Halo Reach

Ce qui va me plus choquer c'est quand je vais tout relire

En tout cas merci pour votre soutien

Faudra refaire un n-ième topic et tout remettre d'un coup sas posts des autres.

J'rigoul!

Par contre comme déjà dit je sais plus quand c'est tir de suppression et non sous-pression. Et il y a aussi quelques fautes de passé a certains endroits

En tout cas j'adore cette sweet,need more

C'est normal qu'il y ai des fautes. Tu peux pas écrire un texte aussi long sans faire des fautes que tu ne remarques pas à la relecture.

Exact

Et merci je sais maintenant que c'est suppression

Quel con.

Ce serait sympa si une fois entièrement finie tu refasse un topic ou un noelfic ou tu mets tout les chapitres enchainés ce sera plus pratique a lire.

T'es fou toi

Bon avec le boulot j'ai moins de temps à écrire, heureusement (malheureusement) nous sommes bientôt à la fin de cette aventure.

Bref, voici une courte suite par rapport à celle d'avant. Le meilleur reste à venir.

Chapitre XLVIII, Système inconnu, Planète forerunner nommée «Prospect», plus connue sous le nom de «Monde Sacré», Position estimée dans l’une des trois tours générant un bouclier.
Estimation: 25 Septembre 2571.

Ma vue devenant plus claire, je commençais à distinguer la silhouette.
Elle semblait humaine et féminine, plus petite que moi, mais bien plus grande que toutes les femelles Humaines que j’avais pu voir dans ma vie. Une robe longue et grise descendait de ses hanches, cachant tout le bas de son corps. Dès que je pus la voir distinctement, je compris alors que je n’avais pas à faire à une Humaine.
Je reculai d’un pas, choqué et quelque peu effrayé. Malgré que je n’avais pas partagé une grande passion dans le Covenant, je ressentis une certaine soumission face à cette Forerunner. Je devrais lui être attentif, et l’écouter.
Contrairement aux Humains, son nez n’était que deux narine creuses. Elle m’observa de ses yeux vert profond. J’y aperçus une certaine ressemblance avec ceux de Vasla, ce qui me perturba.
Elle leva l’une de ses mains, révélant de magnifiques doigts. Elle les fit danser avant de les serrer en un poing.
-Qui êtes-vous ? osai-je demander.
-Je suis la dernière Biocréatrice de l’histoire des Forerunners, dit-elle avec une voix incroyablement apaisante.
Je m’arrêtai un instant de respirer, et eu envie de m’agenouiller.
-Vous êtes... La Bibliothécaire ?
Elle sourit.
-Navrée de vous décevoir, je n’étais que l’une de ses Biotechniciennes lorsqu’elle m’ordonna de l’abandonner sur Erdé-Tyrène, avant de me léguer son nom. Je m’appelle Chant de lune.
En effet, je fus quelque peu déçu. Je regardai autour de moi.
-Où est Vasla ? redemandai-je. Mon amour ?
-Vous la retrouverez dans quelques minutes. Mais la Bibliothécaire tenait à ce que je vous laisse un message et des réponses.
Je ne bougeai pas un seul muscle après ces mots, mes yeux la pointèrent à nouveau.
Son sourire de bienvenue s’évanouit lentement avant qu’elle pivote sur elle même.
-Nous sommes sur Prospect, le dernier chantier des Mondes-boucliers du Didacte. Ce dernier étant devenu fou à cause des Floods, il commit beaucoup d’atrocités envers le Manteau... Mais je dois abréger. Cette planète contient la plupart de ses plus fervents serviteurs. Des Serviteurs-Combattants. Leur loyauté est si forte qu’ils n’hésiteraient pas à continuer la folie du plan du mari de la Bibliothécaire: Prendre l’essence de tous les Humains pour en faire des Prométhéens.
-Les abominations... chuchotai-je.
Elle tourna la tête de mon côté, me considérant en levant un sourcil.
-Ils sont en Cryptum. Attendant leur réveil. Et leur sommeil est perturbé par quelque chose.
-Les Covenants, grognai-je.
Elle me fit face en liant ses mains, le regard fort.
-Nous sommes navrés de n’avoir jamais eu le temps de pouvoir vous expliquer ce que nous avons laissé derrière nous. Nous devions sauver la galaxie des Floods.
-Je vous crois, mais... Qu’est-ce que tout cela à avoir avec moi ?
Un sourire furtif s’échappa de son visage.
-La Bibliothécaire adorait semer des graines. Elle avait planifié que vous serez le premier Sangheili à ne pas croire la religion de vos Prophètes. Votre passé prouve votre valeur. Elle vous avait choisi. Elle vous a rendu fort en vous offrant l’espoir et elle vous a implanté notre force en vous. Notre gêne. Vous détenez la clé de toutes les structures forerunners, comme un Humain. Mais vous possédez le fragment de l’empreinte d’un vrai Forerunner, permettant de comprendre notre technologie, et de l’utiliser avec toutes les autorisations.
