Ouah, je crois que j'adore ce personnage
Une espèce rare l'ours-garou
Génial, vraiment extraordinaire ! Continue comme ça
I Iike that ce charisme d'Edwin
J'adore Edwin ! Il est tellement classe ! C'est de Kingsming en Kingsming Sandre est super intéressant aussi, son style de combat me plaît beaucoup
l'élément d'edwin est donc la foudre comme anor ce qui signifie qu'il a le même caractère je pense que cela va se révéler intéressant (manquerez plus qu'il rencontre le fils d'andorith et qu'il livre un duel )
en tout cas sandre et zimo sont mal barré
Cet Edwin doit être sacrément balaise pour venir à bout d'un Ours-Garou aussi facilement. Et il doit avoir une sacré confiance en lui pour "jouer" avec son ennemi de cette manière, par contre je trouverais dommage que son Totem soit aussi celui de la foudre (pour l'instant c'est ce qu'on peut croire vu qu'il utilise cet élément et qu'il semble avide de connaissance)
Par contre je préfère Anor pour l'instant.
Edwin est épic
Beau combat
Je doit dire que je n'ai jamais vus une aussi bonne fic. Toute mes félicitations tu a un réel talent!
Je voudrais juste te poser la question: pense tu prendre des pérsonnages proposés par les lecteurs ?
PS: J'ai poster mon avis sur ta précédente fic où j'ai pointer un défaut qui risque de se retrouver dans celle-ci. Pourrais tu y jeter un oeil?
Merci d'avoir lu se méssage et bonne chance pour la suit!
Suite!!!!!! ;)
SUIIIIIIIIITE !
genial ;)
suite pour quand?
Chapitre 9 :
Sandre et Zimo n’osaient plus respirer. Les doigts du mage, sur leurs nuques, semblaient faits de glace.
Un frisson parcouru le dos de Sandre quand la voix d’Edwin s’éleva de nouveau.
-Je n’aime pas me répéter. C’est vous qui me suivez depuis le début de la course ?
-N… Non, répondit Zimo. On… On ne sait pas de quoi tu parles.
-Vous en êtes bien sûr ? N’essayez même pas de me mentir.
-On ne te suivait pas, fit Sandre. On est tombé sur toi… par hasard.
Il y eut un instant de silence. Puis, Edwin les lâcha.
Sandre et Zimo se remirent à respirer. Ils firent volte-face et se mirent en garde. Le mage les toisa froidement. Puis, il haussa les épaules.
-Bah, vous n’avez pas l’air dangereux. Celui qui me suit est bien plus habile que vous.
Edwin Kingsming se mit à marcher et les dépassa sans leur jeter un regard.
-Ne vous mettez pas sur mon chemin, leur lança-t-il néanmoins en passant à côté d’eux. Je vous épargne pour cette fois mais je ne serais pas aussi magnanime par la suite.
Zimo se retourna soudain.
-Euh… Eh !
Edwin se stoppa et tourna légèrement la tête d’un air agacé.
-Qu’y-a-t-il, Khajiit ?
-On… Eh bien, on… Euh…
Le mage le fixa comme s’il s’agissait d’un demeuré.
-Si tu as quelque chose à dire, dis-le.
-Tu l’as… Enfin, tu l’as… tué ? Ce Nordique ?
-Hein ? Bien sûr. Il a un trou au milieu de la poitrine, dit Edwin d’un ton sarcastique. S’il est encore vivant, c’est qu’il est plus que solide.
-Tu es très fort. Je… Je m’appelle Jarzimo. Mais on m’appelle Zimo. Et lui, c’est Sandre.
Il avait fait un signe de tête dans la direction de Sandre. Edwin haussa un sourcil. Il n’avait toujours pas daigné se retourner complètement.
-Et ? répondit-il d’une voix ennuyée.
-Il se trouve que mon compagnon et moi sommes à la recherche d’un troisième membre pour notre équipe, dit Sandre en prenant la parole à la place de Zimo, d’une voix plus assurée. Et il se trouve aussi que ton combat nous a impressionnés. Nous sommes là pour te proposer de te joindre à nous.
