Cpt Laroche : … Et Ike!?
Laroche diffère donc sa visite avec le colonel tout juste soigné pour aller à la rencontre de ses hommes, qu’il avait justement l’impression de délaisser en ce moment. C’est avec étonnement, que Laroche voit sur la place du village, devant la mairie, tous ses gars en train de tailler le bout de gras, alors qu’ils les croyaient en position défensives devant la ville.
Cpt Laroche : Bah les gars! Qu’est ce que vous foutez là!?
Sgt-Clark : Vous inquiétez pas Capitaine, on a retrouvé des munitions pour le Marder et pour le PaK, on a de quoi se défendre, et Mistchell et partit avec un Français en reconnaissance. On est crevé Capitaine, on prend un peu de bon temps avec les jolies minettes du village.
Cpt Laroche : Ok, bien vue les gars, vous marquez un point. Si rien n’est à signaler, reposez-vous. Mais attention les gars, pas de conneries avec ces jolies minettes comme vous dites, ou alors mettez un imperméable là où vous savez. Et arrêtez de m’appeler « Capitaine », appelez moi Laroche merde!!
Laroche allait repartir quand il se souvient qu’il a oublié le plus important… Ike…
Laroche se retourne et s’adresse à ses gars pour leur demander si quelqu’un avait vue Ike et l’équipage de son char après la contre attaque allemande.
Clark lui répondit qu’il avait vue Nowk et Mistchell ramené un gars à l’hôpital de secours en le sortant de la Willys. Peut-être que c’était Ike…
Après avoir remercié Clark et avoir bu une lampée d’alcool que les boshs avaient laissé au village, Laroche se décide à partir au poste de secours de la ville, situé dans la mairie, pour aller voir le colonel, et l’homme qu’Eddy a ramené.
Quand Laroche arrive dans un couloir où sont entreposés dans les pièces les vivres et munitions, il aperçoit Nowk adossé au mur, à coté d’une porte.
Cpt Laroche : Alors Nowk, on m’a raconté… Qui avez-vous ramené ?
Nowk : C’est Ike capitaine… Il est…
Nowk commence alors une longue histoire.
Nowk était à l’avant avec la Willys, suivait derrière le Stuart de Ike, et plus loin les deux Sherman. Nowk aperçut des blindés allemands approchant de leur position, le char de Ike s’arrêta au niveau de la Willys, Ike ouvrit le tourelleau, et les deux hommes commencèrent à discuter d’un plan à suivre, quand tout à coup, l’avant d’un Panther se vit voir, et dans la seconde qui suivit, le char de Ike explosa. Ce n’était pas un Panther, mais un JagdPanther, équipé d’un PaK43 de 88mm. Ike qui était assis sur la tourelle du char fut envoyé sur le sol par la violence de la détonation. Nowk le récupéra, et ils mirent le cap avec les deux Sherman sur le village, le JagdPanther n’était plus à port, et à peine étaient-ils rentrés, que les tires d’artillerie tombés aux endroits qu’ils venaient juste de passer. C’est dans la confusion la plus totale que Nowk ramena Ike au poste de secours…
C’est quand Nowk finit son histoire que l’infirmier de la 101éme sortant de la chambre de Ike qu’il dit à Laroche : Depuis un quart d’heure s’en ai finit du soldat Ike…
Laroche resta bouche bé, il n’arrive pas à ce dire que Ike est mort…
L’infirmier finassant sa phrase annonce à Laroche, que maintenant Ike est un ancien combattant, il avait des débris de métal un peu partout, également dans le crâne, mais pas profondément, ainsi que quelques brulures aux jambes. Il rentre au pays, il n’est pas encore au courant. L’infirmier demande à Ike de lui annoncer.
Laroche après avoir remercié l’infirmier, s’en va rendre visite avec Nowk à Ike.
S-Lt Ike : Tiens les gars comment allez vous ?
Cpt Laroche : Nous bien, mais vous Ike ?
S-Lt Ike : Une sacrée bon Dieu de migraine carabinée, ça me démange dans tout le corps et je sens mes jambes en train de bouillir. Mais qu’est ce qu’il s’est passé Laroche !?
Laroche expliqua alors à Ike que son char avait explosé, et que Nowk ici présent l’avait ramassé et ramené. Les membres d’équipages du Stuart ont du mourir sur le coup. Laroche annonça alors à Ike en douceur qu’il n’était plus combattant, qu’il retournait aux Etats-Unis, son rapatriement aller se faire d’ici peu.
La réaction de Ike ne se fit pas attendre… : C’est pas possible Capitaine ! Je peux pas retourner au pays alors que vous vous allez continuer à vous battre. J’ai encore pleins de fritz à descendre.
Laroche expliqua à Ike que cela ne servait à rien de rester. Que ça lui plaise ou non, il va être rapatrié d’ici peu.
Laroche laissa Ike et Nowk ensemble, Ike s’était retourné dans son lit, tournant le dos à Laroche. Il alla rendre visite au colonel.
