Ace Combat : Assault Horizon

Bonjour tout le monde. Je suis chiant avec mes topics je sais. Mais après le premier trailer. Et à chaque fois qu'un Ace Combat sort je fais une fiction. Et là je peux dire que je suis particulièrement inspiré. Bon. Je penserais faire un script. Et enfin la fiction en elle même. Que je posterais probablement. Mais j'ai une voie bien précise pour l'histoire. Donc je ne demanderais pas à ce que des personnes m'aident pour des recherches de persos inventés par ces derniers. Vu que le prochain AC se déroule dans le monde réel; La fiction que j'entamerais sera dans ce même monde. Et n'aura peut être aucun rapport avec le scénario donné à cet opus. Enfin. Si toute fois vous avez des critiques à faire partager vous pouvez toujours poster.

Aux premières lueurs du jour. La réunion reprit enfin. Pendant cette courte nuit de repos. Il fut convenu de donner une frappe coordonnée avec d’autres escadrilles. Tandis que plus au Sud. Une flotte faisait diversion tout en évoluant vers l’Atlantique Nord. Cela aurait fait office de représailles contre le « Foch ». Alors que les escadres Américaines lançaient l’attaque contre la flotte Française. Les mots de Ted furent simples :

<< -Bon… Je vais être franc. Je ne pense pas qu’il y ait à peine une seule chance sur cent de s’en sortir indemne. C’est pourquoi. Je vous demanderais de rester en groupe. Ne lâchez jamais votre ailier. Le F22 Raptor est capable de se sortir des positions les plus fâcheuses… Mais à jouer aux combats aériens vous perdrez du temps et raterez votre vraie cible. C’est pourquoi. Il faudra rester en formation. Et ne s’occuper que du porte-avion. On n’aura pas le temps de s’occuper des autres Rafales.

-Mais… Une fois l’attaque lancée. Comment s’opérera le vol ? Demanda le lieutenant Ignas.

-J’y venais justement. Nous décollerons avec le kéro nécessaire pour pouvoir nous ravitailler aussitôt. Ensuite nous volerons en formation. Vers 9 000 mètres d’altitude. Tout en restant invisible aux radars ennemis. Ensuite. Avec l’unité amphibie. Nous mènerons l’attaque contre le Foch. Je tiens à préciser que ce ne sera pas de la tarte. Il y a grande chance qu’il y ait une ou deux patrouilles de Rafale ou de Super Etendard dans ce coin.

-Compris. Mais la question reste sans réponse en ce qui s’agit de savoir où est ce qu’on atterrira. Fit remarquer Ignas.

-Nos alliés Marocains nous accueillerons avec leurs F35. Si tout se passe bien. Il y aura juste le coco nécessaire pour nous poser sur une piste vers la ville de Safi… Mais il faut s’attendre à ce que rien ne se passe comme prévu… Sans quoi nous improviserons. Mais ce qui est sûr. C’est que nous devons échapper à l’ennemi. Un F22 Raptor est bien subtil pour un ingénieur Français. Cette technologie doit rester Américaine. Le bienfondé de cette guerre est à revoir. Et ils seront certainement mieux organisés. Enfin, je vous souhaite bonne chance. Je nommerais les chefs de formation. Et les ailiers de chacun d’entre vous. Vous pouvez disposer. >>

Alors que Ted Levin fini sur ces mots. Les pilotes rompent et se rendent dans leurs quartiers. Abel et son frère vont à leurs couchettes. John les rejoignait plus tard. Les mécaniciens préparaient quarante-deux Raptor. Ces derniers étaient spécialement armés de Harpoon Bock fait sur mesure. Le F22 révélait quelques mauvais attraits pour les attaques antinavires. Cependant aux mains d’un bon pilote. Il pouvait s’en sortir avec brio. Ce qui fut le cas à la bataille de la Mer Rouge. Ted Levin était un de ces pilotes qui combattirent les Israéliens dans cette zone. La mission consistait à ramener intact la flotte coincé entre le territoire Ethiopien et le Yemen. Alors que les Israéliens envoyèrent des destroyers achever la flotte Américaine. L’escadre de Ted barra la voie à cette flotte. Les vaisseaux le la US navy purent retourner en Inde. Un pays qui était encore neutre à cette époque. Ted fut promu chef d’escadrille. Dans la base des Grizzli. C’était certainement ce même scénario qui allait se passer. Chacun s’occupait à sa façon. Certains dessinaient plus ou moins bien Anastasia. D’autres dormaient. Et Abel et son frère faisaient parti de ceux qui attendaient avec impatience l’ordre de décoller. C’est à ce moment que un adjugeant vint les prévenir :

<<-Salut les gars. Bon on a établit les plans de vol. Et les équipes. Ici vu que tout va bien vous aurez une prime.

-Laquelle ? Demandèrent les compagnons de couche.

