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Assassin's Creed III

Sujet : [JEU] L'ère des Assassins
yiazo
Niveau 4
29 décembre 2011 à 22:31:14

J’avançait, dans la nuit sombre, la-bas se tenait fièrement l’ambassade, et derriere ses murs, l’ambassadeur .
J’escaladerai l’ambassade, briserai la fenêtre, et tuerai l’ambassadeur, rien de plus simple .
Sa y-est, je commence à escalader, au loin, j’aperçevait des gardes, pff … Trop occuper à jouer aux cartes .
Le rebord de la fenêtre, allez encore un petit effort ..
.. AIE !
Une flèche s’était planté dans mon dos .
- Les gardes m’ont reperé, il faut que je fuie !
Mes forces commence à me quitter .
- P*tin Lief lache pas !
Trop tard, je tombit alors, la chute me paressait interminable, et le choc …
Mais … Mais je n’était pas mort ! Il fallait que je survive, ma vie n’était pas fini, alors je me mit à ramper, un bras, puis un autre, un bras, puis un autre .
C’est alors que je distinct au loin un garde, sur un cheval,…
- Ma seule

  • tousse *

-Chance de survie ….
Me redressant je courus dans des buissons et attendit que le garde soit à porter pour …
Je sautit sur le cheval, planta ma lame dans la nuque du garde, et galopa le plus loin possible .
Mes yeux se fermé doucement ……

