Fire Emblem : Awakening

Voilà, alors je propose un topic déjà présent sur pas mal d'autres forums Fire Emblem où les gens qui le souhaitent peuvent écrire les soutiens entre les différents personnages pour que tout le monde puisse y avoir accès. Topic à spoil, je préviens, mieux vaut ne pas le lire si vous n'avez pas fini le jeu.

Ne l'ayant pas encore, je ne peux malheureusement pas encore en poster mais dès que je l'aurais, je m'y attellerais.

Question idiote comment reçevoir des données Spot Pass cela sa fais t-il automatiquement?
Merci de votre réponse :

Sur la carte du monde:
Tu vas dans le menu.
"Sans fil"
Et là tu cherches, tu devrais trouver tout seul comme un grand.

oki merci bien Seth

tu trouvera toute tes réponse sur : https://www.jeuxvideo.com/forums/1-27833-68999-1-0-1-0-telecharger-les-dlc.htm

C'est pas le but du topic.

Allez, je me lance avec Daraen (homme) x Lissa :

Soutien C :

L : Daraen ? Mais où te caches-tu ?
D : ...
L : Aaah, je t'ai trouvé ! Je voulais juste... Oh ! Tu dors ?
D : Rrrr ! Zzzzzz...
L : Tu dois vraiment être à plat ! Non pas que je te le reproche, avec toutes tes charges...
Bon, allez ! Hi hi ! C'est l'heure de...doucement et gentiment...te boucher le nez !
D : Rrr... Gnnhk... Nnrrrgh...! AAAH ! Mais qu...?! Qui ?! Quoi ?!
Les bandits ! Les loups ! Les bandits à dos de loup ! Ils arr...
L : Hi hi hi hi ! Ha ha ha ha ha ! A dos de loup ?! Oh, ciel, c'est trop drôle ! Hi hi hi hi hi !
D : Ça va pas la tête, Lissa ?! Tu m'as réveillé en plein rêve !
L : Un rêve avec des bandits et des loups, hein ? Hi hi hi !
Oh, pardonne-moi ! J'ai essayé de résister, vraiment. Mais l'occasion était trop belle !
D : Ce ne sont pas des manières ! Qu'ont fait tes parents pour élever une chipie pareille ?
L : Ils sont morts...
D : Ah, c'est vrai... Euh... Ce n'était pas...
L : Oh, ne t'inquiète pas pour ça. Je fais ma susceptible. En fait, c'est moi qui devrais m'excuser de quelque chose...
D : Je pense que ma remarque cruelle nous rend quittes, quoi que tu aies fait.
L : Vraiment ? Génial ! Alors je peux te le dire...
J'ai un peu gribouillé partout dans ce livre de stratégie que tu viens d'acheter... Et ensuite...j'ai renversé mon pot d'encre et il y en avait partout... Il est ruiné... Mais je suis vraiment, vraiment, vraiment, désolée...!
D : RAAAAH ! Je venais à peine de commencer à le lire ! Euh, je veux dire... Ce...n'est pas grave. Ce sont des choses qui arrivent...
L : Youpi !

Soutien B :

D : Ouille ! Je suis éreinté...
L : Je t'ai entendu, Daraen... Tu veux que je te masse les épaules ?
D : Qu'est-ce que tu mijotes, cette fois-ci ?
L : Oh, je t'en prie ! Une petite plaisanterie, et tu fais déjà le paranoïaque ? Je pense justement que je te dois bien un massage, au moins.
D : Ah bon ? Qu'est-ce qui te fait penser ça ?
L : Parce que tu as enlevé un sacré poids des épaules de mon frérot ! Tu sais bien comment il est. Jamais il n'irait demander de l'aide, même s'il en a besoin. Mais il te fait confiance, Daraen. Suffisamment pour compter sur toi.
Ce n'est pas le genre à le dire haut et fort, mais je suis sûre qu'il t'est reconnaissant.
D : Tu crois...?
L : Je le sais, c'est tout. Personne ne connait mieux Chrom que moi !
D : J'espère que tu as raison.
L : Alors, que dis-tu d'un massage gratis ? Une fois...deux fois...
D : Je prends ! Je prends ! Merci, Lissa.
L : Argh ! Dis-donc, tu as les muscles drôlement raides !
D : Oh, c'est juste ce qu'il me fallait ! Juste là ! Oui ! Aaah...ça fait du bien.
L : Et ça, ça fait du bien aussi ?
D : Quoi...? Ouaaaah ! C'est froid ! Et tout gluant !!!
AH ! CA REMUE ! MAIS QU'EST-CE QUE TU FAIS, LISSA ? C'EST QUOI CE TRUC ?!
L : Hi hi hi hi ! Oh, calme-toi. Ce n'est qu'une petite...grenouille. Tu avais l'air si détendu... Je n'ai pas pu résister ! C'était trop tentant !
D : Je suis sûr que tu aurais pu t'en passer ! Et ne m'as-tu pas raconté l'autre jour que tu trouvais les grenouilles "trop beurk" ?
L : Je suis capable de réprimer mon envie de vomir dans l'intérêt de la plaisanterie !
D : Tu ferais mieux d'apprendre à réprimer ton envie de faire des farces !

Soutien A :

L : Coucou, Daraen.
D : Laisse-moi tranquille, espèce de petit diable insupportable !
L : Oh, ne monte pas sur tes grands chevaux... Je ne viens pas pour faire une farce.
D : Ah ! Tu m'as eu une fois, honte à toi. Si tu recommences, je ne te parlerai plus.
L : Hi hi ! Oh, allez ! Attends... Tu es vraiment fâché ?
D : Bien sûr que je suis fâché ! Tu as flanqué un crapaud dans ma chemise !
L : Je suis plutôt certaine que c'était une grenouille...
D : Je suis plutôt certain que ça ne change rien !
L : Bon, d'accord ! Je m'excuse, Daraen. Je suis super désolée !
Je ne recommencerai pas, alors tu veux bien être de nouveau mon ami, s'il te plait ?
D : Tu regrettes vraiment tes actes ?
L : Terriblement !
D : Et tu me PROMETS de ne pas recommencer ?
L : Sur mon honneur de princesse !
D : Très bien, je te pardonne. Serrons-nous la main et laissons toute cette folie derrière nous.
L : Merci, Daraen ! Tu es un chic... OUAH ! C'est quoi là, sur ta main ?! Un serp...un serp...serp...
D : Un serpent ? Non, non, Lissa... Ce n'est qu'un ver de terre... Une différence qui a son importance, n'est-ce pas ? Alors, je t'ai eue ?
L : Rah ! J'ai cru que mon cœur allait sortir de ma poitrine ! Tu es affreux, Daraen ! Et en plus, tu es un vrai hypocrite !
D : Peut-être... Mais voyons d'abord ce que toi tu caches dans ta main !
L : Oooh... Mais comment cette grenouille est-elle arrivée là...?
D : Alors, qui de nous deux est le vrai hypocrite ?
L : Oh, ce n'est même pas drôle si tu gâches la surprise...
D : Il aurait fallu que je sois aveugle pour ne pas le voir venir...
L : Pff ! Tu vas voir, la prochaine fois, je t'aurai pour de bon !
D : Si tu recommences, je ne te parlerai plus, pour de bon.
L : D'accord... J'imagine que je n'ai pas le choix ! Mince, ça veut dire que j'ai un bon bout de chemin à faire...
D : Jusqu'à ce que tu deviennes raisonnable ?
L : Non, bêta, jusqu'à la mare ! J'ai une douzaine de grenouilles à y remettre !
D : Brrr !