-Vous serez en tête de l’escadrille. Le Capitaine Levin sera votre leader. Comme d’habitude Abel sera l’ailier de John. Vous Halias serrez ailier de Jackeb. Ignas. Vous serez ailier de Garry. Bonne journée messieurs.

-Bonne journée… Guguss murmura Halias en train de lire guerre et paix.

-Dis ! C’est comment ton livre Hal ? Questionna Ignas.

-Mmmmh ? Tu peux répéter ? Fit alors Halias d’un air paumé.

-Ton livre ! Ca parle de quoi ?!? Reprit de plus fort Ignas.

-Euh… J’en suis qu’au chapitre deux à vrai dire.

-Ah. Il parait qu’il est bien. Un classique qu’ils disent.

-Surtout de la littérature Européenne, souligna Wood.

-Il n’y a rien de mal à cela d’après ce que je sache, dit brièvement Halias.

-Non non… Au contraire. C’est même très instructif. Je me souviens que la pièce d’Anglais que j’avais le plus détesté, c’était du Shakespeare… Je ne sais plus vraiment de quoi ça parlait… Une fille qui s’appelait Iseult qui avait rencontré un gars. Enfin le genre d’œuvre très compliqué pour nous.

-En même temps tu vois les choses beaucoup trop simplement, fit remarquer Abel.

- Que veux-tu insinuer ? Soupçonna Wood.

-Je crois que c’est toi une fois qui après une soirée arrosée, pour avoir été accepté dans une escadrille, a de sitôt fait un vol de reco. J’imagine de loin la scène. Ici Tango Charlie Papa ! Suis en p-position ! Vois une formation très serrées de 8 appareils… Des F16C. Qu’je fais quoi ?!? Je demande permission d’employer les armes...

Alors Abel s’écroula de rire par terre et se tord.

-Je crois que tu as plus bu que moi je n’avais bu ce soir là… Enfin. Tu es pardonné.

-Oh excuses moi mais c’était trop fort. Dit Abel en larmes. >>

Alors que la scène prit fin. Le décollage fut annoncé. Scramble n’était pas employé. Mais les pilotes accoururent vers leurs appareils. Les mécaniciens les aidèrent à s’attacher. Le mécano de Halias demanda si tout était Ok. Le pilote acquiesça de la tête. Les premiers à se placer sur la piste étaient Ted Et Ignas. Puis vint le tour d’Abel et de Halias. Les deux frères se regardèrent dans les yeux. Et ensuite mirent les gaz. Alors que les derniers rejoignaient la formation. Les tankers ravitaillaient les premiers zincs à s’être présenté. Les quarante-deux F22 furent très vite repus de leurs 5 tonnes. Et mirent cap au 88 vers l’Est.

Halias parla alors que sa radio était en marche :

<<-J’aurais peut être dût dire à Anastasia mes adieux…

-Ici leader à Grizzli 10… A moins que vous ne soyez de la paire de l’ennemi. Silence radio !!... >>

Des grincements se firent entendre et puis plus rien.

Ma fic est nul comparé à la tienne

Comment l'as tu trouvée?!?

Papa Schultz!

beu la mienne est vraiment trop nul

Chapitre II

Le lendemain. Une permission était accordée à tous les pilotes. Certains en profitèrent pour aller voir la petite ville de Safi. Halias et Abel firent parti de ceux-là. Le petit groupe était regardé par tous les habitants. Tantôt des militaires Marocains en uniformes passaient en patrouille. Mais dans une ville aussi paisible. Il n’y avait rien à soulever, que ce soit émeutes, vols ou autres. Halias fit une halte pour se désaltérer. Et il revint immédiatement dans le groupe qui avançait au pas de marche. Quand ils arrivèrent aux devant d’un commissariat de police. Deux policiers interpelèrent le groupe.

<<- Hey ! Vous !

Les pilotes firent une geste des mains vers eux.

-Oui vous, reprirent de plus belle les policiers.

-On est Américain, dit alors Halias.

-On le sait déjà. C’était juste pour vous proposer si vous vouliez un guide pour visiter la ville.

-Non merci. Sympa de votre part mais je crois que cette ville est suffisamment grande pour que nous nous en sortions tous seuls.

-Ah. Tant pis. Et ! Avant que vous ne partiez. Vous ne devez pas franchir les limites qui vous ont été donnés ou vous aurez des problèmes ! Avertit un des deux Marocains.

-Vous inquiétez pas. >>

Puis Halias parti en faisant un salut militaire. Le groupe continua jusqu’au sud de la ville. Là bas. Abel repéra une étrange fille qui ramenait de l’eau du puits. Il s’y arrêta pour demander si elle avait besoin d’elle. Halias n’étant pas aveugle vit ce qui se tramait. Quand il vit son cadet revenir Halias lui dit en plaisantant :

<<- Tu sais qu’on nous a dit qu’il ne fallait pas avoir d’attache au sol.

