tiens j'en profite pour demander si mon personnage est accepter.
dsl du double post.
Hirad respira une bouffée d'air marin avant de s'enfoncer dans la foule du port de Venise. Il lui fallu rencontré son contact, un ami Turc sur place ayant pour lui un costume du carnaval. Néanmoins celui-ci se trouvait à l'autre bout des festivités. Premier objectif, passer la foule et repérer les cibles. Après avoir escaladé une façade avec aisance, mon ouïe développée m'a permis d'entendre une conversation introduisant des carnavaliers ayant un masque noir à croix rouge dessus. Il en avait trois à retrouve, sur place noir de monde. Mission impossible.
Il faut tout d'abord qu'il rejoigne l'autre côté de la place, les toits permettent un déplacement aisé, mais cet endroit est très surveillé, il va falloir être prudent. Un tireur était posté non loin de là, discrètement il s'est faufilé près de lui pour lui incurver ma lame dans la gorge, avec une aisance fascinante. Le second était à porté de sa dague légère importée d’Allemagne, il lui projeta sa dague dans le crane, mort sur le coup.
L'ami était en vue, il avait une sacoche où dépassait un masque à nez long noir, ornée du symbole des assassins discrètement. Son costume enfilé, il se mêla à la foule. Son système auditif développé lui a permis de trouver facilement ses cibles, néanmoins entourée par des gardes lourdement armés. L'affrontement direct n'était pas une bonne idée. Après s'être reposté sur le toit d'avant, il eut l'idée de lancer les cadavres non loin du "convoi templier". Les gardes ont alors été les inspecter, ce qui m'a laissé le temps pour assassiner rapidement les trois templiers :
Il a fallu être concret et rapide, l'un a pris la dague dans la ventre et il l'a assis contre un muret, le second s'est vu tranché la gorge et a continué à danser avec une femme. Le dernier m'avait remarqué et a fuis, la garde a alors été alertée. Il est remonté sur le toit pour suivre la cible, sa dernière erreur fut de ne pas connaitre Venise, et il s'est engouffré dans une rue condamnée de Venise, et Hirad l'attaqua par la voie des airs.
L'eau non loin de là lui permis de s'échapper et de rejoindre le port. La mission a été remplie avec succès.
Wooaah ce roxxor Hirad ! Mohammed Merah inside !
Les vampires domineront la terre !
Teubreuks Je confirme
Teubreuks il faut attendre la confirmation de ludo lenski ou laflamme
Mon assassins: http://imageshack.us/photo/my-images/696/20120318193204.jpg/
sans la tenue assassins: http://imageshack.us/photo/my-images/831/acbscreenshotofficer.jpg/
claire:
http://wallbase.cc/wallpaper/1618431
regis:
http://www.renders-graphiques.fr/image/upload/moyen/IngnieurAssassinsCreedBrotherhoodMulti.png
germain:
http://www.4news.it/images/stories/games/multi/AssassinsCreedRevelations/personaggi/AssassinsCreedRevelations-Guardian.jpg
[France , Paris]
.Auparavant.
Le mentor de France m'avait convoquer dans son bureau pour me donner une mission,dans son bureau il y avait d'autres assassins il m'apprit que ma mission était de tuez un trafiquant d'armes et son chef il me dit aussi que pour cette mission je ne serrais pas seul, je ferais équipe avec claire une assassin qui est née en France puis il me présenta Bruno le frère de claire ,Regis et Germain , le mentor m’informât que le marchand d'arme se trouve dans le centre de la ville ,après être sorti du bureau du mentor,je me dirigeai à la taverne du coin. J'y retrouva claire après avoir bus quelques vers et un peu parler nous somme aller à ma chambre pour faire plus ample connaissance.
nous parlâmes encore très longtemps de notre foi en notre credo et de cette révolution , elle m'informa qu'elle avait une autre mission avant de commençais la nouvelle , tant que les heures passèrent et que la fatigue eut raison de Claire qui s’endormit dans mes bras.
Lorsque le coq entama son chant matinal, je m’aperçus que je mettais aussi endormi, et je chercha quelques secondes où je pouvait être et qui était dans mes bras.
je ne bougea pas afin de ne pas réveiller Claire car, pensait-je, elle devait avoir besoin encore de repos.
je n’eut pas à attendre très longtemps, le corps de Claire s’étant mis à bouger légèrement. je me dégagea doucement, la cala confortablement dans le fauteuil et me leva pour préparer un café.
- Où suis-je ?
- Chez le diable !
- Je me suis endormie ?
- Je ne sais pas comment tu appelles ça, mais cela y ressemble.
- Dans ce fauteuil ?
- Bien, pas tout à fait, tu étais dans mes bras. Alors je n’ai pas osé bouger pour ne pas te réveiller.
- Profiteur va !
