Sujet :
[Fic]L' Enquête
Chapitre II en page 2 , ne passait pas tout de suite en page 3 
Cool, on voit qu tu fais des recherches, meme si 40 minute ça m'a refroidi 
c'est vraiment bien 
Bon chapitre 
On en apprend un peu plus sur abstergo malgré quelques petite fautes 
J'attend la suite
oui effectivement petite erreur d’inattention
du soir
du midi
prochain chap cet aprem ou demain matin
Voici le chapitre III , le IV sera dispo dimanche ou lundi .
bonne lecture 
Chapitre III : Interview
Lundi 24 janvier, 15h30.
Quelques jours après ma discussion avec Eric Randon, je m’entretiens avec Alex pour savoir ce qu’il a appris sur Abstergo ces derniers jours. Je l’appelle sur son Portable, il me répond aussitôt.
-Salut Alex
-Salut Marco
-Alors quoi de neuf ?
-Eh bien la confirmation que Abstergo est véritablement dans tous les domaines, ils investissent réellement partout, ça va dans l’alimentaire, dans l’armement comme tu avais pu le constater mais surtout dans la pharmaceutique ou il possède les plus grosses entreprises mondiales dans ce secteur, Abstergo a véritablement une armée de scientifique à leurs pieds dont le laboratoire Servier mais ça tu le savais déjà.m'informa -t-il
En effet je lui avais raconté dès mon arrivé ma discussion avec Eric Randon.
-Je me demande tout de même pourquoi une entreprise investis si massivement dans la pharmaceutique. Dis-je
-Et surtout pourquoi elle est présente dans énormément de domaines, j’ai aussi remarqué qu’Abstergo avait recruté énormément de Traders et s’était intéressé de près à la finance à partir de 2006. M’expliqua Alex
-Et la crise Financière mondiale a commencé en 2008 par la chute des subprimes et en Grande partie à cause de Lehman Brother la Banque d’investissement Américaine. Complétais-je.
-Ca ne serait pas impossible que Lehman Brother soit proche D’Abstergo. Me dit Alex
-Il y a aussi le Groupe Bilderberg qui entre en jeu, il ne faut pas l’oublier, je vais m’intéresser de près à eux.
- Je sens que nous nous intéressons à quelque chose qui nous dépasse.
- C’est vrai mais c’est ça qui est excitant dans notre métier, savoir des choses que des gens ordinaires ne peuvent même pas s’imaginer et nous sommes là pour ça, les informer.
-Oui tu as raison, bon je te laisse on se voit plus tard ?
-Ok a plus bonne chance.
-Toi aussi.
Je raccroche, j’avais sentis dans la voix d’Alex une once d’inquiétude, ce qui ne lui ressemblait pas vraiment. Surtout après tout ce que nous avons vécu ensemble, les guerres, les révolutions et bien d’autres choses. Aujourd’hui j’ai rendez-vous avec un employé du laboratoire Servier .
Etonnement on avait accepté ma demande d’interview. En effet depuis l’affaire du Médiator, l’entreprise ne rencontre plus ou très rarement des journalistes, mis appart lors des conférences de presse officielles. Je leur ait spécifié que c’était pour parler d’Abstergo , j’ai attendu une journée leur réponse et ça a été étrangement positif . Ce que je veux surtout savoir la relation qu’il y a entre Abstergo et Servier. Je suis actuellement dans ma voiture et me dirige à Neuilly sur Seine ou le siège social du groupe se situe. J’arrive, me gare sur le parking de l’entreprise, et me dirige vers le bâtiment imposant qui se trouve en face de moi, c’est une structure rectangulaire assez classique apparemment très surveillé, je remarque plusieurs caméras de Surveillance. Je rentre et me dirige vers la secrétaire qui se trouve devant moi.
-Bonjour j’ai rendez-vous avec Mr Aklan, responsable de la communication
-Bonjour, et vous êtes ?
-Marco Duquesne, journaliste.
Elle jeta un petit coup d’œil à son ordinateur et me répondis.
