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Assassin's Creed III

Sujet : [JEU] L'ère des Assassins
[Laflamme]
Niveau 10
08 mai 2012 à 00:00:32

Et mon pied dans les contenances de ta force reproductrice c'est le mal? :sournois:

Jet_lag
Niveau 10
08 mai 2012 à 00:04:29

Mais...mais...pourquoi tant de violence? :snif: mais neanoins c'est trzs bie dit, et oui, c'est maaaal...

[Laflamme]
Niveau 10
08 mai 2012 à 00:08:18

Bah les simples d'esprit ne comprendront pas c'est déjà ça :pf:

Jet_lag
Niveau 10
08 mai 2012 à 00:10:09

Dans mon monde utopique, on mettrait les crétins dans des cages et on leurs ferait faire des tours en leurs lançant des cacahuètes :pf:

[Laflamme]
Niveau 10
08 mai 2012 à 00:11:47

Bof cela en deviendrai vite lassant je trouve :pf:
Et puis c'est des cacahuètes gaspillées :pf:

Jet_lag
Niveau 10
08 mai 2012 à 00:14:40

Tu crois? bon, on bouffe les cacahuètes et on leurs tiré les enveloppes. c'est mieux?

NpB-Asgardien
Niveau 7
08 mai 2012 à 00:19:13

J'ai commencé une FIC ce soir, si ça interresse queslqu'un :-)

C'est sur Skyrim : https://m.jeuxvideo.com/forums/1-19348-1236634-1-0-1-0-fic-la-naissance-du-mal.htm

layssez des commentaires :noel:

Jet_lag
Niveau 10
08 mai 2012 à 00:19:26

Je te laisse méditer la dessus, je vais me coucher

Deslimbes
Niveau 5
08 mai 2012 à 09:05:49

Donnant donnant, première partie :

9km au sud de Saint Augustine, Floride, 1781 :

Comme d'habitude, le voyage à cheval était lent, ennuyeux et inconfortable. Vraiment pas le truc du capitaine Deslimbes. Pour passer le temps, il essayait de faire le trie dans sa tête. Tellement de choses s'étaient passées au cours de ces derniers mois, on lui avait enseigné tellement de choses depuis qu'il avait fait son apparition dans le repaire des assassins qu'il était totalement perdu. Templiers, assassins, artefacts légendaires et pour finir... Rien n'est vrai, tout est permis...

Au bout de quelques minutes, Henri cessa de penser à tout ceci, surement à cause de la douleur naissante dans son crâne. Alors, son esprit dériva sur les techniques d'assassins que l'on voulait lui apprendre. Il ne s'était pas montré très doué, même médiocre. Il était presque incapable de grimper à un mur, alors pour ce qui est des « sauts de l'ange » et des « assassinats aériens », n'en parlons même pas. Tout ceci lui refit penser à la lame secrète qu'il avait réussi à intégrer à son gant. Il regarda son poignet, tenta de sortir la lame. Au bout de trois ou quatre tentatives, elle se montra enfin. Finalement, elle ne lui serait peut-être pas très utile...

Un bruit de pas et de conversation coupa le fil des pensées d’Henri Deslimbes. En général, les rencontres sur les routes du nouveau monde sont assez désagréables. Henri s’éloigna de la route pour se cacher dans la végétation assez dense pour que le cheval ne se fasse pas remarquer. Après une dizaine de minutes, deux personnes apparurent sur la route.

C'était deux hommes, ils étaient armés et discutaient de Saint Augustine, le village que le capitaine devait défendre. Henri tendit l'oreille et parvint à entendre quelques mots.

-Il faut quand même prévenir les autres que les villageois ne se rendront pas et qu'ils ont des fusils.
- Bah, ce n'est pas quelques pouilleux qui nous résisteront. Et puis, ils n'auront jamais le temps de s'organiser, je te rappelle que l'attaque va se dérouler cette nuit.

Super, Henri a vraiment de la chance. Du moins, avant que son cheval ne se décide à faire du bruit...

-T'a entendus ?
-Ca vient de là-bas !

Sur ces mots, les templiers dégainèrent leurs épées tout en se dirigeant vers Henri. Deux contre un et son pistolet ne fonctionne pas… C’est mal parti, il va falloir improviser. Henri parti le plus vite et le plus silencieusement possible derrière un arbre proche et attendit que les templiers arrivent à son cheval.

-Le cavalier ne doit pas être loin, reste sur tes gardes. Déclara un des deux templiers.
-Fait attention, répondit alors le second en cherchant les cachettes potentielles autour de lui.