- J’aurais pu...
- Veux-tu du café pour te réveiller complètement ?
- Je préfèrerais prendre déjà un bain. Tu permets ?
- Fais comme chez toi ! tu sais où se trouvent les serviettes. Et quand tu sortiras, le café sera encore chaud.
- Tu me prépares aussi quelques tartines, comme je les aime, avec un peu de beurre salé et de la confiture de groseilles.
- Va pour un petit déjeuner complet.
Claire laissa la porte entre ouverte pour pouvoir continuer de bavarder avec moi.
- Tu sais quoi ?
- Non, mais je ne vais pas tarder à le savoir !
- Ce serait bien que tu retournes au Centre pour voir si le mentor a pu trouver d'autres information sur le marchand , Un congé sabbatique va me permettre de me consacrer un peu plus à l’enquête.
- Mais ta mission ?
- Ce n'ai une d’affaire importante . J’ai un adjoint qui peut facilement traiter le courant. Il me tiendra informée et s’il y arrive pas, je ferai une petite entorse à la résolution que je viens de prendre. Pour moi, le bain est le moment privilégié de la réflexion.
- Moi, avant, c’était en me rasant, mais...
- Mais, comme cela ne t’est pas arrivé depuis plus de dix ans, tu ne dois pas réfléchir très souvent !
- Merci ! J’apprécie ! mais je suis content de te trouver avec le sourire.
Sortant de la salle de bain enveloppée d’une serviette, elle vint déposer un baiser sur mon front et repartit comme elle était venue.
Quelques temps après avoir dégusté les tartines , ils refirent une dernière fois le point afin de se partager le travail.
- J'ai une idée !
- Oui ?
- je vais suive le marchand lors de sa prochaine escapade ?
- Comment feras-tu, il s’en apercevra rapidement !
- J’ai ma petite idée. Tu penses que tes équipier pourraient me donner un coup de main ?
Pourquoi pas ? demandes à Bruno !
Nous nous séparâmes, Claire passant chez elle se changer et moi je pris la direction du centre
Bruno, comme chaque matin, lavait le sol à grandes eaux, la chaleur naissante jouant rapidement le rôle de séchoir.
- Bruno, j’aurais besoin d’un coup de main, pour Claire.
- Si c’est pour Claire, pas de problème, mais dis-moi quand même de quoi il s’agit ?
- J’aurais besoin d’un coup de main pour faire une filature.
- Une filature ! T'es sur ,
- Oui pour la mission le marchand a une attitude qui peut nous laisser penser qu’il se passe quelque chose de pas très catholique.
- Et tu veux le suivre ?
- Et bien, j’aimerais que NOUS puissions le suivre...
- Nous ?
- Seul, je vais me faire repérer en un rien de temps. Mais si nous étions à plusieurs, cela pourrait marcher.
- Qu’as-tu prévu ?
- J’organise une planque au Centre. Apparemment, le marchand s’absente dans la journée.. Je commence la filature et je vous informe au fur et à mesure de notre chemin. Si tu peux avoir quelques assassins avec toi, pour prendre le relais.
- Et après ?
- Après, on avise. On va bien finir pas savoir ce qu’il trafique.
Pour Claire, d’accord ! je préviens les autres.
Tu ne vas pas partir sans rien prendre !
- Tu sais, j’ai déjà déjeuné, mais un autre petit café n’est pas de refus.
Pas finis
Suite
je pris la direction du Côté Ouest, comme certains habitants avaient appelé ce quartier de Cunfin, c'est-à-dire la grande rue en direction d’Essoyes puis la route de la Côte d’Or. Arrivé à proximité du Centre, je trouvas suffisamment de végétation pour me mettre à l’affût. . Avant de m’installer, j'entra dans le Centre et fila tout droit vers le bureau du mentor. je savait qu’à cette heure il n’était pas encore en compagnie du roi et devait préparer des dossiers.
- Bonjour mentor.
- Tiens, bonjour Mohamed ! quelle surprise !
- Je voulais vous voir au sujet du marchand.
- Par rapport à ce que je vous ai dit hier ?
- Oui. J’ai oublié de vous demander vers quelle heure il s’absentait ?
- En général, il sort plutôt en fin de matinée.
- Donc, j’ai toutes mes chances...
- Toutes vos chances ?
- Oui. Je peux vous mettre dans la confidence. Je vais tenter de le suivre. Ainsi, on verra bien...
- Bonne idée. Mais comment allez-vous faire ?
- Je vous raconterai. Merci encore.