Je restai sans voix sous ces mots. Ma destinée était donc déjà tracée depuis ma naissance ? Le Huragok disait bien vrai. Sur l’Arche, les évènements dans la tour démontraient bel et bien que j’avais été choisis... Je n’osai pas en demander plus. J’avais peur de certaines réponses.
Je contemplai ma main bionique avant de la serrer.
-Si Arerus parvenait-t-il à libérer ces forerunners... Qu’adviendrait-t-il exactement ? Les Floods ont pourtant été vaincus depuis longtemps...
Elle plissa des yeux comme pour mieux me distinguer.
-Leurs dernières pensées disent le contraire. Ils réagiront exactement comme s’ils étaient tous le Didacte. Ils croient donc que les Floods reviendront. Les Halos ne seraient pas la solution pour eux. Les Serviteurs-Combattants essayeront donc tout de même de prendre l’essence de tous les Humains, et connaissant la doctrine qu’ils pratiquaient en politique durant notre règne, ils n’hésiteront pas à essayer de restaurer un régime de soumission aux autres races qui leur feront barrage. Et ayant remarqué votre alliance avec les Humains, ainsi que votre sens de l’honneur, je doute que votre race les laissent tomber.
-Si nous nous étions rencontrés il y a quelques années, vous seriez étonnée... lui soufflai-je en levant les sourcils.
-Oui... trop de guerres, fit-elle d’un ton mélancolique en se redressant. La galaxie doit à nouveau se reposer.
Elle pivota à nouveau.
-Vous devez les empêcher de libérer les Forerunners. Pour le bien du Manteau.
Je la scrutai un instant.
-C’est peut-être la dernière fois que vous verrez les vôtres...
Elle fixa son regard sur moi.
-Je suis morte depuis bien longtemps.
Je baissai les yeux. Ah.
Une lumière apparut plus loin, éblouissante, Chant de lune l’observa tandis que je me protégeais les yeux.
J’eu envie de la retenir, mais la lumière devint plus forte. Et je perdis cette drôle de sensation d’harmonie de notre échange.
Lorsque je pus ouvrir les yeux, ne craignant plus la lumière éblouissante, je constatai que j’étais en haut de la tour. Une baie vitrée se trouvait derrière un panneau de commande, dévoilant le bouclier.
Un simple et long couloir sombre me séparait d’eux. Les lieux étaient étrangement calme. Aucune trace de Covenant.
J’entendis soudainement un bruit étrange derrière moi. Des lumières jaunes virevoltaient, faisant apparaître Vasla.
Je me précipitai vers elle et l’aidai à se tenir droite. Elle était consciente.
Des excuses se présentèrent lorsque je me souvins qu’il fallait ouvrir le bouclier. J’y accourus, puis abaissai la commande.
Le bouclier scintilla, puis commença à disparaître.
Je retournai vers Vasla qui fixait le sol.
-Comment te sens-tu ? lui demandai-je.
-Je... Ça ne va pas. J’ai appris la vérité, me répondit-elle en me regardant lourdement.
Elle se redressai avant de reculer d’un pas.
-Je le sais, répliquai-je en avançant. Ils m’ont choisi. Mais ma vraie destinée... Elle est sur Sanghelios, avec toi et notre fils.
Elle fixa le sol. Elle semblait choquée, incapable de réagir.
Je lui relevai la tête gentiment. Ses yeux tombèrent dans les miens.
-Il faut rester concentré. Ouvrons ce bouclier, et mettons fin à cette guerre.
Elle inspira profondément avant de toucher mon front avec le sien.
-Je le sais...
Sa voix faible et craquelée m’atteignit à l’intérieur. Je déposai mes mains sur sa nuque, sentant sa chaleur. Son front devint aussi plus chaud. Je la caressai avec mes mains, avant qu’elle laisse tomber sa tête sur mon épaule, et que ses bras m’enlacent.
-Sois forte. C’est le dernier sentier que nous devons traverser.
Elle gémit en inspirant, son dos frissonna.
-Je le sais ! redit-elle avec plus de faiblesse.
Sa peur ne faisant que grandir depuis le jour tragique où nous avions été séparés, je la partageai avec elle. La quiétude était impossible, malgré nos efforts pour l’instaurer dans notre coeur, elle ne s’y installera jamais. La seul chose qui pouvait nous motiver, était d’aller de l’avant, affronter notre destin, et prier pour que nous gagnons.
Nous le savions.