Soutien S :

L : *soupir* Je MEURS d'ennui !
D : Avec toutes tes farces, tu n'es pas divertie ?
L : Oh, salut, Daraen. Pour répondre à ta question : non ! C'est beaucoup moins drôle avec les autres. Leurs réactions sont banales et insipides ! Et Frederick ne cille même pas ! Personne n'a ton don pour faire la grimace. Ce truc tout mou que tu fais...
D : Je fais un truc tout mou avec mon visage ?
L : Mais ne t'inquiète pas ! J'ai promis ! Tu es en sécurité. Ça m'afflige, mais je ne veux pas que tu me détestes... Alors plus de farces...
D : ... Bon, d'accord, Lissa... Je te donne la permission de me faire de nouvelles farces. Et je te promets que je ne te détesterai pas !
L : Vraiment ?!
D : Mais...j'ai UNE condition ! Tu dois d'abord ouvrir ce coffret.
L : Ha, certainement pas, Monsieur ! Je connais le truc ! Il y a surement des serpents, ou des araignées, ou un diable sur ressort dedans !
D : Qui sait...? C'est à toi de voir. Je ne veux pas te forcer.
L : Aaah ! J'ai peur, mais...tes grimaces sont vraiment trop marrantes... Bon, je me lance. Allez !
D : ...
L : Un... Un anneau ? Mais que se passe-t-il, Daraen ?
D : Je suis amoureux de toi, Lissa. Farces ou pas, je t'aime plus que tout au monde... Alors...qu'en dis-tu...?
L : Snif !
D : Tu pleures ?! Oh, non, ne pleure pas ! Je suis désolé... Tu peux dire non si tu veux !
L : Mais non, bêta ! Je suis heureuse ! Je t'ai... Je t'aime depuis si longtemps !
D : Quoi ?! Vraiment ?! Depuis quand ?
L : Oui, vraiment ! Depuis le tout début ! Les farces...c'était pour attirer ton attention. Avec Chrom, tu discutes stratégie, mais moi, je n'avais pas de prétexte pour te parler...
D : Lissa, tu aurais pu me parler de quoi que ce soit, j'aurais été heureux ! Je suis désolé de n'avoir jamais remarqué quels étaient tes sentiments.
L : Oui, mais mainteant, nous pourrons passer tout notre temps ensemble ! Ooooh ! Et en plus, j'ai ouvert le coffret, alors j'ai le droit de faire des farces, hein ?
D : Je croyais que tu faisais seulement des farces seulement pour te faire remarquer... Et puisque nous nous marions, je disais que tu l'as eu, mon attention... Alors...
L : Tu crois que je vais me marier avec toi sans tirer parti de ta tête à grimaces ?! Tu es toqué !
D : Quoi ?! Hé ! Mais je ne veux pas... Oh, et puis... Si c'est ce qui te fait plaisir, qu'il en soit ainsi. Mais vas-y doucement ! Je n'ai pas envie de passer le reste de ma vie terrifié !
L : C'est promis, Daraen ! Alors...que dirais-tu d'une promenade au bord de la mare aux canards...?

• image de Lissa*

L : Ça alors ! Cette bague est ÉNORME ! Oh, je suis sûre que notre vie commune va être merveilleuse !

Je vous préviens, je réserve de suite les soutiens Daraen x Olivia

Ils ont une drole de façons de déclarer leurs amour
Mais merci de les poster içi !!!! vue que j'ai le jeu en anglais sa va m'aider ! ... Vu les traducteur pourri que j'utilise ... google traduction ne m'aide pas trop la dessus

Oui, c'est pas le plus drôle.
Si j'ai le temps (et l'envie ) j'en posterais des plus amusants.

Pas de problème Moah.

Pour ceux qui commencent à finir le jeu. Pensez aux autres.

Je vais pas le laisser couler ce topic! '-'

Lissa et Gaius :

Partie C
L:Maintenant,ça va là-dedans et je fais une boucle et...
AIEEEUH!
G:Est-ce que ça va,princesse?
L:Hum.J'essaie d'apprendre la couture mais c'est mes doigts que je tricote.
G:Tu devrais traiter ces blessures,princesse,ou ça va s'infecter.
L:Mais non,idiot ce sont juste des égratinures,ça saigne à peine.
G:Peu importe,les petites blessures s'infectent comme les grandes.
Personne ne souhaite voir couler le sang royal.Laisse-moi voir ton doigt
L: Oh,d'accord,si tu insistes à ce point-là!Tu es têtu,tu sais...
Et arrête de m'appeler princesse,tu veux? Tu y mets un je-ne-sais-quoi de raillerie...
G:C'est juste un surnom,en toute amitié.J'en donne à tout le monde,tu sais?
L:Bon,d'accord,mais je parie que tu n'en as pas donné à Chrom,n'est-ce pas?
C'est pas juste!Il risque sa vie à chaque combat qu'il mène.Et moi? Non!
Moi,je reçois des soins médicaux pour un accident de couture! On me dorlote!
G:Eh bien,si ça peut te consoler,c'est le pire accident de couture que j'aie jamais vu.
L:Oh,ne sois pas ridicule,je suis pas en sucre!
Mais... Mais combien de bandages as-tu utilisés? Je ressemble à une momie!
G: Tu as touché une veine,princesse... Tu as de la chance que ce ne soit pas pire.
L: *bougonnement*
G:Allons,souris,un peu! Fais voir ce que tu es en train de coudre.
Qu'est-ce donc? Un ogre à trois bras? Une baleine avalant un marin?
L: C'est un chat.
G: Un... Un chat ?! Vraiment? Ah,peut-être qu'en le regardant dans l'autre sans?
L: Il n'est pas fini,encore,d'accord ?!
G:Hmm... Pour faire un chat,il faut allonger ça,ajouter des points ici et là... Regarde.
L: Oh,Gaius! Comment as-tu fait? On dirait vraiment un chat,là. Tu as tant de talent!
G:J'ai toujours eu les doigts habiles,c'est utile dans ma branche
L:Oh...Eh bien,je... Je te remercie.
G:Mais je t'en prie.Si seulement tu pouvais avoir des passe-temps moins risqués...

