Cixi descendit de son trône suivit de ses deux Chiens de l´Enfer.Elle marcha sur les cadavres qui étaient laissé au sol dans le couloir de l´entrée.Le mur était recouvert de sang et des morceaux de chair gisait de part et d´autre du couloir.Cixi sortit du château et déambulait dans la foret.Elle continuait de marcher quand soudain ses Chiens reniflèrent quelques choses.Elle les suivit et arriva à un campement.Toutes les lumières du campement étaient éteintes et il n´y avait aucun bruit dans les tentes.Yunie se baissa au niveau de ses chiens et leur murmura à l´oreille.
Cixi: A table...
Les Chiens s´élançèrent dans les tentes en dechirant la toile.Il y eu des hurlements et des cris de dechirement.Il n´y eu plus de cris et quelques minutes après les Chiens resortirent avec pleins de sang sur eux.Yunie s´approcha des Chiens et passa sa main sur le sang.Elle porta son doigt à sa bouche et lecha le sang.
Yunie:Hum...Des petits jeunes...Vous avez dû vous regalez...
Les Chiens tournèrent autour de Yunie d´un air satisfait.
tin... si tavais lu taurais pas foutu nimporte koi...
De un: on est TOUS des vampires.
De deux: on oublie les nom: message
De trois: C a la premiere personne pas 3e
De quatre: qui est yunie? ton perso sappelle cixi
Le pire c´est qu´il a raison
ouaip yunie et bienvenue
bon je continue
Nous étions tous beaucoup plus qu´en colère contre lui, nous le haïssions.
- Mettez les dans la cale. déclara-t-il. Et qu´ils ne s´échappent pas!
Les soldats se dirigèrent vers nous, mais avant qu´ils nous atteignent, Himo se jetait dans la bataille, nous entraînant. En un éclair nous sortions nos armes et le chaos s´installait sur le vaisseau.
Himo, Anya et les autres étaient encerclés par des gardes et essayaient de les repousser, alors qu´Elazul et moi-même nous retrouvâmes face à Clanque.
Nous nous lançâmes un regard et Clanque dégaina aussi, il ne se laisserait pas faire, évidemment.
Nous jetâmes sur lui, mais il était fort, et réussit à parer.
J´essayais de l´attaquer, mais me pris un coup de pied et vola dans un couloir sombre qui menait à la soutte. La porte se referma en claquant, je me relevai et essayai d´ouvrir la porte mais celle-ci resta bloquée.
Après 3 ou 4 essais, je réussis enfin à l´enfoncer. Dehors, la situation avait changé : de plus en plus de soldats encerclaient le groupe et Clanque tenait Elazul par le col ; au-dessus du vide! Clanque nous regardait d´un air méprisant, Elazul essayais de se dégager, mais rien n´y fesait, Clanque tenait d´une poigne de fer.
Clanque lacha Elazul qui entamma une longue chute libre qui le séparait du sol ; Je me précipita au bord du vaisseau, fonçant dans Clanque en lui donnant un coup d´épaule pour qu´il s´écarte de mon passage et sauta dans le vide, à la suite d´Elazul, déployant mes grandes ailes.
Il fallait rapidement que je le rattrape. Je me rapprochai, attrapait sa main, mais je n´arrivai pas ralentir notre chute, nous étions comme aspirés vers le sol...
Je battai le plus fort possible de mes ailes pour remonter, mais rien n´y faisait, nous nous raprochions de lus en plus.
Je me mettais sous lui pour essayer de le pousser vers le haut, et réussit à ralentir notre chute...mais un peu trop tard.
Nous nous fracassâmes sur le sol, créant un nuage de poussière.
Elazul roula sur le côté, j´avais absorbé une partie du choc, vu que j´étais en dessous de lui.
Après quelques minutes, nous nous relevâmes, la tête bourdonnante. Je ne sais pas comment nous avons fait pour nous en sortir vivant.
Nous étions dans un sal état, ma blessure saignait encore plus, il avait sans aucun doute quelques côtes cassées.
