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Assassin's Creed III

Sujet : [JEU] L'ère des Assassins
t-redead
Niveau 12
24 mai 2012 à 16:34:45

Mon assassins : http://hapshack.com/images/YpjNk.jpg

Chapitre 4 partie 8

Qu'étais-je sensé faire, cet homme avait rejoint la cause des Templiers, et il était dangereux. Il fallait donc l'éliminer.
Mais l'image de l'homme à la barbe de quatre jours restait dans mon esprit. Comment un tel homme pouvait être un danger?

Il avait perdu sa femme, et sa fille, sa femme avait été violée et tuée, abandonnée dans la rue.
Que faire alors ? Je me demandais ce qui était juste. Mais y avait-il seulement quelque chose de juste? C'était la première fois que j'avais une vie entre mes mains, je devais décider de l'effacer ou pas.

C'était un poids énorme, comment pouvais-je supporter cette pression?

J'étais parti pour me réfugier sur le toit d'un bâtiment de Boston.
Mais même là j'étais incapable de réfléchir.

Je me demandais sérieusement si j'avais choisi la bonne voie. Être un Assassin avait paru être une si bonne idée sur le moment. 

Mais quand on y réfléchis, c'était stupide. Tuer des gens, vivre comme un criminel. Je me demandais comment j'avais pu abandonner une vie de confort pour cette sombre folie!
Soudain, une idée naquit dans mon esprit. Et si je retournais au manoir? Qui sait ? Peut-être que mon père me pourrait me pardonner ? 

Je me repris sur le champ! Qu'est ce que j'étais en train de penser! A abandonner mes camarades ? Non, il n'en était pas question.
Mais alors je devais m'acquitter de ma tâche.

Et il était clair que Jean-Pierre d'Isnard était fragilisé mentalement.

Je n'avais jamais été proche de ma famille mais je pouvais imaginer ce qu'il avait ressenti.
Un homme dans cette posture était facilement manipulable.

Après quelques minutes de réflexion, j'avais pris ma décision.

Il faisait plus frais dans le bureau de Klaus, c'était très agréable, surtout en plein après midi ou la chaleur pouvait être étouffante.
Klaus était là, assis sur sa chaise derrière son énorme bureau qui était couvert de papiers en tous genres.

Lorsqu'il m'entendit arriver, il leva la tête et les profondes rides de son visage prirent une forme différente qui irradiaient la chaleur et la bonté.

Son large sourire m'avait tout de suite mis à l'aise.

-Alors ? Où en es tu dans ton enquête ? M'avait-il demandé de sa voix étouffée qui ressemblait à un souffle d'agonie.

Je lui fis part de mes découvertes de la journée, mentionnant la situation critique des affaires du générale, la sensation qu'il se laisse dépérir, son affinité avec les Templiers, mais aussi les terribles évènements qui avaient frappé cet homme.

Klaus paru soudain réfléchir, en fronçant les sourcils ce qui faisait ressortir les rides aux alentours de ses yeux.

-Ce n'est pas mal pour une première fois, je dirais même que c'est très bien, très impressionnant, et en une journée en plus! Bravo!

-Merci Klaus. Dis-je d'une voix un peu plus morne que je ne l'aurais souhaité.

-Qu'y a-t-il ? 

-Je ne sais pas quoi penser. Dois-je le supprimer ou non ? 

-Toi seul peut répondre à cette question mon jeune ami.

-Alors je l'épargnerais. Repris-je après un long silence.

Klaus m'avait regardé l'air interrogateur, comme s'il attendait que j'en dise plus. 

-J'ai vu cet homme, il n'est pas dangereux, même si il le voulait il ne pourrait pas nous causer de tords. Il est ruiné, discrédité, détruit mentalement. Non, cet homme n'est pas n'est pas un danger, qui plus est d'un point de vue éthique, il à subi plus d'affliction que nous deux réunis, sa famille est morte, et il n'a rien pu faire. Je pense qu'il est manipulé, nous savons que chaque personne fragilisée mentalement peut être aisément réduit à l'état de pantin.

Klaus m'avait gratifié d'un sourire jusqu'aux oreilles.

-Je crois que Marcus aurait été fier de toi. Dit-il. Beaucoup de jeunes Assassins bâclent leurres premières enquêtes car ils sont pressés de faire leurs preuves, mais en temps que combattant et tueur. Quitte parfois à prendre le risque de sacrifier une vie innocente. Mais pas toi! D'ailleurs Marcus est arrivé à la même conclusion que toi.

-Pardon? Que veux-tu dire?