Edwin les dévisagea un instant. Puis, ses lèvres s’étirèrent en un sourire. Il secoua légèrement la tête.
-Navré, je ne fais équipe avec personne. Je voyage seul. Et puis, vous avez l’air trop… gentil.
A ces mots, Sandre et Zimo se lancèrent un regard interloqué. Gentil ? Qu’est-ce que cela signifiait ?
Comme s’il avait lu dans leurs pensées, Edwin soupira et leur fit enfin face.
-La façon dont vous m’avez approchée, la naïveté avec laquelle vous vous êtes présentés, et l’imprudence avec laquelle vous m’avez proposés de faire équipe, tout cela m’indique que vous êtes des bleus, expliqua Edwin. Il semblerait que vous n’ayez aucune réelle expérience du combat et de la guerre. Et la Grande Marche est une vraie guerre. Nous sommes en plein champ de bataille.
-Mais…
-Une règle tacite dans ce genre de course est de toujours observer attentivement un concurrent afin de s’assurer qu’il est fiable avant de lui proposer une éventuelle alliance. Je suppose que vous avez simplement entendu parler de moi et de ma réputation et que vous avez immédiatement cherchés à vous mettre en équipe avec quelqu’un de… fort.
-Nous…
-J’ai pour principe de voyager seul et de ne m’encombrer de personne. Cependant, si quelqu’un comme Raedyn Levenni ou Barhak Gro-Tragnan m’avaient demandés d’intégrer leurs équipes, il est tout à fait possible que j’aurais réfléchis à leur offre et que je l’aurais sans doute acceptée. Parce qu’ils sont expérimentés, forts et qu’ils iront indubitablement très loin. En me plaçant à leur côté, j’augmenterais mes chances de gagner. Avec vous, en revanche, ce serait le contraire. Désolé de vous le dire aussi brusquement mais pour moi, vous ne constitueriez que des fardeaux. Et cela, je peux l’affirmer d’un seul coup d’œil. Vous êtes des novices et, de ce fait, m’associez à vous ne m’apporterais strictement rien.
Un long silence suivit ses paroles. Sandre et Zimo avaient pâlis. Entendre des vérités aussi dures sortir de la bouche de quelqu’un comme Edwin Kingsming était presque… douloureux. Evidemment, ils avaient été naïfs.
Bien trop naïfs.
Avaient-ils vraiment crus une seule seconde qu’un mage aussi illustre que cet homme, un des grands favoris de cette course, uns des candidats qui avaient le plus de chance de gagner, accepterait de s’allier avec des anonymes comme eux ? Des participants sans titres ni hauts faits derrière eux ? Sans la moindre réputation ?
Certes, Sandre ne s’était en réalité pas fait beaucoup d’illusions, mais les mots d’Edwin avaient fait plutôt mal.
Conscient d’avoir été assez dur dans ses propos, le mage secoua la tête d’un air désolé.
-Je vous le dis honnêtement, je ne désire pas faire équipe avec vous. Vous m’avez l’air de gens biens et d’être d’une agréable compagnie, mais ça s’arrête là. Nous ne ferons pas la route ensemble. Cependant, vous créerez peut-être la surprise et nous nous retrouverons peut-être plus loin dans la course, qui sait ? Je vous souhaite bonne chance.
Edwin fit volte-face et s’éloigna d’un pas tranquille.
Zimo avait l’air passablement secoué par ce qu’il venait d’entendre. Il resta silencieux. Sandre, lui, ouvrit la bouche.
-Tu ne sais pas ce que tu perds, lança-t-il d’une voix forte et assurée, à la surprise de Zimo. T’allier avec nous t’aurais permis d’aller bien plus loin que tu ne l’imagines. Pas de gagner, bien évidemment, puisque la victoire est pour moi, mais…
Edwin se stoppa. Il lança un regard surpris à Sandre. Celui-ci croisa les bras.
-Tu ferais mieux de nous éliminer dès maintenant, poursuivit-il. Parce que nous serons de très sérieux concurrents. Tu vas regretter amèrement de nous avoir parlé comme ça. Pas vrai, Zimo ?