Partie B
L: Alors,si je passe l'aiguille sous la boucle et que...
G:Non,non,pas comme ça.D'abord,sous cette boucle-là...
L:Oh j'ai compris! Ce n'était pas si difficile... Et regarde,c'est fini! Ta-da!
G:Oui.C'est moi qui ai tout fait exceptée la petite broderie bizarre bleue dans le coin.
L: Héhé.C'est vrai que tu m'as beaucoup aidée.

• soupir* Mais je n'apprendrai jamais si je te laisse tout faire.

G: En quoi est-ce que c'est si important? Tu es une princesse,non?
Si tu veux une tapisserie pour le mur,tu n'as qu'à demander à une couturière...
Absolument pas ! Je dois apprendre comment faire les choses par moi-même.
Je refuse de devenir comme ces nobles qui ne savent rien faire!

• soupir* à ce rythme,je ne saurai rien faire non plus. Ni la cuisine,ni le reste...

G: Tu veux trop en faire,princesse.
L: Peut-être.
C'est si frustrant quand je ne peux pas faire les choses moi-même!
G: Pérsévère et tu finiras par y arriver.
L'entrainement mène à tout.
L: L'entrainement mène à tout?
G: C'est ça.
L: Alors je vais m'entraîner! Merci pour tes conseils,Gaius.
Je veux que tu m'apprennes tout ce que tu sais! La cuisine,la couture... Tout!
G:Euh... Je ne suis pas un très bon professeur pour être honnête...
L:Gaius,tu es trop modeste. S'il te plaît,Gaius? S'il te plait?!
G: *soupir* Je suppose que c'est mauvais genre de dire non à une princesse...

Partie A
G: OUAAAH !
Dis donc,princesse,tu as mis quelle quantité de sel dans la soupe?
L:Juste un sachat.Quoi? C'est trop?
G:Pas grave... Concentrons-nous sur le positif: les patates étaient... passables.
L:Hmpf!Je sais que tu fais du mieux que tu peux pour m'aider.
Je n'aurais rien pu faire si tu ne veillais pas sur moi tout le temps.
G:Je suppose que j'ai dû te donner quelques indices en cours de route.
L:*soupir* Je commence à me dire que je n'y arriverai jamais.
Dis-moi honnêtement,Gaius.Tu épouserais une fille qui ne sait pas cuisiner?
G:Je ne peux pas dire que j'y aie beaucoup réfléchi...
L:Je le savais! Tu refuserais, n'est-ce pas? Je ferais mieux de reprendre les leçons!
G: Mais,princesse,est-ce vraiment sage que de passer tant de temps ensemble?
L: Qu'est-ce que tu veux dire?
G: Je suis un voleur et un criminel recherché.
Et tu es la princesse d'Ylisse.Les bruits courent vite...
L: Gaius! Je suis offensée ! Je ne veux pas entendre d'autres inepties de ce genre.
G: Désolé,je...
L: Parce que je suis princesse,je devrais éviter de côtoyer mon plus cher ami?!
Je choisis mes amis comme je veux,et ce ne sont pas les rumeurs qui m'arrêteront.
G: Oui,bien sûr,princesse.
L: Je ne veux pas de traitement de faveur,est-ce bien clair? Et c'est un ordre!
G: Eh bien... Pour commencer,mes amis me donnent rarement des ordres,princesse...

Partie S (enfin )
L: Coucou! Devine qui c'est?
G: AAAH !!!
L: Oh,désolée,je t'ai surpris?
G: Hum,pas du tout...
L: Pourtant,on aurait dit,vu comment tu as sursauté!
G: Tu ne devrais pas te glisser derrière les gens et leur couvrir les yeux comme ça.
L: Hé hé! Je pensais que tu t'y était habitué,depuis le temps.
G: Tu fais vraiment une drôle de princesse.
L: Gaius! Ne compte pas sur moi pour te soigner si tu es blessé au combat.
Et tu regretteras ce que tu as dit quand je t'aurai montré mon cadeau...
G: Une broderie... C'est toi qui l'as faite?
L: Hé hé,je me suis entrainée,tu as vu?
G; Tu t'es bien améliorée,ça ressemble tout à fait à un chat,cette fois.
L: Qu'est-ce que tu en penses? Je ferais une bonne épouse?
G: Je l'ai toujours pensé.
L: Oh,Gaius,quel charmeur...
G: Tu ne devrais pas afficher cette expression,les gens vont se faire de fausses idées.
L: Non,ils auraient raison.
G: ...
Lissa... j'ai une question à te poser... Tu es la fille la plus adorable que je connaisse...
Si tu penses que j'en suis digne,j'aimerais... Je...
L: Oh,Gaius! Arrête de bredouiller et épouse-moi tout de suite. C'est un ordre!
G: Oh... Morguienne,c'était beaucoup plus facile que je ne l'avais pensé!
L: Youpi! Je savais que ma broderie ferait l'affaire!

Voilà,j'ai surmonté ma flemme pour vous
Ne laissez pas ce topic couler

Je participe un petit peu

Daraen (femme) x Chrom

Soutien C

C: Daraen, as-tu finis de t'entraîner pour aujourd'hui ?
D:Pour l'entrainement physique, oui. Mais je voulais encore me pencher sur la théorie.
C: Tu devrais te détendre un petit peu...Avec l'expérience, tu verras que c'est important. Dans une guerre comme celle-ci, on ne sait jamais quand aura lieu la prochaine bataille.
D:Oui j'ai eu l'occasion de m'en apercevoir. Avec tout ce qui s'est passé récemment. Nous avons à peine eu le temps de manger.
C: La route a été dure, c'est vrai. Et j'ai bien que ça ne s'arrange pas.
D:Je vais me ménager et me reposer et me reposer, alors. Je ne voudrais pas perdre ce teint de rose...
C:Euh...
D:Quoi ? Vous trouvez cela étrange ?
C:Euh, non...Simplement, je...Je ne me suis jamais dit que tu étais du genre à te soucier de ton teint...C'est que je ne t'ai jamais vraiment considérée comme une dame...
D:Pardon ?!
C:Euh...je veux dire...Je ne voudrais pas...Enfin, il a "dame" et "dame", tu vois ? Nous nous battons et parlons stratégie...Non pas qu'une dame ne puisse se battre...Bon sang, je devrais me taire, je ne dis que des âneries...
D:Voyons, Chrom ! N'êtes-vous pas l'héritier d'une noble famille ? Ne vous a-t-on jamais enseigné les bonnes manières dans vos écoles réputées ?
C: Bien sûr qu'on m'a enseigné l'étiquette...pendant tout un semestre, même.
D:Un autre semestre pour apprendre à parler aux dames ne serait pas de trop, on dirait.
C:Dans mon idée, une dame est quelqu'un de guindé...Toute parfumée, toute jolie. Rien à voir avec toi ! Le mot "dame" ne me vient même pas à l'esprit quand je te vois...Euh...Daraen ? Tu comptes faire quoi, avec cette pierre ?
D:Je me disais qu'un bon coup sur la tête vous remettrait les idées en place.
C:N...Non, attends ! Je plaisantais ! Ha ha ? Euh...Je dois y aller !
D:Je n'en crois pas mes yeux ! Ce couard a pris ses jambes à son cou ! Il n'a vraiment pas de manières ! Hmm... Après tout, je lui rends bien. Je ne le traite pas non plus comme un noble distingué ou un gentilhomme...

