Super Mario Galaxy 2

Car j'attends la suite

Vraiment vraiment désolé mais j'avais pas du tout le temps d'écrire le chapitre.
C'était la semaine des DST avant le conseil de classe, et j'ai révisé à fond.
Mais c'est bon, et j'espère que le chapitre sera bientôt écrit. :k:
rachou, je mets environ deux trois journée pour le scénario global.
Ensuite, je passe 1 demi-heure sur ce qui va se passer dans le chapitre, je l'écris pendant une autre demi-heure.
Le lendemain, je me relis, je corrige mes fautes, rajoute des descriptions, des précisions, et je post le lendemain suivant.
Ce qui fait donc, en général, 4 jours pour un chapitre.

D'accord professeur Ketchup

Ne laisse pas tomber ta fic Ketchup

Pas d'inquiétude, la suite arrivera ...

Je viens de lire ta fiction tu écris et tu dessines très bien. Ton seul défaut c'est que tu te vantes.

Je plussoie tomate
(tomate = superfk pour ceux qui ne savent pas)

Yohohohoho !!!!!
Désolé d'être... égocentrique ( ) mais tout le monde a des défauts et c'est le mien.
Même les profs me disent ça, alors ça doit vraiment être grâve.
Voilà le 3e chapitre très... attendu.
Désolé du temps que j'ai mis pour l'écrire. Bon, j'ai un problème de scanner, il faut qu'on en rachète un autre, et prendre mes deux dessin avec une photo, ça va être catastrophique, la qualité sera juste... pourrie.
Mais je post quand même, car en cette période de troubles ( eh oui, Cam' quitte le forum )il faut mettre un peu de gaieté.
Voilà, j'attend avec impatience vos commentaires.

CHAPITRE 3

CHAPITRE 3

Mario était épuisé. Il enjamba une haie d’aubépine et atterrit dans un petit jardin. Il s’appuya contre le mur, haletant. D’un côté, le château de Peach, surveillé par des gardes à l’affut du moindre bruit. De l’autre, la brigade Toad toute de noir vêtue, qui le poursuivait depuis une bonne demi-heure. Notre moustachu n’avait aucune issue possible. La police le rattrapera et il ira en prison. Il avait perdu tout espoir, et marcha calmement vers la brigade.

« Quelle magnifique vue ! » se dit Goomby, en admirant le grand château de Peach. En s’approchant un peu, il déchanta vite. Les gardes lui interdisaient l’accès, car, apparemment, plus personne n’était autorisé à entrer. Déçu, il longea le château. Soudain, il vit Mario aux prises avec des brigadiers. Son ennemi juré, passé du mauvais côté de la loi ? Non, c’était impossible. Il décida de sortir Mario de ce pétrin pour tirer cette affaire au plus clair. Il fouilla dans son sac, et trouva un champi hélice. Après l’avoir avalé, un casque à hélice lui poussa sur la tête, et il s’envola en direction de Mario.

- Monte, Mario ! lui cria-t-il.
- Quoi ?! Mais…
- Vite, avant que la brigade ne t’emporte.
- Le laissez pas s’échapper !s’écria un des policiers.

Trop tard ! Mario avait sauté, et s’était accroché au buste de Goomby. Ils s’envolaient vers le lac, un des rares lieux sûrs où la brigade ne les trouverait pas. Le voyage passa vite, mais personne ne prononça un mot. Goomby se posa en douceur, et laissa Mario descendre. Le lac reflétait une étrange lueur, verdâtre, voire noire. Jamais le ciel n’avait paru aussi sombre. Mario paraissait sceptique, et Goomby était effrayé. Il hésita, mais finalement il se décida à interroger Mario sur sa mésaventure :