Quand je me reveillit, j’étais dans un lit, et à mon chevet, une femme, extrêmement belle et un enfant, d’environ 15 ans .
- Qui êtes vous ? Demandis-je
- Ah, ça, c’est à vous de nous le dire,,répondit la femme, hier, alors que Thomâs, m’ayant désobéi, vagabonder dehors, il vous à retrouver à moitié mort, et vous à ramener à la maison, en vous portant, c’est vrai que vous n’êtes tres lourd . Enfin, j’ai enlever la flèche, vous avez de la chance, 2cm de plus, et c’était fini pour vous, j’ai desinfecté puis recousu la plaie .
- Seriez vous medecin ?
- Non, mais mon père l’était, avant de mourir .
- Je suis désolé .
- Non, ce n’est rien, d’ailleurs il n’a pas fini sa vie en tant que mèdecin mais en tant qu’assassin .
- Vraiment, quel était son nom ?
- Il s’appelait Ichale .
La mémoire me revint, Ichale ! Mon vieux maître, tué par ce traitre de Geriuk .
- Il à été mon maître pendant un temps, c’était comme un père pour moi …
- Vous êtes donc assassin ?
- Oui, mais enfin, surtout ne dites à personne que je suis venue, d’accord ?
- Je serais muette .
- Bon, il est temps pour moi de partir, merci pour votre accueil, je vous en suis extrêmement redevable .
- Ce n’est rien voyons, mais qu’allez vous faire ?
- J’ai des choses importantes à faire .
- Vous avez besoin de repos !
- Désolé, mais je ne peux .
Je franchit le seuil de la porte quand Thomâs me rejoignit .
- Attendez, si vous êtes assassin, je veux être votre disciple, s’il vous plait, ma place n’est pas ici !
- Desolé petit, mais non, ne fous pas ta vie en l’air .
- Mais arrêtez ! Depuis que ma plus tendre enfance je veux devenir assassin, je m’entraine nuit et jour depuis bien longtemps !
- Ta mère est-elle au courant ?
- Elle est d’accord !
- Bon OK, mais reste ici, je reviendrais à l’aube, demain .
- Je ne peux pas vous aider ?
- DEMAIN ! A prendre ou à laisser !
- Bon OK ….
Maintenant que j’étais parti, il fallait trouver une solution, peut être valait t-il mieux persuadait les voleurs d’abords .
Je me dirigeait donc vers le bar qui servait de QG aux voleurs .
J’entra dans le bar et m’adressa à la serveuse :
- Je voudrai parler à Joseph Delaviergedelion s’il vous plait .
- Soites, JOSEPH QUELQU’UN VEUX TE PARLER !
Un homme massif descendit, une beret sur la tête, et une forte odeur de fromage .
- Alors, qu’est-ce qui vous amène ici ?
- J’ai une question, quel sont vos relations avec les templiers .
- Ah oui, il veulent que nous nous rallions à eux, mais bon, cela ne m’apporterai rien . Ces chiens nous mettent des batons dans les roues plutôt qu’autre chose .
J’étais rassuré :
- N’avez-vous jamais pensé à vous alliez au assassins .
- Sachez, très cher, que je n’accepte rien sans rien .
- Que voulez vous que je fasse ?
- Eh bien, il y a quelque jours, un gamin nous à volé une coupe en or massif, et cela a …. comment dire .. Ternis notre image, des voleurs volés … enfin, retrouvez nous la coupe, et nous nous allierons à vous .
- J’y vais de ce pas .
Et je sortit, comment allais-je pouvoir faire .
- Eh maitre !
C’était la voix de Thomas .
- Que fais tu ici !
- Bah je vous ai suivi .
Je mit un coup de pied dans le ventre de Thomas .
- AÎE !
- La prochaine fois que tu me désobéira, ce sera pire !
-AIE ….. Oui …. Maitre ….
- Bon je dois retrouvé une coupe en or massif, un brigand l’aurai volé .
Thomâs se mit à rougir .
- Eh bien, maître, c’est moi qui les volait, c’était pour mon entrainement et ….
- OU EST T-ELLE !
- Eh bien, je l’ai enterrer pas loin ..
- COURS LA CHERCHER !
Et il détala comme un lapin, peut-être étais-ce une mauvaise idée de l’avoir recruter, enfin maintenant il était trop tard, Je ne l’abandonnerais pas, je ne suis pas comme mon père .
20 minutes plus tard, il était revenu .
- Tiens, la voila .
Je prit la coupe, et lui faisant signe de rester à l’exterieur .
- Joseph, voici votre coupe !
- Ah merci comment l’avez-vous …. Non je ne veux pas savoir .
- Bien, alors acceptez vous alliez avec les assassins ?
- D’accord .
- Bien, il est temps que je parte .
- Qu’allez vous faire ?
- J’ai l’intention de libérer cet ville de l’influence des templiers .
- Dans ce cas, nos lames sont vôtres .
A ce moment Joseph monta sur la table :
- Mes frères, allons à l’ambassade, et bottons les fesses à ses templiers !
- Attendez ! Ne nous emballons pas ! Nous sommes en inferiorité numérique .
C’était trop tard, ils étaient déjà en train de courir .
- Eh merde, faut que je sois au château avant eux . Comment je pourrais faire, une seule solution, prendre l’ambassadeur en otage et demandé aux templiers de poser les armes !
J’arrivai devant ce mur, qui avait failli me prendre la vie . Et à ma grande surprise, je montit à une vitesse phénoménale .
La fenêtre de l’ambassadeur, était à 2 mètres quand je vit une flèche venir au loin .
- Eh merde pas encore !
La flèche était à 2 mètres quand une autre flèche vint se planter dans la flèche .
- SA VA MAITRE ! Cria Thomâs
- OUI !
Je brisa donc la fenêtre, l’ambassadeur était à son bureau .
Je lui mit ma lame sur son cou .
- Vous allez me suivre bien gentillement .

Et c’est ainsi que les templiers furent chassé de la ville, et que Thomâs devint mon apprenti .

yiazo
Niveau 4
29 décembre 2011 à 22:46:21

Tant de mal pour 0 posts :-(

Ludovico_Orsi
Niveau 10
29 décembre 2011 à 22:48:22

Si si j'ai vraiment adoré bon toujours quelques fautes. Ecrit sur word ça t'aiderat.sinon j'adore le tempérament des personnage mais juste essaye de décrire un peu plus c'est vraiment ça qui manque. Je dis 1,5 point et 1000 ducats. Je t'aime bien t'es vraiment à fond

yiazo
Niveau 4
29 décembre 2011 à 22:52:57

Ah merci, bon c'est tout pour ce soir !

