J'aimerai bien quelques com's avant de poster la suite.
Je veux pas vous imposer un certain nombre de commentaires, mais un peu de soutien me ferait du bien, sachant que j'aurai fini le prochain chapitre avant la fin de la semaine.
Tu ne prends pas plus d'avance que ça dans ta fic?
Je l'ai reprise en revenant des vacances, c'est à dire il y a à peine une semaine. J'entame le chapitre 10 aujourd'hui même.
ALOR LA SWEET?
2MIN TET 2 CHI1
CHAPITRE 9
Blop !
Parapounet entrouvrit les yeux. Quel était ce bruit étrange ?
Blop ! Blop !
Il essaya de se remémorer les évènements précédents et de savoir comment il était arrivé dans cet endroit étrange. D’ailleurs, où était-il ? Il flottait dans un liquide très épais de couleur bleue. Il entravait ses mouvements et lui collait à la peau. Le Paratroopa ne pouvait pas bouger la tête d’un millimètre, mais, étonnement, il n’était pas asphyxié.
Blop !
Des petites bulles tourbillonnaient vers la surface et éclataient dans un bruit de succion atroce. Parapounet était enfermé dans un long tube rempli du liquide fluorescent. Après que ses yeux se fussent accoutumés au noir, il jeta un rapide coup d’œil à la salle. De forme ovale, ses murs étaient parsemés de machines semblables à la sienne. Il distingua dans l’une d’elles une énorme créature de plusieurs mètres à l’air effrayant. Il ne s’attarda pas sur elle et vit au centre de la pièce une table sur laquelle étaient entassés nombre de tenailles, de couteaux et d’instruments tous aussi peux accueillants. Il crut distinguer la forme de Masskou dans un des tubes mais il se dit qu’il avait dû rêver, Masskou était mort dans le crash de l’avion. Du moins, c’est ce qu’il pensait. Il aurait dû l’être aussi, d’ailleurs, mais il était encore en vie. Pourtant, son estomac le faisait souffrir le martyr et il avait une énorme blessure au ventre. Il inspecta encore la salle et vit qu’un tableau de commande était disposé devant chaque tube. Inutile d’essayer de l’atteindre, il était entravé par la matière bleue. Tout d’un coup, les néons s’allumèrent simultanément et aveuglèrent Parapounet. Le temps qu’il recouvre la vue, une de ces créatures extra-terrestre s’était avancée dans la salle et avait attrapé un énorme couteau de cuisine maculé de sang. Elle était drapée d’une longue cape blanche qui recouvrait son visage, il ne pouvait donc pas voir qui elle était. Il sentit l’effroi monter en lui, et il avait une irrésistible envie de crier, qu’il réprima, de peur d’attirer l’attention. Peut-être que le tortionnaire n’était pas venu pour lui.
Mais elle s’avança vers lui d’un pas déterminé. Il sentait sa fin proche. De près, il la voyait un peu mieux. Elle portait un chemisier blanc recouvert par sa d’infirmier maculée de sang. Un sourire discret fendait son visage. Elle tripota le tableau de commande à l’avant du tube, et le liquide se vida. Puis, la vitre s’ouvrit, laissant Parapounet à la merci de son tortionnaire. Elle plongea son couteau dans son abdomen, laissant à Parapounet le temps de formuler une dernière pensée : « Oh non, pas encore… »
Une boule de feu voltigea dans les airs et s’écrasa contre un Xhampi qui s’effondra lourdement sur le sol froid et sale.
Mario était à bout de souffle, il usait des dernières réserves de sa fleur de feu, mais à chaque fois qu’il mettait K.O. un Xhampi, deux autres le remplaçaient. Il était submergé par le nombre et devait élaborer un plan de retraite. Il esquiva un tir de laser et se mit à couvert derrière un Xhampi groggy. Les autres n’osaient pas tirer sur lui, et il recula doucement. Il avait son ticket de sortie ! Mais, contre toute attente, un alien envoya une volée de missiles sur lui. Il s’écarta puis envoya le reste de ses boules de feu ce qui créa un petit mur de flammes, et s’enfuit en courant dans une autre direction, les aliens à ses trousses. Il courait à perdre haleine, et, qui plus est, le vaisseau était un vrai labyrinthe, et il eut vite fait d’être perdu. Il passa devant des machines d’une technologie étrangère à celle du Royaume Champignon, immense et bruyantes. Cet endroit lui rappelait des souvenirs, mais il n’arrivait pas à mettre la main dessus. Il piqua un sprint dans un hall immense en se demandant où pouvait bien être Goomby. En effet, personne n’avait aucune nouvelles de lui. Soudain, une nuée de Xhampis lui firent face. Derrière lui, une dizaine d’autre s’arrêtèrent. Il était encerclé. A droite de lui, se tenait une imposante porte grisâtre. Il la poussa violemment et déboucha dans une salle immense. Un tapis rouge se déroulait à ses pieds, et des lumières bleues artificielles étaient accrochés au mur. Au centre se tenait une sorte d’arène, grillagée, avec deux entrées. Soudain, une immense voix retentit dans la pièce, se répercutant sur les murs en créant un écho effrayant.
