Assassin's Creed II

Cette fic raconte l'histoire des assassins dans l'antiquité grecque.
Elle ne raconte pas l'histoire d'un seul personnage mais de plusieurs.
Elle se situe historiquement un an avant la guerre du péloponese entre Athènes et Sparte.
Attention: elle ne respecte pas vraiment la vérité historique.

Amis lecteurs, bonne lecture.

Chapitre 1:

Cité-état d'Athènes, juin 458 av-jc.
Deux hommes étaient assis sur un banc en marbre blanc, dans le port d'Athènes. Les navires accostaient sur le quai et des hommes en déchargeaient la cargaisons.
L'homme assis à droite sur le banc, était vêtu d'un manteau blanc, son visage dissimulé sous une cagoule, blanche elle aussi. Il s'appelait Kratas. Le second homme, à gauche du banc, était habillé d'une simple tunique blanc-beige, il portait une lyre dans sa main droite. Son nom était Artos.
Une frégate accostait sur le quai, un homme richement vêtu en descendit, entouré d'une demi-douzaine de gardes.
Kratas ouvris la parole:
"Voilà notre homme.
-On finit cette affaire, j'ai faim, lui répondit son voisin.
-Bon, tu fais ton numéro, je m'occupe du reste.
-Que la sagesse d'Athénas te protège, mon frère, dit Artos en se frappant la poitrine du poing.
-Que la sagesse d'Athénas te protège, mon frère, lui répondit son ami en reproduisant le même geste.
Ils se levèrent en même temps. Kratas se dirigea vers les quai pour faire semblant de décharger des marchandises. Artos se dirigea vers l'homme riche et sa garde.
Il s'arrêta devant lui et commença à jouer de la lyre:
"Bien le bonjour, monseigneur ! Permettez-moi de vous contez l'histoire du grand Heraklès et de ses douze travaux !
-Dégage de là, sale barde ! Lui répondit l'homme, en colère. Je n'ai pas que ça à faire !
-Peut-être aimeriez-vous plutôt l'épopée de Persée, ou l'odyssée d'Ulysses, ou encore…
-Ca suffit !! Garde, virez-moi cette vermine ! Déclara l'homme, tout rouge.
Les gardes s'avancèrent pour chasser le "barde".
Ce fut ce moment qu'attendait Kratas, qui surveillais la scène depuis les quais. Les gardes étaient en train de s'éloigner de leur protégé, il pouvait agir.
Il s'élança en courant vers sa cible en dégainant une épée courte dissimulée sous sa tenue.
L'homme se retourna trop tard, Kratas était déjà sur lui. Il lui trancha la gorge d'un revers de son arme. La victime n'émit pas un cris et s'effondra, son beau et coûteux costumes se remplis de sang. Kratas fit un signe à Artos, toujours refoulé par les gardes. Le pseudo barde courut et s'engouffra dans une ruelle.
Kratas commença aussi à courir, il entendu un des gardes crier dans son dos:
"A l'assassin, on a tué le politicien Fréos !!
Mais Kratas était déjà loin à présent.
"C'était moins une !" Pensa-t-il.

A suivre…

Voilà, j'attend vos impressions. Je posterai la suite après.
Si vous trouvez ça court, ne vous inquiétez pas, c'est que l'intro.

je trouve sa bien pour lintant j'attend la suite

Merci de ton soutien, taiman

La suit cet aprem'

ok jatten avec inpatience

tu la fais

elle commence bien je ne suis pas le genre de lecteur qui va te critiquer pour tes erreure alor je ne conseillerais pas de faire moin de faute ( je n'y meme pas fais attention)

continue j,attend la suite jai aimer le Que la sagesse d'Athénas te protège, mon frère,

juste un petit truc insignifiant essai de decrire plus en detail les acoutrement arme etc des gens important ( cible , assasins etc.. )

en 2k c'est cool

Ok, je prend en compte vos critiques.

Voici la Sweeeet !!!