Léona:*ouch le réveil sera dur demain matin *
- Euhh merci. bredouilla-t-il
- C´est normal. répondis-je On doit remonter là-haut?
- Oui, on va pas laisser les autres.
- Je vais remonter et essayer de trouver un moyen de te remonter aussi.
. ...euh si je peux remonter...
En effet, j´avais une aile froissée et tordue, impossible de voler avec une seule aile!
- Laisse faire. dit-il en s´approchant
- hein?
Il remit en place mon aile d´un geste sec, produisant un craquement ; je serrai les dents.
- Voilà
- Comment t´as fait ça?!
- Je sais faire ça depuis longtemps
Je m´envolai alors bien que j´avais mal partout...
Je remontais rapidement sur le vaisseau, où la bataille grondait toujours.
- Léona!! Quelle chute j´ai cru que vous ne vous en sortiriez pas!!
Anya m´avait lançé ça entre quelques attaques.
- J´arrive tout de suite!! criai-je.
Je me précipitai à l´avant du vaisseau, après quelques couloirs je redébouchai à l´extérieur, et entrai dans la cabine de pilotage. Il n´y avait que le pilote, je l´assomai, le prenant par surprise.
Je me mettai aux commandes, et fesai descendre le vaisseau le plus bas possible, puis le mettai en vol stationnaire.
Je remontai là où les autres combattaient toujours, embrochait au passage un soldat, et courrait vers l´arrière du vaisseau.
Elazul avait compris, il se précipita vers le vaisseau au ras du sol, quant à moi, je fesai descendre la grosse échelle de corde à l´arrière du vaisseau, alors que le pilote commançait à faire redémarrer le vaisseau.
Elazul grimpa de justesse à l´intérieur...
J´ai jamais dis que Yunie était dedans
Une tête roula sur le sol laissant un corps réalisant un bruit assourdi en se fracassant sur le sol laissant le sang gicler de l’endroit où sa tête se trouvait quelque minute auparavant. Un autre garde tenta de m’enfoncer une épée dans le corps mais celui n’eut pas le temps. Seul son torse pouvait encore ramper sur le sol. Mes compagnons et moi nous battions depuis de longues minutes déjà. Nous commencions à se demander si Clanque manquerait d’énergie un jour pour cesser de ressusciter ses gardes. Chaque garde que nous jetions au sol se relevait quelque instant après. Mon regard se porta sur l’horizon, nous n’avions plus beaucoup de temps avant que le soleil ne se lève et vienne brûler nos chairs déjà meurtries par les blessures. «Nous devons partir» Criais-je à mes comparses. Ils comprirent immédiatement pourquoi. Nous nous frayâmes un chemin vers le bord du vaisseau. Élazul fut le premier à sauter suivi par la Anya et les autres. Je restai seul avec Léona face aux gardes et aux incantations de Clanque. «Vas-y Léona je vous rejoindrai, trouvé un abri je le trouverai» Après une hésitation elle se déploya ses ailes et s’envola alors que le vaisseau commençait à accéléré d’une étrange puissance. Clanque cessa de relever ses guerriers me permettant de les détruirent, comme s’il voulait que je parte. Il ne réagit pas étrangement. Je me retournai après avoir détruit le dernier garde avant que je m’élance vers le vide Clanque ouvrit la bouche «Tu es bien comme ton père…» Je n’entendis pas le restant de la phrase peut-être par le fais que je m’élançais au même moment ou peut-être par le choc de ces mots. Alors que ma longue cape ralentissait ma chute je repensais à tout cela. J’atterris dans une plaine glacée par le froid et la neige. Un nuage de neige se leva par le choc de l’impact. Je me relevai au milieu du vent et de la neige pour ranger mes armes et faire un bilan de la situation. Combien de temps s’était écoulé pendant que je m’attaquais à ces gardes ? Le levé du soleil n’était pas avant plusieurs heures