Moi j'ai plus aucun espoir avec cette équipe, j'ai regardé la liste hier soir, désespérant.
Je n'attends vraiment plus rien de Deschamps ou de cette équipe en général.
Je partage ton avis Ibo.
L'équipe la moins dégueulasse que l'on pourrait faire avec cette liste selon moi :
Lloris
Debuchy - Koscielny - Abidal - Clichy
Pogba - Kondogbia
Payet - Valbuena - Ribery
Giroud
C'est pas fameux.
RockTheHouse
Posté le 3 septembre 2013 à 12:40:57
Je me demande bien par qui Deschamps va remplacer Grenier.
Un nouveau milieu défensif ?
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Toulalan ? Ah non wait
Le pire c'est qu'au fond y a plusieurs joueurs intéressants (une minorité cependant), mais on sait pas pourquoi, dès qu'un type met les pieds en EdF il est jamais capable d'être au même niveau qu'en club.
En plus la manière Deschamps ça donne vraiment pas envie, c'est pas très beau à voir jouer et puis y a rien de construit, on prend les matchs les uns après les autres mais y a pas de suivi.
Avec Blanc au moins y avait une petite lueur, y a eu plusieurs matchs vraiment intéressants à voir, l'impression de pouvoir faire un vrai truc... son mandat passerait presque pour une époque dorée en comparaison avec ce qu'on a depuis 1 an.
C'est vrai que le bilan de Deschamps laisse à désirer
Il faut donner plus de pouvoir sportif à l'entraîneur de football.
Que son accord soit obligatoire pour le transfert d'un joueur, et qu'il y ait plus de truc à la Lemina ou autre connerie du genre.
Les transferts sont juste trop "marginalisé" et il n'y aucune importance de fond derrière.
Minimisé le caractère "business" des transferts aussi.
Quand tu vois juste l'affaire Lemina alors que Gourcuff est un daron des darons à Lorient, voilà quoi.
Ah justement moun je voulais avoir ton ressenti sur le transfert d'Ozil.
La plus grosse du Real Madrid CF depuis Makelele et Del Bosque.
FEDERER RIRE
Ce mercato est à gerber.
Rafael Nadal vainqueur de l'Us Open 2013.
Bravo à lui, il rajoute un 13ème GC à son palmarès.
"La plus grosse du Real Madrid CF depuis Makelele"
Cousin, où t'as trouvé l'interview de Bachargod ?
T'as un lien pour tonton Poupoumaster ?
connerie*
C'est dans Le Figaro, je vais la chercher attends
MonsieurPetru Voir le profil de MonsieurPetru
Posté le 3 septembre 2013 à 13:35:45 Avertir un administrateur
"La plus grosse du Real Madrid CF depuis Makelele"
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J'ai lu la réponse avant la question.
L’entretien s’est tenu exactement à l’heure prévue, lundi à 10 heures, dans une maison située dans une pinède sur une colline de Damas, en dehors du palais présidentiel. Nous avons franchi un seul barrage avant d’y arriver. La sécurité alentour paraissait minimale. Je n’ai pas été fouillé. On m’a simplement pris mon téléphone portable et mon enregistreur. Bachar el-Assad est venu m’accueillir sous le porche à l’entrée. Nous avons pénétré dans un grand bureau orné de tableaux.
Nous avons échangé quelques mots sur mes séjours en Syrie depuis vingt ans, puis l’entretien, traduit par la ministre de la Culture, a démarré. Son entourage m’avait donné 30 à 40 minutes environ. Il a duré finalement trois quarts d’heure. J’ai posé les questions que je souhaitais poser. Je l’interrompais quand je le jugeais utile.
Dimanche soir, son entourage m’avait demandé d’envoyer cinq questions écrites. J’ai répondu que c’était un peu court. J’ai alors regroupé mes questions par thèmes. On m’a répondu : mais vous en avez envoyé dix-neuf ! Finalement, j’en ai posé trente-deux, sans aucun problème. Bachar el-Assad est resté très calme tout au long de l’interview. À la fin, il m’a raccompagné sur le perron, après m’avoir demandé quand l’entretien serait publié. Il ne montrait pas de signes visibles d’inquiétude, mais il paraissait très concerné par son bras de fer avec Barack Obama.
En s’affichant sans sécurité visible autour de lui, le chef de l’État syrien voulait montrer qu’il ne se cache pas dans un bunker. On me dit qu’il en fut ainsi au cours des interviews qu’il a données ces derniers mois. G. M. (à Damas)
LE FIGARO. - Pouvez-vous nous démontrer que votre armée n’a pas recouru aux armes chimiques le 21 août dans la banlieue de Damas ?