Quand Laroche arriva dans la chambre du colonel, il reconnut celui qui personne ne pouvait voir…
Col Dassaut : Laroche !!
Cpt Laroche : Bon Dieu c’est vous… (-_-; )
Col Dassaut : Et bien, cachez votre joie Laroche… J’ai une grande nouvelle à vous annoncer, il faudrait que vos français soit là également.
Cpt Laroche : « mon » français Colonel. Tous les autres sont tombés aux champs d’honneur pour libérer la Terre de France. Il est en reconnaissance actuellement.
Col Dassaut : Toujours prêt à ce que je vois. Alors ramenez le, et revenez me voir.
Laroche repart ver la place du village. Il demande à Clark d’appeler part radio Eddy et de lui dire de rentrer pour ramener le français.
Sgt-Clark : Qu’est ce qu’il ce passe Laroche ?
Cpt Laroche : Figurez vous que le colonel qu’on vient de soigner c’est notre cher Dassaut.
Sgt-Clark : Quoi !! Il est dans le village !? Je me porte volontaire pour remplacer le français à la reconnaissance Capitaine.
Cpt Laroche : Allons Clark, vous en faites pas, il vient juste transmettre un message pour le français et moi.
Eddy revient avec le français, Après avoir discuté avec les hommes dans la cours, Laroche ordonne à Eddy de repartir avec un gars de la 82ème. Laroche repart avec le français pour aller voir le colonel Dassaut.
Cpt Laroche : Nous voilà colonel, nous vous écoutons.
Col Dassaut : Messieurs, et surtout Laroche, en raison de vos états de services, nous vous proposons, tout en restant français de vous intégrer dans l’armée américaine. Vous aurez un nouveau grade en entrant dans notre armée, supérieur à celui que vous avez actuellement. C’est maintenant à vous de choisir messieurs.
Cpt Laroche : Nous allons y réfléchir, Vous aurez notre réponse ce soir monsieur.
Une fois la porte fermé, Laroche et le français parle entre eux dans l’escalier pour sortir de la mairie de la proposition. Ils se questionnèrent tout d’abord sur l’accepter ou non, les conditions viendront plus tard.
Laroche dit au français que de cette manière ils auront accès plus facilement aux nouveaux matériels américains. Mais le français annonce à Laroche qu’il ne préfère pas intégrer l’armée américaine, et avec sa taille il a la possibilité de s’engager dans l’armée blindé française de Leclerc, il convint Laroche lui de s’intégrer chez les amerloques, ils ont besoin d’homme comme lui, à la fois bon stratège et homme d’action.
Le français a-t-il à peine finit ses éloges pour Laroche, qu’ils sont déjà au centre de la place, les autres gars autour d’eux ne comprenant rien à ce qu’ils disent.
Sgt-Clark : Qu’est-ce qu’il se passe Laroche ?
Cpt Laroche : Dassaut nous a proposé de rejoindre votre armée.
Clark ne comprenant pas, Laroche lui explique ce que Dassaut lui a proposé dans le détail.
Laroche reste donc avec les hommes qu’on a mis sous son commandement ne sachant pas combien de temps il va pouvoir encore rester avec eux.
Clark et Laroche se doute qu’ils vont devoirs de séparer si Laroche entre dans l’armée américaine, mais ils vont aussi être séparé si Laroche entre dans les Forces Françaises Libres, là même où le petit français va aller.
Laroche décide avec Clark d’aller voir Dassaut.
Laroche demande avec l’appuie de Clark de garder quelques uns hommes qu’il a actuellement sil intègre l’armée américaine.
Dassaut explique que cela ne va pas être facile d’accepter cette condition, changer d’unité un certains nombre de soldats…
Dassaut annonce à Laroche qu’il va contacter le HQ pour se renseigner, et il donnera une réponse demain soir au plus tard. Laroche est donc pour une journée de plus le capitaine français Laroche.
Clark et Laroche décident déjà de demander aux hommes de la 101ème qui sont avec Laroche depuis le début, si certains seraient intéressés pour intégrer sous les ordres de Laroche une nouvelle unité encore inconnue, ou alors s’ils préfèrent rester dans l’aéroporté.
Certains hommes acceptent tout de suite, tel que Nowk, Hawk, Eddy, Garnet et Heliert, d’autres qui sont attachés à l’aéroportés préfèrent rester dans cette unités, comme Mistchell.
D’autres réfléchissent encore.
Pendant le reste de la journée, aucune attaque ni aucun mouvement de troupes allemands n’est à déplorer. Des deux cotés du front, les forces belligérantes se prépares, certaines à attaqués, d’autre à ce défendre, et dans tous les cas à en prendre pleins la gueule.
Les hommes restent donc dans la ville, à la radio, on peut entendre les discussions des officiers qui attendent leurs troupes pour lancer les premières offensives.
Le soleil se couche sur Blosville, aucun combat pour aujourd’hui, les hommes ont pris un repos bien mérité.
je recommence à les recopier sur word sur week-end, je les finalisent. Et une suite sera à vous ce week-end 
