Assassin's Creed III

Introduction : (présentation du personnage ’’John Walker‘’)

Une nuit sombre, éclairé par la lueur de la lune, et les quelques lampes dans les rues essayant de se distinguer les unes des autres. Une aire de paix régnait dans les rues de paris. C’était presque minuit, Le nouvel an allait naître. John, Marc, et Damien, Jeunes recrues, étaient envoyé en mission d’assassinat de l’ambassadeur d’Allemagne. Ils devaient Inspecter les lieux avant d’agir. Chaque Année, les gardes sortaient dans les rues de paris pour se mettre en place avant le discours. Cette nuit là, l’ambassadeur Adolf était en ville.

« John, reste sur les toits, Damien viens avec moi… »

John sortit sa fusil, pointé sur les deux gardes devant la porte. Damien et Marc, rejoignirent les portiers, essayant de les intimidés.

« _Toi là-bas, le garde, avec cette tenue excentrique ! Tu n’as même pas la posture d’un homme (rire)…
_Tais toi, Marc tu vas les provoquer ! » Souffla Damien à son confrère
La garde s’avança de deux pas, John se mit en positions. Le garde menaça Marc de mort s’il ne se dépêchait pas de vider les lieux. Un silence dura deux seconde quand Marc leva le bras. John compris que c’était le moment d’agir. Il tira une balle en direction du front de sa cible, Sauta de toi en direction de la porte. Marc, avec sa dague, démembra l’autre portier.

« On avait dis en silence, en silence !... » Murmura Damien
A l’intérieur, Marc ordonna à John, de venir avec lui.

« Et moi alors ? » S’interrogea Damien
« toi tu monte la garde » Répondit Marc
Les deux recrues se retrouvèrent dans un long corridor, et des escaliers menant au premier étage. John sortit ses pistolets, tout en gardant son sang-froid. Une gigantesque porte se dressait devant eux.

« C’est là, J’en suis persuadé »

La porte était gardait par deux hommes, L’un munit d’une fusille et de pistolet.

« On n’a pas le choix, On doit les tuer
_ Non, Attend, j’ai une meilleure idée. Si je lance un objet à environ 4 mètre de leur position, on pourra les attirer vers lui, et on pourra, à ce moments, agir » Explique John à Marc

Walker prit une balle de son pistolet et la lança en direction des escaliers. Le plan réussit, Il ne leur restait plus qu’a dérober la vie de leur cible. La porte mi-ouverte, une voix masculine se fit entendre, une autre voix fit son apparition, mais le plus étrange, c’est que ces deux mystérieuse voix parlaient de l’arriver des assassins à la maison d’Adolf. Les assassins se regardèrent d’un air d’étonnement, de surprise, et de peur. Toutes ces émotions noyaient John. Soudain, on entendit un rire moqueur, et un homme fit son apparition.
« Vous croyez, novices, que je n’étais pas au courant de votre arrivée ? Croyez-vous que l’ambassadeur d’Allemagne ? Gardes, tuez-les ! »

Un garde s’avança confiant. Un autre le suivit venant par la droite, et autre aussi le suivit. John se servant de sa hache, tua le premier. L’autre garde se précipita vers Walker en lui assenant une attaque au torse. La recrue esquiva, pris par sa main droite son autre pistolet, et le pointa vers la tête de son adversaire. Marc s’occupait du plus robuste, la Brute. Ce monstre équipé d’une énorme hache, était pour le moment le plus pire. Marc, se contentait d’esquiver les attaques fatales du lion, tout en essayant de trouver une faille dans son armure.

« John, donne-moi ton pistolet ! »
John s’exécuta sur le champ. Marc était maintenant en possession de l’arme idéale. L’assassin tira deux balles en direction du torse de la Brute qui affaiblit ce dernier. La recrue prenait de l’ampleur au combat. Il s’avança deux pas vers son adversaire et lui planta une balle à la tête.

« John, trouvons l’ambassadeur ! »

Ils se dirigèrent vers le couloir d’à droite et là, ils trouvèrent la proie

« Tu ne nous échapperas pas cette fois ! » s’écria Marc
A peine eut-il terminé sa phrase, que Walker pris la vie de sa cible.
Le contrat exécuté, il devait retourner en Amérique

PI : C’est une introduction pour aider à mieux comprendre les caractères des trois principaux personnages (pour le moment)

Heu c'est en quel année? et ta cible c'est Adolf? donc je suppose Hitler nein? sinon j'attends de voir la suite pour critiquer ^^

le titre me rapelle une autre fic qui porte le même nom (elle étais super drôle je la retrouve plus )

J'aime bien

Pour vous eclaircir un peu

Ca ce passe pendant de 19eme siecle

c'est pas adolf hitler, parce-qu'Adolf Hitler n'etait pas un ambassadeur --'

Premier Chapitre cette aprem ;)

Séquence 1 : Complot

Des semaines après leur premier assassinat, les trois assassins sont de retour. Dans une autre nuit obscure, naviguaient les acolytes sans direction vers leur patrie. Désorientés, désespérés, Ils se crurent perdus dans cette forêt de vagues.

