Le 19 septembre 2019 à 17:14:00 [ToriBlack] a écrit :
Durendal qui sort 2h00 de vidéo sur un réalisateur dont je n'ai jamais compris la hypeCe soir c'est pizza + Durendal
Ta tout compris pelo , moi c'est grec + airpod
Le 19 septembre 2019 à 21:37:21 Makinordan a écrit :
Le 19 septembre 2019 à 17:14:00 [ToriBlack] a écrit :
Durendal qui sort 2h00 de vidéo sur un réalisateur dont je n'ai jamais compris la hypeCe soir c'est pizza + Durendal
Ta tout compris pelo , moi c'est grec + airpod
Bonne soirée vous allez vous régaler
Il s'est bien gardé d'aborder le sujet sous le titre "Pourquoi j'ai raison et vous avez tort".
Je m'attendais à ce qui s'attaque à kubric pour la vidéo pas le temps pour l'instant de la regarder
Pas la foi de voir ça, peur qu’il ne soit que de mauvaise foi et ça ne peut que me gonfler
Le 19 septembre 2019 à 22:23:20 Polyde a écrit :
Il s'est bien gardé d'aborder le sujet sous le titre "Pourquoi j'ai raison et vous avez tort".
c'est vrai
je trouve qu'il prend beaucoup de pincette (sauf pour shining)
Le 20 septembre 2019 à 08:43:05 dissipateur a écrit :
Pas la foi de voir ça, peur qu’il ne soit que de mauvaise foi et ça ne peut que me gonfler
Bien au contraire, il fait a plusieurs reprise des éloges assez importante notament sur eye shut down, mais réclames le droit a ne pas aimer 2001 sans être critiqué car pour lui il est beaucoup trop long et froid avec trop de répétition mais reconnait le travail de réalisatition derrière.
Aussi culte que soit un film on a le droit de pas aimer c'est son message.
Y'a des gens ici qui se sont farcis 2h de vidéo de Durendal sur Kubrick ? Bordel, les fous. Mais c'est la durée d'un film, découvrez plutôt un Kubrick à la place
Sa vidéo est intéressante mais par contre, voir chez Kubrick un discours essentiellement pessimiste sur la nature humaine et l'absolue vanité de nos désirs c'est passer complètement à côté de son oeuvre
C'est tout le contraire
Tout le cinéma de Kubrick est une recherche de l'amour
(mon fiel déversé, je ne suis en revanche pas contre un petit best of de ses conneries - que j'imagine nombreuses, au vu du sujet et de la durée de la vidéo)
Ecoute moi Stanley, c'est bien beau d'éclairer à la bougie, mais si c'est pour filmer des trous du cul poudrés qui jouent aux cartes, ça sert à rien
Trop chiant Barry Lyndon, pas assez de gunshot
Le 20 septembre 2019 à 11:53:41 Serval94 a écrit :
(mon fiel déversé, je ne suis en revanche pas contre un petit best of de ses conneries - que j'imagine nombreuses, au vu du sujet et de la durée de la vidéo)
Pour te donner une idée sur la vidéo il commence par : "tout le monde peut faire du Kubrick".
Le 20 septembre 2019 à 12:05:04 Nightred a écrit :
Le 20 septembre 2019 à 11:53:41 Serval94 a écrit :
(mon fiel déversé, je ne suis en revanche pas contre un petit best of de ses conneries - que j'imagine nombreuses, au vu du sujet et de la durée de la vidéo)Pour te donner une idée sur la vidéo il commence par : "tout le monde peut faire du Kubrick".
Mais non…
Et du coup, avance-t-il une piste d'explication au fait que personne d'autre n'ait pris le relai, vingt ans après sa mort ?
"Les deux premiers tiers de 2001 ne servent à rien parce qu'il n'y a pas de narration"
Le 20 septembre 2019 à 11:56:38 Monsieur-Yoshi a écrit :
Ecoute moi Stanley, c'est bien beau d'éclairer à la bougie, mais si c'est pour filmer des trous du cul poudrés qui jouent aux cartes, ça sert à rienTrop chiant Barry Lyndon, pas assez de gunshot
N'est pas Besson qui veut.
Le 20 septembre 2019 à 12:11:20 VonRoust a écrit :
"Les deux premiers tiers de 2001 ne servent à rien parce qu'il n'y a pas de narration"
Ca se tient…
Le 20 septembre 2019 à 11:52:35 Palestrina-2 a écrit :
Sa vidéo est intéressante mais par contre, voir chez Kubrick un discours essentiellement pessimiste sur la nature humaine et l'absolue vanité de nos désirs c'est passer complètement à côté de son oeuvre
C'est tout le contraire
Tout le cinéma de Kubrick est une recherche de l'amour
Rechercher l'amour est une chose, que l'histoire finisse bien c'est autre chose.
L'enfer est pavé de bonne intention, pour le coup j'ai trouvé son analyse assez pertinente la dessus c'est flagrant sur orange mécanique.
Par contre pour 2001 y a beaucoup plus de liberté d'interprétation avec l'aspect métaphysique du film.
