Sujet :
[STORY] Tout a commencé par un FIFA
Une fois passé la douane, je saluai une dernière fois tout ces gens géniaux, envers lesquels je serai éternellement reconnaissant.
Patrick: "Une page se tourne Vince..."
Moi: "Je sais, ça me rend triste de les quitter mais en même temps, je suis terriblement excité à l'idée de retrouver ma terre d'origine."
A présent, nous devions embarquer dans l'avion en direction de Nantes, un et demi après mon départ pour le Canada. Beaucoup d'aventures s'étaient déroulées entre temps, tellement d'ailleurs qu'on pourrait presque en faire une histoire, on appellerait ça une "story" par exemple...
Moi: "Eh ! Pas mal ça !"
Au moment de valider nos billets, avant de monter à bord de l'appareil, Patrick me fit remarquer une chose, si évidente que je n'y avais même pas pensé.
Patrick: "J'ai pas vu ta copine, elle est pas venue ?"
Moi: "OH... ! 
"
Une voix transperça le brouhaha ambiant.
"Vincent ! VINCENT !"
Moi: "C'est elle ! 
"
"Te voilà enfin !"
Je me retournai, tout content.
"Je te tiens petit chenapan. 
"
Moi: "Guillaume ?!"
Guillaume le surveillant, à Toronto ! 
Guillaume: "Tu croyais pourvoir m'échapper petit voyou ! Haha, après six mois de recherches intensives, je t'ai enfin trouvé !"
Moi: "6 mois ?!"
Guillaume: "Oui ! Je n'ai cessé de compter les jours depuis notre séparation et aujourd'hui, je te retrouve, alors que tu comptais t'échapper encore une fois. C'est fini Vincent Noors ! Le jugement dernier a été rendu. Une sentence exceptionnelle est tombée. VINCENT NOORS..."
Des nuages noirs firent leur apparition, un éclair transperça même le ciel torontois.
Moi: 
Guillaume: "TU ES EXCLU DU LYCÉE !"
Moi:
Guillaume: "Maintenant, remets-moi ton carnet de correspondance."
Complètement déboussolé par ce qui m'arrivait, je cherchai machinalement dans mon sac à dos, celui qui me servait anciennement pour les cours.
Moi: "Désolé, je l'ai oublié chez moi. Je peux le rapporter à midi ?"
Guillaume: "Non, je le veux tout de suite !"
Comble du miracle, l'objet tant convoité passa sous ma main.
Moi: "C'est bon, je l'ai en fait ! Le voilà."
Guillaume: "En vertus des pouvoirs qui me sont conférés, je t'exclus officiellement du Lycée ... ... de Nantes. Tes parents seront prévenus à la première heure demain matin. La conseillère d'orientation pourra te proposer une solution de re-scolarisation dès la semaine prochaine. Au revoir Vincent Noors."
La quantité astronomique de champagne ingérée cette nuit devait me jouer des tours.
Émilie: "Vincent ?! Vincent ?! Ça va ?"
Moi: "Émilie ! Te voilà enfin ! "
Émilie: "Nous n'avons que très peu de temps à passer ensemble avant le départ de l'avion. Vincent, je t'aime, j'essayerais de te rejoindre en France à la fin de mes études."
Vincent: "Je t'aime Émilie. Cette séparation va renforcer notre couple. Je sais que Nicholas prendra bien soin de toi."
Nous nous embrassâmes longuement avant que Patrick me tire par le bras pour que nous ne rations pas notre vol. Je quittai Émilie très ému. La voir pleurer me brisai le coeur.
Quelques minutes plus tard, après le décollage...
Moi: "Au revoir Toronto !"
Quelques heures plus tard
Moi: "Quel heure il est ?"
Patrick: "17h08."
Moi: "Plus qu'à prendre les valises..."
Patrick: "Vincent, tu t’apprêtes à débuter une nouvelle vie, bonne chance. 
"
Moi: "Merci Patrick. Merci pour tout."
Une fois les bagages récupérés, on passa dans la zone d'accueil des voyageurs. Je fus accueilli par les flashs des appareils photos de trois ou quatre journalistes présents, avant de retrouver Eddy, accompagné de quelques amis du quartier. Après les voeux traditionnels de bonne année, mon meilleur ami me montra une photo, datant d'il y a deux ans.
Eddy: "Tu le reconnais ?"
Moi: "Ah ouais ! C'est le gros Charlie, le gars au bâtiment 2A."