- En effet il vous attend, prenait l’ascenseur ,deuxième étage, ensuite sur votre gauche c’est le deuxième bureau, il y a un écriteau de toute façon vous ne pouvez pas le manquer. M’expliqua –t-elle
-Parfait je vous remercie.
Je prends l’ascenseur et me rends à l’étage indiqué, je trouve rapidement le bureau en question .Je toque à la porte et rentre. Je me retrouve dans une pièce assez spacieuse et lumineuse. Aklan est là derrière son bureau, c’est un homme d’une cinquantaine d’années, cheveux gris, assez mince, à lunette.
-Ah Monsieur Dusquesne , bienvenue je vous en prie asseyez-vous .
Je lui serre la main et m’assois devant lui.
-Bonjour Monsieur Aklan .
-Le but de votre visite concerne bien Abstergo ? Me questionna –t-il
-Oui en effet, ça ne vous dérange pas si je prends des notes ?
-non Allez-y il n’y a pas de problème.
Je sors mon bloc-notes, mon stylo et lui pose ma première question
-Je voudrai tout d’abord savoir quelle est votre relation avec Abstergo et depuis quand le groupe Servier appartient à cette entreprise ?
Sans répondre à ma question le responsable de la communication regarde son ordinateur et me demande à son tour.
-Et vous Monsieur Duquesne pourquoi vous intéressez-vous à Abstergo ?
-Le but de ma visite est de vous poser des questions pas l’inverse Monsieur Aklan .
-Oh ne vous braquez pas c’est de la simple curiosité, je vais répondre à vos questions, Servier appartient en partie seulement à Abstergo depuis 1982, nous avons donc encore notre propre conseil d’administration, dans les réunions il y a juste un représentant d’Abstergo qui participe aux décisions les plus importantes du groupe. Concernant quel domaine de Servier leur appartient c’est strictement confidentiel.
Normal qu’il refuse de me dire sur quoi ils travaillent, je n’insisterai pas là-dessus il ne me répondra pas de toute façon.
-Très bien, et il y a des contrôles de la part d’Abstergo sur le travail que vous effectuez pour eux ?
-Bien entendu, un contrôleur vient tous les mois vérifier notre avancement.
-Et est-ce que Abstergo est en partie responsable du scandale du médiator ? Dis-je tout en notant.
Aklan hésita quelques instants et me répondis calmement.
-En aucune manière.
-Très bien.
-Vous voulez toujours pas me répondre Monsieur Duquesne, pourquoi vous intéressez vous a Abstergo ?
Il insiste, je vais lui répondre sommairement sinon il arrêtera sûrement l’interview et j’avais encore une ou deux questions à lui poser.
-Je prépare simplement un article sur eux, tout ce qu’il y a de plus classique.
-Et sur quoi portera précisément cet article. Me demanda –t- il encore.
-Ça vous le verrez lorsque le prochain numéro du magazine paraîtra Monsieur Aklan .
L’air mécontent il ne me reposa cependant plus de questions.
-Et vous, êtes-vous en relation direct avec l’un des PDGs d’Abstergo comme Alan Rikkin par exemple ?
-Je le connais mais pas personnellement. Me répondit-il simplement
-Dernière question, vous avez déjà participé à une réunion du groupe Bilderberg ?
L’air troublé il me répondit d’une voix légèrement agressive
-Ca n’a aucun rapport avec le but de cet entretien je ne vous répondrais donc pas.
Je vais mettre fin à cette interview, il ne me dira plus rien digne d’intérêt.
-D’accord monsieur Aklan , ce fut un plaisir .
Je me lève, lui également et nous nous serrons la main.
-moi de même .dit-il
J’en doute fort…
Je quitte son bureau et descend par l’ascenseur. Je salue la secrétaire, sort du bâtiment et reprends ma voiture direction mon appartement. Tout en conduisant je me dis que malgré que cet entretien a été peu fructueux mais que en regroupant toutes les informations que j’ai en ma possession, je dois aboutir a quelque chose d’intéressant.
