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Assassin's Creed : Revelations

Sujet : [JEU] l'aprenti(e), ou, l'assassin(ne)?
Lucenfer
Niveau 10
19 juillet 2011 à 11:11:29

Au fait Homm, tu veux que tes anecdotes soit notés ?

+ Je demande une mission :svp:

Homm
Niveau 18
19 juillet 2011 à 12:01:57

Luc' pas la peine, j'ai toute les competences + tout ce qu'on peut acheter + une blindé de fric, je sais plus ou le ranger :hap: :rire:

je te donne une mission dans 10 minutes après south park

Lucenfer
Niveau 10
19 juillet 2011 à 12:05:14

Jerry :noel: D'ailleurs faudrait trouver quelques choses à faire avec ton surplus de fric, c'est dommage qu'il ne serve à rien.

C'est pas pressé pour la mission je suis en train d'écrire un anecdote :noel:

Homm
Niveau 18
19 juillet 2011 à 12:21:58

Bin je sais pas moi :hap:

Tu veux que je fasse quoi avec ? Et puis si je veux changer de personnage un jours ou l'autre sa me servira :noel:

Ta mission :

A la guilde de Vienne, on sollicite l'aide de jeunes assassins, comme toi. Un traficant d'armes se fait beaucoup d'argent en les vendant à n'importe qui. Tue le mais fais passer sa mort comme un coup des templiers, ou un suicide, mais il ne faut pas qu'on sache que c'est notre oeuvre. Va.

Lucenfer
Niveau 10
19 juillet 2011 à 12:29:00

Ok je finis mon anecdote et je m'y mets.

Homm
Niveau 18
19 juillet 2011 à 13:05:06

~Arrivée à Gälvie~

Ca y était. Nous etions arrivé à Gälvie¨. La ville était enneigée et il faisait très froid. Je demandais à un homme de l'escorte si c'était toujours comme ca, il me répondit que c'est un hiver des plus rigoureux, même si maintenant nous sommes en mi-mars. Nous avançions parmis la foule. Nous etions trois, Joachim, Tarin, l'homme de l'escorte et moi même. Tarin me montrait alors un large batiment, le dernier du quartier marchand (la rue décendait, il était donc aussi en contrebas par rapport aux autres batiments et etales). A l'interieur, il faisait meilleur que dehors. On me montrait ma chambre à l'étage. Une petite chambre sobre. des murs en pierre et en bois, un tapis en peau de bête devans la porte, un lis avec un matelas rembourré en plume de poule et une peau de loup en guise de couverture. Un petit bureau en bois, éclairé par une bougie. Je posais le peu d'affaire que j'avais à côté de mon lit. Sur le bureau était posté une dague, et sur les murs (en face de mon lit), trois épées. Au cas ou je suppose. Je redescendis tout de suite en bas. On me m'expliquait un peu le but de la ville dans la region et les autres informations importantes à connaitre sur le lieu. Les positions des gardes, les heures des patrouilles ect ... On me mit en garde comme quoi, la nuit, les gardes prefèrent dormir, boire et frequenter des prostituer au lieu de proteger la ville des voleurs et des brigands, qui sortent donc en bande la nuit et qui n'hesite pas à egrger pour une bourse de piecettes.

-N'ayez crainte, je sais aisement me défendre qui plus est contre une paire de vaux-rien ...
-Bien maître, nous avons tout de même pris soin de faire accrocher des armes sur les murs dans votre chambre ...
-J'ai ma fidèle épée dont je me sers depuis plus de 25 ans, donné par mon grand-père si vous voulez savoir.

L'homme qui m'expliquait sourrit.