Lenski
Niveau 10
30 décembre 2011 à 09:50:33

C'est vraiment trés bien :oui:
Mon seul conseil : peut-être un peu plus de description et un peu moins de dialogue .
Mais sinon le reste est plus que correct
bravo :clap:

Lenski
Niveau 10
30 décembre 2011 à 11:21:17

----VERSUS----

-Il est tard et je vous remercie pour votre hospitalité .
Vincent sortit de la maison close avant de retourner chez lui . Il fut accueillit par deux bonnes qui prirent ses vêtements . Il se mit à réfléchir avant de s'approcher de sa bibliothèque et d'en tirer un livre . Il regarda la couverture rouge sombre et l'ouvrit .
-L'héritage des Lenski … L'expérience accumulées de plusieurs assassins depuis un siècle et l'apprentissage de mon ancêtre Donov …
Il regarda la pluie torrentielle par une fenêtre .
-Que dirais-tu si tu nous voyais ? Serais-tu fier ou non ? Serais-tu à nos côtés si tu le pouvais ?
Il se mit à réfléchir pendant un moment il regarda sa canne avant de s'asseoir sur un fauteuil . Tout lui semblait soudain réellement complexe . Il tenta de faire le point en essayant de rassembler ce qu'il savait . Il en vint à hésiter avant de retourner dans son bureau et d'y enclencher l'habituel passage secret caché dans une bibliothèque . Il descendit et observa son uniforme d'assassin , des vêtements ordinaires auxquels venait s'ajouter un long manteau muni d'une capuche . Il observa un moment l'antique lame cachée qu'il n'avait presque plus utilisé depuis son intégration dans l'ordre .
-Je vois , murmura Vincent .
Il enfila son costume d'assassin puis sa lame secrète avant de sortir de chez lui grâce à un passage secret menant directement aux égouts . Bien que relativement coûteux à installer , ce genre de passages avaient sauvé plus d'une fois la vie des membres de sa famille . Les titres de noblesse forçaient parfois à s'exposer et à prendre des risques mais grâce au ciel , jamais sa famille n'avait vraiment été victime des grandes purges d'assassins organisées par les divers souverains ou républiques .
-Voilà …
Il sortit des égouts pour accéder aux rue qu'il traversa aussi discrètement qu'il le pouvait .
-La république , pensa Vincent .
-Ses ancêtres avaient longuement combattu ces idées au point de devoir fuir lors de la révolution . Ils avaient profité de leurs titre de noblesse acquis en France pour s'installer en Angleterre et y commercer tandis qu'une autre branche de la famille située en Russie lutait contre l'invasion française . Ce fut finalement grâce à une grande coalition que les deux branches de la familles purent se réunir suite à la fin de l'empire de France . Depuis cette période , les deux branches ne s'étaient plus contacté au point que Vincent ignorait si l'autre avait survécu .
-Me voilà …
Il fit face à la maison close un instant avant de passer par le toit . Sans surprise , il y trouva un passage qu'il utilisa pour s'introduire . Il tomba nez à nez avec la maquerelle qui était occupée avec des documents .
-Qui …. Vous ?
-Pardonnez cette intrusion mais je ne savais ni où allez ni quoi faire .
-Je vois … Les assassins restent des êtres humains qui finissent par en avoir assez de la solitude .
Vincent s'assit sur un canapé .
-C'est vrai . Depuis le début de la révolution industrielle , ma famille a fait en sorte de contrôler et de produire le plus de choses possibles . Vous ne savez pas à quel point ceci peut être rentable .
-Pourquoi me parlez-vous de cela ?
-Vous vouliez en apprendre plus sur ma famille , non ?
-Oui , bien sûr , vous êtes un de nos frères après tout …