Le Khajiit contemplait Sandre d’un air choqué, n’en revenant pas de la confiance avec laquelle il s’adressait à Edwin.
Le mage, lui, regardait maintenant Sandre d’une toute autre façon. Il sourit et découvrit ses dents.
-Tu es plus intéressant que je ne m’y attendais, on dirait. Répète-moi ton nom.
-Sandre. Sandre Hearthsley.
-Eh bien, Sandre Hearthsley, saches que tu as éveillé ma curiosité. Tel que je te vois, je réitère mes propos : Tu n’es pas dangereux le moins du monde. Mais la course n’est pas terminée, et en quatre mois, il peut se passer bien des choses. J’attendrais impatiemment que tu te mettes en travers de ma route. Et je vais te prendre au mot : Ce jour-là, je te considèrerais comme un concurrent sérieux, et je t’éliminerais sans pitié. Ca te convient ?
Sandre renifla sèchement.
-Ca me convient.
Edwin le fixa encore quelques secondes. Puis, il se détourna et fit dernier signe à Zimo et Sandre en s’éloignant.
-Alors je ne vous dis pas adieu, lança-t-il sur un ton amusé en disparaissant dans la forêt.
Une fois qu’il eut quitté le champ de vision des deux hommes, Zimo pivota mécaniquement vers Sandre et le saisit par les épaules.
-Mais qu’est-ce qui t’as pris, bordel ?! hurla-t-il à son compagnon. Non mais je rêve ?! Provoquer quelqu’un comme Edwin Kingsming ! Monsieur se prend déjà pour le champion !
-Et toi ? répondit Sandre, nullement impressionné.
-Hein ? fit Zimo. Quoi, moi ?
-Tu ne te prends pas pour le champion ? Tu me surprends, Zimo. Je ne savais pas que tes motivations étaient aussi faibles. Pourquoi t’es-tu inscris à la Grande Marche, alors ? Tu étais pourtant conscient que des gens comme Edwin Kinsming participeraient, et que tu serais amené à leur faire face. Quoi, tu croyais qu’ils allaient tous tomber les uns après les autres sans intervention de ta part et que tu arriverais au bout sans effort ?
Sandre secoua la tête se dégagea de la prise de son compagnon. Il le fixa durement.
-Moi je suis déterminé à gagner, et je suis venu avec cette unique pensée en tête : Arriver à Sentinelle en premier. Quitte à devoir affronter des Edwin Kingsming, des Barhak Gro-Tragnan ou des Raedyn Levenni pour me hisser à la première place. Alors à ta question, je te répondrais : Oui. Oui, je me prends pour le champion. Et toi ?
Zimo ouvrit la bouche mais Sandre le stoppa.
-Non. Ne réponds pas tout de suite. Réfléchis bien à ce que tu vas dire.
Le Khajiit fronça les sourcils, puis, baissa les yeux. Finalement il les releva d’un air déterminé.
-Oui, dit-il enfin. Oui, je suis là pour gagner.
-Bien, répondit Sandre avec un sourire. Content de t’entendre dire ça. Peu importe ce qu’Edwin Kingsming ou qui que ce soit d’autre pense de nous aujourd’hui. Ce qui compte, c’est que qu’ils penseront de nous lorsque nous traverserons la ligne d’arrivée et que nous les laisseront derrière nous. Tu as compris ? J’ai accepté de faire équipe avec toi, alors ne me déçois pas, Zimo. Nous arriverons à Sentinelle ensemble, compris ?
-Compris, répondit Zimo en hochant la tête énergiquement.
La Lune était haute dans le ciel. La cité de Daggerfall était silencieuse.
Dans sa chambre, le seigneur Atlus, mécène et organisateur de la Grande Marche depuis des années, tendit sa coupe en cristal. Un serviteur la remplit humblement.
Face à lui se dressait un Miroir de Divination dans lequel s’affichaient les visages d’Herbert Maskew et d’Eddard Likingston, les deux présentateurs de la course, côte à côte. Ils souriaient et étaient visiblement occupés à se coiffer.
La voix d’Atlus les fit sursauter.
-Messieurs, je vous dérange ?