Lorsque j’arrive chez moi, il est 18 heures, je monte les escaliers calmement, arrivé en haut je remarque que ma porte est entrouverte, je suis pourtant sur de l’avoir bien fermé en partant. J’entre avec précaution, et là, je suis sous le choc. Mon appartement avait été fouillé ! Tous mes vêtements sont par terre, mes tiroirs sont tous sortis de leurs meubles, mes papiers sont éparpillés sur le sol, mes cadres sont cassés, bref c’est tout simplement le chaos.
Et la PAF! L'élément perturbateur 
en effet et je prévois la suite plus mouvementé
Bon chapitre
J'ai l'impression que les ennuis commence
je pense mettre ma fic sur le forum D'AC revelation pour toucher plus de lecteur , qu'en pensez vous, est ce que ça en vaut la peine 
Bonne idée
Je connais quelqu'un qui posté sa fic sur 3 forums
bon voilà le chapitre IV , là c'est sur le chapitre V pas avant lundi , bonne lecture
Chapitre IV : Le changement, c'est maintenant !
Lundi 24 janvier, 18h30
J’inspecte le plus calme possible mon appartement et vérifie ce qu’on m’a volé .Je me doute bien sûr que le cambriolage de mon domicile est directement lié à mon enquête sur Abstergo . Et comme par hasard lorsque je me rends au siège social de Servier, c’est quand même une grosse coïncidence .
J’ hésite a appelé la police, mon histoire sort quelque peu de l’ordinaire, et même si je leur racontait ce que je sais ils ne me croiront pas et ferons leur investigation comme si c’était un cambriolage classique. Je décide de ne pas les appeler et de continuer de répertorier ce qu’on m’a pris. De toute façon les voleurs n’ont pas dû trouver grand-chose concernant Abstergo vu que mon ordinateur portable était avec moi et que c’est dans celui-ci que je stock presque toutes mes données. Je remarque qu’ils ont pris des objets de valeurs comme ma montre, sûrement pour faire croire à un cambriolage ordinaire. Ils m’ont également volé mon disque dur externe mais à part des films et des musiques il n’y avait rien.
Durant ma carrière de journaliste, j’ai enquêté sur des hommes politiques, des patrons d’entreprises, des banques, des multinationales et jamais des personnes étaient entrées dans mon appartement et l’avaient fouillé. J’ai bien eu quelques menaces et mon téléphone était peut être sur écoute a un moment mais ça s’arrêtait là. Au moins maintenant je sais que je gêne et que je me rapproche sûrement de quelque chose d’intéressant. Je sais aussi que dorénavant je suis surveillé de près. Par qui ? ça je ne le sais pas vraiment, sûrement par des agents d’Abstergo voire même peut être du Groupe Servier . A partir de maintenant je serai très prudent mais je ne me démontrais pas j’ai connu bien pire que ça tout au long ma vie et j’irai jusqu’au bout de cette enquête.
Je continue à répertorier ce qu’il manque, au bout d’une heure je regarde mon portable pour regarder l’heure, 19h40 ,je décide d’envoyer un message à Alex pour lui dire que je viendrai chez lui demain pour l’informer de ce qu’il s’est passé , il a le droit de savoir , il prend autant de risque que moi dans cette affaire .
Je range tant bien que mal toutes mes affaires, je n’aurais pas fini ce soir, ils ont même fouillé ma salle de bain , qu’espéraient ’ils y trouver … Je m’endors difficilement comme lorsque j’étais dans des pays dangereux , j’étais constamment sous tension et je ne relâchais jamais mon attention .Eh bien ce sentiment m’habite en ce moment même dans mon petit appartement Parisien …
Mardi 25 janvier , 9h30
Le lendemain matin vers 10heures, je me rends chez Alex à pied, en effet il habite la rue a côté de chez moi. J’ai pris avec moi mon ordinateur portable qui est dans ma sacoche en cuir noir, on n’est jamais trop prudent. J’arrive et sonne a son appartement, c’est sa femme qui me réponds.
-Oui qui est-ce ?
-C’est Marco.
-Je t’ouvre.
En effet Alex a une femme qui s’appelle Maria, elle est photographe et a fait ses études de journaliste en même qu’Alex et moi. Ils sont heureux ensemble malgré le fait que Maria ne puisse pas avoir d’enfant.