Eddy: "Mais non, c'est toi ! 
"
Je ne me reconnaissais pas, honnêtement.
Eddy: "Comme quoi, remplacer les kilos de graisse par du muscle, ça le fait tout de suite. 
"
En me regardant dans le reflet d'une vitre, je me rendis compte moi-même de la transformation, juste incroyable. Jérôme m'interpella tout de suite après.
Jérôme: "Eh ben, la télé n’amincit pas tant que ça en fait ! 
"
Moi: "Très drôle... 
"
On se connaissait à peine et il commençait déjà à faire des blagues sur le physique. En plus, c'était un des critères pour lequel il m'avait éliminé des sélections. Vraiment aucun tact. 
Enfin bref, passé cet accueil, on fut conduit à la Jonelière où le propriétaire-président du FCNA, Waldemar Kita, nous accueilla dans son bureau.
Kita: "Content que tu ais pris la décision de nous rejoindre."
Moi: "Merci Prayzidente."
Lorsque le dernier mot sortit de ma bouche, je songeai au Prayzidente, le vrai. Celui-là alors, j'aurais dû lui faire un truc avant de partir... 
Kita: "Tu peux m'appeler Président, tout simplement. Pas la peine de prendre cette prononciation à l'américaine. "
Moi: "Souvenirs de Toronto... "
Kita: "Je comprends... Vu qu'il commence à se faire tard, nous allons accélérer un peu les choses. Après notre entretien, tu vas te diriger vers le centre médical pour passer la visite médicale de routine. Pendant ce temps-là, nous discuterons, ton agent et moi, des dernières modalités du contrat. Tu nous rejoindras dans la foulée pour signer le contrat. Ensuite, je te laisse vaquer à tes occupation, je crois que tu as du monde à retrouver."
Une pensée se dirigea immédiatement vers ma famille. Un sourire éclaira mon visage.
Kita: "La présentation au public se fera samedi, à la Beaujoire, avant la reprise de l'entraînement, lundi prochain. Le championnat recommencera le vendredi 13 janvier. Nous sommes actuellement classés 5ème et visons l'une des trois premières places en fin de saison."
Moi: "Entendu Président."
Je fus invité, dans la foulée, à rejoindre une voiture qui me conduisit au centre médical, où je devais passer ma visite. Une fois celle-ci effectuée, un retour à La Jonelière fut opéré.
Kita: "Prêt à signer le contrat ?"
Il me tendit un stylo. Je refusai poliment en sortant le mien de ma poche.
Comme toujours, il faisait des siennes. Dans un élan de lucidité, j'acceptai le stylo du Président Kita, au lieu de m'acharner sur le contrat avec la pointe sèche de mon Bic, celui qui m'avait servi à écrire les deux lettres à ma mère.
Je vérifiais une dernière fois la présence de petits caractères. Je n'en trouvai point, fort heureusement. Il était temps d'apposer ma signature sur ce bout de papier.
"Le 01/01/2013, lu et approuvé, je m'engage avec le FCNA..."
Jérôme déboula en trombe dans le bureau.
Kita: "Monsieur Levasseur, je suis en rendez-vous... 
"
Jérôme: "Mes excuses. Président, regardez ça ! "
Le recruteur tendit une feuille que Kita s'empressa de déchiffrer. Après quelques secondes de lecture, une moue se fit deviner sur son visage.
Kita: "Vincent..."
P*tain le flash avec Jérome ca m'a fait croire que tu allais annoncer que toute l'histoire était un rêve et que la saison 2011-2012 allait seulement commencer 
(histoire de préparé la sortie de FIFA 12)
En espérant que Noors ne puissent pas signer à Nantes, et qu'il trouve un nouveau club en Ligue 1 ou Liga pourquoi pas 
Haaa ... Les chutes .. 
Du moment que c'est pas un trop gros club. Ce serait irréaliste
Pour quand cette suite ? 
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Suite demain
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OK vivement demain
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Yop Vincent, je te suis depuis le début, je n'ai par contre jamais posté ! 
C'est tout simplement super, on est plongé dans chaque suite, tout est super.
Vincent est viré de chez lui, tente de rejoindre le centre de formation de Nantes, est rejeté, Patrick ( 
) le recueille, là il joue avec la réserve puis rapidement avec les pros, et ainsi commence la légende de Vincent Noors (Norwyblacksy était son nom je crois mais il a fallu raccourcir )
J'espère que tu continueras ! 
La sweet 
La mère de Noors est morte?
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