Henri tourna légèrement la tête afin de voir où se trouvaient les templiers. Bingo, l'un d'eux lui tournait le dos. Doucement, il sortit son coutelas, puis se mit en position. Moins d'une seconde après, il courut en direction du templier et abattis son coutelas sur sa pauvre victime. Son arme trancha le pauvre homme de l'épaule droite au flanc gauche. Très bien, plus qu'un seul, ça devient un peu plus intéressant. Malheureusement, le cri de douleurs de son camarade l'a alerté et il charge Henri désormais. L'épée du templier rencontra alors le coutelas du capitaine, qui s'empressa de contrattaquer. Contrattaque paré habilement par le templier d'ailleurs. Ils continuèrent à échanger quelques coups, sans que l'un ne prenne le dessus sur l'autre. Alors que le combat durait depuis trois bonnes minutes, Henri comprit qu'il n'arriverait à rien en continuant ainsi. Ce n'est pas un duel d'escrime, tous les coups sont permis. Henri dévia un nouveau coup du templier, puis attaqua avec son arme le côté droit de son adversaire, tout en envoyant son poing gauche sur la tête de l'assaillant. Ce dernier bloqua le coup de coutelas et parvint de justesse à se protéger du coup de poing, mais ce qu'il n'avait pas prévu, c'était le coup de genou qui lui arrivait dans l'entrejambe... Dans un cri de douleur, le templier se plia en deux et Henri en profita pour donner un coup de coutelas de toute sa force au niveau du cou. La tête du templier roula au sol tendis que le capitaine montai sur son cheval.

Il devrait se dépêcher s'il veut organiser les défenses de Saint Augustine, car à en croire les templiers, l'attaque est prévu cette nuit. Au moins, ils ne s'attendront pas à voir les villageois résister, ce qui va œuvrer pour l'avantage d'Henri.

J'aimerais les impressions de ceux qui me liront, afin de savoir ce que je dois améliorer (et merci d'avoir lu au passage).

Bilbo1997__
Niveau 10
08 mai 2012 à 10:05:12

NpB : moi aussi j'avais fait une fic sur Skyrim :noel: Elle avait eu pas mal de succès d'ailleurs.

Pour ceux que ça intéresse ça s'appelle : "le chevalier lapin"

Bilbo1997__
Niveau 10
08 mai 2012 à 10:11:40

https://m.jeuxvideo.com/forums/1-19348-220938-1-0-1-0-fic-le-chevalier-lapin.htm

A cette époque je prenais souvent d'autres pseudos

Ludovico_Orsi
Niveau 10
08 mai 2012 à 11:03:49

Hello mother fucker !!!

Trop de texte cerveau qui sature :hap:
Malgré les bugs de mon ordi je vais d'abord co Deslimbes (oui je suis ton correcteur) on a joué ça au mistigri et j'ai perdu (oui on joue au mistigri dans nos bureaux de correcteurs. Have you got a problem ? ) Lens après si j'ai le temps.

Ludovico_Orsi
Niveau 10
08 mai 2012 à 11:12:54

Deslimbes :

Plutôt bon malgré des fautes. Sache que je suis le maître le plus démoralisant (sauf qu'en Lenski veut se débarrasser d'un des siens) donc tu risque d'en baver si je m'ennuie mais bon la tu risque rien.
Tu fais tout ton texte au passé et on a UNE phrase au présent qui n'a rien à foutre la mais qui est là quand même. Pour la phase de combat je te conseil les textes de Lenski. Soit plus précis plus rapide, oublie les points il faut que tout s'enchaine qu'on ai une impression de vitesse sinon les lecteurs vont sauter ces passages. sinon c'est bien 1 point et 200 ducats.

Jet_lag
Niveau 10
08 mai 2012 à 11:30:22

Salut tout le monde !

Ludo, bien les jours fériés? :noel:

Deslimbes
Niveau 5
08 mai 2012 à 11:38:06

Merci pour les conseils Ludovico. Je vais en tenir compte pour ma seconde partie. (Désolé pour l'orthographe, je réussis à faire des fautes même après être passé par un correcteur orthographique)
Pour ce qui est de la phrase au présent, tu verras que ce n'est pas la seul si tu relis le texte. Je trouve que lorsqu'elles sont bien placées, elles permettent une meilleure immersion dans le texte. Mais la phrase que tu as trouvée ne devait pas être bien placée...

Ludovico_Orsi
Niveau 10
08 mai 2012 à 11:49:18

Des :d) derien chui payé pour ça (Oopas :hap: )

Jet :d) Divin :hap:

[linkc]
Niveau 10
08 mai 2012 à 11:55:26

Salut tous le Monde :noel:
Je vois que Ludo est en forme :noel:
On perd pas les bonnes habitudes :noel:

Jet_lag
Niveau 10
08 mai 2012 à 11:55:50

Des :d) pas mal ton texte, on a à peu près eu la même idée sur la lame secrète, que notre assassin n'arrive pas l'utiliser. Mais bon, le mien ne l'a même pas encore reçue...