-Je sais… Mais il y a exception.

-Bah. Va ! On retourne à la base. >>

Les pilotes de l’USAF rentrèrent à la base militaire. Durant tout une semaine. Abel voulu revoir la fille qu’il avait rencontré. Et jusqu’à temps qu’il reprenne le service. Wood avait dessiné deux ou trois maisons du coin. Pas très difficile à vrai dire. En terre. Des carrés. Quoi de plus géométrique ?

A 9 heures du soir. Le Général Hilling invita ses ôtes. Une sortie au Caire dans un restaurant populaire. Alors que le dîner commençait. Le Major Abel demanda à son frère pourquoi ils étaient ici. Halias un peu surpris de la question de son cadet ne su quoi répondre.

<<-Faut pas chercher à comprendre, conseilla Halias. >>

La soirée se déroula bien. Ted était très sollicité par les haut-gradés de la table. Tit était tout ouïe à chaque intervention du Capitaine Levin. Parlant de multiples batailles menées à bien. Des missions de reconnaissance. Tit alors parlait de son poste à l’Africa corps. Un genre de Rommel si l’on pouvait dire.

<<-Et bien ma foi… Les méthodes de guerres sont différentes dans chaque pays. Et nous devons nous habituer aux mœurs. Et ici. Un avion comme le F35 ne servirait à rien. Plus au sud. Les pays le plus touchés par des guerres entre ethnies voisines. C’est avec les méthodes de guérilla qu’il faut opérer.

-C’est sûr. Dit alors Ignas.

-Ne vous faites pas d’illusion. Ce que vous vivez est tout à fait différent des tâches dont nos soldats doivent s’acquitter. Nos Apache et nos nouveaux hélicoptères Slim Puma 9 sont pilotés par des pilotes, qui ont une formation spéciale. Les dogfights. C’est beau à voir. Mais totalement inutile dans les contrés Sud-Africaine. Un Tank Abraham s’enlise facilement. Et a vrai dire parfois. Il arrive que de drôles de guerriers s’attaquent à nos blindés.

-Comment cela ? Questionna l’officier Wood.

-Les tribus africaines sont très martiales parfois. Mais d’autres sont plus pacifistes. Je me souviens d’un épisode alors que moi et mes G.I traversaient la savane. Il y avait un peu de tout. Des lions qui rugissaient au loin. Et aussi des Gnous féroces prenant pour cibles nos voitures. Heureusement pour nous plus de peur que de mal. Mais le plus effarant était quand nos char légers avaient été prit d’assaut par des guerriers d’une tribu africaine non loin de l’endroit où nous étions. Nous avons eu un mal de chien à leur dire que nous ne voulions pas les attaquer. Et c’est par la suite que j’ai dû passer par un autre chemin sur le retour pour ne pas me refaire harceler.

-Que d’aventures…. Je pense quand même que le F22 raptor est assez vaillant pour ne pas redouter la menace. La guérilla est une forme de guerre. Mais l’aviation en est une autre. Souleva Halias. Vous ne pouvez pas me dire qu’il y a des combats entre hélicos ?!? A moins que je sois totalement désinformé.

Le général resta perplexe. Et s’en suivit :

-Peut être que vous avez raison. Mais par mon expérience je le sais mieux que vous. Ou alors. Venez combattre à mes côtés avec votre F22… Nous verrons bien qui aura raison. >>

Le silence régnait. Les pilotes semblaient gênés par l’intervention de Halias. Et Tit ne semblait pas vexé. C’est ce qui fit redémarrer les discussions. Après cette soirée. Les pilotes rentrèrent se reposer à la base militaire. Ils avaient un traitement de faveur. Le couvre –feu était à minuit.

Quand l’avion arriva à l'aéroport national de New-York. Halias eut le temps d’aller répondre à un de ses besoins personnels. Les autres firent de même. L’avion redécolla cette fois direction San-Francisco. Pendant que l’avion volait :

<<-Quand même incroyable ce qui nous arrive les gars… Pas Vrai ? Interrogea Ignas.

-Boaf. Ca nous changera des Rafales F5. Puis ce n’est pas plus mal tu sais. Dit Halias tout en se mettant à l’aise.

-Mmmmhhh… Si je suis bien informé. Le Jap on de nouveau une armée. Et non seulement terrestre mais aussi aérienne. Leur flotte est à revoir par contre.

-John. Pourquoi tu es mieux informé sur le camp voisin que sur ton propre camp ? Demanda Abel.

-Attention ! Un agent double dans notre camp ! Qu’allons-nous faire ? Au secours ! Cria assez fort Halias pour être entendu de tous les passagers.

-Arrête ton délire. On nous regarde bizarrement ainé.

-Bah. Je crois que le réseau aérien est assez sécurisé depuis le 11 Septembre 2001… Enfin. Eh ! Slim ! Réveille-toi !