-Il veut dire que je suis fier d'avoir bien formé mon élève. Avait dit une voix derrière moi.
C'était Marcus, j'aurais reconnu sa voix parmi des centaines d'autres.
Il s'était caché dans un recoin entre la bibliothèque et le mur.

-Marcus? Je ne t'avais pas repère! Avais-je clamé.

-Je suis un Assassin émérite je te rappelle.

S'en suivi un de ces moments désagréables où tous le monde est silencieux et ou vous sentez observé.

-J'ai aussi enquêté sur cet homme, et j'ai aussi vu qu'il avait vécu une tragédie récemment. Avait dit Marcus rompant le silence gênant qui faisait loi. Je préconise donc de le laisser la où il est et de nous occuper de Armand Martin.

-Non! Avais-je clamé.

-Pardon? S'étaient exclamé Marcus et Klaus comme un seul homme.

-Et que faisons nous des informations qu'il pourrait nous apporter? 

-Quelles informations? Avait dit Klaus. Vous êtes tombés d'accord la dessus, le général n'est qu'un pantin à la solde des Templiers, il est très peu probable qu'il lui ait été fourni la moindre information viable.

-Oui mais cette fois-ci il sait des choses, regardez. Avais-je rétorqué en sortant la lettre que j'avais subtilisée dans le bureau du maire.

Après l'avoir lue à voix haute, Klaus et Marcus m'avaient regardés comme si je venais de leur livrer un odieux secret.

-Le projet "Aigle Royal"? S'exclama Marcus. Jamais entendu parler.

-Moi non plus, dis Klaus. Mais ce qui m'inquiète c'est cette phrase: "Le mariage d'un de nos plus fidèle partisans à la parente du Roy est en bonne voie"

-Il semblerait que les Templiers souhaitent se rapprocher de la couronne. Avait déclaré Marcus. De cette façon ils pourraient gouverner le pays tout entier, et vu que la France à une certaine influence au niveau Européen, ils pourraient mettre le continent sous leur botte.

-Marcus, celà semble fou! Si ton hypothèse est juste alors nous assistons à la plus grande machination que les Templiers n'ont jamais montée. Et pour faire une telle affirmation, sur quoi nous basons nous ? Une lettre qu'un Assassin novice à volé dans le bureau d'un ivrogne!

-Tu sais Klaus, il y à déjà un certain temps que nos informateurs s'affolent et disent que quelque chose se prépare. Celà fait plus d'un an maintenant, qui plus est il me semble que ce n'est pas la première fois que nous obtenons des informations sur ce plan "Aigle Royal".

Klaus regarda Marcus l'air déconfit

-Non en effet, un de nos alliés nous à déjà rapporté des informations sur un plan de grande envergure du nom de "Aigle Royal".

-Qui était cet allié ? 

-Un certain Robespierre je crois. Il me semble qu'il est avocat.

Klaus retourna à son bureau et fouilla dans ses archives, soulevant une épaisse couche de poussière. 
Après quelques minutes il en sorti une feuille qu'il lu devant nous à voix haute.

"Francois Robespierre", c'est un de nos informateurs, un jeune homme charmant à ce que l'on dit. Il habite à Marseille une petite maison que la confrérie lui prête. Je peux vous donner son adresse.

-Donne la nous je te prie. Avait demandé Marcus.

[linkc]
Niveau 10
24 mai 2012 à 16:47:52

C'est encore ton anniv' :noel:
Bon bah bon anniv alors :noel:

Jet_lag
Niveau 10
24 mai 2012 à 17:02:01

Hello tout le monde :noel:

yo link

t-redead
Niveau 12
24 mai 2012 à 17:22:03

Salut :pf:

Link jet :pf:

Jet_lag
Niveau 10
24 mai 2012 à 17:56:40

yo hérétique, je li ton texte et je post

Jet_lag
Niveau 10
24 mai 2012 à 18:10:14

Sympa, j'ai pas cherché les fautes, mais j'ai trouve une incohérences:

à un moment, tu parle tu projet "aigle royal". Les mentors disent ne jamais en avoir entendu parler. Après, il disent que leurs informateurs en avait déjà eu vent.

