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Assassin's Creed III

Sujet : [Fic] Les Trois Assassins.
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Nordique-212
Niveau 5
13 mai 2012 à 12:56:19

Altair :d) à assassin's creed revelation lors du recrutement, on remarque que les personnage connaissent deja l'existence de l'ordre

Nordique-212
Niveau 5
13 mai 2012 à 13:15:41

DSL DU TRIPLE POSTE

https://image.noelshack.com/fichiers/2012/19/1336907649-Sanstitre.jpeg

Enplacement du repaire principale...

Nordique-212
Niveau 5
13 mai 2012 à 14:36:19

Chapitre 3 : La carte au trésor.

Partie 1

[10 Février 1835] :

Un homme entra, fatigué, épuisé, tomba sur les genoux, le souffle coupé, une rivière de salive à la bouche.

« Je veux voir le Mentor ! Appelez votre mentor maintenant ! »
Les portiers se jetèrent sur lui. Il se débattait, criait « Lâchez-moi ». Enfin le mentor apparut.

« Que ce passe-t-il ici ? Lâchez-le… (Se gratta sa barbe) Que veux-tu étranger ?

-Je cherche rédemption, je cherche de l’aide… »
Damien fit son apparition

« Il serait pas un espion, comment connait-il l’emplacement de notre repaire ?

-Damien, laisse le parler. » Ajouta le mentor

L’homme s’arrêta, il se leva, les mains dans les cheveux d’un geste de regret.

« Mentor, je veux vous servir, je veux combattre pour votre cause !

-…Tu es un amérindien, comment parle-tu notre langue ?

-Je…Mon père était un anglais, ma mère une amérindienne…

-Comment t’as su l’emplacement de notre repaire ?

-J’ai suivit un assassin jusque là, celui qui est prés de toi…Je maîtrise l’archerie, les armes à distances, et combat à mains nus...

-(en marchant en rond) Notre ordre ne consiste pas à tuer des gens, à maîtriser l’arc, la hache ou les pistolets pour tuer, mais on est là pour sauver l’humanité, garder le libre arbitre de l’humanité…être un assassin, c’est l’être pour tout la vie…pour prouver ta force, et ton courage, tu dois passer une épreuve. .. »

John, sortant de l’infirmerie articula

« Je le prends…je m’occupe de lui

-John c’est une grande responsabilité

-Je m’en occupe, il a une force d’esprit remarquable…

-Suis-moi… »

Walker suivit son mentor jusqu’au bureau.

« Tu vas devoir voyager en Italie, à Venise, tu dois rencontrer Alberto, le chef des assassins d’Italie, Il a besoin de quelqu’un de confiance, alors je t’ai choisis. J’ai loué un Bateau pour ton voyage, il t’attend au port…Prends cette Arc, il le sera utile si tu veux agir en discrétion.

-Mentor, c’est un honneur… »

Sortant du bureau le mentor prononça

« Prends avec toi l’amérindien, il te sera utile…et souviens toi, La Chaya waki moutlak, bali kouloi moumkine…(Rien n'est vrai tout est permis en arabe) »

L’assassin gisait silencieux, ne compris pas la raison de dire ces mots.

L’assassin tourna à gauche, continua à marche dans le long couloir pour se retrouver devant la porte. Il regarda des deux côtés essayant de trouver l’étranger. Il était dans le jardin, entrain de s’entrainer avec l’arc.

« Hé, toi, comment t’appelles-tu ?

-Carmine, et toi ?

-John, viens là, je dois te parler. »

Carmine, s’avança vers son interlocuteur.

« Tu dois venir avec moi en Italie, le mentor t’as choisit pour te tester, et voir si t’es digne de confiance avant d’être reconnu Assassin…Maintenant on t’appellera recrue…Avant que j’oublis, Va au dortoir, on a une tenue pour toi, et procure toi des munitions et rejoins-moi au port… »

La recrue s’exécuta sur le champ. John, à mi-chemin du port, il s’arrêta brusquement.

« Rien n’est vrai…(soupire) tout est permis, Murmura-t-il, Est-ce que le Mentor essayait de me mettre en alerte ? Mais de qui ? »

Et continua sa marche. Le port s’éloignait d’environ 100 mètres. Walker, étaient arrivé au quartier des marchands, et forgerons. Un forgeron l’appela soudainement.

