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Assassin's Creed III

Sujet : [JEU] L'ère des Assassins
Ludovico_Orsi
Niveau 10
06 avril 2012 à 16:23:28

ouai j'ai lut. Simpa ça enlèvera du boulot à flamme :noel:

Lenski
Niveau 10
06 avril 2012 à 16:24:56

à toi de faire le tien :pf:

[Laflamme]
Niveau 10
06 avril 2012 à 16:28:09

Et mince j'avais commencé à le faire et je voulais vous faire la surprise :-(

Lenski
Niveau 10
06 avril 2012 à 16:34:20

Bah voilà :pf:
à trop compter sur l'effet de surprise , on finit par le perdre :pf:

Lenski
Niveau 10
06 avril 2012 à 16:43:27

ça t'empêches pas de le continuer par contre :sournois:

[Laflamme]
Niveau 10
06 avril 2012 à 16:46:43

Bah je l'avais commencer avec tes personnages en plus j'avais fait la liste pour me repéré :pf:

Lenski
Niveau 10
06 avril 2012 à 16:48:05

Bon bah tu peux continuer , tu as déjà un aperçu :pf:

Bilbo1997__
Niveau 10
06 avril 2012 à 17:53:09

B'soir :pf:

[Katniss]
Niveau 3
06 avril 2012 à 18:05:58

bonsoir tout le monde

[linkc]
Niveau 10
06 avril 2012 à 18:06:13

Bonsoir tous le Monde :hap:
Bonsoir Bilbo :pf:

t-redead
Niveau 12
06 avril 2012 à 18:24:48

lenski tu peux corriger mon texte

Bilbo1997__
Niveau 10
06 avril 2012 à 18:36:34

Les traîtres (partie 1) :

Le voyage Amérique-Angleterre prit deux semaines. Deux semaines pendant lesquelles, sur le pont, Shan entraîna Elizabeth au combat chaque jour, devant les membres de l’équipage.
Ceux-ci, voyant cela comme une belle distraction, aimaient encourager la jeune femme malgré ses défaites. Shan était particulièrement sévère et tenait à ce qu’elle progresse très vite.
Il la laissait chaque soir exténuée, couverte de bleues et affamée car il ne la laissait manger qu’à midi avec l’équipage.
Shan avait un mauvais pressentiment. Les paroles de Lucien restaient dans sa tête. Il voulait qu’en arrivant à Londres, son apprentie soit capable de faire face à n’importe quel adversaire.
Finalement, ils arrivèrent à une ville côtière, au Sud de l’Angleterre. Ils louèrent des chevaux et rejoignirent la capitale en quelques heures. Shan ne prononça pas un mot pendant le trajet.
Entrés en ville, les deux Assassins laissèrent leurs chevaux dans des écuries et se dirigèrent vers le Q.G.
Shan toqua à la porte. Silence. Le « Quel est le mot de passe ? » ne venait pas. Le gardien s’était-il endormi ?
Shan ne chercha pas à comprendre. Il défonça la porte d’un coup d’épaule et tourna la tête vers la place du gardien. Le vieil homme était là, assis à une chaise en bois. Sa tunique était tâchée de sang. Il était mort, égorgé.
Le sang séché laissait présager que le meurtre avait eu lieu il y a au moins deux jours.
Shan dégaina sa faux.
-Reste derrière-moi, ordonna-t-il à sa disciple d’une voix n’admettant aucune contestation. Suis-moi comme mon ombre.
Elizabeth déglutit et tira son épée de son fourreau.
Le duo traversa un couloir et descendit des escaliers pour pénétrer dans la salle principale.
Les bougies étaient toutes éteintes. Mais on pouvait distinguer une trentaine d’Assassins. L’un, accoudé au comptoir, l’autre adossé à un mur. Certaines étaient assis, un verre à la main, d’autres affalés sur la table.
Tous morts. Egorgés aussi.
Shan serra les dents. Trente Assassins, morts. Des Assassins qu’il côtoyait depuis plusieurs années. Des compagnons.
Elizabeth tremblait. Ce n’était plus comme quand elle faisait face aux bandits. C’était la peur, la vraie. Elle vit que Shan continuait sa route, alors elle le suivit, jetant des regards inquiets de tous les côtés.
Un silence mortel régnait.
Shan se dirigea vers le bureau du Grand Maître. La porte était entrouverte. Shan serra sa faux et l’ouvrit lentement.
Le bureau était vide. Le Grand Maître avait disparu. Ainsi que la plupart de ses livres et de ses armes.
Shan pénétra dans la pièce.
« Reste sur tes gardes et surveilles tout le temps tes arrières. Et frappe le premier. »
Il écarquilla soudain les yeux.
Avec la vivacité d’un serpent, il fit volte-face comme une tornade, lança sa faux devant lui et poussa Elizabeth sur le côté, du même geste.
Il posa un genou à terre, un couteau de lancer planté dans l’épaule.
Sur le pas de la porte, un homme entièrement vêtu de noir et portant un masque de théâtre s’écroula, la lame de la faux fichée dans la gorge.
Shan retira le couteau de lancer de son épaule et attendit. Rien ne vint.
Ceux qui avaient tués les Assassins avaient laissés un des leurs ici, au cas où l’un d’entre eux reviendrait de mission.
Shan palpa sa blessure et soupira. Elle n’était pas profonde.
L’Assassin se redressa et se dirigea vers le cadavre. Il en retira sa faux et s’agenouilla. Là, il retira le masque d’un coup sec.
C’était un jeune homme à l’air sympathique et un tatouage sur la joue représentant le symbole du Pique, dans les familles de carte.
Aucun doute, cet homme travaillait pour l’As de Pique.
-Maître, commença Elizabeth.
-Je sais…
Shan ne releva pas la tête. Les huit tueurs vêtus de noirs qui venaient de pénétrer dans la pièce dégainèrent leurs épées en même temps.
Shan se redressa, fit tourner son épaule pour vérifier que la blessure ne le gênait pas et déploya la chaîne de sa faux. Elizabeth fit tournoyer son épée entre ses doigts et fléchis les genoux.
-Allons-y, fit un des hommes masqués.
Ils passèrent à l’attaque.