Sinon bien, tu met des gens historiques, et ton assassin et "humain"

t-redead
Niveau 12
24 mai 2012 à 18:26:54

Merci jet :pf:

Sa m apprendra a pas me relire :hum:

t-redead
Niveau 12
24 mai 2012 à 18:32:25

Pour les personnages historique c est vrai mais par exemple m.isnard est loin d etre un general c etait le maire de marseille vers les annees 1788 je crois

Jet_lag
Niveau 10
24 mai 2012 à 18:48:03

Lui je le connaissait pas... mais Robespierre déjà un peu plus

NpB-Asgardien
Niveau 7
24 mai 2012 à 20:43:28

Salut tout le monde :noel:

t-redead :d) je te co demain. :noel: je suis ateint d'une ENORME fleme !!!

t-redead
Niveau 12
24 mai 2012 à 20:54:40

Tu le fais quand tu veux je suis pas pressés :pf:

Jet_lag
Niveau 10
24 mai 2012 à 21:59:45

Yo Asgardonch.

Tu continu d'écrire ta fic ou pas?

Motoi_Le_Singe
Niveau 6
25 mai 2012 à 09:16:53

Contrebande: Les assassin vont recevoir un important lot de poison. Mais il arrive de l'autre coté de la frontière, et les douanes risques d’être gênantes. Faites en sorte qu'il ne s’aperçoivent pas de ce paquet.

Angleterre 1864
Je galopais pendant des heures pour ralier la frontière Ouest en pensant a toutes sortes de choses. L'origine de la guerre Assassin-Templier, qui était le tout premier assassin, qui était l'investiguateur de la secte des templiers, qui a inventé la lame secrète. J'ai rejoint les assassins parce que leur crédo ètait noble (et aussi car mes parents étaient morts et que mon frère devenait à moitié psycho) mais tant de questions sont à élucider, tant de point à éclaircir. 
Le trajet jusqu'à la frontière Ouest se passa sans encombre. Arrivé à la frontière,  je voulus sortir du pays, mais quatre gardes se postèrent devant moi:
- Nos ordres sont de ne laisser personnes franchir la frontière, beugla le chef de la division, veuillez faire demi-tour immédiatement!
- Je ne souhaite pas rentré mais sortir, répliquais je, et si je sort, je serais en dehors du pays. Je ne vous causerai donc aucun souci.
- Euuuuh, hésita mon interlocuteur , je vais demander au chef du camp. Bebert, tu le surveille. 
Sur ce, lui et deux autres gardes s'éloignèrent. Au bout de dix minutes, j'en avais marre d'attendre. Je pointa mon doigt dans le dos de Bebert et je pris un air surpris.
- Ooohhh! 
Et ça marcha, il se retourna pour voir ce qui m'impressionnait tant. Erreur fatale. Avant qu'il comprenne quoi que ce soit, ma lame transperçait sa cuirasse de part en part au niveau du coeur. 
Fier de mon tour, je fis demi-tour et m'appretais a passer la frontière quand j'eu une idée. J'attendit que les gardes ne reviennent. A leur retour, le chef de la division regarda le corp de Bebert et moi tour à tour, puis il sortit son épée et hurla:
- Rendez-vous, je vous arrète pour le meurtre de Bebert. 
- À votre place je ne ferais pas ça, dis je en levant les mains.
- Et pourquoi donc? 
- Car à l'intérieur de votre base, en ce moment même, cinq assassins se préparent à incendier votre repaire, vous n'avez en conséquent pas de temps à m'accorder! 
- Et pourquoi croirais je une crapule dans ton genre? 
- Parce que vous m'avez arrété et que je vous le dis en tant que bon perdant. Maintenant, vous en faites ce que vous en voulez, mais si votre repaire crame, faudra pas venir vous plaindre. 
- Je vous crois, dit-il en baissant son épée, mais que faire?
- À votre place, je rassemblerais toutes mes troupes pour fouiller le repaire. 
- Vous avez raison. RAPATRIEMENT GÉNÉRALE AU REPAIRE, TOUTES DÉSOBÉISSANCES À CETTE ORDRE SERA PUNIS DE DIX COUPS DE FOUETS. 
Tous les gardes rentrèrent illico presto à la base. Moi, je jubilait que le chef des gardes soit aussi stupide. J'était tout seul dehors à attendre que le chargement de poison arrive quand j'entendis un bruit de roue. Je regardais le convoi venir vers moi en pensant au garde qui a permis le passage de ce convoi. Arrivé à ma hauteur, le convoi s'arreta et le conducteur m'adressa la parole. 
- C'est vous l'assassin qui dois nous faire passer innaperçut?
- Oui, c'est moi!
- Bravo. 
Et il passa sans plus me parler. Quant à moi, je me dirigeais vers le QG avec une nouvelle question en tête, comment les templiers peuvent ètre la parti dominante avec des imbéciles pareille dans leur rang? Arrivé au QG, je me dirigeais vers le mentor pour lui faire mon rapport quand je vis mon frère. Je l'interpellait et lui dit:
- Devine quoi, j'ai réussi l'exploit de trouver quelqu'un d'aussi c** que toi. 
Ceci dit, je lui tourna le dos et me dirigea vers le bureau du mentor pour faire mon rapport. 