« Un archer, hein ? Ou sinon Mercenaire, ton arc parait bien raffiné. Mais je pense qu’il te manque des munitions ?

-(Rire), tout en marchant vers le forgeron, montre moi les flèches

- Je connais cette arc, il appartenait à cette assassin, ce…Connor, oui un Amérindien, je l’ai déjà rencontré…il te faut ces flèches, j’en que 20, mais à bon prix

-…Combien ?

-5 $

-Je prends »

Suite, cette Aprem

Arrivé au port, la recrue apparut.

« On part quand ?

-Allez monte John ! »

Nordique-212
Niveau 5
13 mai 2012 à 14:36:51

[Suite cette Apreme]

Nordique-212
Niveau 5
13 mai 2012 à 16:23:52

Partie 2 : Premier station

[20 Fevrier 1835] :

De loin, des petites collines apparurent. Celles-ci se noyaient dans la brume. Peu à peu, les silhouettes se distinguaient de la brume. A 150m de la terre ferme, on aperçu un petite poigné de soldats qui se tenaient, devant des canons, prêt à tirer. L’équipage qui se constituait des deux assassins, et de trois hommes, levèrent un drapeau blanc. Les gardes revernirent d’un pas. Le bateau ralentissait de à mesure qu’il approchait du sable. Les assassins descendirent.

« Vous parlez notre langue ? (en parlant en anglais) » prononça John

Un des hommes de l’équipage, Hassan benchekroun, intervins.

« Attendez John, Je parle l’arabe, je suis de ce pays »

« Bonjours mon frères…Je suis Hassan !

-Ah oui, (rire) comment vas-tu ?

-en forme, grâce à dieu »

Les hommes continuèrent leur conversation.

« John, Carmine, Venez ! »

La recrue et son maître s’approchèrent. Hassan leur annonça qu’ils étaient arrivé au Maroc, qu’il allait y passé un jour de repos, et que l’homme avec le quel il parlait pouvais les hébergé chez les assassins du locaux. L’homme s’appelait David, un des générales militaire, travaillant pour les assassins.

« John, Carmine, prononça Hassan, ici c’est différents, l’ordre obéis à un autre système. Ils sont hospitaliers, mais il faut gagner leur confiance. Suivez David, il vous guidera, je vous suivrais. »

David essayait parlait l’anglais, il connaissait leur mentor.

« Bonjours frères, Je connais votre mentor, Loïc, On s’était rencontré pendant une mission en Italie, on devait rencontrer un certain…Alberno

-Alberto, intervins Carmine

- tous les prénoms italiens se ressemblent …

-Ici, c’est Rabat, l’une des plus grandes villes marocaine, est l’une des villes qui contient un plus grands nombre d’assassins. Venez, par là.

La ville, étaient juste fascinante, grandiose, les gens vêtu de vêtements traditionnels, faisaient un tableau artistique. Les maisons étaient décorées de mosaïques, de dessins islamiques. Les marchands de leur part vendaient des produits très attirant. Un parfum étrange régnait dans les quartiers.

« Allez y, entrez par-là… » Prononça David en ouvrant une trappe.

En entrant, Carmine et John, restèrent éblouit, fasciné, bouchée. Les lieux émanaient une aura protectrice. Les assassins se levèrent en signe de respect pour les deux invités

« Tarik, Jacob, venez saluer nos invités du nouveau monde…se sont les deux mentors de ce repaire » murmura David aux deux invités.

Les deux mentors s’empressèrent de les accueillir. Ils craignaient de ne pas satisfaire leur confrère de l’autre monde.

« Alors, comment allez ? Qui vous a mené ici ?

-On fut envoyer par notre mentor, Loïc, en missions vers l’Italie, et en s’es retrouver dans ce pays…

-qu’allez vous faire en Italie ?

-On doit rencontrer un certain Alberto… »
Les deux mentors se regardèrent dans les yeux et prononcèrent.

« -prenez garde des assassins de cet Alberto, je ne dis pas qu’ils vont vous trahir, mais prenez garde… » Articula Jacob d’un air sérieux

John se rappela les paroles de son maître, Rien est vrai tout est permis.