Sur ces entre faits, je ressortis comme je suis entré, sans me faire voir, et tout aussi décontracté que si j'étaie chez moi. je gagna l’abri naturel que j'avait avisé en arrivant et m’y installa. De cet endroit, je pouvait avoir une vue parfaite sur l’entrée du Centre et sur la place centrale, place par laquelle on est obligé de passer pour aller d’un bâtiment à l’autre et surtout pour sortir, même si l’on souhaite éviter l’entrée principale. Sauf, bien entendu, si on sort par les fenêtres. Mais le marchand en était-il à ce stade ?
Deux heures après, je regrettait de ne pas avoir pris avec moi quelques boissons fraîches. Cette attente était interminable et, malgré la frondaison, la chaleur n’allait pas tarder à avoir raison de moi. Mais je devait patienter. Le marchand sortirait-il aujourd’hui ? Comment le savoir ? Il n’était pas question d’aller voir Claire.
Une personne sonna au clocher et je me dit que je faisais fausse route. Mais tout à coup, j'aperçus la marchand passant rapidement la place. Il longeait les murs, comme pour se confondre avec ceux-ci et ne pas être vu. Je le suivit du regard. Allait-il sortir du centre ?
- Oui, il sort !
c’est parti !
Bruno ce mit en position
- Bien compris Mohamed. Je passe l’info aux autres. Nous sommes trois. Ne t’inquiètes pas !
Le marchand ne monta pas dans sa calèche, sortit par une petite porte qui servait aux jardiniers pour éviter de faire le tour par l’entrée principale lorsqu’ils avaient à sortir pour l’entretien. De loin, je commença ma filature. Régulièrement, je donnait ma position à Bruno et à ceux qui commençaient à se poster sur le chemin présumé du marchand,
A travers des champs, ce dernier gagna le chemin qui relie la route d’Autricourt à Cunfin, passant au dessus du village et aboutissant dans la rue de la forêt Lambert. je fus rapidement obligé de m’arrêter car il devenait dangereux de suivre dans ces conditions, malgré la végétation.
- Je suis obligé de prendre de la distance. J’ai peur qu’il me repère. Je suis dans la forêt, en approche du chemin à proximité de la route d’Autricourt.
- Bien compris. Régis et Germain ont déjà pris position d’après les indications que tu nous as données. Je les contacte et je te rappelle.
- Bien compris
- Germain . Je suis en bordure du chemin, à l’abri des regards indiscrets. Je vois le marchand au loin. Mais je ne pourrai pas le suivre très longtemps. Il faudrait que Régis prenne déjà position en aval.
- Bien compris.
- Régis Tu te positionnes entre la croix et le début de la forêt.
- Ok.
- Germain est en bordure du chemin, Régis est à hauteur du grand champ, entre la croix et la forêt. Peux-tu te mettre en lui et Germain ?
- Bien compris.
Et sans qu’il s’en aperçoive, aucun geste du marchand ne pouvait nous échapper.
Arrivé à la sortie de la forêt, à hauteur du champ, le marchand s’approcha du carrosse stationnée en bordure du champ, à l’embranchement d’un sentier. Régis s’était muni d’une paire de jumelles et observa en silence.
Que pouvait faire le marchand à cet endroit ?
-
- Je vois le marchand qui est en pleine conversation avec un homme qui attendait dans le carrosse.
- Le marchand sort un paquet de sa poche... On dirait un grand chiffon... Il en sort un objet... On dirait que c’est un pistolet en or!
- Ne bouges pas. J’appelle les renfort.
- Tu crois qu’ils arriveront à temps ?
- Je n’en sais rien, mais si nous ne faisons rien, on laisse s’échapper notre seule piste.
Ok.
Quelques temps plu-tard les renfort était arrivaient menées par claire,nous nous mîmes en position devant le carrosse
nous sortîmes nos armes et bondirent en direction du carrosse nous nous approchâmes et ouvrîmes la porte.
Veuillez sortir du carrosse
- Vous n’êtes pas un peu malades ? Faudrait vous faire soigner !
- On se calme! Je vous ai demandé de sortir.
- Et moi, je vous ai demandé si vous n’étiez pas malades ?
- Vous savez ce que cela peut vous coûter de nous insulter ?
Et vous, espèces d’assassins ! Vous vous croyez où ?
nous sortîmes le marchand et l'homme brusquement du carrosse mais tout a coup nous fîmes encercler par une petite dizaine de templier, ils attaquèrent sans perdre de temps mais nous les contrâmes facilement,
Au bout de quelque minute ils étaient tous mort, regis et germain tuèrent le marchand et le templier,ils prirent le pistolet le remirent à bruno et nous rentrâmes à Paris , nous donnâmes le pistolet au mentor et nous reprîmes le cour de notre vie.
Il y a plein de nouveaux?
ouai mais la plupart vont partir a mon avis
Ouais et seul les meilleurs restent enfin presque
Je vise personne
ouai mon cul tu vise personnes
je me sens ma visé
Bah nan je peux pas viser
J'ai pas de viseur
qui a dit que t'en avait besoin
Moi
Toi
Eux
t : 1 points et 400 franc
Jay ballay
Séquence 2:
Mémoire 6: St Juan, Le Templier musulmans
Me voici au QG des assassins de Séville lors de ma dernière mission avant e les quitté .