-Bien maître. Passons maintenant à la partie la plus interessante, le fameux fragment d'eden ...
-Oui, dites m'en plus.
-He bien ce n'est pas quelque chose de commun, c'est une arme.
-Continuez ...
-Un marteau. Selon les croyance d'ici, il aurait été apporté par Thor, le dieux de la foudre qui se sert lui même d'un marteau. On dit que l'artefact donnerait une force surhumaine et, pointé vers le ciel, pourrait faire tomber les eclairs de thor sur la terre ... Oh et on dit aussi que celui qui le porte est invincible j'usqu'a ce qu'il lache l'arme.
-Bon ... Mais comment le détruire ? Le fondre peut-être ?
-Impossible, le marteau est fait de materiaux inconnue, bien que cela ressemble à de l'acier "titan". Il y a un lac près du premier repère, la ou on vous a conduit pour vous reposer. Si vous le jeté dedans, il sera oublié. De plus, ce lac (et la forêt qui va avec) n'existe sur aucune carte ! Il n'y a que nous qui y avons jamais posé le pied. La grotte des assassins est à quelques dizaine de mettre et donc le lac en constante sureveillance.
-C'est une bonne idée. Qui est en possession de l'artefact ?
-Un templier, très connue dans la region, enfin pas connue pour être un templier mais plutot connue pour avoir, un second artefact qui lui peut-être detruit !
-Quoi ! Un autre ? Dites m'en plus ...
-C'est une flûte, donné soit disant par le dieux de la chasse nordique. C'est une flute en bois, qui peut controlé les loup si son possesseur joue correctement.
-On se croirait dans un conte pour enfant ... Bien, ou est t-il ?
-Le marteau, dans sa demeure à Oslo, une des plus grande ville du continent et la flute sur lui.
-C'est bien loin ... vous avez de bon chevaux ?
-Oui, dans l'écurie, les meilleurs sont gardé pour vous et votre comagnon ... ?

Joachim prit la parole

-Joachim, Joachim De Fett
-Bien, vous partez tout de suite ?
-Demain, assurement. Il est tard, dinons et allons nous couchez.

La salle à manger du repère ressemblait à ceci :

https://m.jeuxvideo.com/screenshots/images/00028/00028036_002.htm

Lucenfer
Niveau 10
19 juillet 2011 à 18:10:53

Anecdote I :

De lourdes gouttes tombaient du ciel puis venaient s'écraser bruyamment sur le sol lorsque je quittais le collège Thomas Mann. Je me maudissais d'avoir oublié mon parapluie chez moi, mais heureusement, le RER n'était qu'à quelques mètres.
Je me dirigeai vers les quais lorsqu'un collègue, le professeur de maths, Jérémy Fronde, sortit à son tour. Il était arrivé au collège récemment, et je ne l'aimais pas vraiment. J'avais l'impression qu'il me surveillait constamment. Il semblait se diriger lui aussi vers le RER. Je m'arrêtais en faisant semblant de fouiller dans mon sac et il passa devant moi sans broncher. Un peu rassurée, je descendis sur les quais de la gare Bibliothèque François Mitterand.
Je vis sur les écrans d'affichage que mon train, un DEBA, était à l'approche. Malheureusement je n'avais pas vu que c'était un train court et lorsqu'il arriva, il s'arrêta à plusieurs mètres de moi. Je courus pour le rattraper et j'entrais alors que la sonnerie de fermeture des portes s'arrêtait. Les places assises étaient pratiquement toutes prises, sauf une, à coté de mon collègue. Je fus surprise de le voir ici, je ne savais pas qu'il habitait dans la banlieu parisienne. je fus soulagée de le voir descendre à Epinay sur Orge, car je descendais deux arrets plus loin, à St Michel sur Orge. Le train n'allait pas vite, et pour une raison que j'ignorais, ça me mettait mal à l'aise.
A peine le train ouvrit ses portes, que je me précipitais sur le quai et courut jusque chez moi. Je ne savais même pas pourquoi je courais, mais c'était plus fort que moi. En entrant dans mon jardin, j'eu le temps de remarquer une voiture que je n'avais jamais vu. Pas vraiment rassurant. J'entrais en trombe dans la maison et m'arrêtais aussitôt. Un vase avait disparu, et un silence psant règnait. J'entendis malgré tout un bruit venant de la cuisine. Je m'y dirigeai dsicrètement t remarquai qu'un bol vascillait légèrement. Je l'arrêtais d'une main et observais le reste de la pièce. Tout était normal. Je pris le bol pour le ranger et remarquai alors une tache de sang en dessous. Apparemment, quelqu'un avait essayé de la dissimuler. Vu que le bol ougeait encore quand je suis arrivé, la personne qui l'avait posé devait avoir agi rapidement, surement lorsque je suis arrivé. S'il avait voulu quitter la cuisine par le couloir de l'entrée je l'aurais forcément vu. La seule autre porte de la salle menait vers la buanderie. Si c'était là qu'il se cachait, il était coincé car il n'y avait pas d'issues dans cette pièce. J'ouvris brutalement la porte et découvrit ma famille attachée et baillonnée. Cette vision me déconcentra et je ne pus éviter la batte qui me toucha au front et me fit perdre connaissance.