Je toque à la porte et rentre.
-Bonjour Marco. me dit Maria
-Bonjour, ça va ? Dis-je tout en lui faisant la bise
-Ça va, Alex est dans le salon il t’attend. M’indiqua –t-elle
-très bien.
Je m’apprêtais à aller le rejoindre quand Maria me demanda.
-Il est très préoccupé en ce moment, l’affaire sur laquelle vous êtes l’absorbe totalement, je ne sais pas vraiment sur quel sujet vous traitez mais ça a l’air sérieux mais il n’a rien voulu me dire tu ne veux pas m’en dire plus ?
-C’est en effet une affaire sérieuse mais je préfère que ce soit Alex qui t’explique de quoi il s’agit avec précision.
-oui je comprends, je pars faire des courses je reviendrai dans une demi-heure . dit Maria assez sèchement.
Elle était déçu que je ne lui dise rien c’était normal mais je pense que c’est à Alex de lui dire ou non la situation dans laquelle il est.
Je pris le chemin du salon et vit Alex avachit sur le canapé.
-Salut. Dis-je tout en lui serrant la main
-Salut, dit-il simplement
- Qu’est qui te préoccupes à ce point en ce moment c’est en rapport avec l’enquête ?
Je vis qu’il hésita à me répondre.
-Ecoute Marco, depuis qu’on a commencé je me sens épié, surveillé constamment, même maintenant en ce moment. Je déteste cette sensation et je sais qu’elle n’est pas sans fondement
-Pourtant lors de situations similaires, voire pire tu ne réagissais pas comme ça.
-J’ai changé Marco, il y a Maria maintenant, avant c’était différent et puis je savais a quoi m’attendre là nous nous attaquons a un ennemi presque invisible.
C’est à ce moment que je décide de lui raconter ce qu’il s’est passé hier. Je ne veux pas le tromper et je veux lui faire savoir les risques que l’on court.
-Et tu n’as pas appelé la police ? me demanda Alex d’une voix étrange
-Non ça n’aurait servie à rien, ils auraient fait leur enquête sans prendre en compte mes explications sur Abstergo.
-Nous prenons de trop gros risques Marco, j’ai étais sur internet et j’ai pu constater que quelqu’un comme nous qui se renseignait sur Abstergo appelait Shaun Hastings a divulgué des infos sur eux sur la place publique et peu de temps après il a tout simplement disparu de la circulation.
Je réfléchis quelque minute
-Et sur quoi comportaient ces infos ?
-Tu as écouté ce que j’ai dit, il a dis-pa-ru et toi tu me demandes sur quoi comporter ces infos ! S’emporta Alex.
- Oh calme-toi, si tu veux tout arrêter dis le tout de suite, donne-moi tous ce que tu as sur Abstergo et je continue seul !
- Tu ne prends pas du tout en compte les risques que l’on prend ou tu les prends trop à la légère ton appartement a été cambriolé ça ne te suffit pas ?
- Il en faut plus que ça pour m’impressionner.
- Eh bien pas moi, je continuerai à te donner des infos de temps en temps mais je ne participerais plus à l’enquête directement, je te donne ma clé ou j’ai réuni tous les renseignements sur Abstergo . Me dit-il tout en me donnant sa clé USB.
Déçu, je prends la clé et repris ma sacoche.
-Très bien, tu sais ou me joindre .Dis-je tout en me dirigeant vers la sortie.
Je sors de l’appartement en colère et décide de regagner mon domicile. Je marche rapidement tout en repensant au désistement d’Alex, je suis réellement déçu.
Soudainement alors que je traverse la rue une camionnette arrive à ma hauteur. Deux hommes avec des capuches noires sur la tête en sortirent, me prirent par les bras et me jetèrent dans le véhicule. Je n’avais pas du tout eu le temps de réagir, ça avait été trop rapide. Dans la camionnette on me mit un sac noir sur la tête et je sentis que quelque chose m’avait piqué. Alors que je suis entrain m’évanouir, j’entends simplement quelqu’un dire.
-Nous ne sommes pas vos ennemis Monsieur Duquesne, nous faisons ça pour votre bien….
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