Mais quelle ambiance de merde
en même temps les sw ont déjà tabassé des fana, des mtp et ont déjà rendu visite au local de la cosa
sans parler des différents affrontements avec le cu' quand ce dernier savait encore porter ses co...
"je serai surement la pour aller aider des mecs à bastonné du winners si il faut !"
Si j'étais en France je descendrai volontier à Marseille avec une dizaine de potes pour LEUR DÉFONCER LA GUEULE A COUP DE BÂTONS DE GOLF.
Ah et le capo de la CN (lui qui a envahie le terrain pour sauver sa bâche et éviter de mourir) est toujours en taule.
Nan mais n'importe quoi
J'ai vu la vidéo , déjà c'était même pas le noyau et en plus ça se voit que t'es parisien car tu dis des gros mythos , les parisiens c'était juste des pauvres racailles qui jetaient des pierres , les SW sont allés à leur rencontre et c'est la police qui a empêché les mecs du SW de tapper les parisiens.
Ok le club entièrement gangrené par la mafia Des dirigeants aux simples supporters Enfin bon c'est ça sur toute la côte Les niçois valent pas mieux
Je ne crois que ce que je vois.
Une vidéo
et pour le créateur du topic, la COSA NOSTRA c'est a LYON! PAS A MARSEILLE
la cosa est un détachement du CU créé en 2001 avant la COSA NOSTRA de lyon, (interdit depuis peu par Aulas a cause du nom ridicule)
Scoop que Marseille est gangréné par la mafia tel la petite Naples
La rumeur parcourait Marseille depuis le soir même du match. Même s'ils avaient en leur possession les noms de ceux qui avaient mis "le feu" au virage sud du stade Vélodrome, le 16 avril dernier lors du match retour OM-Donetsk pour la coupe UEFA, en déclenchant une mémorable bagarre générale, les enquêteurs du groupe de violence urbaine (GVU) de la sûreté départementale, prudents, avaient préféré attendre l'expertise des bandes de vidéosurveillance.
Hier, estimant avoir récolté suffisamment de preuves, ils convoquaient six supporters, dont trois "figures" du stade Vélodrome. Rachid Zeroual, leader des Winners, Christophe Bourguignon, patron des Ultras, et David Poggi, à la tête de la Cosa Ultra, étaient placés en garde à vue et confrontés une grande partie de la journée pour tenter de savoir ce qui avait mis le feu aux poudres ce soir-là entre supporters du même club.
D'après les premières déclarations, et divers témoignages recueillis, le patron des Winners semble avoir un sérieux contentieux avec celui de la Cosa Ultra. Avant le début du match, les esprits étaient déjà bien échauffés en haut du virage. Christophe Bourguignon, leader des Ultras, aurait été averti par les Winners que les comptes allaient se régler pendant la rencontre. Il lui aurait également été vivement conseillé de "laisser faire"... D'où une probable poursuite pour "complicité" et "non-dénonciation de délit".
Alors que la première mi-temps était bien entamée, juste avant le premier but, pas moins de 150 individus envahissaient le bas du virage et tentaient d'arracher la bâche de la Cosa. Humiliation suprême pour un club de supporters! Face au déchaînement de violence, David Poggi s'était même réfugié un temps sur la pelouse avant d'en être expulsé par les stadiers.
"Il était personnellement visé, précise une source proche de l'enquête. Le conflit entre lui et Zeroual ne date pas d'hier." Lors de "l'assaut", qui a duré treize longues minutes, "du jamais vu à Marseille" selon un "habitué" du Vélodrome, deux personnes ont été grièvement blessées au niveau de la face, les os des pommettes fracturés en divers endroits. Une ITT de 21 jours leur a été délivrée.
Hier soir, Rachid Zeroual ainsi que deux proches, Christophe Bourguignon et David Poggi étaient toujours en garde à vue dans les locaux du GVU. Jacques Dallest, procureur de la République de Marseille, confiait hier qu'ils pourraient bien être déférés au parquet ce matin et présentés en comparution immédiate cet après-midi devant le tribunal correctionnel. Poursuivis pour "violences volontaires en réunion dans une enceinte sportive", les trois leaders, outre une belle amende et une peine de prison, risquent fort de se voir exclus de stade à vie !
"Ils ont déjà été interdits temporairement de stade, souligne une source proche du dossier. En cas de récidive, l'interdiction peut être définitive." C'est aux magistrats qu'il reviendra aujourd'hui, si l'affaire est examinée au fond, de se prononcer sur cette possible peine complémentaire. Reste à éclairer les circonstances de la rixe, et notamment sa longueur volontiers qualifiée "d'anormale" par les enquêteurs.
"Qu'une bagarre allait éclater était un secret de Polichinelle", avoue un supporter présent ce soir-là. Mais ni les stadiers, ni la sécurité du club, privée de son directeur transporté aux urgences de Sainte-Marguerite en milieu d'après-midi, n'avaient, semble-t-il, jugé utile de prendre les précautions nécessaires.