« Marc, viens là ! Regarde ! Articula John, Là-bas, un phare »
De loin, Un point blanc blanc clignotant dans l’obscurité ; Un espoir dans le désespoir. La mère, cette traitresse, Déchainait ces guerrières, le bateau sans défenses faisait une proie de choix.

« Attention ! » S’écria Damien
Et dans un clin d’œil, le navire disparut.

29 janvier 1835 : Retour chez soi.

John réveillé, se trouva au dortoir. Un sourire épuisé se dessina sur sa figure mouillée. Son mentor, Carter, pénétra dans le dortoir. L’assassin se leva avec difficulté intense pour saluer son maître.

« _Mes salutations mentor
_Monsieur …
_On a exe…(souffrance)…le contrat est un succès.
_On m’a informé…et vous sentez vous capable pour un entrainement ?
_(Silence)…
_Je comprends, repose toi, demain j’ai un contrat pour toi…et avant que j’oublis, Tes confrères et toi êtes promu au rang de Vétéran.
_C’est un honneur… »

30 Janvier 1835 : Début

« John, John, Réveille-toi ! Réveille-toi !
_ Qu’est ce qui ce passe ?

_Aujourd’hui on organise une cérémonie…on a été promu au rang de Vétéran.
_D’accord, File…je te suis »
L’initié se frotta les yeux gonflés, se gratta sa lourde tête et se leva. Il posa son pied gauche, suivit par son pied droit, sortit ses bottes du placard, et pris sa tenue. Le naufragé, encor sous l’effet de l’accident, marchait à pas d’escargot. Il regarda à gauche, puis à droite, aucun de ses confrères n’était là pour l’aider. On entendait, depuis le dortoir, les autres assassins qui parlaient des exploits de John et les deux autres assassins. On entendait « John à ceci » « Marc fit cela »…Arrivé prés de la porte de sortie, il prit un petit repos avant de continuer. Il posa son épaule sur la porte, les deux pieds, tremblantes, l’une sur l’autre, puis, après un instant, repris vers sa destination.
« Il est là…John, viens vite !»
L’assassin sourit, évitant de montrer sa faiblesse. Il s’avançait, au milieu des tambours, en levant la main vers le ciel en signe de victoire. Arrivé sur scène le mentor pris la parole.
« John, Marc, et Damien, trois vrai assassins, ont accomplit une des plus dangereuses missions…Aujourd’hui est un jour joyeux mes frères, alors profitez-en !
_John, Marc, Damien retrouvez moi au bureau » Ajouta le mentor
Les Vétérans, après un petit instant, rejoignirent leur maître. Le bureau était énorme, L’espace d’un dortoir d’assassins, on pouvait facilement distinguer des dessins étranges, d’une puissance, en forme de pomme. Le lieu sentait un parfum de Jasmine.
« Vétérans… je vous ai préparé des bureaux dans le premier étage…Passons au sérieux. Vous avez l’ordre de défendre le président Andrew Jackson. On a intercepté un messager américain portant une lettre qui parle d’un complot contre notre président. Voilà le plan, deux hommes sont en route vers la maison blanche, ils seront disposer sur les toits, John, toi tu vas t’infiltrer et trouver un moyen de pénétrer dans la chambre du président pour le protéger au cas où il est en danger. Marc et Damien, Installez vous dans la chambre bleu, et soyez vigilant…que la chance soit avec vous. »
Les trois assassins, prirent le chemin vers la maison blanche. Aucun d’eux ne prononça un mot, la sentiments d’échouer dans ce contrat leur glaçait le sang. A mi-chemin, Ils se séparèrent, Damien et Marc prirent le chemin par les toits. Marc, restait concentrer, et observait toute personne suspecte. Arrivé à destination, John, monta sur un toit essayant de trouver un moyen d’accéder à la chambre : Cette dernier, se situait dans le première étage, du coté Est, mais pas moyen d’y entrer sans combat. Marc et Damien firent appelle aux prostituer pour attirer les gardes, et laisser le chemin libre vers le rez-de-chaussée. Damien, s’avance le premier, tandis que Marc posait des bombes.
« Marc, approche, On doit monter ces escaliers pour accéder au premier étage, de la, je pourrai avoir une bonne perspective…
_Apparemment Il n’y personne, Alors vit, Avance. »
John, de sa part, escalada le mur est et arriva au toit, deux gardes l’attendaient. Il se faufilait vers une trappe, quand soudain.
« Hé, toi là-bas, qu’est ce que tu fais ici descend. »
John, figé, se leva doucement les mains en l’air. Le garde appela son acolyte pour l’arreter. Les deux gardes s’avançaient imprudemment, John, fit deux pas en arrière.
« Ne bouge… »
Walker aperçu les deux autres assassins qui étaient postés sur les toits. Le Vétéran, les bras levés, fis signe à ces derniers, qui assassinèrent les deux gardes. Marc et Damien arrivèrent à la chambre bleu, la salle était gigantesque, un lieu idéal pour caché sans être repéré. Les deux assassins se postèrent.
Le moment venu, tout le monde était en place. Il faisait nuit, les rues étaient inoccupés. Deux hommes, environ 1m80, marchaient à pas lourd, tout en regardant aux alentours. Les assassins de l’Ordre, sortirent leurs armes. Les hommes approchaient de la résidence du président. Les gardes devant la porte principale leur cédèrent la place. Deux autres firent leur apparition, mais ces derniers étaient sur les toits. Un silence de mort régnait. Marc, et Damien, visaient les bombes.
« À trois, on tire et on change de place compris…
_ Compris
_Un…deux…Et trois… »
Les bombes explosèrent, et les assassins se précipitèrent vers la porte principale. Le président se réveilla out en cherchant des explications. John apparut, et essayait de faire comprendre le complot qui se déroulait. Le combat éclatât. Les deux camps livraient une guerre sans pitié. Trois mercenaires, s’avancèrent vers la porte, Marc tira une balle du pistolet, en direction du premier. Damien, lança une hache vers le deuxième mercenaire. Les deux mercenaires restant se jetèrent agressivement vers les assassins. Marc se contentait d’esquiver et parer les attaques barbares de sont ennemis. Damien combattait à mains nus : Il balança des attaques à la figure de son adversaire, suivit par des coups de pieds. L’homme affaiblit, Damien ramassa sa hache du corps de sa première victime et la planta dans la cage thoracique de son ennemi. Marc, utilisant la stratégie de l’esquive, affaiblit son adversaire. Les deux guerriers commençaient à dessiner des ronds, tout en se regardant dans les yeux. Les deux adversaires passaient leurs mains de leurs pistolets, quand tout à coup, L’adversaire tira une balle qui explosa le genou de Marc. Damien intervins en assenant une attaque fatale vers l’adversaire de Marc. Les deux assassins postés sur les toits tuèrent les deux snipers sur les toits. Maintenant que toute menace est éradiquée, Damien laissa Marc en lieu sûre, et rejoignit John.
« John, nous devons nous en allez, Les gardes vont venir.
_ Deux secondes. Mr le président caché vous jusqu’à la venu des gardes. »
En rejoignant Marc, John fut surpris par le nombre d’ennemis tués.
« Qu’est-il arrivé à Marc.
_ On a pas le temps filons »

