certain fan du barca sa te dit rien ?
ah bon y'a des fans du barca sur le topic?
je comprends rien
http://www.youtube.com/watch?v=1sxaRZqYPBs&feature=related
faut qui retrouve sont jeu de lyon au real , percutant avec des dribbles du spectacle, des frappes chirurgicales
1m53
http://www.youtube.com/watch?v=HSH2dj2OeEM&feature=related
non des soit disant fan du barca fan du real maintenant mais c'est pas le seul
Le Real Madrid aurait fait de Branislav Ivanovic, le défenseur de Chelsea, sa priorité du mercato hivernal pour remplacer le Portugais Pepe, absent jusqu’à la fin de la saison. C’est le quotidien Marca qui révèle l’information ce mardi. Sous les ordres de Carlo Ancelotti, l’international serbe (25 ans) a disputé 12 matches de Premier League et 4 de Ligue des champions cette saison.
En cas d’échec de la piste Jovanovic, le club merengue a coché les noms de Gonzalo Castro (Bayer Leverkusen), Maicon (Inter Milan), Johnny Evans (Manchester United) et Jonathan Ciceiro Moreira (Cruzeiro).
maicon
------------------casillas------------------
ramos----arbeloa----albiol----maicon
------------------alonso--------------------
------------lass----------vdv--------------
-------------------kaka---------------------
------------higuain----ronaldo-------------
immaginer sa
euh maicon joue à droite et c'est pas un arbeloa il peut pas jouer à gauche
si il peut il l'a deja fait
maicon c'est le meilleur laterale du monde il peut meme jouer au centre partout en defence mais il est meilleur a droite car il est droitier quand il jouent parfoit a gauche il rentre dans le jeux il tir de son pied droit
mais j'ais peur que si maicon vient pellegrini le fasse pas jouer a gauche mais bien a droite et ramos qui a quelque lacune defencive soit mis sur le banc ou a gauche mai la il joue moin bien regarde daniel alves qui est maintenant sur le banc au bresil a cause de maicon il a tout ce joueur vitesse phisique technique reconvertion defencive digne d'un centrale centre milimetrer tir tres puissant
de toute facon sa m'etonnerait que mourinho lache son meilleur joueur defencif comme sa
en plus les kilometre qu'il fait sur un match il est incroyable
Dans un face-à-face avec les lecteurs de France Football, Zinédine Zidane a évidemment été interrogé sur le Real Madrid et, en premier lieu, sur Cristiano Ronaldo. « Surpris par le comportement » de l’attaquant portugais, l’ancien numéro 5 du club merengue s’est dit également « conquis » par CR9. « Il a une telle assurance, une telle conviction dans son jeu qu’il les impose et les fait partager aux autres. (…) Ce qu’il a réussi à faire à son âge, c’est impressionnant, a déclaré Zizou avant de poursuivre ses compliments. Cristiano Ronaldo m’a conquis. Il fait sans cesse la différence. Je suis sous le charme. »
pour que zidane sorte sa
Rafael Van Der Vaart tient sa revanche. Honni, prié de plier bagages l'été dernier, le meneur batave est à présent le maitre à jouer du Real. Meilleur joueur du week-end en Liga, l'international hollandais, titulaire depuis 4 rencontres dans l'escouade Merengue où les strapontins sont les plus chers du monde, savoure sa revanche tandis qu'on se délecte de son talent.
Nous sommes à l'été 2008, après moult négociations rocambolesques, le Real Madrid de Ramon Calderon recrute enfin Rafa Van Der Vaart. Le produit de l'Ajax Amsterdam arrive presque en catimini, son recrutement s'étant fait dans l'ombre nébuleuse d'un non transfert, celui de Cristiano Ronaldo. Mais qu'importe, le joueur, qui peut s'enorgueillir d'origines espagnoles, appelle son grand père au milieu de la nuit, sitôt le contrat signé, pour lui dire : « J'y suis ! J'ai enfin signé au Real Madrid ». Après une pré-saison réussie, Van Der Vaart ne parvient pas à se fondre dans le système abscons de Schuster qui le fait jouer milieu gauche. La presse, enthousiaste à son arrivée, ne sait plus quoi en penser. Son rendement épisodique convoque les doutes tandis que ses éclairs de compétences -aléatoires et trop erratiques- convient l'émerveillement. Un rendement qui creuse des abimes d'incompréhension et qui invite les soupirs d'admiration et les soupirs tout court à danser ensemble une folle sarabande.