alors qu’avant la fuite de Léona il était près à se lever dans l’heure suivant son saut. Peu importe je devais avancer, avancer pour trouver un endroit où me cacher et me nourrir. Je me mis à marcher dans la tempête qui s’était levé. Chaque pas laissait une empreinte bien profonde dans la neige même si celle-ci devait disparaître enterré quelque temps plus tard. Au loin des montagnes blanches se levaient se je dirigeai vers elles en quête d’une grotte pour m’abriter avant le jour. Mais je trouvai mieux, bien mieux. Non loin de moi un village entouré d’une palissade s’élevait.* Qu’est-ce qu’un village peut bien faire ici ? * Je me dirigeai vers son immense porte qui le protégeait. Je frappai trois coups. Une petite fenêtre s’ouvrit je réussis à distinguer deux yeux qui cherchaient à voir mon visage mais n’y parvenaient à peine à cause du noir de la nuit. «Que voulez-vous?» Sa voix était a la fois aigue et grave et il parlait avec une certaine rapidité peu commune à mes oreilles. On répéta la question une seconde fois. «Un voyageur qui cherche à s’abrité de la tempête» L’homme hésita un peu, il finit toutefois à fermer la fenêtre. J’entendis une dizaine de loquets s’ouvrir avant de voir mon interlocuteur ouvrir la porte. C’était un petit gnome qui devait monter sur un banc pour pouvoir voir à travers l’œillet de la porte. «Je sais ce que c’est moi-même je se suis arrivé ici comme ça. Entrez ! Entrez ! Bienvenue à Biquosac. Vous allez venir chez moi j’ai fini mon service juste le temps de fermer la porte. Je mis les pieds à l’intérieur de l’enceinte du village. Quelques maisons et échoppes d’artisans la constituaient. Le petit gnome m’amena à travers rues et ruelles vers une petite maison simple. «C’est ici ! » Il ouvrit la porte et j’entrai à l’intérieur. Bien que j’aille faim je ne pouvais le tuer pour le moment on l’aurait chercher et la venu du jour m’inquiétait. J’allai me coucher un peu plus tard dans une chambre qui m’offrait en demandant de ne pas me déranger avant demain soir prétextant une grosse fatigue.
Nous marchâmes pendant des heures dans cette forêt, privés de repères géographiques. à un moment donné, des sons se faisaient entendre dans l´horizon. Je reconnu aisément les tambours de guerre des goblins, la forêt en était infestée. Le sang des goblins étant tout sauf comestible, je préparai mes amis au pire. Je leur dit que nous devrions rationner, que le sang que je trainais était délicieux mais qu´il faudrait se contenter de quelques gouttes, quelques fois par jour. Nous étions abattu, les chances qu´il y ait des humains dans cette forêt étaient très minces, presque nulles.
Malgré tout, la faim nous tuerait surement avant le manque de sang alors Anya proposa d´attaquer un petit groupe de goblins.
Je dis " peut-être y aura-t-il des esclaves humains et je pourrai refaire des provisions"
" Brillante constatation, Dangué" rétorqua Elazul.
" Alors allons-y" dit Léona.
Nous nous digions donc vers le son des tambours.
scuse tu prends ton rôle très à coeur
" dangué" encore une expression canadienne? ~~
himo, . .. tu me fais chier, je fais de mon mieux
et non, Dangué, c´est mon nom.
ah oue men souvenais pu...
Au levé du jour, la lumière passait partiellement aux travers des arbres, alors nous devions zigzaguer pour nous déplacer dans la forêt. Tout repos prit en attendant la nuit serait du retard et nous mènerait peût-être à la mort.
Vers midi, nous arrivâmes à l´orée d´une clairière, un petit camp de reconnaissance goblin. Par contre, impossible d´attaquer, les nuages étant absents.
" Montons dans les arbres, sinon de goblins nous repereront", dis-je.