- Laisse-le un peu tranquille, suggéra John à Halias.

-Ce qui me préoccupe le plus. C’est sur quels avions nous allons voler. Probablement des F15K ou des Silent Eagle. Bien qu’un peu dépassé. Fit remarquer Halias.

-Ou alors de la Camelote Japonaise si les Coréens sont vraiment à bout. C’est que mine de rien les ShinShin ATD-X de Mitsubishi prennent de l’ampleur. Ils en ont même fait leur chasseur officiel.

-Tu vois ?!? Il sait tout sur le camp Jap mais rien sur l’USAF, dit Abel parlant de John.

-Ben tu sais. Ils sont moins discrets que nous. Et je peux te dire. Que cet ATD-X est promit à un grand avenir en Asie. Mais les Nippons ont à revoir sur leurs méthodes de combats parfois. Les Kamikazes sont absolument inutiles. Et le sont encore. Ils n’ont fait qu’appauvrir l’armée Impériale en hommes. C’est tout.

-John. C’est vrai que t’es un expert de la Seconde guerre. Dis-moi. Va voir si t’es aussi incollable. Question simple. Qui était l’As Japonais ayant comptabilisé le plus de victoires ?

L’officier Wood regarda Ignas droit dans les yeux. Et lui répondit.

-Je ne m’y connais pas trop en grade. Mais c’était Hiroyoshi Nishizawa. Enfin c’est l’aéronavale là…

Ignas déçu que son camarade ait trouvé la réponse ne lui adressa plus la parole. Abel continua dans la lancé d’Ignas.

-Ca c’était du petit jeu. Bon à moi. Quels étaient les escadrons qui pendant la bataille d’Angleterre étaient essentiellement composés de volontaires Polonais et Tchèques ?

-Mmmmhhh…. Je crois qu’il y avait l’unité 300, la 302 aussi, les Tchèques étaient dans la 310 et la 312.

-C’est vrai. Bon je continue…

- Tais-toi cadet ! J’essaie de lire mon livre ! Ordonna Halias à Abel. >>

Le reste du vol se passa tranquillement. Puis le Boeing fit sa dernière halte à San-Francisco. Et enfin. Le vol vers l’aéroport national d’Hawaï s’entamait. Une fois rendu à cette île. Les six Américains devaient se rendre à Pearl Harbor. Et ensuite. Le Japon !

Une fois que l’avion se posa et ait roulé le long du tarmac. Il mit ses freins de parc. Les pilotes sortirent de l’avion. Un conducteur les attendait en bas :

<<-Vous êtes la nouvelle recrue ? Demanda le conducteur.

-En quelque sorte, répondit Halias.

-Officier Wood. Je crois que c’est vous qui vous occupez de vos hommes.

-Affirmatif, acquiesça John.

-Bon. Venez ! je vous accompagne à vos voitures. >>

Plus loin. Deux Jeep étaient garées sur le parking de l’aéroport. Un autre conducteur attendait. Les Pilotes mirent le peu d’affaires personnels qu’ils avaient à l’arrière. Et s’installèrent. Leurs chauffeurs firent démarrer les moteurs. Et enfin, la voiture se dirigea vers Pearl Harbor. Une fois arrivé au port, qui avait été entièrement refait. Les six pilotes durent attendre 2 heures avant d’être appelés. Un homme leur demanda leurs identités.

<<-Vous êtes les guguss qui viennent en apprentissage je crois.

-Eh ! Vieux. Tu dois te tromper. On a autre chose à faire que suivre des bleue. On doit aller au Japon. Tu m’entends ?

Abel pria son frère de contenir sa mauvaise humeur.

-Je vois. J’ai fait une erreur. Les six pilotes du 320th squadron…

-Oui bon. On a attendu 2 heures pour que tu nous dises des choses que l’on s’ait déjà !

-Je vous prie de bien surveillez votre langage. Dit l’homme offensé.

-Oka. Mais je te prierais de ne pas tourner autour du pot ! Et de nous dire où est ce qu’on est muté ! Dit Halias en perdant son sang froid.

-Vous allez être tout d’abord embarqué sur un porte-avion. Une flotte américaine se trouve pas loin. Et vous irez tout d’abord au par la mer. Et ensuite. Un transporteur finira de vous acheminer vers Tokyo. Vous êtes contents ?

-Merci bien. >>

Halias fit la révérence en même temps. Ce qui eu le don d’excéder Abel. Immédiatement ils embarquèrent à bord d’une frégate qui les emmena loin du port. La flotte ne se fit pas attendre pour partir. Elle distança très vite la frégate qui eu un mal de chien à les rattraper. Une fois aux côté du porte-avion qui était censé les recueillir. Un chien jaune leur ordonna de dégager de la piste. Il en fut de même pour tous les autres membres de l’équipage. Un F35 en difficulté essayait d’apponter.