Soutien B

C:Hé, Daraen ! Où es-tu ?! HE OH ? TU M'ENTENDS ? J'AI UN CONSEIL A TE DEMANDER !
D:Chrom?! C'est...C'est vous ? Euh...juste une seconde, d'accord ? Je sors...
C: Oh...C'est là que tu te cachais ? Bon sang, pourquoi y a-t-il autant de vapeur ici ?
D: AAAAAAH !
C: Oh, te voilà. J'ai du mal à voir avec toute cette vapeur. Bref...Je voulais te voir pour discuter de l'itinéraire, demain. Tu vois...
...
Euh Daraen ? Pourquoi ne portes-tu aucun vêtement ?
D: Chrom ? Au lieu de reste planté devant moi la bouche ouverte comme un idiot...ALLEZ ATTENDRE DEHORS !
C:Mais je...Oh bon sang, je suis TELLEMENT désolé ! Vraiment, je ne voulais pas...
D:DEEEEHOOOORS !
C:D...D'accord ! Absolument ! J'y vais ! Je...Euh...Je serais devant la tente.
D: Alors...Quelle idée d'entrer dans la tente où les femmes prennent leur bain ?!
C:Je suis DESOLE ! Crois-moi, ce n'étais pas mon intention de guigner !
D: Bon... j'accepte vos excuses. Maintenant, qu'y avait-il de si important ?
C:Oh...Euh...J'espérais avoir ton avis sur l'itinéraire de demain.
D:Quelles sont nos options ?
C: D'après cette carte, une des possibilités est un chemin escarpé à travers les collines. Ou nous pourrions les contourner et suivre la route principale dans la plaine. Les deux nous mènent à notre objectif, mais je voulais avoir ton avis.
D:Hmm...Il serait plus sage de traverser les collines. La route principales est plus aisée mais elle nous exposerait trop à l'ennemi potentiel.
C:Bien...C'est aussi ce que je pensais. Merci pour ton aide. Et, Euh...Voilà ! Je crois que c'est tout ! Alors...au revoir.
D: Au revoir.
C:Daraen ? Je suis vraiment désolé pour l'histoire du bain. Ce n'était vraiment pas mon intention de te surprendre ainsi.
D:C'est bon. C'est déjà du passé. Oublions ça, voulez-vous ?
C:D'accord. Parfait. Bonne idée. Alors, j'y vais. Je te verrais plus tard. Argh ! Je ne voulais pas dire "VOIR" ! Je veux dire...Bon, au revoir ! ARGH ! NON ! Je voulais dire, à plus tard !

Soutien A

C:Depuis l'incident du bain, je ne peux plus regarder Daraen en face. A chaque fois que je veux lui parler, je suis tétanisé par la gêne... Je suis si nerveux ! Que devrais-je faire ? Je n'ai jamais eu ce problème avant. Oh ! Un bain, voilà ce qu'il me faut ! Un bon bain bien chaud me calmera sûrement ! Après ça, je ne devrais plus avoir de soucis à discuter avec Daeren.
D:Hmmm...Si j'ai bonne mémoire, les lances et les haches sont gardées par ici. On les use rapidement dernièrement, il ne faudrait pas qu'on en manque. Je ferais mieux d'en faire l'inventaire et d'en commander si besoin... Alors... C'est quelque part par là...Ah, c'est dans cette tente ! Voyons... AAAAAAAAAAH !
C: Daraen ?! Qu'est-ce que tu fais ici ?
D:AAAAAAAAH !
C:Mais pourquoi tu hurles comme ça ? Tu n'as jamais vu quelqu'un prendre un bain ? Et d'ailleurs, tu ne devrais pas être...AIE ! HE ! Arrête ! Pourquoi tu me lances des choses ?! Mais...AIE !
D: AAAH ! Vous n'avez pas honte ?! YAAAH ! Noble ou pas, vous devriez au moins porter une serviette en présence d'une femme !
C:M...Mais...AIE ! C'est toi qui m'as...AIE... Surpris !
D:Je suis désolée, Chrom.
C:Tu n'as plus rien à me lancer ?
D:Je crois...Je ne sais pas ce qui s'est passé. C'était... un réflexe...
C:Oh, oublie ça. Et puis, ce n'est pas comme si tu était la seule à qui ça arrive ! Ha ha !
D: En tout cas, merci de ne pas en faire tout un plat...Je me sens encore mal de vous avoir lancé ce porte-savon en verre dans l'oeil. Vous souffrez toujours ?
C:Un peu,. Je me demande en fait pourquoi on trimbale un tel objet en temps de guerre. Au moins, le côté positif de cette histoire c'est que l'on s'est vus tout nus ! Ce qui veut dire que nous n'avons plus rien à nous cacher. Que nous sommes plus proches que jamais. Comme de vrais amis !
D:Il y a des façon plus appropriées pour un homme et une femme de se connaître... Mais ce genre de mésaventures aide à briser la glace, à coup sûr.
C:Ha ha ! Nous sommes comme de vieux brigands partageant un sombre passé ! Mais cela nous rendra plus fort sur le champ de bataille. Tu verras.
D:De vieux brigands ? Vous avez le sens de la formule ! Et bien, mon cher complice, nous faisons une sacrée paire.