« Bon dites nous de quoi vous avez besoin frères, on a des armes, des munitions des lits, et des femmes pour les partager (Rire)

-(Rire) Non, Merci, On veut des munitions pour nos pistolets, et pour nos arcs…

-Et des bombes » Ajouta Carmine

« -Tu saisis les chances toi, Hein ? (Rire) »

Tarik se retira pour leur préparer les munitions. Tandis que Jacob continuait à se présenter.

[20 février 1835] : 21h 30

« Venez, Allons faire un tours en ville »

Les assassins sortirent par la porte principale à L’ouest de la ville.

« John, On aurait besoin de votre aide cette nuit, on dit que tu es un bon planificateur, et la semaine prochaine, nous envoyons trois recrues dans une mission assez délicate.

-Oui, Avec grand plaisir

-Voila la ville (en lui montrant une carte), là un espagnol nommé Paco Diaz, va arriver en ville par le port, et on a du mal à planifier une embuscade.

- Mène-moi au port »
Arrivé à destination, John se mi au milieu. Il se tournait, marchait de façon étrange. Et enfin il s’avança vers Tarik.

« Vous devez poster, quatre Archers, et deux assassins qui maitrise le fusil a l’est, au cas où sa se déroule mal. Assurez-vous que les gardes de l’espagnole ne sorte pas et surveille le navire. Là, échangez la parole avec votre cible et essayer de gagner sa confiance. A cette instant éloignez-la du port, et faites signes à vos assassins de tuer tout les gardes du navire. Quand tout ca sera accomplit, faite de lui ce que vous voulez.

-Mais, pourquoi n’avais-je pas pensé à ca…c’est très simple. »

En revenant vers le repaire, un sentiment de confiance, se ressentit chez les deux assassins.

Partie 3 : Dernière destination

[21 février 1835] :

Le lendemain matin, les assassins firent saluèrent leur frères et quittèrent les lieux en direction du port.

« A plus tard mes frères, prenez soin de vous. » Cria David aux assassins sur les navires.

Le périple, finit enfin, en arrivant à Venise. La ville du plus grand peintre Leonardo da Vinci, et de son plus grand ami Ezio auditore l’un des plus grand assassins. L’eau était sur le trône de la ville. Il dominait tout ses quartiers. Les assassins italiens les attendaient aux ports.

« C’est vous qu’on envoi ? Je suis Alberto Renato, 13eme Chef de la guilde des assassins en Italie.

-Carmine, et lui c’est John, Heureux de vous rencontrer.

-Allez venez là Suivez moi. »

Alberto Escalada une maison que se situait prés du port

« Je vous ai dis de me suivre non ? » dis Alberto d’un air moqueur

Les assassins escaladèrent le mur, et arrivèrent au toit. Un spectacle extraordinaire s’offrait à eux : une ville dynamique, pleine de vie, les cris des marchands qui s’entendaient à longue distance, des couples s’embrassaient.

« Venaient, ne tardons pas »

Les assassins continuèrent leur course jusqu’au repaire qui se situait au milieu de la ville. Alberto s’avança vers un statut, il mit sa main sur son œil, une trappe s’ouvrit.

« Vous n’avez pas ça chez vous (Rire), Suivez moi »
Les assassins pénétrèrent dans le repaire. Ce dernier était froid, vide, la mort se sentais dans les lieux. Alberto se dirigea vers son bureau et fit signe aux autres de les suivre.

« Voilà, ramenez ce document à votre mentor » Ordonna Alberto aux deux assassins

En sortant du repaire, deux assassins barrèrent la route aux à John, et Carmine.

« Vous pensez sortir sans payer la taxe ?

- On ne veut pas d’ennui laissez nous passer »

Un assassin Sortit sa lame en menaçant John. Carmine d’un clin d’œil se jeta sur l’agresseur avec une attaque au visage. L’autre balança une attaque au torse de l’amérindien. La recrue esquiva, sortit son arc, et tira une flèche sur son adversaire. A cet instant Alberto apparut, et calma les assassins.

« Jetez le corps dans la rivière, et qu’il soit Exemple à tout ceux qui ose agresser nos invités » S’écria Alberto

John, Resta silencieux, surpris par le geste de Carmine…
A leurs retour au repaire, John, raconta leur histoire son mentor, et assura que Carmine est une personne de confiance.