Q.G des Assassins de France, Paris, même moment…

Le mentor de France avança son pion. Lucien prit son menton entre son index plié et son pouce avec une mine songeuse. Il se résolut à manger le pion avec son fou, tout en sachant qu’il laissait une ouverture.
Le mentor en profita pour manger un cavalier de Lucien avec sa tour qu’il avait préparé depuis le début pour ce seul coup.
-Et donc ? fit le mentor. Penses-tu que nous devons intervenir ?
-Non, répondit Lucien en bougeant sa dame deux cases à gauche pour protéger son roi. Trop tôt.
-Shan Magerlan pourrait bien mourir. Dans ce cas là, toute cette opération n’aura servie à rien.
Le mentor fixa Lucien en attente d’une réponse, tout en reculant sa tour, bloquant le passage de plusieurs pièces de son adversaire.
-Il ne mourra pas. Je l’ai vu à l’œuvre. Nous devons attendre que nos ennemis bougent avant d’agir.
Lucien leva sa dame et ne la reposa pas, réfléchissant au prochain coup.
-Stratégie molle et inefficace, commenta le mentor en secouant la tête. Attendre que son adversaire réagisse pour réagir aussi. Tu ne te souviens plus de mon enseignement ? Et ton père ne dit-il pas souvent : « Frappe le premier » ?
Lucien ferma les yeux un instant avant de reposer sa dame au même endroit et couvrir ses arrières avec un pion, tactique plus prudente mais plus lente.
-Je n’appelle pas ça une stratégie molle, répondit Lucien. J’appelle ça « Attendre patiemment son heure pour frapper au bon moment. » Bouger nos propres pièces maintenant serais du gâchis. Nous aurions plus de chance d’échouer que de gagner.
Le mentor sourit et bougea son cavalier. Il dévora un pion de Lucien et annonça : « Echec et mat ».
-Alors attendons, conclut-il simplement.

