Sujet :
[Officiel] Real Madrid C.F
QUOI ??!!
Ribery meilleur que Ronaldo ??
Sa, c'est la meilleur.
Tout le monde c'est que :
Ronaldo > Ribery > Messi 
Manu711 http://www.remixito.fr/acctu/buzz/fou-rire/benzema.html
Trop drôle 
Ouais pas mal la parodie ! 
Xabi Alonso attendu en fin de semaine
Selon Marca et l'ensemble de nos confrères anglais, Xabi Alonso sera bien un joueur du Real Madrid en 2009-2010. Le milieu de terrain de Liverpool devrait s'engager avec le club espagnol d'ici la fin de semaine contre une indemnité de transfert évaluée à un peu plus de 35 millions d'euros. L'international espagnol ne prendrait d'ailleurs pas part à la tournée des Reds prévue en Asie d'ici quelques jours.
Owiii ! 
Xabi Alonso et Huntelaar au coeur d’un transfert en 3 bandes... lancé par l’AS Rome
« La Roma ne peut supporter le coût d’une telle opération à cause de sa situation économique. Ils ne veulent pas actuellement engager Huntelaar. » Cette déclaration a été faite par Ernesto Bronzetti, un des agents les plus influents en Italie lors de l’émission Unico Grande Amore. « Huntelaar vaut 20 M€ et l’hypothèse la plus probable c’est qui aille à Stuttgart. » Pessimiste, Bronzetti ne donne donc quasiment aucune chance aux Giallorossi concernant un éventuel transfert du Batave vers la cité Eternelle.
Cependant, le média italien révèle que les Romains envisagerait de lancer une partie de billard afin de chiper Huntelaar au nez et à la barbe de Stuttgart. Bien entendu le dossier ne vas pas se jouer autour du rectangle vert avec des cannes, mais l’intérêt de Liverpool pour le jeune Aquilani pourrait bien être à l’origine d’un transfert en trois bandes.
En effet, les Reds sont disposés à laisser partir Xabi Alonso, mais Rafa Benitez ne le fera que si son joueur lui exprime son désir de partir et surtout si le coach hispanique parvient à recruter au préalable un remplaçant. L’idée de la Roma est donc d’accepter un transfert d’Aquilani vers Anfield moyennant 15 M€. Ce qui permettrait donc à Xabi Alonso de pouvoir rejoindre le Real Madrid et aux Giallorossi d’investir l’argent perçu pour Aquilani dans le transfert d’Huntelaar. A suivre.
En gros ça donnerait :
Aquilani irait à Liverpool.
Xabi Alonso irait à Madrid.
Huntelaar irait à la Roma.
Le problème c'est que Huntelaar vaut plus de 15M€, donc faudra que la Roma ajoute des fonds en plus des 15M€ qu'ils percevront d'Aquilani. 
Perez avec "humilité"
Florentino Perez veut que son club, le Real Madrid, retrouve son standing. Après "trois années perdues, il faut récupérer le modèle économique de Santiago Bernabeu". L'objectif est de revenir là où le club doit être le meilleur club du 20e siècle, et par conséquent de l'histoire du football."
Le président du Real Madrid sait qu'il faudra "se bagarrer avec les autres clubs et que le fait d'avoir de grands joueurs ne donne aucune assurance sur les résultats à venir." "Il faudra rester humble pour gagner la Liga et la Ligue des champions. Notre objectif n'est pas de faire mal à Barcelone. Ils ont fait une grande saison et nous les félicitons. Cela nous motive pour travailler. Nous espérons que tout ira bien pour eux, et que nous serons meilleurs..
Une victime des Galactiques à Manchester City ?
Une page se tourne au Real Madrid. Le vent nouveau qui souffle sur la Maison Blanche pourrait avoir raison des derniers édifices vivants du club. Si la place de Raùl peut encore se discuter, celle de Guti ne laisse guère de doute. Le milieu offensif ne devrait pas disputer un grand nombre de matchs cette saison. Avec le déterminisme dont fait preuve le Real cette année, à chercher un nouveau milieu offensif, Guti devrait être logiquement barré par les Kakà, Sneijder ou autre Van der Vaart.