Soutien S

D:Chrom ! Justement, je vous cherchais. Il faut qu'on parle.
C:Euh...Daraen ?!
D:C'est au sujet de la route que avez choisie pour demain. Je regardais la carte et j'ai remarqué que...Chrom ? Vous m'écoutez ?
C:Euh...OH ! Bien sûr ! Hmm...En fait, non. J'ai des...choses, à faire.
D:Chrom, vous vous comportez étrangement. Me cachez-vous quelque chose ?
C:C...Cacher ? Qui ça, moi ? Franchement ? Cacher ? Ouh là, non. Je ne cache rien.
D:Alors pourquoi gesticulez-vous comme si un écureuil était dans votre pantalon ?
C:Je... Je ne gesticule pas ! Je suis détendu et absolument, parfaitement, normal.
D:Et vous fuyez mon regard ? Chrom, vous aviez dit que nous étions de vrais amis, sans aucun secret. Est-ce que vous mentiez ? me faites-vous des secrets, maintenant ?
C:N...Non ! Promis, ce n'est pas ça !
D: *soupir* J'ai remarqué que vous m'évitiez, dernièrement. Et j'aimerais savoir pourquoi, Chrom. Je mérite une explication. S'il vous plait. Ne faites pas comme si tout allait bien. Vous n'aimez plus ma compagnie ? Si c'est le cas, il faut me le dire.
C:Comment ?! Bon sang, Daraen, rien ne pourrait être plus faux !
D:Alors pourquoi m'évitez-vous ?
C:Euh...
D:Chrom ?
C:Ne me regarde pas comme ça...C'est juste que ...nous avons beaucoup combattu côte à côte. Au début comme des alliés, puis comme des camarades et enfin comme des amis. J'étais enchanté de voir nos liens d'amitié devenir plus forts de jour en jour...Et puis je me suis un jour rendu compte que tu étais...plus qu'une amie.
D:Que voulez-vous dire ?
C:Je t'aime beaucoup, Daraen. Comme un homme aime une femme.
D:Chrom, ce n'est pas possible...
C:Attends, s'il te plait ! J'en ai trop dit, je ne peux pas m'arrêter maintenant.
D:Je ne veux pas que vous veniez à regrettez ce que vous pourriez dire...
C:Je m'en fiche ! J'ai éssayé de me taire, mais je n'y arrive plus. Je dois te dire ce que je ressens, même si cela risque de te mettre mal à l'aise.
D:Hmm...D'accord.
C:J'espère que tu es prête,car une fois que je l'aurai dit, je ne reviendrais pas dessus !Vraiment, c'est du sérieux, j'espère que tu as le coeur bien accroché...Bon, je vais y aller. Prépare-toi, parce que je vais le dire d'un moment à l'autre !
D:Dites-le, à la fin !
C:Je t'aime.
D:Oh.
C:Je t'aime depuis le premier jour où mes yeux se sont posés sur toi ! Je ne m'en étais tout simplement pas rendu compte avant récemment.
D:...
C:Je sais bien que c'est soudain...Et que j'ai la finesse d'une wyverne lâchée dans un magasin de porcelaine. Mais je n'essaie pas de t'imposer quoi que ce soit, crois moi. Quelle que soit ta réponse, si douloureuse soit-elle, je la respecterai. Et quoi qu'il arrive, nous resterons amis. Je te le promets.
D:C'est...Je suis désolée, Chrom, mais c'est impossible. Le chef de l'armée qui courtise le stratège en chef ? C'est une mauvaise idée. Nous devons penser aux soldats avant de penser à nous. Vous le comprenez, n'est-ce pas ?
C:Oui, je comprends.
D:Mais...cette guerre aura une fin. Nous vaincrons et ramènerons la paix en ce monde. Et quand ce jour viendra, nous serons libres d'écouter nos coeurs.
C:"NOS coeurs " ?
D:Oui. Car je vous aime aussi.
C:Tu...Vraiment ? Mais, c'est...c'est....Merveilleux ! HA HA ha ha ! C'est le plus beau jour de ma vie !
Tu es le vent qui me pousse et l'épée qui me protège. Ensemble, mon amour, nous construirons un monde meilleur. Rien que toi et moi.

Ce serait dommage de laisser couler ce topic, j'apporte moi aussi ma contribution.

Gaius x Palne

Soutien C

G: *soupir* Un seul pot de miel...ça ne va pas me faire trois jours, et j'ai mangé ma dernière figue confite ce matin...
P: Gaius ?
G : Oh ! C'est toi, Palne ? Je peux faire quelque chose pour toi ?
P: Que faites-vous perché là-haut ? Ce n'est pas souvent que je vois des humains escalader des falaises...
G: Je venais chercher du m...Euh....Je suis...en mission !Voilà, c'est ça ! Il s'agit d'une mission périlleuse de la plus haute importance !
P: Oh.
Gaius : Ça t'impressione ! Hein, Moustache ?! N'essaie pas de le cacher...Tu te dis sûrement « Bon sang, mais quelle bravoure ! Quelle agilité ! Cet homme... »
P: Votre dextérité est largement en dessous de la moyenne des Tagüels. Et ne m'appelez pas « Moustache » !
G: Oh...« En dessous de la moyenne », hein ?
P: J'avoue qu'en vous apercevant au loin, j'ai d'abord cru voir un des miens. Maladroit et boiteux, il aurait réussi à survivre en se cachant parmi les rochers. Mais ce n'était que fol espoir.
G: Oh...Désolé. Maintemant je me sens mal d'avoir grimpé là-haut.
P : Tout va bien. Vous ne saviez pas.
G : Hmm...Avant que tu ne partes...
P: Oui ?
G: Tu ne saurais pas comment je pourrais descendre par hasard ?
P: ...

Soutien B

G: Héééé...Moustache ! Merci de m'avoir tiré de ce pétrin la dernière fois.
P : Je n'aurais jamais cru descendre un jour sur mon dos un humain coincé sur une falaise. J'espère que l'expérience ne se répètera pas. C'était désagréable et humiliant.
G : Je trouve que nous avions fière allure ! Moi, te chevauchant tel un chevalier Palne...Pigé...? Parce qu'il y a des chevaliers Ppégase...et là j'ai dit « Palne », donc...
P : Idiot ! Je ne suis pas une bête de somme !
G : Hé, là....Ce que tu es susceptible... ! Tu manques peut-être de sucre...Tiens, prends-donc une figue confite...ça t'adoucira un peur.
P: Je n'ai pas l'habitude d'ingurgiter des sucreries.
G: Ah ! Pas étonnant alors que tu sois si ronchonne !
Peu importe les difficultés, une bonne tarte aux myrtilles me remonte toujours le moral !
P: Ces sucreries sont-elles...une sorte de rations d'urgence ?
G: Dès que je ne mange pas de sucre, c'est une situation d'urgence, Moustache !
P: *mange* Hmm...Ah, oui...C'est très sucré. En cas d'urgence, les Tagüels ont parfois recours à un fruit au goût similaire. il est cependant bien plus sucré que cette sucrerie.
G: Plus sucré qu'une sucrerie ?! Qu'est-ce que c'est ?! Où peut-on en trouver ?! Allez, dis-le-moi, Moustache ! Il faut absolument que je le sache !
P: Êtes-vous tant intéréssé par notre culture ?
G: Oh, euh... Bien sûr ! Depuis toujours, en fait ! C'est une vraie obsession ! Et donc alors, ce fruit... Où est-ce qu'on peut le trouver ?
P: Vous vous trouvez en ce moment-même juste en dessous de l'un de ses arbres.
G: Quoi ?! Un arbre à sucre ? Mmm...Suuuuuuuuuucre...Maintenant il ne me reste plus qu'à...Attends...C'est cet arbre tout LA-HAUT ?!
P: Si vous parlez bien de l'unique arbre, tout seul au sommet de cette falaise, alors oui.
G: Bon, quand faut y aller...
P: ...Que faites-vous, humain ?! Vous savez bien que vous n'arriverez pas à redescendre !...Je n'irai pas vous chercher ! Vous resterez là-haut pour le restant de vos jours !...*soupir* Quel imbécile...Il est encore coincé...