Personne n'est interressé ? hhh

Des fois on dirait que tu confonds des mots, c'est assez étrange. Par exemple :

"Marc, avec sa dague, démembra l'autre portier."
Démembrer ? Il est pas un peu psycopathe sur les bords ?

waldon69200 Celle-ci ?
https://m.jeuxvideo.com/forums/1-22575-183661-1-0-1-0-fic-les-trois-assassins.htm

Reptilis C de l'hyperbole (Cherche google si tu connais pas)

Bien sûr que si je connais, mes études sont basé sur ça justement.

Mais évite d'utiliser une hyperbole pour les verbes, cette figure de style n'est pas vraiment faite pour ça. Quand on choisit un verbe, il faut choisir le bon, car c'est ce qui va indiquer quel genre d'action le personnage exécute.

Attention aux quelques fautes, mais qui sont plutôt rare heureusement. Et lorsque tu veux introduire une réplique, utilise "-" au lieu de "_". Un dernier conseil : Essaye d'aérer tes chapitres en créant des paragraphes, quand on voit un gros bloc c'est pas très encourageant pour le lecteur.
Voilà pour les défauts que j'ai trouvé, sinon ta fic a l'air pas mal du tout.

Merci Reptilis
Le probleme avec les paragraphes c'est à cause de MSW :p

Nom/Prenom : John Walker

Age : 31 ans

Sexe : Mâle

personnalité : Curieux, Serieux, Planificateur, Alcoolique, Amical, Aimable, Courtois, Galant.