Je me réveillai dans une salle désaffectée, les mains attachées dans le dos. Le coup classique pour faire flipper la victime. Jusque là tout allait bien. Là où ça n'allait pas, c'est qu'une grosse araignée descendait de sa toile. J'hurlais alors de toutes mes forces. Un homme ne tarda pas à entrer et me foutu une claque pour me faire taire. Puis il me prit par le bras et me tira vers la sortie. De l'extérieur, la maison ne paraissait pas aussi pourrie que de l'extérieur. L'homme me fit entrer dans une voiture de luxe et referma aussitôt la porte. On me mit un foulard sur les yeux et la voiture démarra.
On m'enleva le foulard au bout d'une dizaine de minutes et je vis par la fenêtre un immense bâtiment avec un étrange logo, une sorte de triangle. Je sus que ce qui m'arrivait était la chose que je redoutais le plus (après les araignées). Les hommes qui m'entouraient étaient sans aucun doute des templiers, et je me trouvais face à un des bâtiments de l'Abstergo Industrie. Un vieil homme nous attendait d'un air solennel. Sa façon de m'accueillir était tellement hypocrite que je dûs me retenir de l'étrangler. Nous primes un ascenseur tandis que les gardes restaient en bas.
-Madame, j'imagine que vous savez qui nous sommes me demanda le vieux.
-Des c*nnards ? répondis-je.
Un rictus qui pouvait ressembler à un sourire étira les lèvres du templier.
-C'est ce que vous pensez ? Ou c'est ce qu'on vous a dit de penser ?
-Les deux. Et je suis convaincu que c'est vrai. Vous voulez asservir les hommes, vous voulez en faire de véritable esclaves.
-Vous nous accusez de faire le mal mais vous et vos amis tuez des gens sous prétexte qu'ils sont mauvais. Le meurtre est la solution des laches. Vous êtes des laches dit-il avec mépris.
-C'est ce que vous pensez ? Ou c'est ce qu'on vous a dit de penser ? rétorquai-je. Et les Templiers ont commis autant de crimes que les assassins.
-Par le passé mais aujourd'hui pouvez vous me citer un meutre commis par un templier.
Je ne répondis pas, il n'y avait pas de réponses possible.
L'ascenseur s'arrêta enfin et les porte ss'ouvrirent sur une salle blanche, avec juste une table au milieu, un ordinateur à coté et un bureau plus loin. Un autre homme faisait les cents pas à coté de la table. Il avait les cheveux noirs, grisonnant à certains endroits, assez grand et maigre. Il se retourna et nous rejoint avec le sourire. Les deux hommes se retirèrent dans une pièce à coté et parlèrent pendant plusieurs minutes. J'en profitais pour mieux observer la pièce. Les seules moyen d'en sortir étaient l'ascenseur, la pièce où étaient entrés les deux templiers et une porte au bout de la salle. Je vis aussi une salle avec un lit, une armoire et une douche. Je me dirigeai ensuite vers les fenêtres. je ne voyais pas grand chose à cause des trops nombreux immeubles, mais je devinais que je n'étais plus en France.
L'homme qui se tenait déjà dans la pièce que nous étions arrivés revint seul. Il s'exprima en Anglais mais je n'eu aucun mal à le comprendre.
-Bonjour, madame. Je suis le professeur Vidic. Je pense que mon ami vous aura dit ou nos étions, à moins que vous l'ayez deviné ?
-On ne peut pas dire que vos bâtiments soient d'une grande discétion.
-Pourtant, aucun assassin n'est encore venu ici avant vous. Seriez vous mal informés ?
Justement les assassins avaient prévus d'infiltrer cet immeuble très prochainement mais je ne pouvais pas en parler, au risque de faire foirer le plan des assassins.
-Bref passons. Ce n'est pas le sujet. Le sujet c'est vous. Ou plus précisemment, ce qui est enfoui en vous.
-Vous voulez mes organes ?
-Bien sûr que non. Je parle de la mémoire de vos ancêtres enfoui dans votre ADN. Nous recherchons quelque chose ayant appartenu à l'un de vos ancêtres autrichien.
-Non seulement je ne veux pas vous aider mais en plus je ne peux pas. Je n'ai aucune information sur mes ancêtres, je ne savais même pas que j'avais un ancêtre autrichien.
-Vous pouvez parfaitement nous aider, en revivant les souvenirs de vos ancêtres via cette machine construite par nos ingénieurs et baptisé "Animus" dit-il en désignant ce que j'avais pris tout d'abord pour une table. Et quand à ce qui est de vouloir... J'imagine que vous ne voudriez pas qu'il arrive malheur à votre famille n'est ce pas ?
-Votre ami me disait tout à l'heure qu'il trouvait les assassins laches car il passait par le crime pour résoudre les problèmes. Mais ce n'est pas plus lache que de capturer la famille de quelqu'un pour le faire chanter.
-Vous sacrifierez donc votre famille juste pour nous empêcher d'obtenir un objet que de toute façon nous trouverons avec ou sans votre coopération ?
-Non. Je vous aiderai si ma famille est libérée sans aucunes blessures.
-C'est entendu. Alors dépêchons nous, plus vite nous aurons trouvé, plus vite votre famille sera libre.
Ca me faisait mal au coeur de coopérer avec cet enfoiré mais je n'avais pas vraiment le choix. Je m'allongeai donc sur "l'animus". Le templier manipula l'ordi pendant quelques minutes avant d'aller chercher un mode d'emploi.
-Pas doué avec les ordinateurs professeur ? Il vous faudrait une assistante.
-J'en ai une mais elle est malade aujourd'hui.
Il continua de taper je ne sais quoi sur l'ordinateur puis un petit écran sortit de l'animus pour se placer autour de ma tête. Une lumière blanche m'éblouit et j'eu l'impression de perdre connaissance.