-Euh, non, répondit Eddard en rangeant la brosse qu’il tenait. Pas du tout, seigneur.
-Saykam est-il là ?
-Non, fit Herbert. Comme nous ne diffusons plus, il est parti dans sa loge.
-Bien. Comment se passe la course ?
-Sans accroc, seigneur. Tout va pour le mieux. Deux jours se sont écoulés et il ne reste déjà plus que mille-neuf-cent participants. La Chasse aux Coureurs est particulièrement féroce, cette année. On dirait que nos « chasseurs » sont… insatiables.
-Qui a fait le plus de victimes ?
-Les sœurs Jädmar font du bon travail. Elles ont éliminés à elles-seules près de soixante participants depuis le début. Elles semblent tout miser sur la force et liquident quiconque se trouve sur leur route. Nous avons aussi quelques surprises, comme à chaque édition. Des anonymes qui se révèlent assez violents. Comme ce participant qui s’est inscrit sous le nom de l’Ombre. Il s’est tenu sage le premier jour mais il a sorti quarante-huit candidats, aujourd’hui. Tous sont morts.
-En quelle position se trouve-t-il ?
-Toujours neuvième, depuis hier. Il fait partis du peloton de tête.
-Gardez-le à l’œil, alors. Les spectateurs raffolent des participants comme lui. Des inconnus qui, du jour au lendemain, peuvent devenir de véritables célébrités. Comprenez bien que ce que veulent les gens, ce sont des effusions de sang, pas du simple sport.
-Bien entendu, approuvèrent Herbert et Eddard.
Atlus sourit de toutes ses dents et avala une gorgée de vin. Il fit signe à son serviteur de disparaître. Celui-ci s’éclipsa.
Le seigneur de Daggerfall reporta son attention sur ses interlocuteurs.
-Les préparatifs pour la première épreuve sont en place ?
-Oui, nos équipes sont les plus performantes de Tamriel.
-Et les paris ? Comment vont les paris ?
-Ah, les mises augmentent à chaque minute, répondit Herbert avec un large sourire. Nous enregistrons la plus grande participation depuis la création de la Grande Marche. Les gens sont particulièrement enthousiastes pour cette vingt-deuxième édition. Vous êtes vraiment le meilleur promoteur, seigneur Atlus.
-Oui, et ça ne fait que deux jours que la Grande Marche a commencée, ajouta Eddard.
-Bien, bien… Contactez-moi s’il y a le moindre problème. Je veux en être tenu au courant.
Les deux présentateurs hochèrent la tête.
Eddard prit soudain un air énigmatique et se pencha en avant.
-Et, seigneur, si je peux me permettre… Qu’en est-il des « surprises » que vous nous avez promis pour cette édition ? Vous avez refusés de nous en parler, jusqu’à maintenant.
Atlus se lécha les lèvres et reposa sa coupe de vin.
-Mais, mes chers, si je vous le disais, ce ne seraient plus des « surprises », n’est-ce pas ?
-Certes, certes… Nous simplement curieux.
-Sachez donc qu’une de ses « surprises » s’est déjà infiltrée dans la course et fait de l’excellent travail.
-Pouvons-nous au moins savoir quel genre de « surprise » elle constitue ?
Atlus se tourna vers sa fenêtre. Il sourit.
-Un joker.
-Un quoi ?
-J’ai intégré un joker à ma solde dans la course. Trois, pour être plus précis. Mais seul l’un d’entre eux s’est encore manifesté.
Il tourna la tête vers le Miroir de Divination.
-Croyez-moi, messieurs, j’ai bien l’intention de faire de cette vingt-deuxième édition de la Grande Marche la plus palpitante jamais réalisée. Peu importe les… moyens.
Super! Sandre est "intéressant"
Ce suspens
Je veux savoir la suite
Ouuu Edwin est pas commode
J'espérais quand même qu'ils fassent équipe,mais bon, La suitte !!
les "surprises" ont l'ai intéressant et l'assassin (le serpoent ?) doit être l'un d'entre eux
Suspens!
Et je peut avoir une réponse à mon méssage please ?
DE PLUS EN PLUS passionnants!! vivement la suite!!