Ludo :d) et en plus y 'en auras beaucoup dans les semaines qui viennent :noel:

Bilbo1997__
Niveau 10
08 mai 2012 à 11:59:37

Le Vautour Noir (partie 2) :

Une quinzaine de touaregs s’approchèrent à dos de chameaux. C’étaient ceux qui avaient attaqués les Assassins et sûrement ceux qui les avaient attachés au milieu du désert.
Leeve tourna faiblement la tête vers Lucien. Celui-ci avait le regard dur et une expression de colère était peinte sur son visage.
Un des touaregs s’approcha et descendit de son chameau.
-May naeko ta hibonde neazo keiro !
Leeve parlait beaucoup de langues mais jamais il n’avait entendu celle-ci. Lucien lui répondit dans le même dialecte avec un calme qui contrastait avec son expression de rage. Le touareg éclata d’un rire féroce et se remit à parler.
Une fois que le touareg eut finis son discours, Lucien lui lança deux mots qui semblaient être des insultes et cracha par terre. Le touareg ricana de nouveau et pointa Leeve du doigt avant de reprendre la parole.
Le teint de Lucien passa du rouge au blanc en quelques secondes.
-Co… Comment… fit-il en Anglais, oubliant de répondre en langue touareg.
Le touareg lui dit quelque chose et ajouta un mot en haussant la voix. Tous les touaregs derrière lui se mirent à rire.
Lucien jeta un regard à Leeve.
-Qu’est-ce qu’il dit ? demanda l’Indien.
Lucien ne répondit pas.
-Qu’est-ce qu’il dit ?!
Le touareg s’approcha de Leeve et lui envoya son poing dans l’estomac. Leeve se serait plié en deux s’il n’avait pas été attaché à un poteau en bois. Le touareg lui mit un deuxième coup, plus puissant, qui coupa le souffle à l’Assassin et lui fit fermer les yeux.
Puis, le touareg prononça une nouvelle phrase.
Lucien grogna et tourna la tête vers Leeve qui tentait de reprendre son souffle. Le jeune Indien cracha un jet de salive et de sang par terre avant de relever la tête.
-Qu’est-ce… qu’il… a dit ?
-Il veut savoir où nous avons caché le fragment, répondit Lucien en serrant les dents.
-Comment sais-t-il que…
-Je l’ignore.
Le touareg, voyant que Lucien ne lui répondait pas, prit un peu d’élan et frappa Leeve une troisième fois.
L’Assassin faillit s’évanouir. En temps normal, un coup de ce genre ne lui aurait fait que peu dégât, il en aurait même rit. Mais après une journée et une nuit passée dans le désert, ligoté à un poteau en bois, sa résistance avait considérablement baissée.
Le touareg lui donna encore trois coups des poings avant de s’arrêter. Leeve cracha un filet de sang et tenta de reprendre son souffle, sans y parvenir.
Lucien hésitait. Lui, il aurait enduré n’importe quelle torture sans rien avouer mais il ne pouvait pas laisser son compagnon se faire tabasser sans broncher. Il allait parler quand la voix de Leeve s’éleva.
-Ne dis rien.
Il tourna la tête vers le touareg et lui lança un sourire moqueur malgré la douleur qui lui donnait envie de vomir.
-J’ai encore de la marge.
Le touareg sembla comprendre car il eut une expression de colère.
Il projeta son poing dans les côtes de Leeve en y mettant toutes ses forces. L’Assassin serra les dents mais crut défaillir. Le monde tourna autours de lui et il sentit sa tête tomber sur sa poitrine. Là, il laissa échapper un filet de sang de sa bouche.
Le poing du touareg revint. Une deuxième fois. Une troisième fois. Une quatrième fois.
A chaque coup, Leeve lâchait un bref cri et fermait les yeux. Il avait cessé de respirer. Le touareg continua de se défouler encore une minute qui parut une éternité à Leeve.
Finalement, le touareg recula en se massant la main, un sourire satisfait sur le visage.
-Je me doutais que tu n’avouerais pas comme ça, fit le touareg dans un Anglais hésitant et avec un fort accent.
Il lança un ordre à ses hommes. Mais Leeve n’écoutait plus. Il n’arrivait plus à respirer. Son ventre n’était que douleur. Chaque inspiration lui faisait un mal atroce. Au moins trois de ses côtes étaient brisées.
Il fixait le sol, la bouche entrouverte. Du sang coulait sur son menton et sur son torse. Le touareg ne l’avait pas raté. Il sentit qu’on le détachait.
Il tomba dans le sable et y resta quelques secondes avant que deux touaregs ne le relèvent pour lui attacher les mains dans le dos.
Leeve, avec ses dernières forces, jeta un coup d’œil derrière lui pour voir les touaregs détacher Lucien de la même manière. Au sol, ils le rouèrent de coups de pied et ne s’arrêtèrent qu’une fois certains qu’il ne bougerait plus.
Ils lui lièrent les mains dans le dos aussi. Là, on plaça les deux Assassins sur des chameaux libres. Le chef s’approcha de Leeve et sourit.
-Nous vous emmenons à quelqu’un qui saura vous faire cracher ce que vous savez.
Leeve lui lança un regard noir avant de fermer les yeux, tentant d’oublier la douleur dans ses côtes. Il entendit Lucien crier une insulte en Français au chef touareg avant que les chameaux ne se remettent en route.
Leeve s’endormit sans s’en rendre compte.