Le 20 septembre 2019 à 11:56:38 Monsieur-Yoshi a écrit :
Ecoute moi Stanley, c'est bien beau d'éclairer à la bougie, mais si c'est pour filmer des trous du cul poudrés qui jouent aux cartes, ça sert à rienTrop chiant Barry Lyndon, pas assez de gunshot
Barry Lyndon est chiant oui. L’histoire est inutile et prévisible.... alors esthétiquement c’est magnifique mais bon
Le 20 septembre 2019 à 12:37:29 CyrilHanouna a écrit :
Le 20 septembre 2019 à 11:56:38 Monsieur-Yoshi a écrit :
Ecoute moi Stanley, c'est bien beau d'éclairer à la bougie, mais si c'est pour filmer des trous du cul poudrés qui jouent aux cartes, ça sert à rienTrop chiant Barry Lyndon, pas assez de gunshot
Barry Lyndon est chiant oui. L’histoire est inutile et prévisible.... alors esthétiquement c’est magnifique mais bon
C'est l'histoire d'une ascension et d'une chute, c'est pas le premier à le faire, en général le côté "previsible" fait partit essentiel de ce genre de film.
D'autant plus dans celui la avec la voix off omnisciente.
C'est étrange qu'il déteste autant ce film alors que c'est le moins "froid" selon moi, et sûrement un de ses plus émouvant.
Puis la chute de Barry sur son seul acte d'humanisme en tirant volontairement à côté
Le 20 septembre 2019 à 11:52:28 Serval94 a écrit :
Y'a des gens ici qui se sont farcis 2h de vidéo de Durendal sur Kubrick ? Bordel, les fous. Mais c'est la durée d'un film, découvrez plutôt un Kubrick à la place
Y a moi. J'ai une excuse : j'ai vu tous les Kubrick donc je pouvais perdre les 2 heures (surtout que bon je jouais à Dark Souls en même temps faut pas déconner).
Sans surprise, c'est naze. Pas parce qu'il dit du mal de Kubrick, pas parce que Kubrick serait optimiste (vous avez fumé quoi sérieux ?) mais parce que y zéro connaissance derrière son analyse, parce qu'il n'y a aucun argument qui ne soit pas soit un truc complètement à la ramasse ( " tout le monde peut faire du Kubrick " c'est ça oui) ou un truc ressassé ad nauseam (Kubrick cinéaste froid). Le reste c'est répondre à des trucs que personne n'a dit (tout le délire de l'intouchable, de Kubrick qui serait le premier à avoir fait tel ou tel truc ou à travailler sa lumière).
Il doit bien dire cinq ou six fois dans la vidéo " plein d'autres le font " ou des trucs dans ce genre. Autres qui ne sont jamais cités,à une exception près sur laquelle je vais revenir. Quand Durendal parle des travelings d'Ophuls c'est le gros lol parce qu'on sait tous qu'il n'a jamais vu un Ophuls de sa vie mais qu'il a piqué ça dans une quelconque analyse lue sur Internet,. Idem quand il parle des livres dont Kubrick s'est servi alors qu'il n'en a de toute évidence lu aucun. Quitte à comparer et à parler de son gout de l'échec, pourquoi ne pas comparer avec deux grands cinéastes " classiques " de l'échec, à savoir Welles et Huston ? Réponse évidente : il ne connait ni Welles ni Huston (l'Ultime razzia et Quand la ville dort ont pourtant bien des points communs).
Pour l'aspect froid et déshumanisé de Kubrick je peux citer tout un tas de scènes chez lui que j'ai trouvé réellement émouvantes, de la fin de Hal en passant par la confrontation entre le sergent et Baleine, Barry Lyndon au chevet de son fils, la fin des Sentiers de la gloire, " I am Spartacus "... Tant que je suis sur Spartacus ce benêt ne s'est même pas rendu compte que l'exception qu'il constitue dans la filmo de Kubrick tient moins de son aspect chaleureux que du fait que, même si les héros meurent, ils le font avec la joie d'avoir accompli quelque chose, que leur effort collectif est tout sauf dérisoire.
Le passage ou il parle de " plagiat " d'Eyes Wide Shut sur Le Décalogue 3 j'étais scié tellement c'est teubé, je pense vraiment qu'il n'a pas vu le Kieslowski pour oser balancer ça. Kubrick l'a dit, il avait beaucoup de respect pour le polonais avec qui il partageait un regard distance sur les hommes sans pour autant être incapable d'empathie, mais les deux films sont absolument différents. Pour pouvoir conclure que grande découverte, il y avait du ciné d'auteur avant Stanley Kubrick c'est fou, qui l'eut cru ?
Et quitte à critiquer Kubrick et à parler de grandes notions vagues comme " sa réception " (par qui ?), jamais un mot des nombreux critiques qui ont, avec des arguments un peu moins bas de plafond, légitimement critiqué le maitre (je pense surtout à son ennemie jurée Pauline Kael). Dudu, c'est la méconnaissance du contexte, de la réception, de la concurrence, de l'époque et de la base littéraire mais l'assurance de pouvoir parler 2 heures d'un truc sur lequel on a rien à dire. En ça, il est très proche d'un bon nombre de ses détracteurs d'ici (la critique sur la " froideur " c'est d'ailleurs quasi ce qu'en disait la team Vision, à ceci près que Dudu à l'honnêteté de sa pensée " simple " là ou les autres disent les mêmes conneries mais avec un vocabulaire imbitable pour cacher la pauvreté de leur pensée).Dudu le porte-parole des feignasses intellectuelles.