-Comme vous devez le savoir , nos ennemis nous éliminent dés qu'ils nous identifient et ma famille en fit également les frais . Bien que quelques uns d'entre nous s'étaient établis sous un faux nom dans un village , ils furent victime de ces répressions . C'était il y a vingt quatre ans . Une dizaine de membres de ma famille ont laissé la vie dans ce conflit sans réel intérêt et autant dire que ce fut difficile à encaisser pour les miens qui étaient resté à l'écart . En plus de cela , nous avons perdu le contact avec la plupart des assassins qui nous relayaient des informations .
-Nous avons également connu des pertes durant cette période , répondit la maquerelle avec un air triste .
-Ne croyez pas que je sois triste , répondit Vincent avec un air hautain . Ma famille a toujours opéré de cette manière et ceci nous a appris à être encore plus discrets . D'ailleurs , si vous vous en souvenez , il fut un temps où ma famille était si discrète qu'elle finissait parfois à s'opposer à d'autres assassins sans le savoir .
-Oui , vu comme ça …
-Pour le reste , je suis le seul assassin de ma famille en activité dans cette ville . Il doit y en avoir trois autres dans des villes différentes mais en dehors de ça , ma famille vit dans un manoir assez bien gardé .
La maquerelle se mit à réfléchir avant de se servir un verre de scotch .
-On me nomme Lexie et pour le reste , ma vie n'est guère intéressante …
Pendant un moment , Vincent eut l'impression que les yeux de Lexie brillaient d'une sorte de désir bestial .
-Je voudrais savoir ... Vincent , c'est ça ? …. Est-il vrai que votre famille détient une pomme d'eden ?
Vincent se mit à réfléchir tout en jetant un coup d’œil à sa lame secrète . Il finit par lancer un sourire narquois à Lexie et il eut aussitôt le sentiment que la femme avait compris qu'il ne révélerait rien à ce sujet .
-Ne faîtes pas l'enfant , c'est un élément d'une haute importance qui pourrait …
Vincent dégaina un revolver qu'il pointa en direction du front de la maquerelle . L'arme était reliée par une chaînette à la ceinture de l'assassin qui se contentait de sourire .
-Que cette information soit vraie ou non , je suis dans l'incapacité de vous répondre . Si nous la possédons , nous la cachons , si nous ne la possédons pas , alors nous attirons les templiers vers nous .
-Certes mais ….
-Combien êtes-vous ?
-Si on ne compte pas mes filles … Quatre .
Vincent éclata de rire avant de rengainer son revolver .
-Décidément , le temps est loin où nos prédécesseurs formaient en quelques mois une dizaine d'apprentis .
Vincent se leva et s'approcha de l'endroit par lequel il était entré . Il réfléchit un moment avant d'écrire son adresse sur un morceau de papier .
-En cas d'urgence ou de découverte de quelque chose d'important .
-Vous ne voulez pas voir les autres assassins ? Ils pourraient arriver dans quelques …
-Ne révélez à personne mon existence . J'ai moi-même beaucoup à faire .
Il sortit , rabaissa sa capuche et retourna en direction de chez lui . En traversant une rue , trois ouvriers lui firent face .
-Il aurait pas une pièce pour nous , le monsieur ? Demanda l'un des ouvriers .
-Je vous conseille de vous écarter .
-Wesh , vie de ma mère tu vas nous donner ton fric .
-Je vous aurais prévenu , répondit Vincent .
Il dégaina son revolver . Trois coups de feu retentirent dans la nuit .

-Hé bien , ce Vincent Lenski n'a pas usurpé sa réputation … Je me demande ce qu'il a à nous révéler.
-Plus important , sa famille possède-t-elle une pièce d'eden ?