Chapitre 2:

Kratas, tout essoufflé, retrouva Artos sur l'Agora d'Athènes. C'était un jour de marché, des centaines de citoyens accompagnés de leurs esclaves venaient acheter des produits venus des quatre coins de l'Europe. Artos pris la parole:
"Eh ben, on peut dire que Athéna a veillé sur toi aujourd'hui !
-Athéna n'aurai pas réussie toute seule, heureusement que j'ai un bon acteur avec moi ! Lui répondit Kratas en souriant.
-Bon, il faut aller au Parthénon pour avertir Périclès de la réussite de notre mission.
-Eh !
-Quoi ?
-Je l'ai pas raté, cet ordure de Fréos.
-On peut surtout dire que son âme est en enfer en compagnie d'Hadès !
-Il l'a mérité, après tous le mal qu'il a fait...
Sur ces paroles, Kratas s'élança dans les rues d'Athènes, talonné par son ami par 35 degré à l'ombre.

Le Parthénon d'Athènes contenait une salle secrète sous la statue d'Athénas. Cette salle menait à un gigantesque complexe souterrain: c'était le repère secret des Assassins.
Ce complexe pouvait contenir environ 200 assassins mais trois quarts d'entre eux espionnaient et assassinaient les templiers dans d'autre cités-états tel que : Sparte, Thèbe ou bien Delphes. Le chef des Assassins s'appelait Périclès, c'était aussi un des hommes politiques qui faisait les lois de cette ville. C'était le début de la démocratie.

Crétes se dirigeait vers l'atelier de maître Iocrate, dans le repère des assassins. C'était un jeune garçon de 16 ans, apprenti assassin. Il était agile rapide et avait tous ses sens en éveil, mais sa plus grande qualité, c'était le respect de la vie.
Il ouvrit la porte de l'atelier :
"Ah, te voilà enfin, mon petit ! L'acceuillit chaleureusement Iocrate.
Iocrate était un homme plutôt vieux pour l'époque, la cinquantaine bien entamée.
C'était l'inventeur des assassins.
"Pourquoi m'avez-vous fait demander, maître ? Répliqua l'adolescent.
-C'est pour te présenter ma nouvelle invention ! Dit Iocrate, tout excité. La lame secrète !
-La lame secrète ?
-Oui ! Il prit un objet ressemblant à un gros bracelet sur sa table. Tiens, regarde ! Ce bracelet contient un mécanisme qui te permet de faire apparaître une lame dans le creux de ta main (il fait une démonstration) ! Génial non ?
-C'est le seul exemplaire ? Dit le jeune homme.
-Pour l'instant, oui. C'est un prototype que je t'offre !
-Par Zeus ! Pourquoi ?
-Parce que tu est le nouvel espoir de l'ordre des assassins, tu est un des meilleur élève depuis longtemps. Mais ne dit à personne que tu a cette arme, même pas à ton maître, Pharnos, car je connais des gens qui serai capable de tout pour te la prendre.
-J'en prend note ! Avant de vous quittez, vous savez où est Périclès, notre chef ?
-Il fait un discours politique sur la colline de Dionysos.
-J'y cours !
Crétes, quitta l'atelier en enfilant sa lame secrète pour l'ajouter à sa panoplie d'assassin.
"Enfin ! Périclès va me donner mon premier contrat d'assassin ! Si je le réussi, je serai un véritable Assassin." Se dit Crètes.

A suivre…

Voilà, n'hésitez pas à donner votre avis

jaimes bien cette suite faudrait que tu precise quan est-ce que vas mettre la suite.Mais sinon elle est lhistoir

coool

La suite bientôt !

Ah, et je remercie aussi mes 2 lecteurs

c'est vrais quon est pas beaucoup

c'est par ce que il ont tous deménager dans le forum AC3

tu devrais poster ta fic dans les 2 forum si tu veut plus de lecteur

Très bon début, j'attendd la suite .

----------------------------------------

• ´¨)

¸."´¸."*´¨) ¸."*¨)
(¸."´ (¸." PsyKo__KaiiN TeaM VodK .· ·'`¯)

j'attends*

----------------------------------------

• ´¨)

¸."´¸."*´¨) ¸."*¨)
(¸."´ (¸." PsyKo__KaiiN TeaM VodK .· ·'`¯)

tien maintenant on et 3 lecteur

La sweet, bonne lecture !