Après ce bref moment de peine, nous empruntâmes l’ascenseur pour redescendre. Aucun dialogue ne s’échangea durant les quelques secondes de descente.
Étrangement, cet ascenseur nous reconduisit directement là où nous avions laissé nos Frères. Mais ils n’étaient plus là.
Ma liaison COM se réactiva, et j’entendis Rtas grogner.
-Par le sang de mon père. Nous avons réussi, vous, avez réussi... Mais vous devriez venir voir dehors. Je vous y retrouverai.
J’échangeai un regard avec mon amour. Puis, nous nous précipitâmes en dehors de la tour -cela nous pris quelques minutes- pour rejoindre la zone d’atterrissage encore jonchée de débris de notre Phantom.
Un Phantom arrivait, alors que j’aperçus Usze et N’tho qui s’écartaient pour le laisser atterrir.
Rassurés de les revoir en entier, Vasla et moi les rejoignirent.
Usze se retourna, et nous aperçut. Il informa N’tho de notre présence, qui se retourna aussitôt.
Usze et N’tho s’échangèrent un regard, puis s’écartèrent de nouveau, dévoilant deux Sangheilis à terre.
Rek et Norito.
J’arrêtai mon pas, tout comme Vasla. J’échangeai un regard terrifié avec Vasla avant de nous précipiter vers eux.
Le Phantom largua Rtas et deux Sangheilis Ultra. Ces derniers s’avancèrent vers nous alors que Rtas joignit ses mains dans son dos avant de faire jouer par nervosité ses dernières mâchoires.
Rek était inconscient, son armure avait éclaté au niveau de l’épaule, une plaie était ouverte en dessous de sa clavicule. Le Huragok faisait pression tout en enlevant les pièces d’armure endommagées.
Norito était conscient, mais sa respiration était affreuse à entendre. Le Huragok avait retiré toute son armure supérieure, dévoilant une entaille sur tout son abdomen.
Les deux Ultras se séparèrent vers chaque Sangheili, tandis que le Huragok se concentra sur Norito. Je m’écartai pour leur laisser place, mais je fus incapable de dire que ce soit.
Usze nous souffla dans l’oreille que le responsable de la blessure de Norito était un Mgalekgolo avec avec ses épines tranchantes. Rek, lui, avait reçu un tir de Spiker. Les responsables étaient bel et bien morts.
Norito hurla alors que les tentacules du Huragok et les premiers secours de l’Ultra s’appliquèrent sur son torse.
L’autre Ultra nous fit savoir que Rek avait son hémorragie neutralisée. Mais qu’il fallait du temps pour qu’il s’en remette. Son coeur avait failli être touché. Le Spike se trouvait être entre deux artères. L’une d’entre elle s’étaient ouverte, mais l’intervention précédente du Huragok avait ralentie le saignement. L’Ultra eut le temps de conclure la situation.
L’autre Sangheili vers Rek se précipitai vers Norito.
Je ne voulais pas entendre ce que les deux Ultra d’échangèrent entre eux. Je vis Norito souffrir. Je m’agenouilla alors vers lui avec les autres.
-Rek va bien, maintenant nous sommes là, avec toi Norito, lui déclarai-je.
Sa main joignit la mienne et la serra fortement.
Les Ultra cessèrent leur manipulations. Leurs mains étaient recouverte de son sang. Ils injectèrent quelques seringues dans la cuisse de Norito. Avant de presser contre sa blessure.
-Ils nous faut plus de paires de mains ! Allez !
Usze et N’tho les aidèrent, j’y plaçai mon autre main.
Norito hurla. Il ne respirait qu’en déglutissant.
Sa main tremblait comme jamais.
-Arrêtez ! hurla l’un des Ultras.
Ils appliquèrent une poudre et une gelée avant de se redresser.
Rien ne changea, mis à part qu’il respirait moins fort.
Norito me regardait avec une grande fatigue, sa main tremblait toujours autant.
Nous ne pouvions rien faire.
-Je suis désolé, lui annonçai-je. Nous aurions dû être là...
Il esquissa un sourire malgré le sang noir qui s’échappa soudainement de sa bouche.
-Arrête-toi, lui souffla Vasla. Nous te remercions pour tout ce que tu nous a apporté.
-C’était une sacrée aventure, déclara N’tho. J’étais heureux de la partager avec toi.
Usze soupira.
-Ce fut un honneur de t’avoir rencontré, et d’avoir combattu à tes côtés, mon Frère.
Norito sourit. Il semblait heureux, satisfait de ses actes.
Sa main s’arrêta de trembler.
Le dernier sourire qui s’était émit de son visage disparut lentement, après un long soupir.
Je baissai la tête, avant de me redresser avec les autres après quelques secondes. Nous décidâmes d’honorer sa mort en silence.
Les Ultras enveloppèrent son corps et l’emmenèrent dans le Phantom. Quand son corps d’éleva, je dis ces quelques mots en son honneur:
-Nous nous souviendrons de toi, Norito ‘Xytan.