C_Toujours_Moi
Niveau 10
13 mai 2012 à 16:28:55

Mon hero aussi s'appelle John :)

Nordique-212
Niveau 5
13 mai 2012 à 19:38:25

Sur ta FIC ?

C_Toujours_Moi
Niveau 10
13 mai 2012 à 20:02:28

Oui

Nordique-212
Niveau 5
13 mai 2012 à 22:40:00

:up: :up: :up: :up: :up: :up: :up: :up: :up:

Des conseils, corrections ?

Nordique-212
Niveau 5
15 mai 2012 à 22:45:15

Prochain chapitre dans quelque jours :)

Nordique-212
Niveau 5
27 mai 2012 à 21:50:03

Chapitre 4 : Retour aux origines
[New York, Ordre des Assassins, 20 Décembre 1836]

Carmine, Fière de son exploit, se vantait parmi ses confrères. Maintenant, Déclarer Assassins officiellement, il s’empressa d’exécuté un contrat de haut niveau. Carmine se dirigea vers le tableau des contrats. Il y ‘ avait posté une mission qui l’a attiré :

"Un village amérindien, au Sud-ouest de notre pays, demande de l’aide des autorités, et pour l’instant aucune intervention n’est faite. Et c’est le moment idéal pour nous de gagner la confiance des habitants des lieux

L’assassin s’empressa de la prendre. Mais avant de s’exécuter, il devait prévenir son mentor. Ce dernier se tenait dans le jardin, seul. Entrain de méditer ? Carmine, Exciter interrompit le mentor.

« Mentor ! Mentor !

-Oui, Carmine…

-Je voudrais exécuter ce contrat, mais j’aurais besoin de l’aide de quelques assassins.

-…Nous avons deux nouveaux recrues, voit avec John aussi, ou ses deux autres camarades. N'oublis pas d'aller à mon bureau et prend l’arme que tu trouveras là-bas

-Mentor… »

Et l’assassin pris congé. Arrivé à destination, Carmine plongea dans un l’univers extraordinaire de Loïc. Le parfum de la bibliothèque le faisait rêver, le bureau émanait une aura protectrice. Le rêveur du interrompu par l’apparition d’une des nouvelles recrues de l’ordre.

« Carmine, On m’a informé que j’allais venir avec vous dans un contrat

-Oui…Oui…

-Je m’appelle Gustave Kozlowski, Je vais appeler l’autre… »

L’autre recrue était une fille, Une charmante fille. Des cheveux chatain, des yeux verts, Une bouche divinement dessiné, un nez finement posé, Une voix très douce.

« Bonjours, Je suis Maria…Maria Adamovitche, Je viens avec vous pour le prochain contrat. »

Carmine, d'un aire sûre, fit signe aux deux recrues de se retirer. Celui-là, repéra, un pistolet sur le bureau, il le prit et s’en alla.

Sortant du bureau, il se retrouva devant John, il saisit sa chance et lui proposa de venir avec lui.

« John… Je voudrais te demander une faveur.

-Oui parle

-Je suis en mission et je dois protéger un village amérindien au Sud Ouest.

-Oui, et qu’est ce que tu attends de moi ?

-J’aimerais bien que tu viennes avec moi

-Oui, Pour l’instant je n’ai pas de contrats à exécuter, D’accord retrouve moi demain prés du port »
Carmine, rassuré, fila vers les nouvelles recrues pour se présenter. John, de sa part, fut interpellé par le mentor. Walker arriva au jardin, Loïc était assis sur un banc.

« Mentor, Vous me cherchez ?

-Oui, Est-ce que Carmine t’as parlé de son contrats ?

-Oui

-et tu as accepté ?

-Oui Mentor

-…C’est une grande responsabilité cette fois, T’as deux autres recrues que tu dois entrainer et protéger, si tout ce passe très bien, vous deviez former une équipe d’élite tout les Quatre

-Et Marc, Et Damien ?

-…(Rire) Je parlais de vous, Toi, Marc, Damien et Carmine…J’ai envoyé Marc et Damien en mission en France, Ils doivent rencontrer Gustave Effel. Maintenant file, repose-toi.