Soutien A

P: Assez ! Allez-vous me laisser tranquille ?!
G: Je suis désolé, Moustache. Vraiment. Mais depuis que tu m'as parlé de cet arbre à sucre, je n'ai que ça en tête !
P: Ce n'est pas un arbre à sucre, c'est un arbre fruitier !Et j'en ai assez de jouer les motures de chevaliers Palne !
G : Ah ah ! Tu viens de dire « chevalier P... »
P: Vous m'écoutez ?!
G: Euh...oui.
P: Bien. Et vous pourriez au moins faire semblant de vous intéresser à la culture de mon peuple. J'en serais plus heureuse que vous ne pourries l'imaginer.
G: Quoi ?! Malgré mon ingénieuse supercherie, tu SAVAIS que je ne voulais que le fruit ?
P : Ce n'était pas très compliqué. Vous étiez en plein délire pendant votre ascension...Et vous avez déjà une forte tendance à parler de vous même humain.
G: Peut-être, mais j'étais si loin ! Comment as-tu fait pour m'entendre ?
P: Les Tagüels ont une ouïe bien plus sensible que les humains.
G: Sacrebleu ! Tu dois entendre tout un tas de secrets, je me trompe ?
P: Pas vraiment. Notre ouïe est si sensible que nous entendons le moindre petit bruit. Souvent, ce que nous voulons VRAIMENT entendre se noie dans la clameur ambiante.
G: Hmm...Intéressant...Parle-moi encore des Tagüels.
P: Pourquoi ? Je vous ai déjà dit tout ce qu'il y a à savoir sur cet arbre aux fruits sucrés.
G: Non, je ne parlais pas de ça ! Je parlais de votre culture, de votre vie...Ça m'intéresse, Moustache. Vraiment.
P: Vous ne dites pas ça juste pour étaler de la pommade sur moi ?
G: Euh...En fait l'expression exacte, c'est...Tu sais quoi ? Ça n'a pas d'importance.

Soutien S

G: Voilà, j'ai terminé l'anneau. Alors, qu'est-ce que tu en dis ?
P: Très bien ! Vous avez à merveille su vous imprégner du style ornemental Tagüel. Vous êtes plutôt doué de vos mains...La joaillerie ne vous a jamais tenté ?
G: Avec ce genre d'encouragements, je vais croire que je pourrais y arriver ! Maintenant, dis-m'en plus sur cette fête sacrée Tagüel. En quoi ça consiste, déjà ?
P: Vous n'en avez pas assez des Tagüels ? Nous en parlons depuis des lunes...
G: Palne...je ne m'ennuie jamais avec toi.
P: Oh. Eh bien j'en suis heureuse.
G: Lorsque tu parles de ton peuple, tout ton visage s'illumine. Exactement le contraire de la fois où tu as dû m'aider à descendre de la falaise.
P: J'avais envisagé de vous y laisser...Ou de vous tuer sur place.
G: Ecoute, Palne...J'ai pensé qu'on pourrait peut-être passer plus de temps ensemble. Tu vois, chez nous les humains, un anneau comme celui-ci symbolise...une promesse. Et si une femme fait à un homme l'honneur de le porter, alors...
P: Je vous appartiendrai ?! C'est bien ça ?! Comptez-vous m'utiliser comme une mule, vous hissant jusqu'à cet arbre à sucre ?!
G: Quoi ?! Non, non ! Ce n'est pas ça ! La vérité, c'est que...Eh bien, je...Tu vois, cet anneau est...
P: ...Gaius, je vous comprends. Et ma réponse est oui. Je porterai votre anneau.
G: Vraiment ?! Oh Palne...Que la vie sera douce à tes côtés !
Palne : Venant de vous, Gaius, cela me va droit au coeur.

G:J'ai toujours eu les doigts habiles
Quelle coquin ce Gaius (et oui Gaius>all)

J'ai beaucoup aimé le dialogue père/fils entre chrom et Iñigo, je le posterai ici à l'occasion

Chose promise chose due :

Chrom x Íñigo

Soutien C

Í: Père, j'étais si proche du rendez-vous avec cette fille magnifique... Si proche ! Pourquoi être venu me chercher si soudainement ?!
C: Nous devons nous préparer, Íñigo. Tout le monde est prêt à partir à la bataille. Si tu as perdu conscience de l'heure, tu ne peux t'en prendre qu'à toi-même
Í: Oh... Oups... Très bien, il est temps d'écraser l'ennemi et de trouver une fille pour me récompenser !
C: ...
Í: Vous me dévisagez, père. Quelque chose ne va pas ?
C: Non. Je me demandais seulement si tu étais aussi comme ça dans le futur.
Í: Cela dépend de ce que vous voulez dire par « comme ça ».
C: Pour quelqu'un qui vient d'un futur apocalyptique, tu es bien insouciant. Il n'y a pas grand-chose qui t'intéresse, hormis tes conquêtes féminines... Lucina est si sérieuse et investie dans sa quête... Et toi tu n'as pas de but.
Í: Je n'ai pas de but ?! Père, sachez-le, je suis extrêmement investi dans ma quête !
C: Vraiment ?
Í: Oui ! Je ne m'arrêterai que quand toutes les filles du royaume connaîtront mon nom !
C: Ton but est d'être populaire avec les filles ? Tu as remonté le temps pour être populaire auprès des filles ?!
Í: Auprès de TOUTES les femmes, s'il vous plaît. Oui, je suis génial, je sais. Mais arrêtez, père, vous me faites rougir...
C: Je... Je ne sais vraiment pas quoi dire.
Í: Pourtant, ça ne vous dérangeait pas quand mère rougissait !
C: Non, ce n'est pas ce que... Ah... Par où commencer... ? Oh, et puis te parler me fatigue. Je pars devant.
Í: ... Pas grand chose m'intéresse, hein ? Il veut dire que j'ai rien dans la tête, oui ! Il est peut-être bonne pâte avec les autres, mais avec moi il ne se retient pas !