Lucenfer
Niveau 10
19 juillet 2011 à 18:14:59

Anecdote I :

De lourdes gouttes tombaient du ciel puis venaient s'écraser bruyamment sur le sol lorsque je quittais le collège Thomas Mann. Je me maudissais d'avoir oublié mon parapluie chez moi, mais heureusement, le RER n'était qu'à quelques mètres.

Je me dirigeai vers les quais lorsqu'un collègue, le professeur de maths, Jérémy Fronde, sortit à son tour. Il était arrivé au collège récemment, et je ne l'aimais pas vraiment. J'avais l'impression qu'il me surveillait constamment. Il semblait se diriger lui aussi vers le RER. Je m'arrêtais en faisant semblant de fouiller dans mon sac et il passa devant moi sans broncher. Un peu rassurée, je descendis sur les quais de la gare Bibliothèque François Mitterand.

Je vis sur les écrans d'affichage que mon train, un DEBA, était à l'approche. Malheureusement je n'avais pas vu que c'était un train court et lorsqu'il arriva, il s'arrêta à plusieurs mètres de moi. Je courus pour le rattraper et j'entrais alors que la sonnerie de fermeture des portes s'arrêtait. Les places assises étaient pratiquement toutes prises, sauf une, à coté de mon collègue. Je fus surprise de le voir ici, je ne savais pas qu'il habitait dans la banlieu parisienne. je fus soulagée de le voir descendre à Epinay sur Orge, car je descendais deux arrets plus loin, à St Michel sur Orge. Le train n'allait pas vite, et pour une raison que j'ignorais, ça me mettait mal à l'aise.

A peine le train ouvrit ses portes, que je me précipitais sur le quai et courut jusque chez moi. Je ne savais même pas pourquoi je courais, mais c'était plus fort que moi. En entrant dans mon jardin, j'eu le temps de remarquer une voiture que je n'avais jamais vu. Pas vraiment rassurant. J'entrais en trombe dans la maison et m'arrêtais aussitôt. Un vase avait disparu, et un silence psant règnait. J'entendis malgré tout un bruit venant de la cuisine. Je m'y dirigeai dsicrètement t remarquai qu'un bol vascillait légèrement. Je l'arrêtais d'une main et observais le reste de la pièce. Tout était normal. Je pris le bol pour le ranger et remarquai alors une tache de sang en dessous. Apparemment, quelqu'un avait essayé de la dissimuler. Vu que le bol ougeait encore quand je suis arrivé, la personne qui l'avait posé devait avoir agi rapidement, surement lorsque je suis arrivé. S'il avait voulu quitter la cuisine par le couloir de l'entrée je l'aurais forcément vu. La seule autre porte de la salle menait vers la buanderie. Si c'était là qu'il se cachait, il était coincé car il n'y avait pas d'issues dans cette pièce. J'ouvris brutalement la porte et découvrit ma famille attachée et baillonnée. Cette vision me déconcentra et je ne pus éviter la batte qui me toucha au front et me fit perdre connaissance.