Mais l’Espagnol pourrait ne pas finir si malheureux que ça. Un autre club se distingue sur le marché des transferts. Manchester City pourrait, selon la chaîne espagnole Telecinco, offrir à l’élégant gaucher un point de chute intéressant. L’armada qui se construit outre-Manche, à coup de millions, serait un challenge de taille, en plus d’une retraite bien assurée, pour le joueur de 32 ans.
Raul prêt pour la concurrence
Raul Gonzalez Blanco est au club depuis plus de quinze ans. Véritable emblème du Real Madrid, il a marqué plus de 309 buts sous les couleurs merengue.
Oui, mais voilà. Le temps passe et les joueurs aussi. Benzema, Kaka, Cristiano Ronaldo : un beau gratin en attaque qui présage de lendemains difficiles pour les autres joueurs, ainsi qu’une concurrence assez rude. Une perspective qui n’effraie pas le buteur espagnol.
« Ça fait quinze que je lutte pour un poste (...). Plus la concurrence est rude, plus elle t’encourage » révèle ainsi Raul à Marca.
Le joueur développe : « Avec les arrivées qu’il y a eu, on améliore la qualité de l’effectif. Avec autant de rivalités, chacun pourra donner le meilleur de soi, j’espère que nous sommes tous au maximum, parce que c’est une longue saison, avec beaucoup de matchs et il y aura des opportunités pour tout le monde. Chacun devra donner le meilleur ».
Ça va faire un sacré banc, tout ça...
Non je pense pas, Kaka sera titulaire indiscutable.
http://www.youtube.com/watch?v=XLTC9NfTiRs&eurl=http%3A%2F%2Fwww.facebook.com%2Fphoto.php%3Fpid%3D504691%26id%3D1351453272%26ref%3Dnf&feature=player_embedded
Le nouvel organigramme du Real Madrid
Branle-bas de combat à la Maison Blanche. Le Real Madrid est de retour aux affaires. Et autant le dire tout net : Florentino Pérez n’est pas revenu pour rigoler. Conséquences : transferts galactiques, soldes géantes, et, surtout, remaniement gouvernemental. Focus sur le nouvel organigramme du Real.
Florentino Perez : Président
Il voulait imiter le mythique Santiago Bernabeu, mais il a finalement fait plus fort que son modèle. En provoquant un véritable tremblement de terre dans le marché des transferts, Florentino a signé un retour fracassant aux commandes du Real Madrid. Il est le personnage le plus influent du monde du football à l’heure actuelle, et ce malgré sa dégaine de comptable mal dans ses bottes. Reste à savoir si les Galacticos II finiront comme leurs ancêtres, soit au fond du trou. Au cas échéant, ce sera définitivement la fin du Real économiquement parlant... Gros challenge donc. Pour l’instant relevé. Question à 200 millions : que vont montrer les recrues phares sur le pré ?
Zinedine Zidane : Conseiller personnel du président en charge également de la formation des jeunes
Absent lors des présentations des joueurs, absent lors des nombreuses conférences organisées par le Real Madrid, pas vraiment décisif pour le transfert de son pote Ribéry toujours en cale sèche à Munich, Zidane au Real Madrid, c’est surtout, du moins jusqu’à présent, un emploi fictif. Mis à part son aura médiatique, et ses longs silences ponctués de quelques sourires, Zizou n’a rien fait d’extraordinaire pour son retour à la Maison Blanche. Qui a parlé de potiche ?