Ludovico_Orsi
Niveau 10
30 décembre 2011 à 14:41:43

Mission : Les assassins veulent reprendre un quartier de constantinople mais il y a trop d'arquebusiers . élimines-en au moins cinq pour permettre à tes frères de passer
celui qui est à Constantinople ( dont j'ai oublié le nom)

Mission : Les colons ont commencé à fonder une ville . Gènes en la construction jusqu'à ce qu'ils abandonnent
celui qui est au mexique

Mission : Un noble Templier organise un repas pour convertir d'autre noble à sa cause. Tue le.
N'importe qui.

Mission : Les Templier mène un trafic d'arme prêt du marché. Nous avons repéré un marchand qui fait passer des fusils de contrebandes. Vole tous les fusils et inflige une correction au march

Mission nouveau monde : La guerre d'indépendance continue et ne fait qu'enpirer . Les espions ont rassemblés de nombreuses informations .
traversez les lignes ennemis pour faire transmettre les informations
(ps : vous choisissez votre camp)

n'importe qui , un maestro , de préférence.

yiazo
Niveau 4
30 décembre 2011 à 15:48:06

Bon je dois partir vous me reverrez pas avant le 2 .

Ludovico_Orsi
Niveau 10
30 décembre 2011 à 16:04:43

ok bonne vacances

Lenski
Niveau 10
30 décembre 2011 à 16:17:14

Quelqu'un a lu ce que j'ai écris ou je doit harceler ludovico ?`
\ :noel: /

Ludovico_Orsi
Niveau 10
30 décembre 2011 à 16:19:40

j'ai compris "loïc cole toi y" je devrais être payer à chaque fois qu'on m'empêche de finir mes missions tranquille. Bon allez je m'y colle

Lenski
Niveau 10
30 décembre 2011 à 16:25:29

Je te rappelle que ça commence en page 30

Merci de ta spontanéité :-)

Ludovico_Orsi
Niveau 10
30 décembre 2011 à 16:29:17

enfaite non c'est trop long pour l'instant j'ai pas l'envie. Ce soir peut être fait bossé Homm où maître de Fett à ma place un peu

Lenski
Niveau 10
30 décembre 2011 à 16:33:12

Ils viennent plus :-(
Bon , je vais envoyer un mp à rac pour qu'il vienne sur ta fic :snif:

Ludovico_Orsi
Niveau 10
30 décembre 2011 à 16:35:40

Ben justement fait les bosser y font chier a jamais être là. Y a des moments c'est gonflant

Lenski
Niveau 10
30 décembre 2011 à 16:45:52

Ii c'est comme le fonctionnariait :rire:
un qui bosse , un qui fout rien , un qui bosse , un qui fout rien ...

Donc toi tu bosses , allez !!! :sournois:

Ludovico_Orsi
Niveau 10
30 décembre 2011 à 16:51:22

going tu dead :hap: non tu peut mourir je lirais pas et puis j'ai mit trop de mots dans ma fic pour que Rac arrive à dépasser le chapitre 1

Lenski
Niveau 10
30 décembre 2011 à 16:55:53

Nous verrons ça , tu vas le regretteer :sournois:

Ludovico_Orsi
Niveau 10
31 décembre 2011 à 11:43:04

c'est bon j'ai fini j'ai toutes les autorisations neccessaire je post ma mission.

Mission 4
Octobre 1780
Petit cour d’histoire
« Vas retrouver le mentor de France pour en apprendre plus sur l'évolution de nos coutumes , de nos traditions , de nos techniques , de nos équipements ...
Dimitri Lenski »

-La France sérieusement !? Demanda Serpiente l’aire ahuri.

Je me trouvais maintenant devant le bureau de mon ami. Deux mois s’était écoulés depuis ma dernière mission mais ce matin j’avais trouvé une lettre qui contenait mon ordre de mission. J’avais pris le chemin de la taverne de la Serpiente pour lui proposait de m’accompagner.

-Oui Paris, en plus ce n’est pas le genre de mission où ils vont essayer de nous tordre le cou, dis-je en pensant aux Templier.
-C’est sûre. Bon va prendre tes affaires je nous prépare une calèche pour Paris, me lança Serpiente avant que je ne sorte de la pièce.