- Euh… Mario… Qu’est-ce qui t’es arrivé exactement ?
- Pourquoi suis-je censé te le dire ?
- Je t’ai sauvé, alors tu me dois bien ça…
- Bon… comme tu voudras.
« Tout a commencé il y a une semaine. Je remarquais que les gens étaient bizarres, et qu’une aura malfaisante flottait au dessus d’eux. Je décidai donc de me rendre au château de Peach pour résoudre ce problème avec le Grand Sage, un vieux Toad empli de sagesse. Arrivé au château, je voulu acheter un collier serti d’un magnifique rubis, pour ma bien-aimée Peach, mais il était trop tard. Je passais donc une très mauvaise nuit dans un hôtel voisin. Le lendemain, en lisant le journal, je vis qu’un homme qui me ressemblait étrangement avait volé le rubis que je convoitais, durant la nuit. Je me rendis au plus vite chez le Grand Sage, mais il était trop tard. Il avait disparu, et la brigade Toad m’attendait de pied ferme. Je fus capturé, et interrogé. Le rubis avait été retrouvé, et mes empreintes étaient formellement reconnues. Moi-même je su que j’étais forcément le coupable. Impossible de truquer de pareilles preuves. Mais impossible d’y croire. Je ne leur dit pas que j’avais trouvé des tâches de boue sur ma fenêtre. Heureusement, je réussis à m’enfuir, et voilà où ça m’a mené. »
- Bizarre… vraiment bizarre… Bon, je sais où commencer nos recherches.
- « Nos » recherches ?
- Eh bien, oui ! Bowser m’a viré, et je n’ai nulle part où aller. Autant te suivre !
- Je ne te fais pas confiance. Bowser a très bien pu t’envoyer. Mais comme tu m’as sauvé, je vais t’accorder une chance. Au moindre problème, je t’écrase comme tous tes camarades.
- Ok ! Bon, on va s’infiltrer chez mon Maître, fouiller sa grande bibliothèque, et repartir. S’il me voit, ça va chauffer…
- Ca me va. Mais où va-t-on dormir ce soir ?
- Je crois que je connais un endroit.

Les deux acolytes contournèrent le lac, en passant par un petit bois touffu. La brume se faisait de plus en plus épaisse, et ils ne voyaient pas plus loin que le bout de leurs nez. Enfin, la petite auberge se fit entrevoir. Goomby espérait que malgré sa mésaventure plutôt… gloutonne… l’aubergiste l’accueillerait. Arrivait devant la porte à battants, ils entrèrent. La pièce n’était pas éclairée, et il faisait très froid. Une ambiance surnaturelle trônait dans la maison. Soudain, une forme se fit entrevoir. Des pas résonnèrent sur le carrelage. Un Toad à l’air effrayant se présenta devant les deux amis, une faux dans la main.

- Yé vais vous touiller… dit-il, l’air sombre.
- Je ne pensais pas que je l’avais traumatisé à ce point commenta Goomby. Nous prendre pour des jaunes d’œufs, ça dépasse l’entendement…
- Goomby, il veut nous tuer, expliqua Mario.
- Oui. Vous zètes qu’une sale bande dé voleurs.
- Je crois qu’il a un peu trop bu… fit remarquer Goomby.
- Oui, tu as raison. Mais c’est bizarre. Je crois savoir ce…

Mario n’eut pas le temps de finir sa phrase. L’aubergiste s’était jeté sur lui, et lui avait asséné un coup de faux sur le dessus du crâne. La casquette de notre moustachu était complètement déchiquetée. L’aubergiste savourait cet affreux spectacle d’un affreux sourire. Goomby se jeta sur son cœur. Il ne battait plus.

Enjoy !

Pas mauvais. Et je n'ai pas grand-chose à critiquer.
Bon chapitre.^^
Je suis impatient de connaître la suite.^^

Merci.
Moi aussi j'attend avec hâte ton nouveau chapitre.

faut m'expliquer

Faut t'expliquer quoi ?

Excellent le suspense est très présent bravo.

PS: C'est beaucoup mieux quand tu ne te vantes pas.

Eh ben là on voit enfin le suspense
Très bon chapitre, rien à dire, à part un détail: tu aurais du sauter des lignes lorsque Mario explique à Goomby ce qu'il s'est passé.
S'too.
C'est vraiment très bien, continue

Bon chap' Ketch' .
Même si le début était lent au démarrage, le reste est monté allegro à partir de l'auberge .
J'espère que Mario est mort .

Merci !
La suite samedi ou dimanche + mon scanner marche, vous aurez deux dessins.

PS : Jerry à "C'est beaucoup mieux quand tu te vantes pas."

Samedi? Cool

...
J'attends la suite

Voilà, j'ai fini mon chapitre !
Mais avant de poster, j'aimerai terminer le chapitre suivant, pour ne pas qu'une longue attente se reproduise.
Encore un peu de patience, donc.

Tu aurais dû faire comme moi, faire 6 chapitres de différence entre celui que tu écris et celui que tu postes. XD Comme ça, il y a un peu plus de régularité, parce que si je termine pas un chap en une semaine, je poste quand même le suivant le dimanche, pour faire un chap par semaine.

Ok, de la patience, je dois en avoir encore un peu en stock.