Il fut réveillé par l’arrêt du chameau sur lequel il se trouvait. Le jeune Indien leva la tête avec difficulté pour voir que le soleil se couchait. L’air s’était, en effet, un peu rafraîchi.
Les touaregs avaient tous mis le pied à terre. L’un d’eux descendit Leeve de son chameau et le jeta au sol. Deux autres touaregs firent de même avec Lucien. Celui-ci se débattit mais un coup de poing dans l’estomac le plia en deux et l’immobilisa.
Le chef touareg s’approcha de Leeve et le redressa. Il prit l’extrémité de la corde qui liait ses poignets et se détourna pour se mettre à marcher. Un autre touareg prit la corde de Lucien de la même façon.
Ils abandonnèrent leurs chameaux ici, entre deux dunes, et se mirent tous en marche.
Au bout d’une dizaine de minutes, ils arrivèrent devant l’entrée d’une grotte. Les touaregs firent passer les Assassins devant. Le chef avait posé la pointe de son couteau sur le dos de Leeve, l’empêchant de reculer ne serait-ce que d’un pas.
Bien vite, la troupe arriva au fond de la caverne.
Elle avait été aménagée.
L’endroit était assez vaste et le plafond était parsemé de stalactites. Le sol était couvert de coussins et un feu brûlait au milieu. Il y avait quelques chaises et une table. Deux touaregs étaient en train de monter la garde.
Quand ils virent leur chef, ils se levèrent et se mirent quasiment au garde-à-vous.
Le chef leur fit signe de se détendre. Il rangea sa dague et lança un ordre bref.
Un touareg poussa les Assassins jusqu’au fond de la salle et les fit s’asseoir sur le sol, à un endroit non couvert de coussins. Il attacha ensuite l’extrémité de leurs cordes à une poutre en bois dépassant du sol.
Les autres touaregs allèrent tous s’installer autours du feu et se mirent à discuter, à rire, à jouer aux cartes, à nettoyer leurs armes.
Un touareg apporta des bouteilles d’alcool et tous commencèrent à boire. Plus personne ne faisait attention à Lucien et Leeve.
-Qu’est-ce qu’ils nous veulent ? demanda Leeve en chuchotant.
-Ca va ton ventre ? fit Lucien.
-Oui, ça va mieux. Alors ? Qu’est-ce qu’ils vont nous faire ?
-Comment veux-tu que je le sache ? Peut-être vont-ils nous torturer encore jusqu’à ce que nous crachions ce que nous savons.
-Tu n’aurais pas du me montrer l’emplacement du fragment. Si je l’avais ignoré, je n’aurais rien pu leur dire.
-Je suis sûr que tu résisteras.
-Je peux résister longtemps mais j’ai des limites. Et moi je n’ai pas suivit d’entraînement de résistance à la torture.
-Si la douleur devient trop forte, mord toi la langue. Comme ça tu mourras.
-Arrête, c’est horrible.
-Malheureusement, nous vivons dans un monde horrible. Il faut prévoir toute éventualité. Ta corde est très serrée ?
-Oui, impossible de la détendre. J’ai essayé. Et la tienne ?
-Pareil.
Lucien soupira.
-Avec un peu de chance ils se montreront cléments, fit Leeve.
-Eux ? Ha ! Ha !
Un touareg se retourna et leur cria quelque chose dans sa langue avant de cracher par terre. Lucien se tut.
-Qu’est-ce qu’il a dit ?
-Il veut qu’on se taise jusqu’à ce qu’ « il » arrive.
-Qui c’est « il » ?
-Aucune idée. Mais on ne devrait pas tarder à le savoir.

Lenski
Niveau 10
08 mai 2012 à 12:08:15

Les persos de bilbonch passent leurs temps à se faire torturer pour avouer :hap:

Sujet : [JEU] L'ère des Assassins
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