Je pris ma valise préparé exprès pour les missions et j’attendis une bonne heure avant qu’un bruit de sabots devant ma maison. Je me penchai à la fenêtre pour voir une somptueuse calèche blanche aux motifs d’or et tirée par deux chevaux marron magnifiquement peignées. Je descendis et un assassin qui devait être le chauffeur de Serpiente me salua en m’ouvrant la porte du carrosse. J’entrais et m’assis sur la banquette en cuir noir de la calèche face à mon ami qui sirotait un verre de vin. Il me regardait avec un air amusé. En même temps je devais surement tiré une tête de six pieds de long devant la richesse de Serpiente. Depuis la défaite de mon ancêtre les Templier contrôlaient la ville et les assassins vivaient dans la clandestinité s’ils n’avaient pas fuis la ville.

-Fait pas cette tête et prend un verre de blanc, me lança Serpiente dans un grand éclat de rire.
-Je ne veux même pas comprendre, dis-je en sortant le livre de Luis Lazaro.
-Alors ça parle de quoi ce livre ? Demanda mon ami nettement moins joyeux.
-Y a une partie biographie avec ses rapports de mission puis une partit codex d’armes et de techniques de combats. Un assassin exemplaire j’en suis à sa 8 mission à Casablanca comme nous la raconté le mentor Marocain, dis-je sans quitter le livre des yeux.
-Et ben ça ma l’aire joyeux. Au faite pourquoi mettons nous le cap sur Paris ?
-Il parait que le mentor est un grand spécialiste de l’histoire de l’ordre et il descend d’une très noble lignée d’assassin, dis-je toujours d’un ton absent.
-C’est quoi son nom ?
-Jérome de Fett, dis-je sans savoir que se nom allait me changer à jamais.

On mit à peine deux jours à passer la frontière. On fit juste une halte à Bordeaux pour nous ravitailler en vin. Je lus encore le codex de Luis Lazaro. Après sa huitième mission on dirait qu’il avait eu une vie plutôt banale. A vrai dire je lisais surtout la partie qui expliquait des techniques de combats. Bon j’avais du mal à les essayer dans la calèche donc impossible de savoir si ça marchait. On arriva à Paris le 17 Octobre soit deux semaines après notre départ. Le chauffeur nous fit descendre juste devant la guilde des assassins. C’était un très grand bâtiment situé sur la butte Montmartre de style assez ancien peint en noir et blanc. On tapa à la porte tout en marbre qui s’ouvra presque aussi tôt. Un assassin encapuchonné nous salua et nous fit signe d’entrer.

-Merci Philippe je vais m’occuper de nos inviter, lança une voix derrière l’assassin ouvreur de porte.
-Oui maître, dit l’assassin en ce retirant dans une autre pièce.

Le hall d’entré était magnifique. Le sol était fait de dalle de marbre blanche et noir qui faisait penser à un échiquier, deux escaliers en colimaçon permettaient de monter aux étages supérieurs. Des armures de chevaliers et des portraits donnés à la pièce un aspect de château. L’homme qui me faisait face avait dans les 40 ans, une légère barbe, une peau très blanche et la tenue des maîtres assassins. Ses yeux bleus me scrutèrent un instant puis il nous fit un très large sourire.

-Mes respects maîtres, dis-je dans un français parfait au maître Jérome de Fett.
-On ma prévenue de votre visite venez avec moi et j’espère que vous avez de quoi écrire, me dit le maître d’un ton amicale.