- Fuyuyu !
- Je connais ce rire ! s’exclama Mario, les souvenirs déferlants en lui.
- Evidemment, c’est moi, l’immense Graguémona ! s’écria la voix tonitruante.
A ces mots, deux projecteurs éclairèrent un immense trône sur lequel se tenait Graguémona, la Reine des Xhampis, celle qui avait voulu maintes fois éliminer Mario. Il était situé juste au-dessus de l’arène, de sorte qu’elle pouvait épier les moindres faits et gestes qui s’y déroulaient. Elle était vêtue d’une combinaison violette et blanche qui lui recouvrait le corps entier, et qui était reliée à un immense générateur par deux longs câbles. Mario se demandait à quoi pouvaient-ils servir, ainsi que le générateur qui semblait pomper de l’énergie pour la transmettre au vaisseau.
- Mon cher Mario, dit-elle d’un air suffisant, le fusillant du regard, tu as finalement finis par me trouver ! Tu vas subir ma terrible vengeance, petit être infâme !
- Tu peux toujours essayer, je te vaincrai une fois encore ! lui cracha-t-il au visage, alors que deux Xhampis imposant l’encerclaient et le trainaient vers l’arène.
- Tu vas mourir dans cette arène, et lentement… très lentement jubila-elle entre deux rictus effrayants.
Mario fut jeté dans l’arène, livré à lui-même. Elle était d’une circonférence d’une dizaine de mètre, ce qui était relativement petit. Il n’aurait pas beaucoup d’espace pour se battre. Au-dessus de lui, Graguémona le fixait terriblement, l’écume aux lèvres. Elle l’imaginait déjà agonisant, l’implorant du regard. Elle se lèverait, et l’achèverai elle-même, en entendant son dernier gémissement. Elle avait si hâte. Si elle n’avait pas déjà vendu son âme au diable, elle l’aurait fait pour pouvoir profiter de ce moment. Voyant que Mario s’échauffait et qu’il attendait impatiemment son adversaire, elle fit un geste de la main en direction de l’énorme porte qui se trouvait à l’autre bout de l’arène. Deux esclaves l’ouvrirent avec difficulté, et Mario vit une ombre se profiler.
- Voici la chose la plus extraordinaire qui soit ! Elle va te glacer le sang, te paralyser pour ensuite te tuer magnifiquement… fuyuyuyu ! Voici… Cyborg 2.0 !
Mario vit une créature immense sortir. Elle mesurait plus de deux mètres de hauteur, était musclée et rafistolée de partout avec des plaques de métal pour la tenir. Elle avait une tête étonnement petite pour son corps, et des dents acérées semblables à des défenses sortaient de sa gueule dégoulinante de bave. Mario ne vit qu’au dernier moment la chose la plus effrayante qui émanait de cette créature. Un frisson lui parcourut l’échine, il trembla de tous ses membres. La tête de Parapounet était accrochée à sa ceinture.
KON TEN ?
Happy. :awesomeface:
Pas mal du tout, mais c'est pas très clair : Parapounet meurt, revit, puis remeurt?
Autant le crever tout de suite. ~ ~
Attendez les deux prochains chapitres et vous comprendrez. ~ ~
:mahboi:
Don't use mahboi if you don't know what that mean. :wink:
Très bien comme d'hab mais je comprends pas pourquoi Graguémona a le rire de Gracowitz .
J'ai dû louper un truc là .
C'est moi qui me suis trompé.
Ça fait plus de 5 ans que j'ai pas joué au premier M&L sur GBA, donc j'ai confondu les deux. ~ ~
Mais c'est bien Graguémona, pas le haricot tout moche avec sa voix de merde.
J'espère que Fdw ne viendra pas ici ...
Me too.
Oui, ça m'a paru bizarre aussi, mais j'ai mis ça sur le compte de ton excentrcité.
Excentrique ?
Je suis vantard mais faut pas pousser aussi loin quand même...
Je préfère être excentrique que vantard. *wink*
OSEF, tu dis que je suis les deux.
Pour la peine je boude.
Tu es pas les deux. /
MAÏDAÏ
Tu n'es pas les deux.