Emilio Butragueno : Porte-parole du club
Sorte de Raul des années 80, El Buitre était un grand joueur à une période où le Real Madrid était inexistant sur la plus belle scène européenne : la Ligue des Champions. Véritable homme franchise de la Casa Bianca, Perez en avait fait l’un de ses hommes forts lors du premier mandat. Problème : Butragueno était particulièrement mauvais dans ses choix et maladroit dans ses propos. En qualifiant son président Perez « d’être supérieur » Emilio a dû faire face à pas mal de sarcasmes. Lèche-bottes en admiration devant son boss, le gentil benêt a été récompensé de sa fidélité une nouvelle fois en obtenant de son gourou un poste de porte-parole officieux du Real Madrid. Il sera donc présent aux réunions de l’UEFA, lors des tirages au sort et autres mondanités du genre. Il est également directeur général du programme d’Etudes Universitaires Real Madrid au sein de l’université Européenne de Madrid. Un poste qui ne sert à rien, pour des études qui mènent à des voix de garage. Pas si mal pour quelqu’un qui n’a même passé l’équivalent du bac en Espagne…
Jorge Valdano : Directeur général adjoint et conseiller du président
Milieu de terrain pas aussi génial que Maradona, Valdano se proclame néanmoins champion du monde avec l’Albiceleste avec le Pibe de oro, avec qui il est désormais brouillé. Après avoir évolué un an en segunda avec Alaves, l’Argentin rejoint Saragosse et marque contre le Barça lors de son premier match en Liga. Il est par la suite enrôlé au Real Madrid, où il remporte avec Butragueno deux Coupes de L’UEFA et quatre championnats. Finalement il arrête sa carrière à cause d’une méchante hépatite B. Cheveux gominés, gueule d’amour digne des plus beaux étalons de telenovelas, Valdano est le stéréotype de l’hidalgo argentin beau parleur. Il est ainsi capable d’endormir tout son monde sans en avoir l’air. Considéré comme un apôtre du beau jeu et un véritable philosophe du ballon rond, l’actuel directeur général adjoint et conseiller du président du Real a fait de la branlette intellectuelle footballistique son cheval de bataille.
En tant qu’entraîneur, la Liga (et le Real Madrid) lui doit pourtant la découverte d’un certain Fernando Redondo (du temps où il officiait en tant que coach à Ténérife). Un type aussi classe que lui, même avec ses cheveux longs. Vainqueur d’une Liga avec le Real Madrid en tant qu’entraineur, l’Argentin est également à l’origine de la venue de Roberto Carlos dans la capitale espagnole. De son départ aussi. Déjà directeur sportif du Real lors de la première version des Galacticos, Florentino Perez en a fait depuis l’un de ses hommes de confiance, malgré le fait qu’il soit à l’origine des transferts de Robinho, Diogo et autres mauvais Uruguayens. Avec lui en tant que dirigeant, le club n’a jamais rien gagné, preuve que l’habit fait bel et bien le moine. Auteur d’une belle tirade sur le football et la politique (« Le football de gauche est créatif et jubilatoire, tandis que le football de droite est violent, rustre et sans génie »), l’Hispano-Argentin semble désormais avoir choisi son camp. Celui de droite. Du coup, pour rester crédible et passer l’hiver, il compte bien sur mettre la pression à Ronaldo, Kaka et Benzema.
Miguel Pardeza : Directeur sportif
Ancien joueur formé au Real Madrid, Miguel Pardeza n’a pourtant jamais réussi à faire son trou chez les merengues. Doué à l’école, l’Andalou natif de Huelva est un peu moins brillant sur les terrains : « C’est vrai que j’ai toujours été le premier de la classe. Les autres camarades de l’école attendaient la récréation pour jouer au football, alors que moi je m’impatientais à l’idée d’aller faire des maths en classe ». Sorti major d’une promo de cancres, Pardeza parvient quand même à faire son trou dans l’équipe filiale du Real, le Castilla, avant d’être prêté à Saragosse pendant un an.
De retour à Madrid, il ne réussit pourtant pas à s’imposer au sein de la quinta del Buitre et repart en Aragon, cette fois-ci pour un bail de dix ans. Il devient rapidement la référence du milieu de terrain de Saragosse et remporte deux Coupes d’Espagne et surtout une Coupe des Coupes contre Arsenal au Parc des Princes.