Rek était toujours inconscient, mais vivant. Les Ultras nous affirmèrent qu’il se remettra de sa blessure. Cela nous rassura, mais il était urgent de le ramener à bord du Destroyer.
Le choix étant logique, nous laissèrent les Ultras l’emmener dans le Phantom. Il sera en sécurité, et Felresia pourra veiller sur lui, quelque peu rassurée elle aussi...
Rtas s’avança alors vers nous.
-Tout cela, c’est bientôt terminé, nous annonça-t-il. Venez, nous prenons un autre Phantom.
Je tapai l’épaule d’un de mes Frères et nous le suivîmes alors qu’un autre Phantom arriva tandis que l’autre s’en alla. Je le regardai partir, au loin, le regret m’envahissant.
-Le bouclier s’effondre, continua Rtas. Nous avons réussi à éliminer tous les Covenants qui le protégeait. Mais inutile de vous cacher que nos vaisseaux seront allégés...
Nous restâmes silencieux.
Après être dans le Phantom, ce dernier décolla pour survoler le bouclier qui diminuait d’intensité. Nous volions au milieu des derniers Phantoms et Pelicans.
Nous observions à travers les hublots de l’appareil le bouclier forerunner s’effondrer.
L’opacité de ce dernier disparut alors minutieusement tout comme le bouclier en lui-même, dévoilant enfin ce qu’il renfermait.
Nous ne comprenions pas.
Rien. Il n’y avait rien.
Je commençai à paniquer, comme si tout ceci avait été un piège.
Vasla m’arrêta tout de suite.
-Regarde plus attentivement, il y a quelque chose.
Affolé, je collai ma tête contre la vitre.
En effet: Un petit dôme avec une simple ouverture se trouvait au centre. Mais cela m’agaçait encore plus. Je m’attendais à une forteresse, une cité imprenable... Tout. Mais cette ridicule cabane forerunner.
-Les apparences sont parfois trompeuses, me fit remarquer Rtas.
J’inspirai profondément en me tenant à une poignée.
-Que fait-on ? nous demanda N’tho.
-Il va nous falloir des éclaireurs, lui répondit Rtas.
-Je suis volontaire, fit Usze.
-Nous le sommes tous, fit Vasla.
-Et comment, ajoutai-je.
Le Huragok émit un son insistant.
Rtas nous observa de haut en bas, comme s’il nous analysait pour la première fois.
-Très bien, mais gardez un contact radio. Je posterai des renforts prêts à se ruer pour vous appuyer en cas de besoin.
Nous observâmes à nouveau le petit dôme munit d’une simple entrée... Bien étroite.
-Et bien... Ce sera du bon vieux travail à la main, nous affirma Rtas.
-Cela me va parfaitement, lui répondit Usze d’un ton colérique.