Londres, Q.G des Assassins…

Shan para un coup, tourna sur lui-même et traça un ample arc de cercle devant lui. Un homme masqué se baissa pour éviter l’attaque et riposta. Shan dévia le coup avec le manche de son arme et fouetta l’air avec sa chaîne.
Celle-ci alla s’enrouler autours du cou d’un de ses adversaires.
Un homme masque bondit, épée en avant.
Shan se décala et tira d’un coup sec sa chaîne, ramenant vers lui l’homme qu’il tenait. Celui-ci alla s’empaler sur la lame de son compagnon.
Shan, dans le même mouvement, se baissa pour esquiver une attaque, et projeta son pied dans la poitrine d’un homme masqué.
Il rétracta sa chaîne, prit sa faux à deux mains et l’abattit. Sa lame fendit le crâne de l’homme masqué le plus proche.
Quatre tueurs gisaient déjà au sol.
Ils étaient bien entraînés et savaient manier l’épée. De plus, ils avaient l’avantage du nombre.
Mais dans la pièce de taille réduite, Shan était à son avantage. Il pouvait se servir des objets et des murs comme appuis et évitait aisément que ses adversaires ne l’entourent, ce qui aurait été compliqué en extérieur.
Elizabeth, elle, affrontait deux hommes masqués en même temps.
Son fleuret frappait, tranchait et transperçait avec vivacité. On aurait dit que sa lame était vivante et qu’elle se déroulait comme un serpent.
Elle fléchie les genoux, laissa l’épée de son adversaire frôler sa gorge et frappa. Un coup d’estoc.
La pointe du fleuret sectionna la carotide de son ennemi. Celui-ci recula et tomba à genoux, un flot de sang jaillissant de sa gorge.
Son deuxième adversaire en profita pour placer une attaque de taille très puissante.
Elizabeth bondit et l’épée passa en-dessous d’elle avant d’aller se ficher dans un mur. La jeune femme retomba au sol et frappa. L’homme masqué recula, les mains ensanglantées, obligé de lâcher son arme.
La lame du fleuret s’enfonça sans résistance à travers un trou du masque correspondant à un œil et ressortit de l’autre côté du crâne. Elizabeth retira sa lame de la tête de l’homme masqué, l’essuya d’un geste désinvolte, et la rengaina avec fluidité.
Son entraînement pendant le voyage l’avait tout bonnement transformée.
Elle avait mémorisée tous les mouvements, les parades, les gardes, les attaques, les pas de côté, les demi-tours, les feintes, et même les différentes bottes que lui avait montrés son maître.
Assurément, sans cet entraînement, elle serait morte aux premiers assauts des hommes masqués.
Derrière elle, Shan en finissait avec le dernier tueur.
Il fit un geste que son adversaire évita difficilement avant que celui-ci ne se rende compte qu’une chaîne lui entourait le poignet.
Shan tira d’un coup sec, déséquilibrant l’homme masqué et, d’un mouvement rapide et fluide, décapita son ennemi et rengaina son arme.
Sa chaîne se rétracta et rentra dans le manche de la faux.
-Que faisons-nous ? demanda Elizabeth.
-Nous partons. Nous n’avons plus rien à faire ici.

Boston, Q.G des Assassins Américains…

-Mentor…
-Oui ?
-Devons-nous intervenir ?
-Pas pour l’instant.
-Vos ordres ?
-Préparez un bateau. Nous nous rendons en Angleterre.

Le mentor se dirigea vers son mur et appuya dessus. Une porte secrète s’ouvrit. Il pénétra dans le couloir qu’il remonta jusqu’à la grille.
Derrière, le cube doré brillait de mille feux.
Le mentor sortit une clé de sa ceinture et l’enfonça dans la serrure. La grille se leva dans une série de cliquetis et de grincements.
Le Grand Maître s’approcha du socle et toucha le cube du bout du doigt. Il s’ouvrit en deux, comme un écrin, dévoilant une bague dorée brillant encore plus que le cube. Le mentor l’enfila à son annulaire avec un air grave.
-Le onzième artefact : La bague. On dirait qu’il va être temps de te sortir de ton placard, demoiselle.

