Geldmans, effrayés par toutes les violences charnelles inspirées des hyliens, avaient abandonnés leur corps de chair pour une enveloppe de sable, une éternité de cela. Malheureusement, un corps de sédiment apportait également l'oublie de la faim, de la soif, de l'amour... Mais leur envie de découvrir et de développer leur savoir avait persisté, lui. Ainsi, leur labyrinthe souterrain restait parsemé de livre de tout âge et de toute sorte, leur permettant se cultiver et de multiplier leur connaissances. De ce fait, ils parlaient une multitudes de langues...
« Hsinim El Emêm Elrap No !
Amazing, No ?» S'enorgueillissait l'un d'eux.
Et ils se plaisaient à parler en rimes, même si certains n'en avaient pas la totale maîtrise.
« Belle Vénus
Comme Un Anu... » essaya un autre.
Ils avaient également un goût prononcé pour les sciences occultes, l'astrologie, la radiesthésie... et avaient développé certains dons plus ou moins étranges.
Mais ce qu'ils adoraient par dessus tout restait la musique. Jamais aucun livre ne réussirait à les faire s'évader aussi loin que la musique. Malheureusement, il n'était pas très doué dans ce domaine, et dans ces lieux reculés le seul concert qui passait régulièrement était celui du vent...
Ainsi, lorsqu'ils avaient repéré Vénus et sa Lyre, ils avaient sauté sur l'occasion.
En attendant le moment fatidique qui aurait lieu cette nuit en un endroit judicieusement choisi par les Geldmans, ces derniers chouchoutaient leur hôte avec soin. Vivres, eau, Vénus se faisait tout apporté sans rien demander toute fois. Comme à son habitude, elle ne conversait que peu, mais le Geldman blanc lui paraissait assez intéressant pour avoir un semblant de conversation.
« A la façon dont on m'avait parlé de vous, je ne vous imaginais pas ainsi... avoua Vénus au Geldman de gypse l'accompagnant.
- Nombreuses Rumeurs, Loin Des Véritables Mœurs, répondit-il. Puis Je Vous Demander, Ce Qu'Une Jeune Hylienne Comme Vous, Venez Faire En Ces Terres Reculées, Quel Est Ce But Fou.
- Je ne suis qu'une simple déesse s'étant égarée.
- Orgueilleuses Et Vaniteuses Sont Les Déesses, Éviter De Le Devenir Faites M'En La Promesse. »
La Nuit venue - et croyez bien qu'en ces lieux la nuit mérite qu'on lui mette une majuscule – les Geldmans accompagnèrent tous leur concertiste à la surface, excités et impatients. Ils l'amenèrent au bas d'une imposante dune, disant que l'endroit se prêtait totalement à la musique. Vénus ne comprenait pas encore pourquoi, mais il ne serait tardé.
Les derniers rayons du Soleil disparurent à l'horizon.
Après le soleil, Nessaura devait affronter l'ennui. Pas la moindre trace de son adversaire à l'horizon. Que faisait-elle ? C'était en combattant que l'on devenait combattante, pas en restant couché à l'affut d'une proie qui ne venait pas... Désespérée, elle finit par parler, seule.
« Papa... Vois-tu ce désert ? Tu sais, quand j'étais petite, tu me répétais souvent que le « désert » c'était là où l'on jetait les enfants polissons. Remarque, tu disais ça pour beaucoup d'endroit. Les Gorges, Les Cavernes... A croire que tu n'avais pas beaucoup d'inventivité. Je suppose que le combat et l'imagination ne sont pas compatibles. »
Elle soupira, réalisant peut-être, atterrée, qu'elle parlait dans le vide. Néanmoins, elle reprit :
« Tu te souviens, Papa ? De cette chanson que tu me fredonnais parfois. Tu ne connaissais pas de comptine pour enfant, alors tu chantais un hymne de combattant. ...
Oublions les ruses, le combat s'engage,
Feu ! Feu ! L'honneur est notre roi !
Les lames fusent, La bataille fait rage,
Sang ! Sang ! Pour l'honneur du roi... »
Elle s'arrêta. Une larme roulait sur sa joue... Elle allait gagner ce tournoi, elle allait briller, devenir une combattante, recevoir les honneurs... Alors pourquoi ? Pourquoi n'était-elle pas heureuse ?
Si elle avait demandé à lune, sans que le soleil ne le sache, si elle lui avait montré ses brûlures... Oh, non, elle ne se serait pas moqué d'elle.**
La lune, si belle en ces lieux, resplendissait. L'étendue d'or devenait étendue d'argent. Apollon laissait place à Artémis.