Lorsque le Phantom se posa, ainsi que la totalité des autres Phantoms et Pelicans, toutes les troupes descendirent et visèrent l’entrée de la petite structure.
Les frégates Humaines, le Shadow of Intent, les blindés et véhicules légers... Tout notre arsenal se trouvait sur ce qu’il restait de la dernière trace de Volonté et Arerus.
Les Humains se regroupèrent tout comme l’ensemble de nos Frères, tous encerclèrent la petite structure pas plus haute de cinq mètres.
Lorsque je sortis, j’étais inquiet. Un silence incroyable régnait malgré toute notre armée réunie.
Je me tournai vers Rtas.
-Rtas, on devrait ne garder que l’essentiel. Je sais très bien que vous adorer montrer votre force et votre grandeur, mais qui sait ce que nous allons trouver la dedans... Des Forerunners ?
Il me défia avec son regard.
-Vous avez raison, Drak ‘Volam. Prenons des précautions. J’annonce au Shadow of Intent de charger ses tourelles au cas où un Fossoyeur sortirait de ce trou.
-Rtas... Je vous parle sérieusement.
-De même.
-Rtas ‘Vadum ! insista Vasla avec colère. N’y a-t-il pas eu assez de morts ?
Il s’immobilisa, de nombreuses têtes se tournèrent vers lui.
Il grogna.
-Très bien ! Vous avez raison, ne crions pas victoire de sitôt, s’impatienta-t-il. Je m’occupe de nos troupes avec nos alliés humains.
Nous fûmes soudainement interrompus. L’Amiral Humain avança sur le terrain avec une garde personnelle: Le Démon, et des Humains familiers, tel que le Commandant Hagard, le Sergent Powley, le Pilote et son Copilote.
-Que se passe-t-il, Commandant ? lui demanda-t-il avec son drôle d’accent humain.
Nous les saluâmes, et je fis un signe de tête au Demon, qu’il me renvoya, ainsi qu’aux autres.
-Il se passe que nous allons envoyer ces Sangheilis ici présents partir en reconnaissance dans cette petite structure.
-Vous ne croyez pas qu’on se joue de vous ? Ne croyez vous pas que tout ceci d’était qu’une diversion ?
-Impossible. Mes éclaireurs ont bien vu l’Éternel Covenant atterrir ici.
-Mais alors où se trouve-t-il ?
Rtas ne répondit pas.
-Peut-être que la structure possède un portail, dit calmement le Démon.
L’Amiral se tourna vers lui, il ouvrit la bouche comme s’il allait annoncer un désaccord, mais il y renonça.
-Envoyez vos Élites, Commandant, mais je vous envoie le Master Chief et ces marines avec vous.
Ces derniers le regarda furtivement, mais acquiescèrent.
Il était peu commun que Rtas n’ajoute rien de plus à cet échange.
Le Démon marcha jusqu’à nous et se mit à nos côtés. Vasla se méfia. Les autres Humains nous rejoignirent eux aussi.
Rtas se retourna et nous ordonna d’y aller sans perdre de temps.
-Je vais m’arranger pour que la totalité de nos troupes soit en l’air sauf les renforts... Au cas ou vous auriez encore raison, Drak, ajouta-il.
Je lui hocha la tête et sortis mon fusil à plasma avant de prendre pris la tête de notre unité. Nos troupes commencèrent à évacuer mis à part quelques guerriers qui resteraient vers les lieux pour nous venir en renfort. Rtas en faisait partie. J’étais flatté.
Lorsque je posai le pied sur le métal forerunner, Rtas m’envoya un message qui s’afficha sur mon affichage tête haute: «Bonne chance».
Ce qui me perturba, car il ne faisait jamais cela.

j'aime

"T'es fou toi "

Et pan dans les dents.

ATTENTION! Je prends toutes les responsabilités de ce archéologique mais... La fic se finit comme ca? Si quelqun a la réponse qu'il réponde.

Nope. La suite est en prod'.

Oh mais qui voila! Signore! Et ben voila je suis plus depressif
Vivement la suite!

Oui désolé je suis juste très occupé !

Mais la suite est bien là, dans mon ordi ! Encore un peu de patience. (Déjà que vous obtenez tous le prix Nobel de la patience.)

Mais nan, on attendrait une décennie si il fallait pour obtenir 5 lignes de ta fic

• Reve* Miam, un nouveau post... Miom...miom... DRING! Hein quoi? J ai maché ma rédaction? Oups.

Je devrais tout relire une fois tiens je suis plus l'histoire la.

Conseillé.

Je tenais juste à vous dire qu'une suite est prête. Mais comme nous touchant quasimment à la fin, je souhaitais terminer la suite qui venait après et l'épilogue avant de publier. Car, si soudainement quelque chose m'a échappé ou bien je souhaitais rajouter quelque chose, je le pourrais.

Votre patience sera récompensée !