Allez Laflamme, t'as du boulot :pf:

Lenski
Niveau 10
06 avril 2012 à 19:18:59

t : 1 points 500 d'or
tu fais beaucoup moins de fautes qu'avant \ :pf: /

supercarlu62
Niveau 4
06 avril 2012 à 19:32:24

Séquence 3:
Mémoire 4: Antonio Valez, un assassin . ( partie 1)

Les côtes françaises étaient désormais passé, Nous nous dirigeons alors vers Bordeaux, en Gironde pour aller trouver mon cousin Antonio Valez . Nous nous déplaçons en charrette tirait par deux chevaux . Les chevaux étaient tout les deux de couleurs marron et ils avaient l'air très mal en point, ils étaient très maigre .

Nous continuons a avancé moi,Sophie et Alejandro quand un groupe de garde nous arrête a l'entrée d'un village .
-Bonjour a vous mes amis, bienvenue en France .
-Comment savez-vous que nous venions d'arrivez ???
-on reconnait toujours un espagnol, votre style vestimentaire vous les espagnols , il est très ... Comment dire très ...
-Très ...
-Spécial , très spécial . Tenez prenez ces habits, vous vous ferez moins remarquez .

Nous remplaçons nos habit sur le champ avant de remonter dans la charrette .
-Je suis désolé mai vous ne pouvez pas entrée .
-Comment cela vous nous dites de changez de vêtements puis maintenant vous nous dites de partir vous foutez de ma gueule j'espère .
-Non,je ne me moque pas de vous les vêtements c'étaient pour moins vous faire remarquez . Vous ne pouvez pas entrée pour des raisons très simple, le seigneur des environs ne veut plus de voyageur . Faites donc le tour de la seigneurie puis entrée dans un autre village mais partez .
-Mais nous sommes bientôt dans Bordeaux , laissez nous passez .
-Bordeaux est très près,le seigneur habite même quelque fois à Bordeaux .
-Mais pourquoi n'avons nous pas le droits de passez ?
-Quelques assassins viennent perturbez la vie ici et il vaut mieux pour vous que fous fassiez un détours .
-Il y a des assassins ici ?
-Oui plusieurs et vous n'avez pas vue Bordeaux, elle est rempli d'assassins menée par un assassin très recherché nommée Antonio Valez , si vous le croisez dites le moi . Comment vous appelée vous enfaîte ?
-Je m'appelle Achille Valez !
-Non ... , vous le connaissez ?
-Oui c'est mon oncle !
-Donc vous êtes un ...
-Oui je suis un assassin bon Adieu .
Je lui planta ma lame dans la gorge et il tomba au sol "comme une merde" .

Nous rentrons donc dans la seigneurie où devez se trouvez des assassins .
Des paysans passent alors a coté de nous, ils avaient l'air de mauvaises humeur et semblait être énervée contre leur seigneur . Des soldats de la garde nationale arrivent a toutes vitesse , ils semblaient recherchée les assassins Bordelais . Nous continuons notre visite alors que quelques mètres plus loin , on vue la place du villages ou se passez une genre de "mini-révolte" . Quelques citoyens se battaient contre des gardes . Les citoyens se faisaient écrasé quand tout a coup plusieurs bombes fumigènes éclatent au sol , un grand nuage de fumée bouche notre vision . Le nuage se dissipa , et nous voyons alors 5 assassins debout avec a leurs pieds , du sang . Les gardes étaient morts et les citoyens encore en vie sauvé par les assassins .
-Merci a vous monsieur je ne sais pas qui vous êtes mais vous m'avez l'air bon mon amis .
-Je m'appelle Louis Rousseau , cousin du grand philosophe Rousseau .
-A cette homme, un crieur publique a criée son nom il y a quelques jours mais je ne sais pas si ses idées son possibles puis le roi est indétrônable , nous ne pouvons rien faire .
-Vous verrez qu'il y aura du changement .
-Si vous le dites mon amis mais je vous serais toujours reconnaissant de ce que vous venez de faire .

