¤ Dans la campagne du Japon, Opération Destruction ¤
Le vent sifflotait, une petite brise fraîche qui me fit du bien, après ses jours d’extrême chaleur. J’étais assis contre des sacs de sable, tout en allumant ma cigarette, nettoyant ma Karabine et en écoutant la radio. Mes acolytes se rasaient grâce aux bouts de verre qu’on avait ramassé sur le chemin. On avait été envoyé dans ce trou perdu, en renfort, devant protéger les tranchées japonaises des attaques des alliés. Notre ligne d’artillerie était impressionnante, les canons de 88 millimètres surplombaient le lac. Quand je finis mon assiette de bouillis ressemblant de la purée, une voix retentissait des enceintes de la radio. Cette voix inquiète nous affirmait que l’attaque contre un dépôt de munition avait réussis mais que nous devions protéger la retraite des Panzers et des chasseurs de l’aviation et nous devions contrer la contre-attaque des alliés. Tranquillement, je prenais ma Karabine, la posais contre le canon puis aida les autres à prendre des caisses de ravitaillement. Une dizaine de minute plus tard, les premiers avions survolèrent nos têtes, les premiers avions tombèrent, comme les missiles.
On stressait, nous ne pouvions rien nous, nous, on devait s’occuper des attaques terrestre, mais nous savions que nos vies étaient en danger. Sous les bruits des mitrailleuses, nous mirent le premier obus dans le canon. Je pris mes jumelles, jeta ma cigarette et vit les premiers Sherman sillonner nos routes. Je leva ma main droite puis la baissa, l’obus fracassa le blindage de notre cible. Juste après cette réussite, un avion arrivait au dessus de notre toile nous camouflant et mitrailla notre emplacement. Par chance, aucune balle ne toucha les munitions.
Mais cette frayeur confirma notre idée de faire vite. Je demanda donc à quelque un de placer une Mg42 dans une autre unité et à mon tireur d’élite de ce mettre contre les sacs. Il devait repérer les cibles. Les premiers transports de troupes des alliés furent stoppés par nos munitions. Les chars américains ne rivalisaient pas dans la campagne contre nos Panzers, avec l’appui de nos canons. Vers 17 heures, nous chargeâmes le dernier obus et détruisait un Crusader qui essayait de fuir. Notre mission fut mené à bien.
tres bon texte seigneurkratos
bon texte mais les allemands pendant la campagne du japon?
Bah c'est pas gave moi mon américain va au japon , au États Unis , en Russie , Au canada , en Allemagne , en France et en Italie alors
Merci Callofduty41.
Je ne dirais qu'un chose :
" COOOL "
WAHHHH j'ai postés 462 messages et là c'est le 463 ème .
16 249 messages, 1088 jours.
anti flood
re up
Je suis prêt pour une mission.
MISSION:
Adoplphe Wolfenshtein a été capturer a toi et tes hommes de le délivrer !
Mais , je suis dans les régiments d'artillerie, je ne combat pas dans les tranchées Potam.
Suite :
À terre je ne pouvais rien faire . J'essayais de ne pas pensé à la chose postés sur mon dos ne pouvant me retourner je scrutais l'horizon . Je vis alors du coté des tranchées ennemis les renforts arrivés ils étaient plein et tirai à tout va dans les tranchées ennemis . Le problème c'est que je n'y était pas loin ! Je vis alors un soldat allemand courir dans ma direction il me visai tout en courant je vis alors la douille de sa dernière balle tirés volés . Il venait de recharger et je pensai que c'était la fin . Il me visa à 10 mètres alors que j'étais à terre . Il eu un moment d'hésitation a me tirer dessus . Malheureusement pour lui ça lui couta la vis car un " J.I. " postés sur la droite du char le brûla vif . Il mit tellement de gaz que le soldat n'eu le temps de souffrir il tomba à terre . Mais son doigt était resté sur la gachette il tira alors involonterement sur le soldat" J.I. ". Une balle suffit , elle avait traversé le bidon arrière du lance-flamme( Comment ça s'appelle? )
et il explosa en feu de toute part . Un soldat ennemis tira par hasard alors dans sa tête se qui le fit tombé à l'interrieur du char . On entendait des cris étouffés affreux puis le calme revint mais pas pour longtemps car je ne sais pourquoi les soldats du char on fait n'importe quoi ce qui fit exploser le char le soldat de la tourelle se fit éjecter seul une main était restés accrochés sur la tourelle . Ceci fut la dernière mésaventure de cette bataille car ils firent explosés une bombe après voir évacués les troupes qui étaient présentes moi y compris fut transportés sur une cisière . Mais lorsqu'il firent explosés la bombe ils savaient que des troupes alliés étaient encore dans les tranchées ou cachés dans tels ou tels restaurant . En infirmerie je vis mon colonel j'eus alors la réjouissance d'apprendre qu'il s'en tirerai mais qu'il gardera toute sa vie cette marque de guerre , cette brûlure , qui lui faisait souvenir des souffrances atroces .
FIN J'espère que les habitués aimerons dîtes vos avis sur TOUT le texte pas que celui-ci
PS : Vous aurez remarqués que sur le dernier chapitre le héros reste à terre et e fait rien et j'espère avoir abouti a tes envies call .
non pas du tout j'ai trésbien aimé ton texte lesel94
Lesel, tu peux me donner une misison ?
seigneurkratos je te donne une mission
tu es dans un bunker au poste artillerie sur la plage d'omaha le 6 juin 1944
voila
une mission pour moi?
pas pearl harbor svp!!!
Magnifique Call !