Le désert reflétait maintenant milles lueurs mystiques, chaque grain de sable semblait scintiller.
Une mer gris-bleutée immobile, sans embarcation, sans houle, s'étalait maintenant sous les yeux de l'hylienne. Le flanc des vagues sablonneuses brillait d'un éclat somptueux, L'écume déshydratée apportait un souffle étincelant.
Cette teinte argentée lui rappelait une chevelure...
Cette sublime mer lui évoquait un pirate...
Qui avait dénommé cet endroit ainsi ? Un esthète, lui, l'aurait qualifié de « Mirifique » au lieu de « Mystérieux ».
Avait-on toujours besoin d'apporter une explication à la beauté ?
Un grondement sourd se fit entendre, puis un roulement de tambours...***
Un grondement ? Non, c'était bien plus doux. Des tambours ? Non, plus subtile...
Le Chant des Dunes s'élevait. Les grains de sables, roulant, se chevauchant, donnait en cet endroit une voix au désert. Vénus entendit l'appel. Elle s'assit au dos de la dune mugissante et empoigna sa lyre. Elle s'imprégna du chant désertique, laissa résonner les échos graves dans son corps, se plongea dans le thème du mystère... Se calquant sur l'ambiance, la Déesse entonna un hymne...
Elle et son instrument, La dune et sa voix, formaient une cantate.
Les Geldmans, écoutaient, captivés... Leur voile de sable frémissait d'une ardeur passionnée. Puis, s'enflammant, ils accompagnèrent le concert à leur tour de leur voix de ténor...
Le vent s'invita alors, et transporta le morceau dans les confins du désert, transformant chaque grain de sable balayé en une note, soufflant la mélodie dans les recoins les plus sombres.
Les vautours quittèrent leur sommeil léger pour se laisser bercer. Les ombres les plus reculées s'animèrent en une danse d'argent. Les montagnes limitrophes paraissaient se rapprocher pour mieux jouir du spectacle. Les défunts esprits autrefois torturés par le soleil se reposèrent enfin.
Rêve, Lune, Rythme, Vent, Accord, Dune, Note, Sable.
Quel était donc cette résonance étrange ? Ce Désert portait décidément bien son nom. Mais Nessaura ne relâcha pas son attention pour autant. Il fallait aiguiser son sens de la vue, de la perception. Elle tenta de fermer son ouïe, ignorant cet étrange concert. Mais personne, même elle, ne pouvait rester insensible à ce Requiem.
Sable, Note, Dune, Accord, Vent, Rythme, Lune, Rêve.
De retour dans les galeries souterraines, Les Geldmans se perdaient dans leurs éloges. Certains reconnaissaient même en Vénus une vrai divinité. Cette dernière était assaillie par les petits êtres de sables, noyée sous leurs rimes, étouffée sous leur flatterie.
« Vénus Jeune Déesse
Je Crains N'Avoir De Phrase
Pour Décrire Cette Prouesse
Que Fut Ce Morceau d'Extase. »
« Oh Splendide Vénus
Rien Que Je Ne Connusse
Ne Fut Aussi Sublime
J'en Perds Même Ma Rime »
Maintenant que leur vœu le plus cher était d'entendre leur Déesse à nouveau, Vénus en profita pour réclamer leur attention. Tous se turent, et posèrent leurs yeux fanatiques sur leur nouvelle divinité. Sa voix chantante, chargée de notes, d'émotions, s'éleva dans les galeries sableuses.
« S'il vous plait ! Je suis sincèrement désolée, mais mon devoir de déesse m'appelle, et je ne puis rester avec vous plus longtemps. L'un de vous pourrait-il me guider à la surface, si possible jusqu'à une sortie proche du Palais du Désert ? »
Les Geldmans ne bronchèrent pas, insistant chacun pour être le guide personnel de leur divinité. Finalement, ils l'accompagnèrent tous.
Sur le chemin, Vénus se sentie attristée. Elle allait devoir quitter ce noble peuple, aux mœurs sages et possédant une sensibilité autrement plus développée que celle des hyliens. Cependant, dans son monde d'origine l'attendait un véritable poète...
Les êtres de sables la touchèrent une dernière fois en guise d'adieux, fredonnant leur nouvel hymne.