Après sa discutions l'assassin nous fait signe de le suivre.
Nous partons alors en pleine campagne pour aller vers Bordeaux .
-Je suis Louis Rousseau ,cousin du philosophe Rousseau .
-J'ai vus cela, je suis Achille Valez neveu de Antonio Valez, voici ma soeur Sophie et un ami Alejandro .
-Donc vous êtes espagnol ?
-Oui c'est bien cela .
-Antonio ne savez pas que vous allez venir a Bordeaux mais je vais vous y conduire, et il a appris sur la mort de Emilio Valez . J'en suis désolé .
-Je dois parlez a mon oncle, dormons un peu avant d'arrivée a Bordeaux .

Il y aura encore 1 parties !! :pf:

t-redead
Niveau 12
06 avril 2012 à 19:46:55
  • le nom de l'assassin:Silny
  • le prénom de l'assassin: Mohamed
  • l'age de l'assassin:24 ans
  • le pays de l'assassin: Tchéchénie http://fr.wikipedia.org/wiki/Tch%C3%A9tch%C3%A9nie

langue:russe tchétchène francais

  • le sexe de l'assassin:Homme
  • Mon grade : formée
  • la description de l'assassin, Physique puis morale:fait 1m82 80kg muscler moyennement cheveux noir yeux marron foncer petite barbe a la ezio

morale:quelqu un de naturellement gentil mais qu'il faut pas énerver

Mon assassins : http://hapshack.com/images/qlTSW.jpg
tenue assassins 2 : http://www.eklecty-city.fr/wp-content/uploads/2010/09/Assassins-Creed-artbook-project-06.jpg
tenue assassins 3 : http://th01.deviantart.net/fs70/PRE/i/2010/258/b/e/assassin_by_edux567-d2yrr5q.jpg
sans la tenue assassins : http://imageshack.us/f/83/831/acbscreenshotofficer.jpg/

  • L'histoire de l'assassin, son passé.

née en tchétchènie le 3 avril 1758 de pere et de mere musulman son pere etait un assassin. mohamed a était obliger de quitter son pays natale a 14 ans a cause de la guerre contre la russie son pere et les nombre de leur clan http://fr.wikipedia.org/wiki/Ta%C3%AFp les on protejer durant la fuite par décision de la mère ils sont partis en france avec ses 2 soeur,ses la qui'il a apris le français, après être gravement blesser son père les a rejoins et il est mort quelque annee plus tard a ses 19 ans.Mohamed est retourner en tchechenie et a rejoins les assassins après avoir fait ses preuves il fait le tour du monde pour aider ses frère.

capaciter spéciale: fureur du lion lui permet de augmentait la puissance de ses coup et leur vitesse.

arme: epee détient de son père se transmet de génération en génération http://www.mundoespadas.com/wp-content/uploads/2010/04/602-1551.jpg
deux dague http://www.mystic-gothic.ic.com/964-955-large/dague.jpg
arc
et lame secrète avec le pistolet intégrer

Mes apprentis:

Marek : http://hapshack.com/images/qemtu.jpg

Force :5
Résistance:5
Déviation:5
Vitesse:5
Escalade: 4+0.5=4.5
Discrétion: 4+0.5=4.5
Fureur du lion:9

1600+500=2100 pièce d'or

[Katniss]
Niveau 3
06 avril 2012 à 19:51:26

Ludovico :d) en esperent que se soit bien :)

Anecdote 1-Complication
2012
La grande salle est remplie d’une épaisse fumée blanche, un son désagréable perturbe Lisa. Elle n’entant plus rien, ne voie plus rien. Tout ses sens son brouiller suite a une petite explosion. Quelqu’un marche sur sa robe de soirée, elle panique, ne sachent pas qui marche prêt d’elle. Cette soirée qui commençait pourtant si bien devient vite son pire cauchemar. Son cœur bat de plus en plus vite, sa respiration s’accélère aussi. Elle essai de voir, mais sans succès. C’est alors que ses oreilles ne siffle plus, ce qui jusqu'à présent restait des questions devient des réponses. Les cris des femmes, les coups de feu. Lisa ne sais plus quoi faire, elle ne voie rien mais entend tous. Une main lui attrape la jambe, une voix lui lance aussitôt :
« Coure Lisa ! Sauve-toi !
_ Mais je ne voie rien ! »
Lisa tombe a terre et s’évanouis, surement a cause du coup qu’elle a pris, ou peut être a cause de la grenade qui a explosé un peut plus loin.