Je me réveillai dans une salle désaffectée, les mains attachées dans le dos. Le coup classique pour faire flipper la victime. Jusque là tout allait bien. Là où ça n'allait pas, c'est qu'une grosse araignée descendait de sa toile. J'hurlais alors de toutes mes forces. Un homme ne tarda pas à entrer et me foutu une claque pour me faire taire. Puis il me prit par le bras et me tira vers la sortie. De l'extérieur, la maison ne paraissait pas aussi pourrie que de l'extérieur. L'homme me fit entrer dans une voiture de luxe et referma aussitôt la porte. On me mit un foulard sur les yeux et la voiture démarra.

On m'enleva le foulard au bout d'une dizaine de minutes et je vis par la fenêtre un immense bâtiment avec un étrange logo, une sorte de triangle. Je sus que ce qui m'arrivait était la chose que je redoutais le plus (après les araignées). Les hommes qui m'entouraient étaient sans aucun doute des templiers, et je me trouvais face à un des bâtiments de l'Abstergo Industrie. Un vieil homme nous attendait d'un air solennel. Sa façon de m'accueillir était tellement hypocrite que je dûs me retenir de l'étrangler. Nous primes un ascenseur tandis que les gardes restaient en bas.

-Madame, j'imagine que vous savez qui nous sommes me demanda le vieux.

-Des c*nnards ? répondis-je.

Un rictus qui pouvait ressembler à un sourire étira les lèvres du templier.

-C'est ce que vous pensez ? Ou c'est ce qu'on vous a dit de penser ?

-Les deux. Et je suis convaincu que c'est vrai. Vous voulez asservir les hommes, vous voulez en faire de véritable esclaves.

-Vous nous accusez de faire le mal mais vous et vos amis tuez des gens sous prétexte qu'ils sont mauvais. Le meurtre est la solution des laches. Vous êtes des laches dit-il avec mépris.

-C'est ce que vous pensez ? Ou c'est ce qu'on vous a dit de penser ? rétorquai-je. Et les Templiers ont commis autant de crimes que les assassins.

-Par le passé mais aujourd'hui pouvez vous me citer un meutre commis par un templier.

Je ne répondis pas, il n'y avait pas de réponses possible.

L'ascenseur s'arrêta enfin et les porte ss'ouvrirent sur une salle blanche, avec juste une table au milieu, un ordinateur à coté et un bureau plus loin. Un autre homme faisait les cents pas à coté de la table. Il avait les cheveux noirs, grisonnant à certains endroits, assez grand et maigre. Il se retourna et nous rejoint avec le sourire. Les deux hommes se retirèrent dans une pièce à coté et parlèrent pendant plusieurs minutes.

J'en profitais pour mieux observer la pièce. Les seules moyen d'en sortir étaient l'ascenseur, la pièce où étaient entrés les deux templiers et une porte au bout de la salle. Je vis aussi une salle avec un lit, une armoire et une douche. Je me dirigeai ensuite vers les fenêtres. je ne voyais pas grand chose à cause des trops nombreux immeubles, mais je devinais que je n'étais plus en France.

L'homme qui se tenait déjà dans la pièce que nous étions arrivés revint seul. Il s'exprima en Anglais mais je n'eu aucun mal à le comprendre.

-Bonjour, madame. Je suis le professeur Vidic. Je pense que mon ami vous aura dit ou nos étions, à moins que vous l'ayez deviné ?

-On ne peut pas dire que vos bâtiments soient d'une grande discétion.

-Pourtant, aucun assassin n'est encore venu ici avant vous. Seriez vous mal informés ?

Justement les assassins avaient prévus d'infiltrer cet immeuble très prochainement mais je ne pouvais pas en parler, au risque de faire foirer le plan des assassins.

-Bref passons. Ce n'est pas le sujet. Le sujet c'est vous. Ou plus précisemment, ce qui est enfoui en vous.

-Vous voulez mes organes ?

-Bien sûr que non. Je parle de la mémoire de vos ancêtres enfoui dans votre ADN. Nous recherchons quelque chose ayant appartenu à l'un de vos ancêtres autrichien.

-Non seulement je ne veux pas vous aider mais en plus je ne peux pas. Je n'ai aucune information sur mes ancêtres, je ne savais même pas que j'avais un ancêtre autrichien.

-Vous pouvez parfaitement nous aider, en revivant les souvenirs de vos ancêtres via cette machine construite par nos ingénieurs et baptisé "Animus" dit-il en désignant ce que j'avais pris tout d'abord pour une table. Et quand à ce qui est de vouloir... J'imagine que vous ne voudriez pas qu'il arrive malheur à votre famille n'est ce pas ?