-Achille bienvenue donc tu t'en va se soir en est tu sur ?
-Oui je m'en vais je vais enquêtez sur la mort de mon père et de ma mère, ma carrière avec les assassins ne fait que commencer je vais rejoindre mon oncle Antonio Valez .
-Bien tu penseras a venir me voir une fois de temps en temps.
-Oui j'y penserais .
-J'espère que tu aura une longue vie mon ami et surtout venge ton père il ne méritait pas la mort. Prend cette clé avec toi je ne peut pas te dire a quoi elle sert, elle appartenait a ton père et il disait que cette clés sert a ouvrir un tombeau, un tombeau sacré mais je ne sais pas beaucoup de chose en plus .
(Je pris la clé)
-Mon père m'avait dit la dernière fois que je l'est vus que je trouverai un jour un tombeau un tombeau qui pourrai changé le monde mais je n'avait jusqu’à présent jamais rien compris a sa phrase.
-Je ne peut pas t'aider de plus mai je te souhaite bonne chance et que les assassins triomphe .
-Il est 13h je dois y allez et gloire aux assassins.
Je partis alors traversez les rues de Séville. Je me rendais au point que l'on m'avait indiquée, après quelque minutes, j'arrivais alors au point de rendez-vous . C'était une grande armurie , je vis 2 personnes entrée dans l'armurie enfin dans la grande cour de l'armurie qui était fermés par des remparts.
Je monta en haut de l'église ou il y avait une tyrolienne . Je descendit a cette tyrolienne et me voila sur le toit d'un des nombreux bâtiments de l'armurie . J'aperçus alors Juan, il était venue incognito, avec sa tenue , la tenue de l'homme a la capuche (voir les précédent épisodes).
J'attendais sur le toit caché derrière la cheminée que Juan sortis du bâtiments. Plus tard, il sortis je le suivait du haut des toits. Il a pris un chemin pour quittez l'armurie par derrière en quittant l'armurie ainsi, il allait arriver dans une zone sans maisons, dans un genre de parc.
Je le suivi dans le parc , après quelque mètres deux personnes viennent lui parlé . J'écoute leur conversations.
-Juan
-Oui ???
-l'attaque contre les assassins est fortement ralenti .
-Comment ????
-Un des assassins a tué les 3 formateurs !
-Je les hais !!!!
-Maître nous les aurons il faut juste faire attention car ils vous traquent maître .
Je descendit a ce moment devant Juan.
-Oui nous vous traquons !
-Comment est t-il arriver ici, appelée les gardes .
Je lance alors un couteau de lancer dans le garde pour qu'il n’appelle pas les autres templiers .
-Vas tu me tuer moi une personne sans défense, les assassins ne tue pas les personnes sans défense non ??
-Nous tuons les personnes qui nuisent a la vie dans la société et vous en faites parti Juan .
-Nous éliminons les chrétiens pour montrer aux autres le chemin de la liberté et du bonheur .
-Vous êtes sans pitié et tué tout les chrétiens de ce monde vous méritez que d’être tué a votre tour .
-Non ... non
-Malheureusement pour vous Oui ... Mais Allah vous enverra au paradis donc vous n'avez rien a craindre .
-Je n'est pas fini ma mission sur cette Terre .
-Oui et moi non plus je n'est pas fini ma mission qui été de vous tué donc si vous permettez je n'est pas trop le temps au revoir ...
Je sauta dessus et le tua d'un coup de lame, j'écouta ces dernière paroles .
-Allah se vengeras, il t'enverra en Enfer !!
-Oui, si tu le dit ...
Il mourra .
Ma mission accomplis je retourna au QG des assassins pour leur annoncé ma victoire et mes adieux.
-Achille te revoilà comment ces passé cette dernière mission?
-Juan est mort, je pars en vous amenant la paix.
-J'était censé t'apprendre a devenir un assassin mais tu est déjà meilleur que moi .
-Non, vous possédez tant de chose que je n'est pas et que je ne posséderais jamais .
-Tu feras un très grand assassin !
-Peut être ^^
-Et quel est ton programme désormais ?
-Je pars pour Almeria, ou je trouverais un ami de mon père puis je partirais vers Bilbao avant d'aller en France ou je retrouverais Antonio Valez, mon oncle !
-Bien courage a toi et Gloire au assassins, tu seras toujours le bienvenue dans cette demeure .
-Je te remercie mais je dois y aller . Adieu a tous !!
Notre assassins parti alors vers Almeria .
Et je vais prendre "Allez les Bleus" pour la suite