Elle ouvre les yeux sur un lieu ressembles a une cave, l’endroit est effroyable, mais elle voie, c’est le plus important. En se relevant elle porte la main a sa tête a cause d’une douleur, du sang lui coule sur le front. Rien de bien grave, mais cela suffit pour que la jeune femme panique.
« Il y a quelqu’un ?! Au secours !! »
Après plusieurs minute a hurler de toutes ses forces, elle remarque la camera dans la pièce. Aussitôt un homme en costume qui doit valoir une fortune entre dans la pièce. Lisa le dévisage avec frayeur. Il s’installe a la table qui ne dispose que de deux chaises, et invite d’un signe de la tête Lisa à s’assoir. Il ouvre un trieur noir remplie de formulaire et demande :
« Nom et prénom ?
_ Où suis-je ?
_ Mademoiselle je vous assure que vous êtes en de bonne main et en lieu sûre. Nom et prénom ?
_ Lisa … Lisa Evenou …
_ Age ? L’homme rempli le papier.
_ 17 ans … »
Pendant près d’une demi-heure la jeune femme répond à plusieurs questions. Où habite-t-elle ? Son poids, ses diplômes. Elle ne se sentait pas rassurée, mais n’avais pas le choix. A la fin de ses trente minutes, l’homme referme le trieur et la regarde droit dans les yeux.
« Vous souvenez-vous de la nuit dernière ?
_ Oui, j’était a une soirée, on dansait avec mes parents et … On a été …
_ Exactement, écouté vous êtes en sécurité, vous n’avez rien a craindre.
_ Où sont mes parents ?
_ Nous pensons que votre père a été enlevé par une organisation secrète, que cette attaque avait pour seul but de kidnapper plusieurs membres de cette soirée qui seraient en possession d’une sorte d’objet d’art. Votre père en faisait partit et …
_ Stop ! Mais qui êtes vous bon sang ! Je suis retenu prisonnière dans une cellule pourri, je ne sais pas qui ! « Lisa se met à pleurer » Je vous en supplie laisser moi partir…
_ Je suis des services secret, nous somme dans un sous sol de paris pour votre sécurité, ne vous inquiété pas tous va rentrer dans l’ordre. Vous reverrez votre famille si vous m’aidez.
_D’accord, il faut faire quoi au juste ? Elle se calme un peu.
_A vrai dire je ne le sais pas vraiment, mon rôle était de vous demander de nous aidez, je vais vous conduire voir le professeur, et on pourra commencer. »