" Bonne idée, dit Léona, nous pourrons les observer et découvrir une technique d´attaque"
C´est ce que nous fîmes. Pendant environ huit heures, nous les avons observé. Nous avons découvert qu´il fallait mieux les tuer dans la clairière car ils sont beaucoup meilleurs que nous pour se cacher dans la forêt. Nous bûmes un peu de sang, rassasiant notre soif de vampire, mais je pouvais entendre les ventres de tous gargouiller. Il était vraiment temps que nous mangions.
JE prend la suite demain soir
Finalement ça sera peut-être demain dans le courant de la journée comme j´ai pas d´école. Je met beaucoup d´énergie sur ever ce soir parce qu´avec l´histoire de nynoxe et maintenant la partie Himo. En tout cas je vous laisse voir par vous-même pourquoi je posterai PEUT-ÊTRE pas ce soir.
Le petit gnome entra dans ma chambre à la nuit tombée. «Je vais faire mon service, se n’est pas que je veux vous mettre à la porte mais…» Plus aucun son ne sortira de cette bouche à l’avenir avant même qu’il est fini sa phrase une douleur intense le prenais à la gorge. Je le vidai de son sang jusqu´à la dernière goutte. Son corps maintenant presque blanc tomba sur le sol de son taudis. Je pris mes choses et sortit de la maison en vitesse. Dehors les rues étaient pratiquement vides, seul quelques couples marchaient encore sous la lumière de la lune. Je couru vers la porte où un humain montait la garde. Il était las d’attendre après quelqu’un qui ne viendrait jamais. «Halte qui va là? Personne ne sort de nuit de ce village glacé.» «C’est ce que tu crois» Malgré le fait qu’il ai dégainer son arme lorsque celui-ci fut prêt déjà sa gorge était ouverte et répandait son contenu sur le sol. Je pris le corps et le placé dans l’ombre pour qu’il soit découvert que plus tard dans la nuit, ou du moins au levé du jour, l’important était que je sois loin, très loin. J’ouvrit les loquets à toute vitesse et sortis dans la nuit. J’étais dans les plaines enneigé du nord sans compagnons et complètement seul. Pourquoi Clanque m’y avait amené ? Et comment connaît-il mon père ? Tant de question sans réponse…Trop même. Je marchai au hasard vers les montagnes que j’avais aperçut la nuit dernière afin d’y trouver un endroit où je pourrais évaluer la situation de manière à retourner auprès de Léona et les autres. J’entrepris l’escalade d’une montagne vers le milieu de la nuit.* Léona si j’avais tes ailes* Toutefois mes griffes me permettaient de bien m’agripper à la glace. À près de trois heures du levé du jour je pus apercevoir une grotte s’enfoncer dans le cœur de la montagne. J’y entrai avec mes épées au poing prêt à tout éventualité. Mes pas résonnaient dans les profondeurs de la grotte. Le vent qui soufflait à l’extérieur créait des bruits inquiétants en entrant dans la grotte. Lorsque j’eut la certitude qu’il n’y avait rien, du moins à ma connaisse du moment, je m’assied sur la surface froide et glacée. Je réfléchit à ma situation et comment je pourrais retourner au Quain sain et sauf. Je n’avais d’autre choix que de reprendre le chemin inverse en m’arrêtant aux endroits les mieux couvert pour ne pas souffrir de la lumière du soleil. Je me reposai durant tout le jour avant de repartir vers le Quain mais une question restait toujours. Pourquoi m’avoir amené là-bas??
Dsl j´avais prévu autre chose mais c´est trop tôt. Mais il y aura un come back dans ces montagnes
Nous les observions déjà depuis environ 1 heure et demi.
Soudain, des flèches vinrent se planter juste à côté de nous, solidement fichées dans le tronc des arbres.*Ca vient de derrière*
Je me retournai tout comme le reste du groupe et apercevai les 3 gobelins qui allaient vers leur camp en courant le plus vite possible.
- Ils vont donner l´alerte! m´écriai-je.
Déjà le campement se mettai en position de défense.
Il allait falloir se jeter dans la bataille le ventre vide...
c´est le centième message