Motoi_Le_Singe
Niveau 6
25 mai 2012 à 09:19:15

Je sais pas comment vous faîtes pour faire des trucs aussi long, quand je crois que c'est assez long, bah c'est trop court. :hum:

Lenski
Niveau 10
25 mai 2012 à 10:00:31

Dis toi que t red triche en mettant autant d'espaces entre chaque ligne ~ :pf: ~

t-redead
Niveau 12
25 mai 2012 à 14:57:50

Qu'étais-je sensé faire, cet homme avait rejoint la cause des Templiers, et il était dangereux. Il fallait donc l'éliminer.
Mais l'image de l'homme à la barbe de quatre jours restait dans mon esprit. Comment un tel homme pouvait être un danger?
Il avait perdu sa femme, et sa fille, sa femme avait été violée et tuée, abandonnée dans la rue.
Que faire alors ? Je me demandais ce qui était juste. Mais y avait-il seulement quelque chose de juste? C'était la première fois que j'avais une vie entre mes mains, je devais décider de l'effacer ou pas.
C'était un poids énorme, comment pouvais-je supporter cette pression?
J'étais parti pour me réfugier sur le toit d'un bâtiment de Boston.
Mais même là j'étais incapable de réfléchir.
Je me demandais sérieusement si j'avais choisi la bonne voie. Être un Assassin avait paru être une si bonne idée sur le moment.
Mais quand on y réfléchis, c'était stupide. Tuer des gens, vivre comme un criminel. Je me demandais comment j'avais pu abandonner une vie de confort pour cette sombre folie!
Soudain, une idée naquit dans mon esprit. Et si je retournais au manoir? Qui sait ? Peut-être que mon père me pourrait me pardonner ?
Je me repris sur le champ! Qu'est ce que j'étais en train de penser! A abandonner mes camarades ? Non, il n'en était pas question.
Mais alors je devais m'acquitter de ma tâche.
Et il était clair que Jean-Pierre d'Isnard était fragilisé mentalement.
Je n'avais jamais été proche de ma famille mais je pouvais imaginer ce qu'il avait ressenti.
Un homme dans cette posture était facilement manipulable.
Après quelques minutes de réflexion, j'avais pris ma décision.
Il faisait plus frais dans le bureau de Klaus, c'était très agréable, surtout en plein après midi ou la chaleur pouvait être étouffante.
Klaus était là, assis sur sa chaise derrière son énorme bureau qui était couvert de papiers en tous genres.
Lorsqu'il m'entendit arriver, il leva la tête et les profondes rides de son visage prirent une forme différente qui irradiaient la chaleur et la bonté.
Son large sourire m'avait tout de suite mis à l'aise.
-Alors ? Où en es tu dans ton enquête ? M'avait-il demandé de sa voix étouffée qui ressemblait à un souffle d'agonie.
Je lui fis part de mes découvertes de la journée, mentionnant la situation critique des affaires du générale, la sensation qu'il se laisse dépérir, son affinité avec les Templiers, mais aussi les terribles évènements qui avaient frappé cet homme.
Klaus paru soudain réfléchir, en fronçant les sourcils ce qui faisait ressortir les rides aux alentours de ses yeux.
-Ce n'est pas mal pour une première fois, je dirais même que c'est très bien, très impressionnant, et en une journée en plus! Bravo!
-Merci Klaus. Dis-je d'une voix un peu plus morne que je ne 'aurais souhaité.
-Qu'y a-t-il ?
-Je ne sais pas quoi penser. Dois-je le supprimer ou non ?
-Toi seul peut répondre à cette question mon jeune ami.
-Alors je l'épargnerais. Repris-je après un long silence.
Klaus m'avait regardé l'air interrogateur, comme s'il attendait que j'en dise plus.
-J'ai vu cet homme, il n'est pas dangereux, même si il le voulait il ne pourrait pas nous causer de tords. Il est ruiné, discrédité, détruit mentalement. Non, cet homme n'est pas n'est pas un danger, qui plus est d'un point de vue éthique, il à subi plus d'affliction que nous deux réunis, sa famille est morte, et il n'a rien pu faire. Je pense qu'il est manipulé, nous savons que chaque personne fragilisée mentalement peut être aisément réduit à l'état de pantin.
Klaus m'avait gratifié d'un sourire jusqu'aux oreilles.