“Ratoncito” (petit rat) raccroche finalement les crampons en 1997. En 2002, Pardeza est appelé au secours par le président de Saragosse, Alfonso Solans, pour sauver le club descendu en Segunda. Pour ses six premières années en tant que directeur sportif, Pardeza qualifie les Aragonais en Coupe de l’Uefa, et remporte une Coupe du Roi avant finalement de présenter sa démission au lendemain de la rétrogradation de la saison dernière.
Bilan mitigé donc. Réputé pour son coup d’œil, le merengue de cœur arrive à dénicher les frères Milito, Savio, Ewerthon, Sergio Garcia et surtout un certain David Villa. C’est pas rien. Au contraire, Pardeza est également l’homme qui a coulé à lui tout seul Saragosse en signant des boulets comme Gabi, Javi Moreno, D’Alessandro, Aimar, Ayala ou encore Luccin. Des bons joueurs sur le papier qui auront finalement passé leur temps à se foutre sur la gueule pendant toute une saison... Inexpérimenté au plus haut niveau, Pardeza devra donc revoir sa copie pour ne pas échouer une nouvelle fois au Real Madrid. Et visiblement, il manque déjà d’ambition : « Le Real doit retrouver son estime, mais ce ne sera pas simple vu la forme olympique du Barça ». C’est clair, il va falloir qu’il muscle son jeu, d’autant que sa vista pour dénicher des joueurs ne servira à rien dans un club habitué à faire signer des gros calibres du football mondial à coups de millions.
Fernando Fernandez Tapia : Vice-président
Homme d’affaires dans le BTP, gominé et mystérieux. Voilà le profil du nouveau vice-président du Real Madrid. Déjà en poste lors du premier mandat de Perez, cet ami personnel de Florentino est surtout connu pour avoir ouvert la boite de Pandore : les votes par courrier électronique lors de la démission de Perez et le bordel qui a suivi, c’est-à-dire Ramon Calderon. Homme de l’ombre et amateur de chiffres et autres tableaux Excel, Fernandez Tapia aura pour rôle de valider les bilans comptables du Real Madrid. Bref, le football, c’est pas son truc. Les magouilles par contre…
Eduardo Fernandez de Blas : Vice–président adjoint
Avocat et ami personnel de Florentino Perez, De Blas a été celui qui a préparé le retour du président merengue à la tête de la Maison Blanche. Créateur du mouvement Etica Madridista, un groupe d’opposition à Calderon et à Boluda, le nouveau vice-président adjoint avait pourtant juré il y a quelques mois à So Foot que son action était nourrie de bonnes intentions : « Etica Madridista n’a rien à voir avec Perez. Notre rôle est de redonner un peu de crédibilité au club. Nous voulons qu’il soit démocratique ». Bizarrement, après avoir forcé Boluda à convoquer de nouvelles élections présidentielles, et mis en orbite Perez, il est désormais le troisième homme le plus important du Real. Depuis sa prise de fonction, il raconte d’ailleurs beaucoup de sornettes (« Le club a une dette de 50 millions d’euros », « Le Real n’a pas honte de ses investissements », etc.)… Langue de bois, absence de transparence et pas mal de piston… Bref, pour la “démocratie”, on repassera.
Manuel Pellegrini : Entraîneur
L’homme qui va devoir supporter les caprices des stars, mais également de ses dirigeants. S’il ne fait pas une crise de nerfs avant la fin de saison, son bilan sera parfait. Accessoirement très bon entraîneur.
Benzema déjà critiqué
Fini le monde des Bisounours à Lyon, où Karim Benzema était sous haute protection. Au haut-niveau, comprenez au Real Madrid, le Benz’ va devoir faire ses preuves.