Seul le Geldman Blanc, celui qui l'avait abordé lors de son arrivée, lui réservait quelques mots d'adieux différents... Étrangement, il lui parla dans un langage dépourvu de rimes, de l'hylien pur.
« Jeune Vénus... Nous, Geldmans, avons été charmé par ta lyre. Tes doigts savent jouer divinement, donnent vie à la musique, remplissent d'émotions chaque note. Je te reconnais là ce talent, mais ne te considère pas pour autant comme une déesse... Des dons comme le tiens se font rare, alors s'il te plait, au nom du peuple Geldmans, ne le gâche pas inutilement en participant à une vulgaire tuerie... »
Vénus ne répondit pas. Elle avait déjà disparu à la surface, empruntant une échelle particulièrement haute...
La lueur de la lune n'avait pas faibli. Elle semblait réclamer une nouvelle prestation. Mais l'heure n'était plus à la musique. Vénus était, sans grande surprise, sur une dune. Mais une dune immense. De là où elle était, elle disposait d'une vue sur la totalité du désert. Derrière elle, une colonne colossale se dressait, au haut de laquelle trônait un gigantesque globe. Plus loin, à une cinquantaine de mètres, une grande plaque grise semblait posée au sol. Et encore un peu plus loin...
Elle avait vu juste. Nessaura, allongée non loin de l'entrée du Palais, guettait l'horizon à l'affut d'une cible... qui se trouvait derrière elle. Il lui fallait maintenant commencer un long travail d'affut... A 50 mètres, une arbalète était l'arme parfaite pour se faire tuer sans effort.
Vénus avait du périr dans le désert. La nuit était maintenant tombé et elle n'avait toujours pas pointé le bout de son nez. Heureusement, la gourde de Zackoestros lui avait permis de tenir sans avoir à redescendre jusqu'à l'oasis.
Les premiers mètres furent une réussite. Maintenant, il valait mieux passer sur cette porte pour éviter les crissements du sable. Espérons qu'elle ne s'ouvre pas.
Ce tournoi virait au grand n'importe quoi... Il ne mesurait absolument pas le talent de combattant... C'était d'un ennui...
Elle s'approcha le plus doucement possible, s'apprêtant à porter un coup lâche, empoignant fermement son Bo.
Nessaura bailla. Si son adversaire était morte, que faisait Linki ? Rester au même endroit la ferait rouiller...
Si elle devait être fière d'un attribut, ce serait sa discrétion...
S'il lui fallait reconnaître un défaut, c'était son impatience...
Plus que 3 pas et son Bo serait à porté...
Encore 3 minutes et elle s'assoupissait...
Ses mains tremblaient.
Ses paupières tombaient.
Arme Levée.
Sursaut Soudain.
Coup Violent.
Noir Complet.
Elle avait réussi !
Ouais, Ouais, parce que je vous rappelle juste au cas où :
Combat 10 : Nessaura/Venus. Intro page 66. Combat Lundi 16 (19h10).
Étonnant, non ? =D
Baby vs allo .
Originalité : Bon alors allo s'est défoncé sur ce point là avec l'action qui se déroule en une seule heure. Bon après je vois pas trop l'intérêt vu que t'exploites pas ce temps pour créer des situations tendus etc... En fait tu t'es juste contenté de mettre des heures et des minutes entre les paragraphes. Tu aurais pus tirer beaucoup plus d'une telle idée.
En ce qui concerne Baby, j'ai bien aimé aussi le coup de la fée qui ressuscite ton perso. Quand tu l'as pris dans la fontaine, je me suis dit : "ah, ça je l'oublierai pas, c'est sûr qu'il se retrouvera dans une situation critique et que la fée le guérira" . Et puis finalement tu t'es retrouvé dans une situation critique, mais j'avais totalement oublié la fée. Ca m'a fait un peu de l'effet.
Donc ça s'équilibre des des côtés... Je pencherai plus vers Baby, car allo n'a pas du tout développé son idée.
BABY.
Arène la mieux exploitée : Bon, ça rejoint un peu le coup de la fée. Ouais, Baby, j'ai adoré cette idée, même si c'était un truc élémentaire à l'arène. Je trouve que c'est une excellente exploitation. Bon après, il n'y a pas grand chose d'autre que tu as exploité. Si, tu as peut être mentionnés les plate forme de glace et tous ça...
Mais ça n'interviens pas réellement dans l'histoire.
