Extrait du journal intime d'Antoine Dieil:
<<Gast, kaoc'h grommelai-je en breton, où suis-je? exprimai-je dans un râle.
-Chut! tu es encore trop faible pour parler me dit une viox inconnue.>>
Je parvint à entreouvrir les yeux, une silhouette flou et noire penchée sur moi s'agitait. Je souffrais, j'avais l'impression d'être ouvert en deux. Soudain, je sentis un pique s'enfonçé dans mon coup. Je me rendormis.
Quelques heures plus tard
<<Alors? demanda une voix qui m'était famillière
-Il survivra, affirma la même voix qui m'avait intimé de me taire quelques heures plus tôt, pendant l'opération, je lui ai retiré la plupart des fragments de pierres qui s'étaient enfoncés dans son corps, j'ai resoudé ses ligaments fracturés et desinfecté ses plaies.
-Peut-il encore marcher?
-Grâce à Dieux, sa colonne vertébrale n'a pas été touchée, il a eu de la chance. Mais je le déconseille de faire trop d'efforts physique pendant les prochains mois, vous pourrez enlevez ses bandages d'ici deux à trois semaines,il pourra remarcher dans quelques jours. Je vais vous apprendre quelques exercices de rééducation simple pour le remettre sur pied expliqua le médecin.
-C'est le cas de le dire, ironisa la voix famillière, combien?
-Pour une intervention de ce type, je facture 50 florins.
-J'espère qu'il ne m'en voudra pas..., dit la voix en payant le médecin
-Vous lui avez sauvez la vie, il vous doit bien ça, le rassura le médecin.
-Oui et à propos de ça, pas un mot, compris?
-Je l'avais déjà compris signore Assassino, dit le médicin>>
5 mois plus tard
Etant trop faible pour repartir en France, c'est à Sienne (là où les assassins m'avaient emmenés) où je repris des forces. Sienne était une ville sous contrôle total de l'Ordre des Assassins depuis 1438, les gardes était encapuchonnés et les bannières qui y flottaient n'était rien d'autres que le symbole des Assassins. Durant tout ces mois passés à me reposer, les assassins m'avaient appris l'Italien, fait visiter la ville, expliqués son fonctionnement. J'étais très populaire auprès des assassins, seul le Grand maître de Sienne ne m'appréciait, peut-être parce que j'ai eu une liaison lors de mon dernier mois de "vacances" avec sa fille: Isabella Selvo.
Un jour, un de nos espions découvrit que Cesare Borgia comptait s'emparer à nouveau de Sienne, et pour fournir son armée en armes et en armures, il a fait appel à Startolio Zarachi. Le forgeron le plus réputé de la ville, il possédait plusieurs magasins dans toute la ville, 5 ateliers où 10 ouvriers y travaillaient par atelier, et un bureau, son bureau personnel où étaient entreposés toute ses économies. Startolio était l'ami de toute la guilde de Sienne. Et lorsque on appris sa trahison, tout le monde était sous le choc, aucun assassin ne voulait le tuer, car ils l'appréciaient tous trop. Moi ne portant aucune affection pour Zarachi, je me proposai naturellement pour le tuer:
<<-C'est à peine si je le connais, je n'éprouve aucune affection pour lui, laissez-moi le tuer.
-Pourquoi voudrait-tu le tuer? me demanda le Grand Maître.
-Eh bien, il a trahis l'Ordre en vendant des armes qui, en quantité suffisantes, peuvent tous nous tuer.
-Ce n'est pas pour ça que nous allons le tuer, enfin, Antonio! me dit le Grand Maître.
-Que mérite-il d'autre à part la mort? demandai-je
-Ce n'est pas toi qui le tuera. M'informa le Grand Maître
-Pourquoi, maître, sauf votre respect, j'aimerais faire mes...
-Tes quoi? Tes preuves? m'interrompit-il. Mais tu as déjà fais preuve de ton incompétance!
-Je vous demande pardon!
-Tu croît être des nôtre? Mais mon pauvre, tu n'es même capable de suvivre à ta propre explosion, ricana le Grand maître.
-J...
-Tu QUOI? Tu n'es rien! juste un pauvre voleur qui a eu la compassion d'un assassin, c'est que je pense, c'est ce que nous penson TOUS! N'est-ce pas... Isabella?
-Est-ce vrai?>>
Cela se voyait à leur visage que ca ne l'était pas, mais personne ne pouvais contredire un Grand Maître. Mais ne recevant aucune réponse, je quitta la salle, après avoir claqué la porte j'entends Isabella crié:
<<ATTENDS! Antoine! >>
une heure plus tard
Perché sur la tour qui domine la ville, je contemple la ville, avec la Lune qui reflète l'ombre de ma capuche sur mon nez, en dessous de moi, ce trouve le bureau de Startolio Zarachi. J'ai décidé de ne pas le tuer, pour ne pas faire souffrir mes amis Assassins. Mais je brûlerais son bureau, détruirais ses magasins et ses forges. Lui, pauvre et ruiné soit se suicidera, soit sera tué par les Templiers, le Grand Maître mettra sa mort sur mon dos, mais qu'importe? J'ai la conscience tranquille vu que je me prépare à leurs sauvé la vie. J'entendis des voix dans son bureau:
<<-Quand arriverons les armes? Demanda une voix menacante
-Bientôt, bientôt... affirma d'une voix effrayé Startolio, la production de lance est bientôt terminé, celle des munitions est terminés, quant...
-QUAND?
-Vous m'en demandé trop Siniore, je n'ai que 50 ouvriers et ils font le travail de 400, cinq sont mort d'épuisement!
-Tu n'as qu'à travaillé avec eux! QUAND? Donne moi une date!
-Je...je ne pourrais pas honoré la commande avant au moins deux semaines, répondit Stratolio d'une voix suppliante.>>
Je persus le bruit d'une épée qu'on sort de son fourreau.
<<TU TE FICHE DE MOI, ON T'A PAYE A L'AVANCE ET TU AS DEJA UN MOIS DE RETARD!!!
-Non je vous en supplie,messire, NNOOOOOOONNN!>>
Le coup d'épée termina sa phrase.
Je manquit de tombé lorsque je tentai de pénétrer les bureaux par la fenêtre,finalement j'y parvint, pris la torche qui illumine le cadavre sanglant de Startolion et brûle son bureau. Je couru à tous ses ateliers pour les détruire. Pas besoin de m'occuper des magasins, lorsqu'il n'auront, ni patron, ni marchandises, ils seront obligés de fermer. Après avoir accompli cette besogne durant toute la nuit, je pris un cheval et quittai la cité.
Pour ne plus jamais y revenir.
) Bonne chance pour vos missions et à demain , cheres assassins 
!
) et 450f