Qui veut gagner des quignons (de temps de jeu) ?
« Encore un joueur détruit par le Real » entend-on. La thèse de l'erreur de casting se crédite. Et quand les montagnes russes du cirque médiatique arrêtent leur course, c'est la la traversée du désert qui s'amorce. Sans chameau, sans but, et avec comme seule boisson la gourde remplie du fiel de ses contempteurs. La résurgence du « galactisme » n'arrange rien à l'affaire et Van der Vaart est destiné à l'abattoir mercatique, être vendu le tiers de sa valeur pour renflouer les caisses après des dépenses estivales pharaoniques, comme l'ont été ses compatriotes bataves. S'il a pu échapper à l'hécatombe du cheptel néerlandais, c'est qu'aucun acquéreur viable ne s'est manifesté. C'est bien connu, on ne croit qu'en ceux qui croit en eux et notre meneur de jeu n'en menait pas large à l'époque. Déprimé, déconsidéré par son employeur, Van Der vaart, la rage dedans, se morfond d'avoir pris le mauvais tournant, au carrefour des ambitions.
Vieillie en fût de chêne, affinée dans des caves de la frustration pendant de long mois, enfantée sans péridurale, la revanche du Batave est forcément un très bon cru, même si elle tient beaucoup à un coup du sort. Un coup du sport. En effet, Kaka
Van Der Vaart crie sa frustration longtemps réprimée
s'étant blessé juste après le Clasico, Pellegrini décide de faire confiance à l'ancien hambourgeois. Faire confiance. Dans le monde du football, cette expression est galvaudée par une utilisation outrancière mais là, en l'occurrence, elle convient parfaitement à la description de la relation liant le coach et son meneur. Revigoré par cette foi roborative et nouvelle, le joueur produit par l'Ajax se montre digne de la mène des offensives du Real que l'ingénieur chilien lui a confié. Titulaire depuis 4 matchs, il est monté progressivement en puissance. On retiendra sa performance face l'OM, à Valence et lors du massacre de Saragosse à Bernabeu. Van Der Vaart s'avère ne pas être un ersatz de Kaka. A vrai dire, le Hollandais possède son propre style, ses propres affinités avec le ballon et ses équipiers. Derrière Ronaldo et Higuain, au cœur de l'attaque Merengue, il porte moins le ballon que le Brésilien, joue juste et paraît toujours en quête de la killer pass. Il semble doué d'ubiquité et aide grandement à la transition milieu-attaque tout en exerçant un pressing de circonstance. Pas comptable de ses efforts, c'est a la fois un 10 à l'ancienne et une véritable pile électrique au service du collectif.
La presse au camp d'éloges
Naturellement, la presse a changé de camp. Louangeuse, elle a troqué son scepticisme contre un masque laudateur et pose désormais d'autres questions. Van Der Vaart n'est plus le vieux jouet détrôné par de nouvelles babioles, à échanger contre un autre joueur dès la fenêtre hivernale des transferts entrebâillée, c'est désormais l'égal de Kaka. Son émule, son concurrent. De retour début 2010, le Brésilien devra lutter pour sa place. On voit mal Pellegrini chambouler un équilibre pour lequel il a consenti tant d'efforts. Van Der Vaart au poste de Marcelo ? Impensable... Le Brésilien, à l'instar du Hollandais, est en train de vivre une véritable renaissance à son nouveau poste d'« interior ». Pellegrini appréhende surement l'échéance, lui qui devra surfer sur deux adages antagoniques et populaires : « abondance de biens ne nuit jamais » et « le mieux est l'ennemi du bien ». Mais quitte à expérimenter des problèmes après plus de 250 millions déboursés sur les marchés, autant avoir des problèmes de riches.
http://www.youtube.com/watch?v=eeVtyUgqqfA
la tete quand maicon geule sur le joueur au debut il part en courent
le pur style bresilien