Quand à toi allo, c'était vraiment, vraiment, mais alors vraiment trop brouillon. J'ai rien compris à tes descriptions, j'ai donc pas pu voir si tu avais utilisé l'arène ou non. J'ai cru voir que tu mentionnais une plate forme bougeante, mais franchement, c'était trop peu clair pour que je puisse me faire une réelle idée.
BABY
Personnages les plus vivants : Fly est froid. Enfin pas froid, mais on ne ressent absolument pas ses émotions et son caractère. Baby, tu t'es contenté de lui faire suivre les actions les unes après les autres. Bon j'ai lu le texte hier soir, j'ai pu oublié quelques passages où il pensait, mais dans l'absolu je me rappelle plutôt bien si la personne a bien décrit les émotions. C'est à ça que je fais le plus attention.
Allo, on ressent très bien le côté clownesque de ton personnage. C'est assez originale je dois dire. Enfin, c'est pas très bien décrit, mais ça c'est dans un autre critère. Il dégage une certaine aura assez... spécial . J'aime.
Baby a aussi fait vivre Harpant, mais bon, il ne lui donne aucune vie une fois encore. Je ne considère donc pas pour un plus pour lui.
ALLO
Action & Descriptions : Woulà, alors là ça va plutôt aller dans le critère "description" qu'autre chose, vous deux. J'ai vraiment pas bien pigé les actions de vos persos quand ils combattent, ou quand ils se poursuivent.
Par contre, c'était beaucoup plus flagrant dans le texte à allo. Du début à la fin, c'était le brouillard. Je comprenais absolument rien. Et puis bon, je me donnais pas trop la peine de relire. Pour moi, un bon texte c'est quand je suis entrainé dans l'écriture, pas quand je suis obligé de relire telle ou telle tournure de phrase 5 fois de suite. Et puis on ressent vraiment mal l'arène. Vous dites qu'il fait froid, mais c'est pas seulement en le disant pendant une phrase ou deux éparpillées dans le texte qu'on le comprendra. Et puis aussi, l'histoire des plate formes, j'ai rien compris du tout oO . Où elles sont accrochés ces plates formes. Elles sont censés être au dessus d'un lac ? Ouais, moi par défis, je ne lis pas l'intro de Linki avant de lire un texte pour voir si c'est vraiment bien écrit, mais là j'ai pas pigé la construction de l'arène chez vous deux. Je me suis cependant plus imaginé l'arène chez Baby.
BABY
Qualité de l´expression (orthographe, vocabulaire) : Boarf, ça rejoint un peu ce que j'ai dit. Baby est supérieur sur l'expression mais il n'en reste pas pour autant bon. Le texte de allo est bourré de faute et de tournure maladroite, et de faute, et de tournure maladroite. Baby beaucoup moins de tournure maladroite, et un peu moins de faute. Donc, point pour...
BABY
Préférence : Voilà, je vais être franc. Vos deux textes, je les ai pas du tout apprécié. Moi quand j'ai lu vos intro, je m'attendais à beaucoup mieux. Trois fois même quatre fois mieux. Vous m'avez déçu, même si je ne connais pas d'autre texte de vous. Cependant, je suis plus rentré dans le texte à Baby pour les fautes moins abondante et les descriptions un peu mieux. L'idée du 24 heure chrono était vraiment pas mal dans le texte à allo mais vraiment pas assez exploitée.
Et puis, question de gout perso, j'aime quand vous décrivez bien vos personnages et leurs émotions, et là c'est mal fait dans les deux. Enfin j'ai plus aimé la personnalité d'Harpant, mais ça reste mal écrit. Bon, bref, parce que Baby écrit mieux, je lui attribue le point.
BABY
Je suis désolé si j'ai été un peu rude dans mon vote, mais c'est surtout parce que j'ai été choqué de la différence entre vos présentations et vos textes.
1-5 pour BABY .
Chaud comment Gouloudrioul va s'prendre un malus parce qu'il aura posté un vote entre les deux textes du combat
Sinon, je suis désolé de ne pas avoir voté cette semaine, c'est juste qu'après mon introduction, j'me suis abstenu de lire d'autres textes
Mais je m'y remets dès maintenant, et vu que la limite du combat MKvsSagara a été repoussée, je vais en profiter pour voter.
Ah meeeerde >< . J'avais pas vu . Ce qu'il y a c'est que ça prend longtemps d'écrire un vote et que j'avais pas rafraichi et que j'avais pas vu qu'un texte avait été posté .
Goulou Nan mais SG plaisantait hein xD
Nan mais je sais, mais j'ai quand même merdé .