-Je crois que Marcus aurait été fier de toi. Dit-il. Beaucoup de jeunes Assassins bâclent leurres premières enquêtes car ils sont pressés de faire leurs preuves, mais en temps que combattant et tueur. Quitte parfois à prendre le risque de sacrifier une vie innocente. Mais pas toi! D'ailleurs Marcus est arrivé à la même conclusion que toi.
-Pardon? Que veux-tu dire?
-Il veut dire que je suis fier d'avoir bien formé mon élève. Avait dit une voix derrière moi.
C'était Marcus, j'aurais reconnu sa voix parmi des centaines d'autres.
Il s'était caché dans un recoin entre la bibliothèque et le mur.
-Marcus? Je ne t'avais pas repère! Avais-je clamé.
-Je suis un Assassin émérite je te rappelle.
S'en suivi un de ces moments désagréables où tous le monde est silencieux et ou vous sentez observé.
-J'ai aussi enquêté sur cet homme, et j'ai aussi vu qu'il avait vécu une tragédie récemment. Avait dit Marcus rompant le silence gênant qui faisait loi. Je préconise donc de le laisser la où il est et de nous occuper de Armand Martin.
-Non! Avais-je clamé.
-Pardon? S'étaient exclamé Marcus et Klaus comme un seul homme.
-Et que faisons nous des informations qu'il pourrait nous apporter?
-Quelles informations? Avait dit Klaus. Vous êtes tombés d'accord la dessus, le général n'est qu'un pantin à la solde des Templiers, il est très peu probable qu'il lui ait été fourni la moindre information viable.
-Oui mais cette fois-ci il sait des choses, regardez. Avais-je rétorqué en sortant la lettre que j'avais subtilisée dans le bureau du maire.
Après l'avoir lue à voix haute, Klaus et Marcus m'avaient regardés comme si je venais de leur livrer un odieux secret.
-Le projet "Aigle Royal"? S'exclama Marcus. Jamais entendu parler.
-Moi non plus, dis Klaus. Mais ce qui m'inquiète c'est cette phrase: "Le mariage d'un de nos plus fidèle partisans à la parente du Roy est en bonne voie"
-Il semblerait que les Templiers souhaitent se rapprocher de la couronne. Avait déclaré Marcus. De cette façon ils pourraient gouverner le pays tout entier, et vu que la France à une certaine influence au niveau Européen, ils pourraient mettre le continent sous leur botte.
-Marcus, celà semble fou! Si ton hypothèse est juste alors nous assistons à la plus grande machination que les Templiers n'ont jamais montée. Et pour faire une telle affirmation, sur quoi nous basons nous ? Une lettre qu'un Assassin novice à volé dans le bureau d'un ivrogne!
-Tu sais Klaus, il y à déjà un certain temps que nos informateurs s'affolent et disent que quelque chose se prépare. Celà fait plus d'un an maintenant, qui plus est il me semble que ce n'est pas la première fois que nous obtenons des informations sur ce plan "Aigle Royal".
Klaus regarda Marcus l'air déconfit
-Non en effet, un de nos alliés nous à déjà rapporté des informations sur un plan de grande envergure du nom de "Aigle Royal".
-Qui était cet allié ?
-Un certain Robespierre je crois. Il me semble qu'il est avocat.
Klaus retourna à son bureau et fouilla dans ses archives, soulevant une épaisse couche de poussière.
Après quelques minutes il en sorti une feuille qu'il lu devant nous à voix haute.
"Francois Robespierre", c'est un de nos informateurs, un jeune homme charmant à ce que l'on dit. Il habite à Marseille une petite maison que la confrérie lui prête. Je peux vous donner son adresse.
-Donne la nous je te prie. Avait demandé Marcus.

t-redead
Niveau 12
25 mai 2012 à 14:59:34

même sans espace il est long alors ta remarque lenski tu peux la mettre ou je pense :pf:

qui moi j'ai rien dit :pf:

Lenski
Niveau 10
25 mai 2012 à 15:31:44

Tu vois que tu peux poster sans mettre autant d'espaces \ :-) /

t-redead
Niveau 12
25 mai 2012 à 15:33:24

C est plus facile de se relire avec les espaces :pf:

[linkc]
Niveau 10
25 mai 2012 à 16:46:21

Bah tu met des espaces pour te relire et après tu colle tout :pf:

Sujet : [JEU] L'ère des Assassins
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