Chapitre 3:

Kratas et Artos arrivèrent devant le Parthénon. Artos fit coulisser le mécanisme de la statue et une trappe s'ouvrit derrière la statue d'Athéna.
Ils se rendirent à l'armurerie des assassins.
"Bon, tu va enfin enlever cette ridicule tenue. Dit Kratas à son ami.
Artos enleva son costume de barde et pris une tenue d'assassin.
"Tiens ! Elles sont renforcées en cuivre maintenant ? Remarqua-t-il.
-J'ai gardé mon ancienne tenu, j'aime pas les nouvelles. Rétorqua Kratas.
-T'a tors, elles sont mieux ! Dit Artos en enfilant sa nouvelle tenue.
-Je me suis pas habitué.
Artos empoigna un glaive romain et une dague.
-Et voilà le parfait assassin ! Fanfaronna-t-il.
-Laisse-moi rire !
Ils sortirent de l'armurerie et quittèrent le repaire des assassins par une sortie secrète qui débouchait derrière la colline du Parthénon.
"Bon, faut qu'on aille retrouver Périclès à la colline de Dionysos. Commença Kratas.
-Je te suis.

Kratas et Artos étaient amis depuis longtemps. Kratas avait un corps d'athlète (il avait fait les jeux olympiques il y a deux ans et avait finis troisième au penthatlon). Il avait 26 ans et s'était déjà un assassin confirmé.
Artos étaient plus jeune d'un an. Il n'était pas aussi musclé mais il était plus malin et était un excellent comédien. Un bon assassin.
Ces deux là formaient un duo fatal.

Centre-ville de Sparte.
Pharnos courait. Il courait pour sauver sa vie. Son assassina a échoué, il n'a pas réussi à tuer Klénide de Sparte, un des trois templiers qui dirigeaient leur secte.
Derrière lui, il pouvait entendre:
"Spartiates, ramenez-moi sa tête !
C'était son ancienne cible qui criait. Le chasseur est devenu le chassé.
Soudain, un groupe de spartiates apparut devant lui. Il était cerné. Il essaya d'escalader une maison, il chuta: la pluie rendait les murs en marbre glissant.
"Il est bloqué, tuez-le ! Vociféra un chef spartiate.
Pharnos, repensa à son fils, Crétes. Non, il ne pouvait pas mourir, pas aujourd'hui.
Il dégaina son épée. Un assassin contre dix-huit soldat spartiates, les meilleurs guerriers de Grèce.
Ses adversaires formaient un cercle autour de lui. Un premier soldat l'attaqua.
Il para le coup, donna un coup de pied dans les parties intimes du spartiate (les soldats spartiates combattaient torse nus avec comme seule protection un casque et un bouclier) et lui coupa la tête à moitié. Deux autres ennemis se présentèrent. Un des ennemis tenta de l'embrocher. Il esquiva l'attaque et trancha la hampe de la lance d'un coup d'épée et embrocha le garde stupéfait. L'autre garde, déconcerté,opta pour une attaque à la tête.
Pharnos esquiva l'attaque et para la suivante. Le spartiate lui lança son bouclier à la tête.
Le père de Cértes reçus le bouclier dans la tête. Il tomba en arrière. Du sang coulait de son nez. Le spartiate, sûr de lui, s'avança pour l'achever. Pharnos retrouva sa lucidité et lança son épée sur le soldats. L'épée s'enfonça dans la poitrine de l'homme et ressorti de dix centimètre dans son dos. Le spartiate s'écroula. Pharnos senti un contact froid sur sa gorge. Klénide tenait la lame qui allait mettre fin à sa vie:
"Dans dix secondes, tu seras mort, mais je vais te dire quelque chose: Athènes et la Grèce entière sera sous le contrôle des templiers car nous avons trouvé la Toison d'or ! Ah et nous avons des agents chez les assassins. Au plaisir de te revoir chez Hadès.
L'épée du templier transperça la gorge de Pharnos.

A suivre…

Alors, sa vous a plus ?

Dsl pour le double post mais la suite est pour dans 1h, 1h30.
J'écris direct' sur le forum.

ok merci pour la suite et la precision du prochin chapitre.
sinon celui et bien

Ca y est, j'ai posté ma fic dans le forum d'ACIII