Lisa suit l’homme dans des couloirs étroits, puis dans un ascenseur. Comparé au mur souterrain, l’ascenseur est neuf, sec et brillant. Un garde est obligé de présenter son empreinte digitale et de taper un code pour les laisser passer. L’engin monte très vite les 200 étages, Lisa en est impressionné. Arrivé a destination, les portes s’ouvre sur un immense bureau. La pièce est recouvert d’une peinture très pale, une machine y est posé en plein milieu, et derrière un homme en blouse blanche penché sur un dossier. Il fait signe a Lisa de s’approcher, et referme sa lecture. Un silence s’installe suite a la fermeture de l’ascenseur, il ne reste plus que le scientifique et elle. Il se met a sourire et lance :
« Mais ne reste pas planté là voyons ! Viens, viens t’assoir, je ne mords pas ! « Elle s’exécute » Bon nous avons du pain sur la planche, avant toute chose, je suis désolé de se qui arrive a ta famille et sache que les services secret métrons toute en œuvres pour t’aider…
_ Vous mentez tous tellement mal… Les services secrets ! Vous auriez peu trouvé quelque chose de mieux. Je fais parti d’une famille d’assassin, je ne le sais que depuis quelques mois mais j’en sais suffisamment pour savoir qui est en face de moi, un templier…
_ Bien joué… par simple curiosité, quand a tu deviné et surtout pourquoi est tu monté si tu sais ce qui t’attend ?
_J’ai compris dans l’ascenseur, il n’y a que la tour de Montparnasse qui possède autant d’étage, les services secret ne s’on pas dans cette immeuble. Et… Je veux passer un marché avec vous…
_ Je t’écoute.
_ Mon père ma souvent parlé des choses affreuses que les gens comme vous font subir au miens pour quelques informations, j’en ai très peur… Mais surtout je ne veux pas que ma famille subisse le même traitement…
_ Cela est plutôt mal parti je croie, que me propose tu ?
_ Laisser ma famille partir, laisser les et je vous aiderais du mieux que je le pourrais. Je n’opposerais aucune résistance, mais seulement si ma famille est hors de danger.
_ C’est d’accord, ta mère et ta sœur partiront ce soir, mais tu ne les verras pas et nous commençons maintenant.
_ Et mon père ?!
_ Je suis désolé… Mais il est mort dans l’attaque, quand je dis désolé bien sûr je ne le pense pas. « Lisa baisse les yeux et éclate en sanglot » Aller, on perd du temps, installe toi sur l’animus. Elle sèche vite ses larmes, pour ne pas montrer de signe de faiblesse et s’allonge.
_ Il m’en avait parlé, ça va faire mal ?
_ Ma cherche, ceci est un animus d’Abstergo, il n’y a rien de plus confortable ! Bon nous allons commencer pas une séquence d’une de vos très grande ancêtre, mes supérieurs pense que cela nous mènera a se que l’on cherche. Elle s’appelle Katniss.

[Synchronisation]
Brest, mars 1782

J’arrive aux portes de la ville de Brest, l’odeur de la mer et du poison remplie mon esprit. Je regrette Brocéliande, les bois et gibier me manque. J’ai laissé l’arc de mon père a David mon frère pour qu’il s’entraine. Je ne porte plus qu’un tenu d’assassin et une dague, je n’ai même pas d’argent. Le voyage fut long, car mes collets ne donnais pas beaucoup à manger. Je parcours la ville a la recherche du repère d’assassin, que je trouve assez facilement. En entrant je ne vis pas beaucoup d’assassin, un homme en tenu noble m’accueilli.
« Rien est vrai… Commence-t-il.
_ Tout est permis. Fini-je.
_ Bienvenue, puis-je t’aider ?
_ Oui, je suis Katniss Evenou, Mon père a été formé ici. Je viens commencer ma formation.
_ Ravis de te connaitre Katniss, je vais informer le mentor de cette nouvelle, il te recevra demain. Je vais te conduire au dortoir. »
Je le suis dans de magnifique couloires remplis de bleu, signe de la mer surement. La couleur ne me plais pas, mais je n’ai pas vraiment mon mot a dire. Nous traversons une grande salle remplis de table, où plusieurs groupes mangent, plus une bibliothèque, et une armurerie. Nous arrivons enfin dans le dortoir femme, il me conduit au 13e lit, rangée de droite. Il me laisse après un signe respectueux de la tête. Il doit être midi mais je suis morte de fatigue et m’effondre sur ma couchette. Je m’endore en pensant a ma journée de demain, mon entrainement et peut être ma première mission…

Lenski
Niveau 10
06 avril 2012 à 19:58:32

Je pense que les didascalies font un peu bizzare et cassent un peu la lecture du dialogue mais bon , chacun son style :noel:
Ludo va s'occuper de toi :pf:

[Katniss]
Niveau 3
06 avril 2012 à 20:03:40

ok dac merci du conseil !! je prend note :-)
Sinon tu la trouvé comment ??

Lenski
Niveau 10
06 avril 2012 à 20:06:23

trés bien :noel:
Je pense que la flamme va être obligé de tenir compte de tes textes dans l'intrigue :-)

N'est-ce pas flamme :sournois:

[Katniss]
Niveau 3
06 avril 2012 à 20:07:57

C'est a dire ? Il y a une intrigue générale ?

Sujet : [JEU] L'ère des Assassins
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