-Mentor… »

[New York, Port, 20 Décembre 1836]

(Dans les yeux de Carmine)

« Je marchais dans le quartier des commerçants, Des cris, des marchants qui se vantes entre eux, Moi, restais concentrer, essayent de distinguer John parmi tout cette foule. »

John se tenait à la même place du port, On dirait qu’il Méditait, qu’il attendait quelqu’un ou quelque chose. Carmine Marchait vers Walker de façon à ne pas le déranger quand :

« Carmine, Tu es à temps, Suis moi nous devons prendre contacte de la guilde des voleurs et des Mercenaires

-Je te suis »

Ils prirent le chemin : Une ruelle très étroite, Une odeur de chien mort, des murs avec des dessins de psychopathe. Plus ils marchaient plus ils se sentaient en danger. Soudain, des craquements se s’entendirent, Les deux assassins, se tournèrent, rien n’était là quand brusquement, Une Silhouette se jeta sur Carmine. John sortit son arme pointé vers son ennemie, celui-là le va les bras en signe de paix.

« Que faites-vous là ?

-Nous cherchons à contacter la guilde des voleurs

-Pour ?

-Nous voulons de l’aide de sa part

-Et quel genre d’aide espérez-vous…ASSASSINS ?

-…Nous avons besoin de quelques acrobates, nous avons une
mission de haute importance

-Hm, Essayer de me suivre »

L’étranger escalada un mur, se jeta vers un autre mur en direction du toit. Les deux assassins, de leur part, tentèrent de le suivre. Arrivés, au toit, Ils virent l’homme. Ce dernier ouvrit une trappe et y pénétra, Walker et son acolyte le suivirent. Ils Arrivèrent dans une salle immense, avec de la fumé partout. On distinguait des murs mort, orné d’écriture sumérienne. Le sol, quant à lui étaient finement décoré, un travaille d’artiste.

« Assassins…que faites vous là ?

-Nous demandons votre aide…

-Pour ?

-Nous sommes dans une mission de haute-importance, et nous
aurons besoin d’acrobates, en revanche nous serons disponible pour vous aidez dans vos missions aussi

-Une bonne offre…Mais je dois m’assurer que vous n’allez jamais Trahir notre confiance !

-Les assassins ne trahissent jamais leurs associer

-On espère bien, Je vais envoyer avec vous cinq de mes hommes de bon, Archer, et acrobates…Et Evitez qu’ils ne meurent.

-Nous y veilleront. »

Les cinq hommes s’avancèrent vêtu d’une Chemise haute-qualité vert janissaire(Turc) , un panta-court orange avec des rayures en marron, des bottes noirs. Ils Saluèrent les deux assassins, et attendirent les ordres de ces derniers.

« On se voit à l’est de la ville, prés de notre repaire, vous le connaissez je suppose… » Demanda John
Les voleurs firent un signe de confirmation de la tête et disparurent, pour que les assassins les suivent.
Arrivé à destination, les voleurs étaient à temps.

« Garde tes mains dans tes poches Carmine, je ne leurs fais pas confiance »Murmura Walker

« Approchez que je vous explique …Bon voilà, Nous avons un village amérindien qui demande de l’aide aux autorités, mais personne ne leurs réponds, un bruit cour que ce dernier est attaqué par des bandits, qui selon les rumeurs, seront en contacte avec les templiers, alors votre travaille consistera à nous débarrasser de tout les bandits qui pourront nous barrés la route, et trouvez nous l’endroit ou se trouve leur chef, et le reste…on s’en occupe, compris ?

-Oui

-Oui

-Oui

-Allez ne perdez pas de temps ! Nous serons là à vous attendre »

Un instant après le départ des voleurs, Les assassins entreprirent de monter une tente, quand soudain, les assassins entendirent des craquements, des chevaux. John sortit ses pistolets, et donna son arc à son compagnon. quatres hommes, vêtu de long veste en cuir noir, des chapeaux masquant leurs yeux, apparurent, les armes dans les mains. Les agresseurs s’avançaient prudemment...(à Suivre)

Altair-Angel
Niveau 9
05 juin 2012 à 00:19:49

A quand la suite? ^^

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Sujet : [Fic] Les Trois Assassins.
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