<<- Que lui est-il arrivé ? Se demanda Ignas.

-Un Mig 29 Coréen certainement. Mais ! Mais… Il décroche ! S’exclama John. >>

Le F35 réussi à maintenir l’assiette. Mais dès qu’il toucha un câble. Ce fût un désastre. Les trains droit et avant ne purent résister au déséquilibre de l’avion. Ce qui engendra une vrille ventre au sol. Il en fallut de peu pour que le F35 ne se jette à la mère. Cela se déroula très vite. Et le chien jaune fut emporté avec l’avion. Les hommes craignaient que l’avion explose sur le porte avion. Il fallut plus de 15 minutes pour sortir indemne le pilote et le gars sous l’épave. Un miracle qu’il ait survécut !

<<- Les officiers ! Halias Demosellet, Abel Demosellet ! John Wood! Jackeb Lurrdick ! Ignas Klember et Slimmin Huge, sont appelés à la sale des officiers! Cria alors un jeunot.

- ??? Tiens je crois qu’on veut faire connaissance avec nous.

-Perds pas ton temps Ignas et grouille ! >>

Les camarades arrivèrent au pas de course vers celui qui les avait appelés. Il montra d’un geste de main là où ils devaient aller. Tout en parlant. Les six hommes se rendirent aux quartiers du capitaine de vaisseau. Un dénommé Harrayan Lingder.

<<- Bonjour vous. Dit-il avec un verre d’eau à la main.
-Voulez vous un peu d’eau ?

-Non merci, répondirent les pilotes.

-Bon, dans ce cas. Soit vous êtes anciennement de l’escadre 320th squadron « Grizzli ». Maintenant s’en est fini. Un CH47 s’occupera de vous emmener vers le Japon. Vous naviguez en ce moment même vers ce pays. La Corée du Sud sera certainement l’une de vos cibles. Une fois que vous aurez été affecté à un escadron. Vous aurez de nouveaux avions. Des avions Japonais en conséquence du manque d’avions ici.

-Des avions Japs ? Bégaya Abel.

-Vous n’allez pas croire que les avions qui étaient resté au Japon étaient intacts ?!

-C’est… Nous n’avons jamais piloté des avions de ce genre.

-Vous avez déjà piloté un F22 ? Oui ! Alors vous saurez probablement piloter un ATD-X acheté aux Japonais ! Rétorqua le capitaine de vaisseau.

-Alors en être au point de racheter des avions aux Japonais… Où allons-nous. Dit Abel avec inquiétude.

-Ca ne peut pas faire de mal de toute façon. Les Japs ne feront que nous héberger ! Pas plus. Ils se contentent de nous livrer des avions tantôt là. Puis après on combat désespérément les Communistes. Non le bienfondé du front en Asie n’est pas du tout pensé je te le dis. Sorti Halias se grattant la gorge. >>

Ces ATD-X livrés par le Japon étaient aussi des avions de 5 ème génération. Une mouche sur un radar. Les pilotes de l’USAF allaient surement être envoyés dans des petites îles pour porter leurs attaques. La première chose à faire était de reprendre contrôle de la Corée. Aussi bien du Sud que celle du Nord. Et de continuer leur progression jusqu’à Moscou. Mais la campagne s’annonçait serré. Alors que le CH47 chargé de les emporté venait de se poser sur le vaisseau. Halias et son groupe voulurent savoir ce qu’ils advenaient des deux hommes blessés.

<<- Le pilote avait eut à peine le temps d’apponter qu’il était mort. Il était déjà touché depuis longtemps. Par contre l’autre est vivant. >>

Halias songea un instant. Et tapa amicalement l’homme qu’il leur donna l’information. L’hélicoptère décolla. Et en un virage s’envola vers Tokyo.

C'est les pavés qui vous g^ne? Ou alors vous trouvez que le titre n'accroche pas?!? En tout cas ce qui est sûr. C'est que cette fiction n'attire pas grand monde. Autant arrêter dans ce cas.

Je vais la lire ma si tu veux que les forumeurs la lise euh, fait pas d'aussi gros pavé, attends des commentaires avant de poster la suite.
Des conseils.

Si tu n'avais pas remarqué. On n'est pas sur un blabla...

Oh continuez, c'est pas parce qu'on ne poste pas que ca n'attire pas, moi je lis tranquille et j'aime bien, toi Echo tu t'est inspiré de AC Joint Assault ? Car les 1 eres missions sont au Japon aussi

Sinon c'est pas mal et y a un reel talent d'ecriture, continuez les gars

C'est vrai que c'est bien, cependant les Français ne se battront jamais contre les ricains! Pourquoi? Disons qu'on est vachement copain avec.
De plus, la France et tout les appareils militaires Français sont équipés de Radar qui détecte aussi les appareils furtifs quelque soit son altitude.

