Assassin's Creed III

J'utilise pas le psn

Ah c'est bete

Y'a personne qui peut me corriger le texte ? :/

New age 300 pièces d'or et 1.5 points
Trop facile le passage où tu tues ta cible mais bon ça peut passer par contre je trouve qu'il y a des mauvaises formulations de phrases et le coup "d'un air de Sherlock Holmes" évite à l'avenir car j'avais beau chercher je ne voyais pas quel air le forgeron prenait et pourtant je voie Sherlock Holmes dans ma tête.
Enfin voilà j'ai pas la foi de rentrer plus en détail sur les points positifs et négatifs donc je vais m'arrêter là

Bad tu peux là rater tant que ton Assassin meurt pas

Il y aura quand même la baisse d'influence?

J'aviserai quand je te noterai

Flamme toujours aussi dur

Bah je vois pas en quoi je suis dur

D'accord. Je peux changer de correcteur? Je ne veux pas d'un qui ne sache pas la différence entre "la" et "là".

BLAGUE!!!
(Je préfère prévenir )

J'ai fait pire comme faute
Mais pour la peine, à ta prochaine mission je vais pas te louper :sournois

Tu risques d'être déçu, je fais attention aux fautes d'homophones

M'enfin, je suis pas trèèès satisfait de mon texte, j'hésite à poster

Nan mais pas te louper je veux dire au niveau de la note

Jet m'a dit un jour: "Pond un texte, qu'il soit médiocre ou pas. Tu transformera dans tes textes futurs tes défauts en qualité"

que de citations

Quel grand Homme ce Jet
Sur sa page Wiki il y a marqué: Jet-Lag était un forumeur, Cookisteur et Philosophe du Pays Jeuxvidéo.commien

lol fait tourner (pas la beuh le lien... quoi que la beuh aussi

Nan mais en fait il n'a pas de page wiki
C'était pour l'aspect héroique tu vois?

J'ai dit ça moi!?
ah... AH! Oui! ça y est je me souviens

Sinon oui CTM, Olivier est schizo, et Franck est sa "folie"

Et merci link de te soucier de mon aspect héroïque

Bon, je poste sans grandes convictions

Mes chers concitoyens :
Un seigneur d’une province près de Genève arrive dans une ville pour faire un discours. D'après certaines rumeurs, un groupe de Templier projette de l'assassinez. Le seigneur n'a rien fait de mal, alors sauvez-le de ses agresseurs.

Mai 1796
Une brise fraîche lui caressait le visage. Le balcon offrait une vue imprenable sur le Jura et la campagne en-dehors de la cité. Dans ces conditions printanières, rien de mieux que de lire. Et c’était bien à cette activité que Dan comptait s’adonner. Il venait de trouver, dans la bibliothèque de Philipe, un ouvrage écrit par Calvin. Bien qu’il ne s’intéressait à toute religion, ce fut cet homme qui avait façonné la Genève que l’on connait aujourd’hui. Et encore une fois, c’était un étranger qui se consacrerait à cette tâche. « Incapables, riait Dan.
-De qui parlez-vous, Père ? » Son fils l’avait quelque peu surpris. Il pensa que, la prochaine fois, il se cacherait sur le toit. « Qu’y a-t-il ?
-Une mission. Philipe nous attend. » Déçu de n’avoir pu entamer que la première page, il se leva, soupirant, l’ouvrage sous le bras.

Aussitôt l’avaient-ils rejoint, que Suzanne leur tendit une lettre, dont Stanley s’empressa de prendre. « Qu’est-ce ? demanda Dan.
-Une lettre d’un informateur, répondit le Genevois. Un seigneur vient en ville, et pour une raison ou une autre, les Templiers en ont après lui.
-Et nous devons les empêcher de le tuer, conclut Stanley, levant le nez après avoir parcouru le papier.
-…Jusqu’à ce qu’il termine son discours. Mais attention, ne tue personne. Il faut leur envoyer un message, dit Philipe, le regard sérieux. Oh et, surtout, notre homme ne doit pas être au courant que nous rôdons. Agis dans l’ombre pour maximiser l’humiliation que nous ferons à nos chers amis. » Acquiesçant, Dan se retourna pour se préparer. Mais il ne fit qu’un pas. Son fils semblait-il rajouter quelque chose : « Père ? » Dan répondit d’un gémissement. « Puis-je vous accompagner ? »

***

Stanley rejoignit son père, attendant la venue du seigneur du haut d’un toit, assis sur le corps d’un Templier. « Il est mort ?, s’enquit-il.
-Bien sûr que non. Philipe ne parlait-il pas d’humiliation ? Tu as quelque chose ?
-Notre homme fera son discours ce soir. Un certain Robert… En parlant du loup. » Il désignait du menton un homme de corpulence ronde, vêtu de riches habits marrons. Son crâne chauve luisait sous le soleil de ce midi. Il était entouré de quelques mercenaires, sans importance pour cette mission. Bien qu’ils puissent faire le labeur eux-même. « Reste sur les toits, je le suis depuis la rue, ordonna Dan. » Il descendit dans une ruelle, sans attendre de réponses. Il ne comprenait pas ces gens riche. Pour lui, rester seul, livre en main et une pomme, comblaient sa vie. Et pour ça, il n’avait aucunement besoin de tant d’argent. Quoique, pour une pomme en or. Mais si on ne peut même pas la croquer… « Regardez-le, se chuchotait-t-il, à pavaner dans les rues. » Il se mit à rire seul, sans lâcher, pour autant, le gros du regard.