Tenue : http://fc07.deviantart.net/fs70/i/2010/258/4/8/assassins_creed_1835_by_odingraphics-d2yreoy.jpg

Chapitre 2 : Voyage dans le passé

[New York : 14 décembre 1825]

« Halte-là, ou sinon je tire ! »

Il resta calme, immobile, les mains prés de la cuisse, Le cœur qui bat à toute vitesse, le souffle coupé. Il leva les deux mains, en signe de défaite. Le garde s’avança prudemment vers le voleur, le pistolet dans la main.

« Pose ton pistolet à terre, et mets toi à genou… »

Le voleur ne s’exécuta pas.

«- Je ne le repaitrai plus, à genoux !
- Tu pense que je vais me mettre à genou, tu crois que je vais te laisser m’emprisonner ! »

Le voleur se tourna vers le garde, sortit deux pistolets mais ne tira pas.

« -Alors, on change de rôle, A GENOUX !

-…»

Le garde se mit à genoux, regardant le voleur droit dans les yeux, quand il ajouta

« Comment t’appelles-tu ?

-…

-Réponds moi…comment t’appelles-tu ?

-John, John Walker, et qu’est ce que t’en a à faire ?

-Je m’appelle Marc…Tu as déjà pensé à te trouver un travaille honnête, John ?

-… »

La garde continuait à calmer John, quand soudain, Walker perdit contrôle de lui et tira une balle à l’épaule de Marc

« Je…Je suis désolé !

-File…File avant que les gardes ne viennes ! (Souffrance) »

Marc ne courra pas, il marchait. Il était noyé dans une profonde méditation, et en même temps regret. Il avait peut-être raison d’avoir agis de la sorte, mais ce n’est guère ce qu’il l’occupé. Va-t-il continué à voler, à tuer ? Va-t-il continuer à assassiner pour 2, 3 pièces d’or ? De retour à sa Cabane, il était épuisé, Déprimé. Il s’assit dans son bureau. Il posa la main droite posa sa tête sur celle-ci et dormit.

[Boston : 15 Décembre 1825]

Un froid mordant pénétra les habits usés de John. Il se réveilla. Il se frotta les yeux rouges, se lécha ses lèvres sèches et se leva du bureau, Fit deux pas vers son lit, et s’assis. Les paroles du garde le hantaient toujours. Il fit un geste instinctif de la tête et se leva en direction de la porte. Errant dans les rues de boston il entendit…

« John…John, c’est moi, Marc… »

Walker s’arrêta net. Il bougea le pied gauche, puis tourna son torse de 90°.

« Marc ? Je ne connais pas de Marc

-Marc, Le garde que t’as faillit tuer

-…Qu’est ce que tu cherche ? Que me voulez vous ?

-Je veux te parler, j’ai quelque chose à te proposer »

Marc se montra, il marchait à pas lourds vers Walker. Ce dernier restait prudent.

« -Tu vas bien ?

-… »

John s’éternisait de répondre. Comment un homme qu’il allait tuer, est venu s’adresser à lui ? Une vague de questions noyait John.

« -Je suis là pour te parler d’une importante nouvelle

-…Hm ?

-J’ai remarqué que tu maîtrise les armes à distances, et que tu as le potentiels et les compétences d’un bon voleur.

-Et ?

-Pourquoi ne pas mettre tes compétences unique au service des assassins, au service d’une cause juste, qui défend la liberté des Hommes ?

-T’es un garde, pas un assassin

-Je suis un assassin. L’autre jour j’étais en mission d’infiltrer les gardes pour te rencontrer

-Me rencontrer ? Pourquoi ?

-Notre mentor te surveillait pendant longtemps…

-Assez parler, et que dois-je faire pour vous rejoindre ? »

Un sourire de satisfaction se dessina sur la figure de Marc

« -Nous avons justement une mission en attente pour paris, un assassinat d’un certain Adolf, un Ambassadeur allemand au service des templiers, et c’est l’occasion rêver de prouver tes talents …»

(Je vous laisse deviner la suite )

Bon chapitre a part que John accepte trop vite de les rejoindre c'est quand même bizard et puis l'ordre des Assassin est scencer etre sercret alors comment peut-il le connaitre?

Si t'as bien suivit ce chapitre, on peut remarquer que john est desesperé, il en a marre de voler et tuer, il veut juste se trouver un But.
L'ordre des assassins est connu :p

ok mais lordre des Assassins connu pas logique enfin bref

Très bon chapitre nordique, tu as un bon niveau!

bon côtés une bonne narration.
- des personnages attachant.
-c'est pas un sénario bidon!

mauvais côtés quelques fautes.
-dans ton dernier chap, tu t'es enmélé les pinceau entre marc et john.

Voili voila, c'est tout!

Mister Je voulais les faire entrer tout les deux dans ce chapitre :p

Mais merci en tout cas Prochain Chapitre SOON