Bachar EL-ASSAD. - Quiconque accuse doit donner des preuves. Nous avons défié les États-Unis et la France d’avancer une seule preuve. MM. Obama et Hollande en ont été incapables, y compris devant leurs peuples. Deuxièmement, parlons de la logique de cette accusation. Quel intérêt à attaquer à l’arme chimique, alors que notre situation sur le terrain est aujourd’hui bien meilleure qu’elle ne l’était l’année dernière ? Comment une armée, dans n’importe quel État, peut-elle utiliser des armes de destruction massive, au moment où elle progresse au moyen d’armes conventionnelles ? Je ne dis nullement que l’armée syrienne possède ou non de telles armes. Supposons que notre armée souhaite utiliser des armes de destruction massive : est-il possible qu’elle le fasse dans une zone où elle se trouve elle-même et où des soldats ont été blessés par ces armes comme l’ont constaté les inspecteurs des Nations unies en leur rendant visite à l’hôpital ? Où est la logique ? Qui plus est, est-il possible d’utiliser des armes de destruction massive dans la banlieue de Damas sans tuer des dizaines de milliers de personnes, car ces matières sont portées par le vent ? Toutes les accusations se fondent sur les allégations des terroristes et sur des images vidéo arbitraires diffusées sur Internet.
Les États-Unis affirment avoir intercepté un entretien téléphonique d’un haut responsable syrien reconnaissant l’utilisation d’armes chimiques ?
Si les Américains, les Français ou les Britanniques disposaient d’une seule preuve, ils l’auraient montrée, dès le premier jour.
Est-il possible que certains responsables de votre armée aient pris cette décision sans votre aval ?
Nous n’avons jamais dit posséder des armes chimiques. Votre question insinue des choses que je n’ai pas dites, et que nous n’avons ni confirmées ni niées en tant qu’État. Mais normalement, dans les pays qui possèdent une telle arme, la décision est centrale.
Barack Obama a reporté les frappes militaires contre la Syrie. Comment interprétez-vous cette décision ?
Certains ont vu en lui le chef fort d’une grande puissance, parce qu’il a menacé de déclencher la guerre contre la Syrie. Nous estimons que l’homme fort est celui qui empêche la guerre, et non celui qui l’enflamme. Si Obama était fort, il aurait dit publiquement : « Nous ne disposons pas de preuves sur l’usage de l’arme chimique par l’État syrien. » Il aurait dit publiquement : « La seule voie est celle des enquêtes onusiennes. Par conséquent, revenons tous au Conseil de sécurité. » Mais Obama est faible, parce qu’il a subi des pressions à l’intérieur des États-Unis.
Que diriez-vous aux membres du Congrès américain, qui doivent voter pour ou contre ces frappes ?
Quiconque souhaite prendre cette décision doit au préalable se poser la question de savoir ce que les guerres récentes ont apporté aux États-Unis ou même à l’Europe. Qu’a gagné le monde en Libye ? Qu’a-t-il gagné de la guerre en Irak et ailleurs ? Que gagnera-t-il du renforcement du terrorisme en Syrie ? La tâche de tout membre du Congrès consiste à servir l’intérêt de son pays. Quel serait l’intérêt des États-Unis dans la croissance de l’instabilité et de l’extrémisme au Moyen-Orient ? Quel serait l’intérêt des parlementaires américains à poursuivre ce que George Bush avait commencé, à savoir répandre les guerres dans le monde.
Quelle sera votre riposte ?
Le Moyen-Orient est un baril de poudre, et le feu s’en approche aujourd’hui. Il ne faut pas seulement parler de la riposte syrienne, mais bien de ce qui pourrait se produire après la première frappe. Or personne ne peut savoir ce qui se passera. Tout le monde perdra le contrôle de la situation lorsque le baril de poudre explosera. Le chaos et l’extrémisme se répandront. Un risque de guerre régionale existe.
Israël serait-il visé par une riposte syrienne ?
Vous ne vous attendez quand même pas à ce que je révèle quelle sera notre riposte.
Que diriez-vous à la Jordanie où des rebelles s’entraînent ?
La Jordanie a déjà annoncé qu’elle ne servira de base à aucune opération militaire contre la Syrie. Mais si nous ne parvenons pas à éradiquer le terrorisme chez nous, il passera tout naturellement dans d’autres pays.