L’apprentissage passe par la critique. Celle d’aujourd’hui n’est pas tendre avec l’attaquant français. C’est une ancienne gloire madrilène, le milieu de terrain Michel, qui porte l’estocade en remettant clairement en cause le recrutement de l’ex-Lyonnais. Pire, il va même plus loin. « Je ne sais pas si Benzema serait capable de mettre 30 buts avec Almeria. Alvaro Negredo peut le faire, nous le savons tous. Il mérite le respect », a-t-il déclaré sur Radio Marca.
Etre mis plus bas que Negredo, c’est dur quand même. Peut-être même un peu malhonnête. Car la petite histoire ne dit pas que Michel a formé Negredo, puis l’a coaché au sein de l’équipe B du Real…
Ultime offensive pour Ribéry
Alors que les dirigeants madrilènes tentent de faire croire qu’ils ont abandonné l’idée de recruter Franck Ribéry, ces derniers semblent toujours décidés à débaucher la star du Bayern.
Selon Marca, Alain Migliaccio, l’un des deux agents de Franck Ribéry, se serait rendu personnellement à Munich afin de convaincre les dirigeants munichois de laisser partir Kaiser Franck.
Une démarche originale qui semble orchestrée par Florentino Pérez. Lassé par les refus incessants des dirigeants allemands, le président madrilène aurait donc décidé d’abattre l’une de ses dernières cartes.
Par ailleurs, le journal espagnol indique également que Zinédine Zidane serait venu en personne pour s’entretenir avec Franz Beckenbauer.
A ce rythme, le roi d’Espagne Juan Carlos 1er ne devrait pas tarder à débarquer en Bavière.
Les vacances de Sergio Ramos
L’année dernière, Sergio Ramos était partout. Les paparazzi l’aimaient et il le leur rendait bien.
Cette année, en revanche, il s’est fait discret. Car il a compris qu’étaler sa vie dans les magazines "gossip" était néfaste pour son image. Au programme donc : Mali avec l’Unicef pour rendre visite à des enfants atteints de la malaria.
Puis avant de rejoindre, en Irlande, ses coéquipiers du Real pour leur tournée d’été, il est quand même passé par la case plage en Espagne avec blonde à forte poitrine. Faut pas déconner tout de même.
Retour à l’envoyeur pour Van Der Vaart
Avec plus de 30 joueurs sous contrat, le Real Madrid se doit de dégraisser, car pour le moment seul l’attaquant argentin, Javier Saviola, est parti à Benfica contre 5 M€. Si le Hollandais Klaas-Jan Huntelaar est aujourd’hui le mieux placé pour suivre les pas de l’ancien Monégasque, un autre Batave est également bien placé pour faire ses valises.
Selon le quotidien allemand Bild, il s’agit de Rafael Van Der Vaart. Arrivé à Concha Espina l’an dernier, l’ex-pensionnaire de l’Ajax Amsterdam serait très proche d’un retour à Hambourg. Si une telle hypothèse avait déjà été évoquée, le journal germanique précise aujourd’hui que les dirigeants du HSV seraient prêts à consentir de gros efforts financiers pour faire revenir leur ancien capitaine.
En effet, les Merengues réclament pas moins de 15 M€ (alors qu’ils l’ont acheté 13 M€). Mais ce n’est pas tout. Niveau salaire, là aussi l’addition pourrait être salée, car le joueur perçoit actuellement 4,5 M€ par an. À suivre.
Robben veut rester
Arjen Robben, l'attaquant du Real Madrid, a réaffirmé son envie de rester au sein du club merengue la saison prochaine. Arjen Robben arrivera-t-il à convaincre les dirigeants du Real Madrid de le garder une saison de plus. Désireux de vendre quelques joueurs après avoir fait des folies sur le marché des transferts, les dirigeants de la Maison Blanche espéraient vendre l'ancien attaquant de Chelsea. Si Tottenham est intéressé, Arjen Robben ne semble pas encore prêt à quitter la tunique blanche. "Je suis très heureux dans ce club et je suis impatient de commencer la nouvelle saison", a déclaré l'international néerlandais, selon Sky Sports.
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