Une Alliance France-Israel? Impossible ce serait trops longs à expliquer.

Tu as mis neuron en avant? C'est bien, mais tu pourrais mettre ausssi des avions à décollaes verticale autre que le F-35 comme le AV8B ou encore l'un des mirage Français qui est pourvu de ce système.

Dans ton scénario une alliance Franco-américiane aurait été plus plausible.

Continue mais essaye de tenir compte de mes remarques si tu peux.

Justement. Je voulais une rupture de l'alliance avec les Ricains. La France s'étant fait grand compromis avec l'Allemagne. Et cette dernière avec ses nouveaux marks. La France ayant été pressé pour retirer son adultération aux lucias. Israël le pays Hébreux. Ne tien son armée qu'à un fil. Tsahal était dépourvu de tout. Et l'annonce de lucias n'a pas arrangé. Le shekel moins fort que le lucia rendait au début tout simplement impossible, le fait de pouvoir acheter du matériel aux Américains. Par conséquent. Il achetèrent en France. Je n'oublie pas ce fameux Harrier. Et le proto Yak 38. Mais c'est juste que j'ai voulu mettre en avant le front Français et Coréen. Quoique le premier pas très poussé.

Merci pour vos conseils ceci dit. J'essaierai d'être plus crédible et plus simple...

Halias est surpris de l’excitation des jeunes pilotes Coréens. Il en fallu de peu qu’un le prenne dans ses bras. Puis un compatriote Américain vint serrer la main aux six mutés. L’émotion n’y était pas cette fois mais la poignée était forte.

<< Vous êtes ces pilotes de la 320 th ? Je suis le capitaine Featle. Bon suivez moi. >>

Les six hommes réussirent à passer et suivirent le capitaine. Quand ils arrivèrent à proximité de la salle de briefing. Featle les présenta à un autre homme. Qui semblait être le commandant de la base. Il y eu une brève discussion et enfin :

<<-Bonjour vous tous.

-Bonjour Monsieur ! Dirent les pilotes.

-Vous avez été mutés pour le front Coréen. D’après ce que me disait votre ancien Capitaine Ted Levin. Vous étiez les meilleurs pilotes qu’il y avait à l’enceinte de l’escadron 320. Et d’ailleurs bienvenue au 300 th squadron. Ici on s’appel affectueusement Lotus. Et le nom de code de votre escadrille est « Kamikonio » En gros les cavaliers du vent si vous voulez une traduction approximative. Jusqu’ici nous n’avons jamais eu d’appareils Japs dans la base. Et apparemment vous êtes les premiers. Ce qui nous oblige à avoir un personnel Japonais pour entretenir tout ce foutoir.

-Juste une question, devança Ignas alors que le Commandant de la base allait poser une question.

-Oui ? Répondit-il.

-Ces jeunes Coréens sudistes. Ce sont des…

-Pour vous répondre franchement ce sont des novices. Et vous allez probablement leur servir d’instructeur sur des F15k ou Silent. Des machines que vous connaissiez avant de passer sur Raptor d’après ce que je sais.

-En effet, dit Ignas en hochant de la tête.

-Bon bien déjà en premier temps vous serez instructeur pour leur apprendre des bases. Mais pas très longtemps. Sitôt fait vous serez envoyés pour voler avec ces même aiglons. Seoul est entre les mains des communistes. Ces jeunes gars aussi prompt les uns que les autres ne veulent que reprendre ce qui est à eux. Soit la capitale. Vous disiez qu’ils étaient jeunes ? Oui. En effet, une moyenne de 18 ans. Ils ne voleront pas tous. Ici on fait le tri. D’autres prendront des hélicos. Ou alors ils iront dans les commandos ou les infanteries. Un porte-avion ne se trouve pas loin des côtés Sud-Coréenne. Vous irez certainement apponter là bas une fois vos mission finies.

-Mais. Est-ce raisonnable d’envoyer des bleus de cet âge sur des avions comme ceux-là ? Interrogea Slimmin Jo Huge tout en montrant de la main les F15K.

-Nos effectifs sont faibles je sais. Quelques américains. Les autres sont sur porte-avion. Ou en Europe. Et les moins chanceux en Afrique. Et nous sommes dans les abymes. Si bien qu’on en est rendu à acheter des Mitsubishi à plusieurs Lucias. Enfin. Les seuls qui puissent vraiment guider ces pauvres adolescents plein de vertu sont ceux qui les galvaniseront à sortir l’envahisseur de leur pays. Regardez-les. Toujours très volontaires. Et bien que ce soit des jeunes. Les autres soldats se sont rendus à l’armée nordiste. Que voulez vous ?

-Des pilotes plus matures et expérimentés. Rétorqua alors Halias tout en se grattant la gorge.