On suivit le maître dans son bureau. La pièce était assez sobre, les murs étaient recouverts de bibliothèques et le bureau au centre ensevelit sous les livres. Le maître de Fett s’installa derrière son bureau puis nous montra deux chaises.
-Allez y nous sommes tout ouïe, lança la Serpiente en prenant une chaise.
-Très bien alors par où commencer. Notre ordre a était crée au début des temps mais sa premier apparition historique date de 1050 en terre sainte dans une bataille contre les sarrasins. Mais nous agissions pour le monde depuis bien longtemps. Notre premier grand coup contre nos ennemies les Templier remonte à 44 avant J-C. Ca ne vous dit rien ? Demanda le maître de Fett avec un regard amusé.
-La mort de Jules César, dit la Serpiente comme suspendu aux lèvres du Maestro.
-Bien joué. Oui, sous les rois de Rome, notre ordre était persécuté. Le grand maître Macus Junius Brutus a réunifié notre ordre sous la république.
-La royauté laissant la place à la république ça ne vous rappelle rien ? Lançais-je en me rappelant le cas présent des révolutions.
-Passons. Toutes victoires précédent une défaite l’empire Romain des assassins a duré cinq siècles mais en 476 les Templier de l’Est l’on détruit. Notre ordre a eu du mal à s’en sortir pendant 500 ans mais c’est là que nous avons débarqué en Terre sainte. Pour la première fois notre ordre était reconnu officiellement. Restons en là pour l’instant mes assassins vont vous montrer vos chambres nous continuerons cette histoire au diner, dit le maître de Fett en nous indiquant la porte avant de plonger dans un de ses livres.

Je sortis de la pièce suivis de Serpiente. L’assassin ouvreur de porte nous montra notre chambre puis redescendit tenir sa porte je pense. La chambre ressemblait à celle des hôtels 4 étoiles. Un gigantesque lit au drap blanc encadrés de quatre petits piliers aux motifs dorés prenait tout le fond de la salle. Au milieu se tenait un canapé 4 places et 3 chaises. Il y avait aussi une salle de bain contenant une grande baignoire en marbre blanc.
On rangea nos quelques affaires dans les placards puis je pris un bain bien mérité. Pour le diner Je rangeai mon costume d’assassin contre une chemise en lin blanc déjà dans l’armoire et Serpiente troqua le sien contre une ample veste verte mais garda son masque vénitien.
Quand le clocher de Notre Dame sonna 12h00 la porte s’ouvrit et un domestique nous conduit à la salle à manger. Enfin la salle à manger on devrait plutôt parler de banquer dans ce genre de cas. La table immense contenant tous les mets imaginables et tous les assassins avaient déjà prit une chaise. Seul deux chaises libres se situaient à droite et à gauche du maître Jérome de Fett qui diner en bout de table. Il nous fit signe de prendre une chaise.

-Alors votre chambre vous plait ? Demanda-il en s’essuyant la bouche avec sa serviette.
-Elle est parfaite gracias, répondis-je en prenant un peu de vin.
-Donc où en étions-nous ? A oui nous parlions de la première reconnaissance historique de notre ordre. Entre parenthèse c’est à cette époque qu’on inventa la lame secrète qui fit grandement évolué notre ordre. Puis les premiers grands maîtres officiels firent évoluer les techniques d’assassinats. Mais le véritable grand maître qui a tout bouleversé est bien évidement Altair Ibn la-ahad. Il a inventé tant d’arme comme le pistolet miniature, la double lame, le moyen de ne plus se couper de doigt ou encore différente technique d’assassina. C’est surtout lui qui a décidé de faire repasser notre ordre dans l’ombre avant que les Templier de l’Est ne détruisent notre comme ils avaient failli le faire contre l’Empire Romain. Au lieu de livrer une bataille sanglante les Goths trouvèrent simplement la forteresse de Masyaf déserte. Ensuite notre ordre ne bouge pas tellement jusqu’au 15 siècle où arrive le grand maître le plus déterminant de notre ordre. Le maître Ezio Auditore Da Firenze.

A peine Le maître de Fett avait achevé le nom qu’une grande explosion retentit à l’extérieur. Ni une ni deux tous les assassins se levèrent, épée à la main et se précipitèrent dehors. Le maître de Fett nous suivîmes le maître jusque dans la tour qui surplombait le bâtiment. De là haut on voyait tout le champ de bataille.