Soutien B

Í: Ouille ! Ca va mal. Je ne peux pas rentrer au camp dans cet état...
C: Quelque chose ne va pas, Íñigo ? Tout le monde est déjà rentré.
Í: Père... Euh... J'ai vu une jolie villageoise à la lisière du champ de bataille !
C: Tu mens encore plus mal que ta mère. Tu es blessé à la jambe, ça se voit.
Í: Tout va bi... GAAAAH ! Aïe ! Aïe, aïe, aïe ! Lâchez-moi ! Pas touche ! Au secours !
C: C'est une sérieuse blessure, Íñigo ! Pourquoi n'en as-tu pas parlé avant ?
Í: Et ruiner ainsi ma réputation ? Les filles veulent voir « Íñigo l'invincible ».
C: Assez, Íñigo !
Í: Père ?
C: Tu peux à peine marcher, et tu parles encore des filles ?! Sois un peu sérieux ! Vraiment, pourquoi es-tu revenu ? Lucina se bat corps et âme, mais toi... Je suis très déçu, Íñigo. Tu n'as pas idée de ce que la guerre signifie.
Í: ... Vous ne savez rien ! Vous ne savez rien du tout, père !
C: Quoi ?
Í: Pensez-vous que je serais revenu si c'était uniquement pour courtiser les filles ? Pour me battre tous les jours en ne sachant pas si je serai encore vivant le jour suivant ?
C: Íñigo...
Í: Vous pensez certainement que je suis un séducteur écervelé et un idiot. Pourtant beaucoup de gens dépendaient de moi dans le futur. Tous les jours, j'ai risqué ma vie en affrontant les morts-vivants. Tout le monde comptait sur moi, et je n'avais pas le choix, il fallait être invincible. Je ne pouvais pas montrer la moindre faiblesse. Pas au milieu de tous ces gens qui se battaient pour survivre... Et alors même que vous étiez morts, mère et toi, je devais faire bonne figure. J'ai dû me battre tous les jours de ma triste vie en gardant le sourire !
C: ...
Í: Vous disiez que je suis insouciant ? Je suis désolé de vous informer que ce n'est pas le cas. Je souris et je plaisante pour ne pas montrer de faiblesse. Même si cela vous offense, je pense que vous allez devoir faire avec.
C: Íñigo...
Í: Ceci dit, merci pour votre inquiétude. Je vais faire soigner ma jambe, à présent. (Íñigo part)
C: ... Je... Je n'avais pas idée...

Soutien A

C: Íñigo ? Je voudrais te parler.
Í: Père ! Regardez ! Ma jambe est guérie !
C: Très bien, mon fils.
Í: Merci de m'avoir fait votre remarque. Et désolé de vous avoir inquiété.
C: Non, c'est moi qui suis désolé pour ce que j'ai dit. C'était totalement injuste. Tu luttes en donnant le meilleur de toi-même. Je n'ai aucun droit de te critiquer.
Í: Est-ce que ça vous préoccupe encore ? C'est de l'histoire ancienne. Et puis j'étais dans le tort.
C: Mais...
Í: Sérieusement, ça va ! Pas de souci !
C: Hein ?
Í: Vous êtes toujours si lugubre. Cela me déprime ! On sourit, allez ! Guili-guili !
C: Ha ha ha ! Arrête ça ! Ca chatouille !
Í: Ha ha ! Voilà qui est mieux ! Je n'ai pas fait tout ce chemin pour vous voir triste !
C: C'était ton but ? Me rendre heureux ?
Í: Oui, vous, moi et tout le monde, j'imagine. Quoi qu'il en soit, je peux vous le dire maintenant...
C: Tu peux me dire ce que tu veux.
Í: Vous dites ça maintenant, mais je ne veux pas entendre de plaintes après coup ! Je suis tout sourire à l'extérieur, mais au fond je suis sensible. Et pessimiste. Oh, j'ai aussi... la larme facile. Et si une fille refuse mes avances, je suis bouleversé pour des jours et des jours...
C: Ha ha ha ! Arrête de plaisanter, je souris déjà, tu sais.
Í: Mais... Je ne plaisantais pas... A propos des filles, je veux dire.
C: Les filles ça va, tant que tu ne vis pas que pour ça. Tu es très fort, Íñigo, je suis très fier de toi.
Í: Père... Je savais que vous m'aimiez... Merci !!!
C: Íñigo, tu... m'étouffes ! Je ne peux plus... respirer !
Í: C'est de votre faute ! Pourquoi ne pas avoir dit ça plus tôt ?! Mais sachez que la même chose est valable pour vous. Que je sois damné si je vous perds deux fois.
C: Et moi donc, si je venais à perdre un fils si merveilleux !

Íñigo, ou comment remettre son père à sa place

Merci à tous ceux qui en postent, c'est sympa de penser aux autres.

Avatar (M) x Cordelia

C
A : Aie, cette coupure me fait mal ! Et j’ai utilisé mon dernier pot d’onguent…Hmm…Que faire ?
C : Tout va bien, j’ai réapprovisionné ta réserve de médicaments ce matin.
A : Vraiment ? Ah, c’est parfait, merci. Aucun détail ne t’échappe, on dirait.
C : J’aime être au courant de ce qui se passe. Je veille à approvisionner tout le monde, je sais donc qui a besoin de quoi.
A : Tu gardes un œil sur le matériel de chacun de nous ? Tu calcules tout mentalement ?!
C : Bien sûr. Imagine e chaos si toutes nos réserves s’épuisaient en même temps.
A : Il n’est guère surprenant que tout le monde te prenne pour un génie…
C : Ne dis pas ça !
A : Je suis désolé. Je ne voulais pas te blesser.
C : Non, bien sûr que non…Excuse-moi. Mes supérieures m’appelaient comme ça quand j’ai rejoint les chevaliers pégases. Ce n’était pas toujours facile… On me surnommait « le petit génie »…Tout le monde se moquait de moi.
A : Oh…
C : Elles se gaussaient de mon apparence comme de ma technique au javelot !
A : J’étais loin de me douter qu’il existait des chevaliers pégases aussi cruels ! Mais je t’assure avoir employé « génie » comme un compliment.
C : Je le sais bien. Je suis trop susceptible, voilà tout.
A : Tu sais, je suis là si tu as besoin d’en discuter…
C : Eh bien, puisque tu le proposes…Donne-moi ton avis sur ce javelot. Est-ce qu’il te semble équilibré ?
A : Euh, je voulais dire… Bon, peu importe. Fais-moi voir ce javelot