-Ah. On m’avait prévenu que vous étiez… Un dur à cuir. Aussi bien avec l’ennemi qu’avec vos supérieurs. Et où voulez vous ces pilotes ? Capitaine Halias ?

-On nous a bien fait venir. Pourquoi pas d’autres escadrons Américains ?!? Reprit le Capitaine.

-Je crois que vous oubliez que l’USAF est sollicité sur tous les fronts. Et la Corée est amie avec les USA. Tout aussi bien que le Maroc. L’Egypte, L’inde et l’Irak, et bien d’autres.

-Mais vous oubliez combien sont contre les USA.

-Mon cher, vous venez de répondre vous-même à votre question. Nous sommes en infériorité numérique. Et vous voudriez faire venir des escadrons spécialement Américains pour ne pas avoir à voler avec des Coréens ?

-Non ce n’est pas cela. Halias repoussa son frère Abel qui essayait vainement de calmer la discussion. C’est juste que j’estime que j’aurais put rester sur le front Européen. Si c’était pour devoir faire la nounou avec des gamins.

-Vous apprendrez monsieur Demosellet que l’on fait ce qu’on peut avec ce que l’on a. Soit pas grand-chose à vos yeux.

-Je n’ai rien contre cela. Mais la moindre des choses aurait été d’être dans une escadre avec des pilotes confirmés. Ou bien alors des gamins qui savaient voler. Mais je vois que ce n’est pas le cas.

-Je ne sais pas ce que vous escomptiez quand on vous avait envoyé ici. Mais ce n’était pas pour avoir une vie facile. Et ça souvenez-vous en ! Entonna le responsable de la base.

-Je m’en souviens. Et à vrai dire. Bien que nous soyons des héros. Je ne veux pas envoyer de la chair à canon. Mais plutôt des pilotes ayant leurs chances de survivre.

Abel se glissa derrière John et dit discrètement :

-C’est bien l’une des première fois que je l’entends dire ça.

-C’est un gars qui est indécis, ironisa alors l’officier Wood. >>

Le débat pimenté fut clos. Un jeune Asiatique les emmena vers leurs quartiers. Alors que John passait un savon à Halias. Ignas vit un AC160 se poser sur la piste. Des nouvelles recrues qui descendaient. Et des affaires en vrac. Il en fallut de peu pour qu’Ignas ne fasse le rapprochement.

<<Les gars ! Je crois que nos affaires sont arrivées ! Je sais pas comment mais faudrait peut être y aller ! Ca serait plus logique pour emménager nos couchettes. >>

Les six pilotes coururent comme des dératés vers le Transall. Ce dernier avait fini de livrer sa cargaison. Et les pilotes purent prendre leurs biens personnels. Le jeune Coréens ne comprit pas ce qui se passait et essoufflé suivait ces messieurs. Ces derniers qui repartirent très calmement après. Une fois installé, les pilotes se reposèrent. Et reprirent leurs bonnes vieilles habitudes. Halias lisait son enième chapitre de « Guerre et Paix ». Abel faisait un carnet de pilote. Ignas s’était remit à dormir. Le Canadien sorti à la rencontre d’un éventuel autre Papa Schultz. Et Slim. Faisait un tour d’horizon accompagné de John.

<<- Puis je vous aider messieurs ?

Les deux amis furent stoppés net. Ils se retournèrent pour savoir d’où provenait la voix. Et là ! Stupéfaction.

-Messieurs. Je suis apprenti pilote ici. Vous êtes bien les nouveaux instructeurs ?

-Euh oui. Gémit Slim.

Devant eux se tenait debout une fille. Environs la vingtaine. Cela choqua particulièrement les deux Américains. Ils furent gênés de voir que les femmes étaient tout aussi martiales que les hommes en temps de guerre.

- Que cherchez-vous ? Demanda la belle Asiatique.

-Rien de spécial si ce n’est qu’on vient regarder à quoi ressemble la base. On n’est pas très familier avec les paysages Nippons ici. Dit Slimmin apparemment sûr.

-D’accord. Et bien je vous laisse. >>

La jeune femme passa à côté des deux pilotes et se rendit vers ses quartiers. Etonnés des mœurs asiatiques. Les Américains continuèrent leur tour de reconnaissance. Jusqu’à arriver au mess des officiers. Un autre instructeur les invita à sa table. Déserté. Cela mit tout de suite les deux camarades dans l’ambiance.

<< Encore un paumé qui se sent seul, pensa John au plus profond de lui-même. >>

Certainement que ce confrère était plus bavard qu’Halias. Ce qui eu le don de saturer Jo Huge.

<< Et bien si vous volez aussi bien que vous le dites je suis sûr que nous aurons l’occasion de pouvoir continuer cette conversation dans les airs, s’empressa de dire Slimmin tout en serrant la main à l’instructeur. >>

Ayant trouvé une feinte pour échapper aux mésaventures de ce pauvre pilote. John et Slim continuèrent leur visite. Ils apostrophèrent un mécanicien. Il semblait tout à fait être Japonais. C’était certainement le personnel d’entretien des Shinshin.