-Les Templier lance souvent des offensives ici mais pas d’inquiétude, nous sommes bien préparés. Fusiller en place, hurla maître de Fett aux dix hommes armés placés sur les toits. En joue ! FEU !
-Pendant que vos amis font mumuse de là haut on peut descendre nous ? Demanda Serpiente exaspéré.
-La tyrolienne est à votre droite venez alors suivez moi on rentre dans le tas, lança le mettre en prenant la tyrolienne suivit de très prêt par la Serpiente et moi-même.

Arrivés au milieu on exécuta l’un après l’autre des assassinas aérien. Bon une fois dans la mêlée c’était légèrement moins drôle. Je me suis retrouvé entouré par 4 brutes armés de haches qui tentèrent de me transformé en carpaccio. Heureusement un simple pas sur le coté suffisait à les désorienter. 4 haches s’abattirent donc contre un tronc d’arbre par terre et restèrent bloquaient suffisamment longtemps pour me permettre de sortirent mon épée et de faire une brochette de brutes. Quelques assassinats suivirent mais les Templier battirent très vite en retraite. On rentra pour se reposer et s’occuper des blessés. Serpiente et moi sommes allaient dormir juste après la bataille. Mon ami avait prit un couteau dans la jambe et on avait du lui bander la jambe et lui donner un béquille.

-T’es sûre que ça ira ? Demandais-je en aidant mon ami à s’allonger sur le lit.
-Ouai ouai t’inquiète. J’ai déjà vu pire, lâcha t’il en serrant les dents.
-Si tu le dis. Enfin prend le lit je dors sur le canapé. Je vais continuer le livre de Luis Lazaro. Si ta un problème t’appelle, dis-je en fermant la porte de sa chambre.

LE LENDEMIN

A 9H le maître de Fett nous fit revenir dans son bureau pour continuer notre but principal.

-Très bien je m’étais arrêté il me semble à l’avènement du grand maître Ezio Auditore Da Firenze. Cet homme a révolutionné notre ordre. Il est par contre venu au pouvoir dans de biens tristes circonstances. Il fut propulsé dans nos rangs après la pendaison de ses frères et de son père. Il a était entrainé par les meilleures. Il tua donc tout les plus grand Templier d’Italie. Avant de s’occuper de la famille Borgia et de tous leurs collaborateurs. Il fut nommé grand maître de l’ordre et devient l’ami de Niccolo di Bernardo dei Machiaveli. Il servit ensuite de pont entre les assassins d’Occident et d’Orient pour transmettre les technique de combat et les armes telles que la lame crochet ou les bombes. Là bas il fut profondément impliqué dans le conflit de succession du sultan Bayezid 2. A ce qu’on dit il y trouva une très grande sagesse. Il mourut à Florence en 1530 sans qu’on sache trop comment. Son second le maître Phillipe Leroy lui succéda et continua son œuvre. Quelques autre maître s’illustrèrent par la suite mais tous moins importants que ce que je vous ai déjà donné.
-C’est tout ? Demandais-je en achevant d’écrire ça.
-Oui c’est tout. Je suis ravi de t’avoir rencontré Ludovico. Aucun Lazaro n’avait mit les pieds ici depuis Luis Lazaro.
-Pardon ? Dis-je en entendant le nom de mon ancêtre.
-Bien sûre ton ancêtre a était l’élève d’un des miens. Joachim de Fett. Si tu reste ici peut être découvrira tu des choses sur lui.

Un regard passa entre moi et Serpiente. Mon ami rentra à Barcelone pour les affaires quand à moi je décidais de rester aux côtés du maître de Fett qui j’en suis sur à beaucoup de chose à m’apprendre.

MISSION ACCOMPLIE

Lenski
Niveau 10
31 décembre 2011 à 12:35:23

bien bien , à quand la suite ?

Sujet : [JEU] L'ère des Assassins
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