B
C : Daraen ! Regarde, J’ai fabriqué un nouveau javelot en tenant compte de tes conseils !
A : Tu en as fabriqué un, toute seul ?
C : Eh bien…oui.
A : Tu l’as forgé ?! Tu ne l’as pas assemblé à partir de pièces déjà construites ?
C : Non, non, j’ai bien coupé un jeune arbre, travaillé le manche, forgé la pointe en acier. Evidemment, j’aurais pu attendre que deux javelots se marient et fassent un petit… Plus sérieusement, tu vois le motif sur le manche ? C’est moi qui l’ai créé ! Alors, qu’est-ce que tu en penses ?
A : Je ne m’attendais pas à ce que tu conçoives un javelot de bout en bout ! Tu es vraiment un génie !
C : Un…quoi pardon ?
A : Hem…Désolé, j’ai oublié à quel point ce mot t’irritait…Oubli » ce que j’ai dit…Quoi qu’il en soit, je suis heureux de m’être rendu utile. S’il y a autre chose que je puisse faire pour toi, dis-le-moi…
C : Tu es bien aimable Daraen ! Que dirais-tu si…Enfin, non…Il vaut mieux éviter ça. On risque de mal interpréter la chose…
A : Mal interpréter quoi ?
C : Si tu te montres attentionné, on va finir par croire que nous sommes…amis.
A : Amis ?! Je croyais que tu allais dire autre choses….Mais est-ce aussi grave que ça… ? Ne sommes-nous pas déjà amis ?
C : Vraiment ? Tu es sérieux ?
A : Je crois bien…Tu n’es pas d’accord ?
C : Désolée…J’ai tellement pris l’habitude de ne pas avoir d’amis… *soupir* J’étais la plus jeune recrue des chevaliers pégases. Toutes les autres étaient arrivés bien avant moi…Je n’ai jamais pu considérer l’une d’entre elles comme une amie…
A : C’est bien triste…
C : Mais comme je te le disais, je m’y suis habituée ! Et puis, j’avais mon pégase. Même si nos discussions ressemblaient à des monologues…
A : J’imagine…

A
C : Daraen ! Tu sais quoi ? J’ai montré mon nouveau javelot à tout le monde dans le camp. Ils pensent tous qu’il est magnifique : Merci encore pour ton aide.
A : Je t’en prie ! C’est quand même toi qui es devenue forgeron du jour au lendemain ! Je suis malgré tout heureux d’avoir pu me rendre utile. Les autres chevaliers pégases ne riraient plus de toi, à présent !
C : Ha ha ! Mes sœurs d’armes ont sûrement toutes un air penaud, là-haut dans le ciel !
A : Euh, là-haut dans le ciel … ?
C : Oui, au paradis des chevaliers pégases, si tu préfères… Tu…Tu es au courant, n’est-ce pas ? Elles ont donné leur vie pour me permettre de fuir et de rejoindre Chrom.
A : Chrom m’avait brièvement raconté cette histoire, mais…Tu en parlais de façon si détachée…J’ai cru que peut-être…Je regrette…Je viens seulement de tout comprendre…
C : Ne t’en fais pas. J’ai dû mal m’exprimer et tu as cru qu’elles étaient encore vivantes.
A : Alors, en dépit de toutes leurs moqueries, elles se sont sacrifiées pour toi ?
C : J’étais aussi surprise que toi ! Elles étaient convaincues que je représentais l’avenir. Les insultes et les quolibets n’étaient qu’une forme de bizutage. Snif…Mon seul regret…est de ne pas avoir eu plus de temps pour les connaître. Ce n’est qu’au dernier moment que j’ai su qu’elles tenaient à moi !*sanglots*
A : Cordelia…
C : Snif…Mais assez de larmoiements. Je ne veux pas éprouver ta patience. Enfin, ça m’a fait du bien de te dire ce que j’avais sur le cœur !
A : Je comprends maintenant pourquoi tu n’aimes pas qu’on t’appelle « génie ».
C : Vraiment ?
A : Je me rappelle de ta colère lorsque j’avais prononcé ce mot. Je pensais que tu le prenais pour du sarcasme, mais c’était tout le contraire. Tu as compris que tes sœurs d’armes le pensaient vraiment, d’où leur sacrifice.
C : Tu ne manques pas de perspicacité.
A : Ce n’est pas de la perspicacité, juste la complicité qui d’établit entre deux amis. Et nous sommes des amis proches désormais ! Tu peux compter sur moi.
C : Snif…Oh, Daraen ! Merci !

S
A: Cordelia, qu’est-ce que tu fais ?
C ; Je veux voir jusqu’ou je suis capable de lancer le javelot que j’ai fabriqué !
A : Mais nous sommes au-dessus d’une falaise. Tu risque de la perdre à jamais !
C : Je le sais bien. Mais j’en ai assez de le voir et de me rappeler mes sœurs d’armes…Je ne serai jamais le chevalier dont elles rêvaient si je ne me libère pas du passé.
A : Tu as ans doute raison.
C : Alors, allons-y. Un, deux et trois !
A : Quel lancer ! Tu as atteint une distance incroyable ! Tu es vraiment un gé...Hmm…Tu es vraiment talentueuse.
C : Ne t’en fais pas, cela ne me contrarie plus d’entendre ce mot. Et je ne fondrai plus en larmes sur ton épaule !
A : Hé, hé … c’est vrai. J’avais oublié cet épisode…
C : Daraen, tues tout rouge ! Tu ne serais pas en train de tomber amoureux ?!
A : Eh bien, pour être parfaitement honnête…
C : Ce n’était qu’une plaisanterie.
A : Je sais mais…hum…tu as raison.
C : Tu ne vas pas t’y mettre toi aussi, Daraen !
A : Mais je ne plaisante pas ! Et j’ai besoin de savoir si c’est réciproque ! Et pour te le prouver…
C : Oh, un anneau.
A : Est-ce que tu veux m’épouser, Coedelia ?
C : Daraen…Je…Oui ! J’accepte de tout cœur !
A : Vraiment ?! C’est magnifique ! Oh, Cordelia, tu me rends si heureux !
C : Daraen, C’est toi qui me rends heureuse !
Merci, je pensais que rien ne pourrait plus jamais réchauffer mon cœur
J’aimerai mon mari plus que tout…que tous… Jusqu’à la fin de mes jours.

Encore un petit up.