-Votre ami me disait tout à l'heure qu'il trouvait les assassins laches car il passait par le crime pour résoudre les problèmes. Mais ce n'est pas plus lache que de capturer la famille de quelqu'un pour le faire chanter.
-Vous sacrifierez donc votre famille juste pour nous empêcher d'obtenir un objet que de toute façon nous trouverons avec ou sans votre coopération ?

-Non. Je vous aiderai si ma famille est libérée sans aucunes blessures.

-C'est entendu. Alors dépêchons nous, plus vite nous aurons trouvé, plus vite votre famille sera libre.

Ca me faisait mal au coeur de coopérer avec cet enfoiré mais je n'avais pas vraiment le choix. Je m'allongeai donc sur "l'animus". Le templier manipula l'ordi pendant quelques minutes avant d'aller chercher un mode d'emploi.

-Pas doué avec les ordinateurs professeur ? Il vous faudrait une assistante.

-J'en ai une mais elle est malade aujourd'hui.

Il continua de taper je ne sais quoi sur l'ordinateur puis un petit écran sortit de l'animus pour se placer autour de ma
tête. Une lumière blanche m'éblouit et j'eu l'impression de perdre connaissance.

:desole: du DP mais j'avais mal fait les espaces.

Sinon j'attends la suite de ton anecdote homm :-)

Homm
Niveau 18
19 juillet 2011 à 18:54:14

C'était mieux sans les espaces je trouve :(

Alors, pour l'instant sa va mon anecdote :-) ?

Homm
Niveau 18
19 juillet 2011 à 18:55:42

Oh et j'ai oublié, je te donnes 2000f et 2.5 points :ok:

Lucenfer
Niveau 10
20 juillet 2011 à 00:11:45

Ouais j'ai du mal avec les espaces j'ai du mal a les placer :noel:

sinon merci pour les points je les mettrais demain, sur ordi et puis faut que fasse ma capaciter speciale :(

et oui tres bon anecdote :-)

Lucenfer
Niveau 10
20 juillet 2011 à 13:20:38

J'hésite pour la capacité spéciale :(
Soit "Voleuse" : pouvoir dérober, crocheter, profiter de l'ombre et être encore plus discret.
Soit "Chasseuse" : pouvoir s'adapter très facilement à lenvironnement, à la température, à la faune et la flore etc.

Homm
Niveau 18
20 juillet 2011 à 14:11:15

Sa dépendra de tes missions ca, tu n'es pas obligé de choisir ca tout de suite :ok:

Lucenfer
Niveau 10
20 juillet 2011 à 17:23:43

Ok :) mais j'ai qiand meme une preference pour *chasseuse* mais je l'appelerai plutot *voyageuse*

SolidSerpiente
Niveau 10
20 juillet 2011 à 17:51:34
  • le nom de l'assassin: West

*le prenom de l'assassin: Rico
*l'age de l'assassin: 17 ans :hap:

  • le pays de l'assassin(donc sa langue): France
  • le sexe de l'assassin: M

(*)la description de l'assassin : grand, brun, cheveux en petard, manque une dentx un peu con :noel:
son histoire: Apres la mort de ses parents dans un " accident ", Rico est pris en charge par son oncle, le gros Marcelino., un pervers tres mechant. Mais voila Rico sait que la mort de ses parents, les deux plus grands est quun piege tendu par le machiavellique Maire Hugo ! Ainsi, Rico veut se venger, noie Marcelino dans sa pisse, et decide de devenit un ASSASSINO DES TEMPS MODERNES :mort:

_______________________________________

Homm
Niveau 18
20 juillet 2011 à 18:35:49

SolidSerpiente, si c'est pour venir avec ton humour pas drôle (rien qu'a voir la fiche :sarcastic: ) c'est pas la peine, bye bye :ok:

Lucenfer
Niveau 10
20 juillet 2011 à 18:42:31

Finalement je ne prends pas "voyageuse" ni "voleuse" je réfléchi encore :ok:

Homm
Niveau 18
20 juillet 2011 à 21:07:41

Pas de pwoblème :hap:

Homm
Niveau 18
20 juillet 2011 à 21:08:14

Page 292 :hap: ?

Homm
Niveau 18
20 juillet 2011 à 21:08:43

fuuu :hap:

Désolé du Triple post :honte:

Sujet : [JEU] l'aprenti(e), ou, l'assassin(ne)?
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