<< -Hey ! Vous !

Le mécano tourna la tête. Et vit les deux pilotes d’ATD-X venir vers lui.

-Bonjour l’ami. On est les pilotes américains. Tu sais parler notre langue ?

Le Japonais pencha légèrement la tête pour dire qu’il comprennait.

-Bon. On nous a dit que du personnel Japonais allait être installé ici pour s’occuper de nos zincs. En fais tu parti ? Demanda John amicalement.

-Oui. Dit brièvement le nippon.

-Ha bien enchanté de faire ta connaissance ! Ce bozo à côté c’est John.

Le Japonais fut apparemment choqué un premier temps de la convivialité avec laquelle les deux pilotes le saluaient. Puis il y prit goût.

-Et ce pigeon là c’est Slimmin. Un fin pilote. Aussi maigre que le manche à balai.

-Honorable. Je suis Kakashi Oshoja. Le mécanicien en chef ici. Et mon équipe va arriver. On était dans le C160 qui était arrivé.

-Content de voir un nouveau ici. Comme nous, et sinon vous êtes combien ?

-Une douzaine de gars. On vient directement de chez l’usine Mitsubishi. En bref nous avons une très bonne formation. Et je ne me plains pas de mon salaire.

-C’est vrai qu’il ne travail pas pour l’armé, John s’adressant à son coéquipier.

-Enfin j’espère qu’on aura une occasion de se revoir. Kakashi. Et tes autres mécanos avec. >>

Les trois hommes se serrèrent la main et se quittèrent. Il restait les hangars à visiter. Enfin ils allaient voir ce qu’avaient ces maisons de taules sous leurs entrailles. A leur plus grand étonnement, il n’y avait pas que des F16C et F15K. Des su27 repris aux Russes certainement. Pas beaucoup ceci dit. Dans un autre hangar. Ils allèrent de surprises en surprises. Toute une panoplie d’avions ! Des F4E, F5, des Yakovlev 30 et 38. Des mig 17, et 21. Tout un butin de bataille. Et d’armement laissé dans la déroute américaine au Japon. Cela était bien plus qu’une simple escadre qui pouvait décoller. C’était une nouvelle flotte. Avec le nombre d’avions qu’il y avait dans chaque hangar. Et le nombre d’abritassions !

<<-Maintenant je crois savoir sur quoi volent les jeunes pilotes ici. Ainsi que la fille qu’on a rencontré, sorti John.

-Tu l’as dit bouffi. >>

Emerveillé devant tout ce qui se présentait à leurs yeux. Les deux pilotes continuèrent jusqu’au hangar 12. Et encore là d’autres avions. Et les armes de ces derniers se trouvaient sous d’autres logis. Quand ils revinrent vers leurs cabanes. Ils croisèrent encore la jeune fille. Elle semblait aller vers les mêmes hangars d’où ils sortaient à peine. Ignas dormait encore. Des lits superposés. Et Halias en profita pour se détendre. Il arrivait presque à faire un grand écart. Mais manque de chance pour lui. Les autres qui étaient parti en reconnaissance des lieux était venu.

<<-Vous avez jouez à quoi ? Demanda Halias.

-Si tu savais ce qu’il pouvait y avoir sous ces gros mastodontes. Seulement je crois que tu ne pourrais t’imaginer cela. Incroyable !

- Oh calme-toi Huge, tu sais. On a encore été demandé pour faire les nounous avec des bambins. Et je ne sais pas sur quoi ils volent mais si c’est pour qu’ils se crashent dès leurs premiers vols.

-Justement c’est ça qui va t’étonner ! Dit Slim histoire de faire durer une forme de mystère dans sa voix.

-Mmmmhhh. Continue ?

-Après le repas on ira te faire voir à toi aussi. Tu vas être tout simplement tétanisé.

-Oka. Bon en attendant on n’y est pas encore. Donc laisse-moi un peu me reposer. >>

Le reste de la journée se passa au lit les fenêtres ouvertes jusqu’au moment où il fallut manger. Les pilotes mangèrent avec les éventuels pilotes qui allaient être sous leur commandement. Ils firent connaissance avec la plupart d’entre eux. Abel sympathisait avec tout le monde. Halias était plus réservé. Slim et John restait serein. Avant de montrer ce qu’ils avaient découvert l’après-midi.

http://www.youtube.com/watch?v=GWrxs2RDNRU&amp;feature=related

Je me demande si ça ferait une bonne musique d'ambiance.... Au pire mettez du Eminem.

Eetetete! Bon. Je vous le dis clairement. J'en ai trop mit. Et je vous préviens que je ne posterais plus la suite de cette fiction. Raisons.... Persos.

Omfg t'as combien de pseudo x)