Après la bagarre qui a éclaté lors d'OM - Donetsk, une information judiciaire a été ouverte, hier
Lors du quart de finale retour de la coupe UEFA face aux Ukrainiens du Shakthar Donetsk, un vieux contentieux entre les Winners et la Cosa Ultra a copieusement dégénéré.
Alors que le procureur de la République de Marseille, Jacques Dallest, confiait, mercredi soir, que les supporters placés en garde à vue seraient présentés en comparution immédiate, une autre option a finalement été choisie, hier en milieu de journée.
Afin de clarifier toutes les circonstances de la bagarre générale qui avait éclaté dans le virage sud du stade Vélodrome le 16 avril dernier, lors du match OM-Donetsk en coupe UEFA, le parquet a jugé plus sage d'ouvrir une information judiciaire qui a été confiée à la juge d'instruction Laetitia Ugolini. Seuls Rachid Zeroual, son neveu Youssef, Philippe Desroches, tous les trois issus des Winners, ainsi que David Poggi, leader de la Cosa Ultra, lui ont été présentés.
Christophe Bourguignon, patron des Ultras, placé en garde à vue mercredi dans les locaux du Groupe de violences urbaines (GVU) de la sûreté départementale, a été remis en liberté à l'issue de son audition. "Il aurait été mis au courant de la bagarre, mais on lui aurait conseillé de ne pas intervenir", indique une source proche de l'enquête. Dans un communiqué, les Ultras précisent "qu'aucune suite judiciaire n'a été prévue à son encontre".
Il pourrait, cependant, être entendu comme simple témoin lors du procès qui pourrait se tenir ultérieurement devant le tribunal correctionnel. Hier soir, Rachid Zeroual, leader des Winners, a été mis en examen pour "violences volontaires en réunion dans une enceinte sportive". Remis en liberté, il a néanmoins été placé sous contrôle judiciaire avec "interdiction de stade". Quant aux trois autres, leur audition devant le magistrat instructeur s'est poursuivie tard dans la soirée.
D'après les premiers éléments de l'enquête, c'est un "vieux contentieux" opposant les Winners à la Cosa Ultra qui aurait copieusement dégénéré ce soir-là. "C'est une guerre de territoire et de rapport de force", analyse un enquêteur. Du côté des Winners, on avance que le leader de la Cosa avait multiplié les provocations au micro dès le début de la rencontre. Ce qui avait entraîné des représailles... peut-être un peu démesurées aux yeux de la justice.
Alors que le leader des Winners, Rachid Zeroual, était désigné par les enquêteurs comme ayant participé à l'expédition punitive, des témoins affirmeraient qu'il tentait, au contraire, de calmer ses troupes. Un point que se chargera de clarifier l'information judiciaire, tout comme le rôle des stadiers, qui au goût de certains, ont un peu tardé à intervenir. "La bagarre a duré 13 minutes et 53 secondes, c'est énorme", souffle un enquêteur.
De son côté, Me Molina, conseil de l'une des deux victimes (voir ci-contre), attend la suite des investigations pour voir si d'autres responsabilités se dégagent. "Il est inadmissible qu'un tel déferlement de violences ait lieu dans un stade, martèle-t-il.Mon client est aujourd'hui à la recherche des causes de cette situation. Il est déterminé à les clarifier pour faire valoir ses droits."
Cinq supporters de l'Olympique de Marseille ont été mis en examen jeudi soir pour violences lors d'un match de Coupe d'Europe joué à domicile en avril et interdits de stade.
Rachid Zeroual, Youssef Zeroual, David Poggi, Pascal Navarro et Philippe Desroches, âgés de 23 à 36 ans, ont été mis en examen pour violences volontaires en réunion dans une enceinte sportive.
Le dernier d'entre eux a été écroué, les quatre autres ont été placés sous contrôle judiciaire et interdits de stade. Les cinq hommes, placés en garde à vue mercredi, devaient être présentés en comparution immédiate jeudi devant la 7e chambre du tribunal correctionnel de Marseille, mais ont finalement été entendus par une juge d'instruction pour faire toute la lumière sur l'affaire.
Le 16 avril lors du quart de finale retour de Coupe de l'UEFA opposant l'Olympique de Marseille au club ukrainien de Shakhtar Donetsk, une bagarre avait éclaté dans le virage sud du Stade Vélodrome entre des membres de deux clubs de supporteurs olympiens, Cosa Ultra et les South Winners dont Rachid Zeroual est le leader. Elle avait duré près d'un quart d'heure et fait deux blessés.
Source : eurosport.
Rachid interdit de stade ca c'est bon
Pourquoi le leader des CU se retrouve aussi privé de stade?
Débilité aigüe
Quelle bande de tocards ces marseillais, spécialement les idiots en orange
Le virage nord est quand même beaucoup plus calme.
PTDR les animaux marseillais
Une réaction Vauclinex sur les agissements de ceux que l'on peut aisément qualifier de "brigands des stades"