Il remarqua sur un toit, son fils, assommant avec féroce un Templier. Il lui fit signe qu’un second arrivait depuis une ruelle. Aussitôt, Dan s’y rendit, marchant pour ne pas attirer l’attention. Alors que sa cible s’apprêtait à quitter sa cachette, il le repoussa dans l’ombre et, lui prenant le chef, lui assena un coup de genou sur le front, puis quitta la ruelle tranquillement. Il chercha du regard le seigneur. Et quelle fut sa surprise lorsqu’il l’aperçut entrer dans une maison close. Riant, au milieu de la foule, il s’imaginait les choses les plus sordides qu’il puisse se passer à l’intérieur. Il fit signe à Stanley de vérifier l’entrée, alors qu’il entrait.
A l’intérieur, une atmosphère chaleureuse régnait. Son homme était déjà entouré par deux femmes et, immédiatement après avoir fait deux pas dans le hall, une autre femme s’approcha, prenant sa main et le tirant à l’étage, sur les pas du seigneur. Son accoutrement léger ne le fit flancher. En fait, oui, mais il se mentait à lui-même. Les jambes de cette demoiselle n’avaient rien à vouloir de toutes autres. Elle entra dans une chambre, suivie par Dan. Robert, lui, pénétra dans celle à côté.

Le soir arriva. A part un ou deux autres Templiers trop impliqués, la vie de Robert n’était pas en danger. Dan n’eut la possibilité de prendre une pause à la maison close, que la femme de joie avec qui il se trouvait, lui sautait au cou. Avec un couteau. Il s’agissait bien sûr d’un Templier.

Une estrade était montée sur la place. Peek assistait au discours du seigneur. La foule écoutait attentivement. Rien ne semblait troubler ce moment, quand Dan remarqua une silhouette sur un toit au loin. Il se mit à courir vers elle. La silhouette semblait bander un arc. Il n’avait plus de temps à perdre. Quelques secondes sont suffisantes pour qu’une flèche vienne se figer sur le corps d’un homme. Plus il avançait, plus la silhouette devenait une femme. Puis, une femme familière. Puis, cette femme. Cette femme qu’il avait rencontrée lors de sa dernière mission. Elle était d’autant plus ravissante. Ses cheveux, auburn, tressés, retombaient sur son épaule. Elle portait des vêtements bleus, découvrant ses coudes, qui dessinaient ses hanches. Elle avait encore son amulette, cette croix rouge, carrée, signe de mal pour la Confrérie. En tout cas pas pour Dan. Il pensait qu’ils avaient le même but. Mais chacun voulait y parvenir à leurs manières. Et les manières des Assassins lui plaisaient plus.

Il bondit sur elle. Ils roulèrent sur les tuiles, l’un cherchant à prendre le dessus sur l’autre, puis tombèrent sur un balcon. Dan avait amorti le choc pour son adversaire qui le dévisageait, étonné de le retrouver à nouveau. Etrangement, ils ne bougeaient plus. Son regard s’était plongé dans le sien. Le monde autour d’eux semblait ralentir. Puis, Dan reprit conscience de la situation. Résonnèrent, en contrebas, les cris du marché. Les oiseaux qui volaient là, semblaient reprendre leur vitesse normale. Il remarqua qu’une lame était contre sa gorge. Mais son ennemie ne daignait bouger. Elle restait figée. Était-ce encore là une ennemie ? Il repoussa lentement le couteau. Son nez s’approchait du sien. Tout à coup, instinctivement, il la prit par le cou, se releva, sans la relâcher. Mais quelque chose lui empêchait de serrer. Quelque chose en lui. En elle. Il lisait dans son regard tout. Tout sauf de l’agressivité ou de la haine. Il la plaqua contre le mur, la main toujours autour du cou. Ils s’observèrent encore, considérant tous détails du visage de l’autre. Son cœur allait lui traverser le torse. Sans doute pour rejoindre celui d’en face. Elle ferma les yeux, ouvra légèrement la bouche, attendant que des lèvres viennent s’y poser. La dernière chose qu’il avait cru entendre, fut les cris de terreur de la foule…

***

Stanley retrouva Dan à terre, un couteau planté dans l’épaule, seul. Cependant, la lame n’avait touché aucuns points vitaux, mais ce fut loin d’être un produit de la chance, pensait l’Assassin, dont l’odeur de l’individu qui venait de le quitter lui hanterait ses nuits futures. Il apprit plus tard que Robert s’était fait décapité par un Templier, alors que Stanley réglait le compte d’un archer.

Je viens d'avoir l'idée de deux-trois phrases en plus, mais c'est trop tard

Quel est le verdict?