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Assassin's Creed III

Sujet : [JEU] L'ère des Assassins
Lenski
Niveau 10
17 juillet 2012 à 10:13:52

Moi je cherche des docs et une façon de rendre mes chapitres moins éreintants :o))

Lenski
Niveau 10
17 juillet 2012 à 13:15:50

[Juillet 1866 Autriche]
-Capitaine .
-Je sais .
Dans une forêt , plusieurs gradés de l'armée prussienne observaient une colline sur laquelle ils pouvaient apercevoir quelques soldats autrichiens occupés à préparer le terrain pour de l'artillerie .
-Alors , colonel ?
Ils se retournèrent vers le colonel qui lissa sa moustache d'un air concentré . Il prit ses jumelles , observa quelques instants la colline avant de se tourner vers ses subalternes puis vers la colline .
Mieux vaut ne pas les sous-estimer , simple précaution . Ils doivent être deux fois moins nombreux que nous mais avec plus d'artillerie . Ils doivent être occupés à les acheminer alors . Vous savez quoi faire .
-À vos ordres , répondirent tous les sous-officiers .
-Capitaine Von Leinsnitz , vous vous occuperez de la première vague et votre rôle sera d'ouvrir la voie à tous les autres .
-À vos ordres .
-Bonne chance Dietrich .
Dietrich s'alluma une cigarette avant de s'écarter des autres gradés .
-Allez les gars , on se secoue les saucisses de Francfort et on va botter les culs de ces autrichiens .
Il y eut de grands cris d'acclamation avant que des centaines de soldats prussiens ne se mettent en marche . Ils attendirent un peu avant de se mettre à courir vers les autrichiens qui réagirent aussitôt en se mettant en formation en haut de la colline .
-Espérons que les autres feront leur boulot , pensa Dietrich .
Il y eut aussitôt de fortes détonations avant que des explosions ne projettent les soldats autrichiens à terre . Dietrich réussit à monter en haut de la colline et fit mettre en position ses hommes . Ils tirèrent tous une salve avant de reprendre leur course vers le reste de l'armée ennemie .
-C'est vraiment trop facile , pensa Dietrich .
Ils virent les autrichiens se mettre en ligne avant d'ouvrir le feu . Dietrich vit ses compagnons tomber tout autour de lui mais il leur ordonna de se mettre en formation . La première ligne se jeta à terre tendit que tous les autres ouvraient le feu . L'échange de tir tourna rapidement à l'avantage des forces prussiennes mais ils eurent tous un léger doute en voyant les autrichiens mettre en place leurs baïonnettes .
-Allez , à l'ancienne les ..
Ils entendirent soudain un bruit fort . Il ne fallut que quelques secondes à Dietrich pour comprendre la menace .
-Carré ! Vite !
Les soldats firent aussitôt un carré tandis que des cavaliers arrivaient au galop vers eux . Ils tirèrent deux salves avant d'encaisser la charge . De son côté , Dietrich avait rallié un bon nombre d'homme et avait même prit le temps d'allumer une autre cigarette .
-Bon , les bourrins sont occupés avec les carrés . On se met en triangle et on finit les choses à l’ancienne , les troufions .
Les soldats tirèrent une salve avant de mettre en place leurs baïonnettes et de charger en triangle . Dietrich prit le commandement d'un des triangles et , avec ses hommes , il parvint à traverser les rangs autrichiens pour les prendre par derrière . Le corps à corps dura pendant un temps qui leur parut interminable mais au final ils finirent par mettre les autrichiens en déroute .
-C'est bon les gars , maintenant on rentre au camp et on attend les prochains ordres .

[Désynchronisation]
-C'est tout ?
-Le sujet a l'air de résister .
-Et bien injectez-lui vos merdes habituelles .
-La majorité des êtres humains ont peur de tuer . Lui , il a tué dix de nos agents de sang froid sans montrer la moindre émotion . Il a probablement été formé à .
-Les membres de sa famille , à notre époque , ont tous été des tueurs à gage ou des mercenaires alors que l'un d'entre eux sorti de nul part élimine dix de nos hommes ne me surprend pas plus que ça .

Bilbo1997__
Niveau 10
17 juillet 2012 à 14:00:46

Jerry comment il parle mal à ses hommes :rire: Dans la vraie vie y'a quand même un certains respect, les généraux envoient pas les soldats sur le champ de bataille en leur disant "allez, bande de troufion de mes deux, go, go, go !" :hap:

C'est pas une critique hein, mais ça m'a fait sourire :noel:

Lenski
Niveau 10
17 juillet 2012 à 14:06:31

on va *
:noel:

Lenski
Niveau 10
17 juillet 2012 à 14:13:22

Dans mon esprit
Dimitri
https://image.noelshack.com/fichiers/2012/29/1342527089-4cb811c995cdc.jpg

Dietrich
https://image.noelshack.com/fichiers/2012/29/1342527083-gunka-no-baltzar-2278273.jpg

Bilbo1997__
Niveau 10
17 juillet 2012 à 14:19:19

Dimitri se ballade avec une harpe blanche dans les mains et une cape :hap: Classe :hap:

Lenski
Niveau 10
17 juillet 2012 à 14:21:19

La harpe blanche a disparue avant son premier assassinat et la cape a dut disparaître durant la guerre d'indépendance :hap:

Lenski
Niveau 10
17 juillet 2012 à 14:36:23

On va quand même pas encore être les deux seuls et unique sur un jdr :(

Bilbo1997__
Niveau 10
17 juillet 2012 à 14:52:25

Oh... :( Ben, en vacance, y'en a qui n'ont pas internet donc bon :(

Bilbo1997__
Niveau 10
17 juillet 2012 à 15:00:47

Résistance (partie 2) :

Peter se dirigea vers un parking, près de la base nazi, désormais silencieuse. Il faisait nuit.
Peter s’alluma une cigarette et en inspira quelques bouffées avant de marcher vers une voiture. Il brisa la vitre d’un coup de coude et déverrouilla la portière de l’intérieur avant de s’installer au siège conducteur.
Là, il sortit une petite radio de sa poche.
Une vraie petite merveille. Ca coûtait déjà une fortune en temps ordinaire alors en temps de guerre La confrérie, où ce qu’il en restait, s’était ruinée pour offrir à Peter cet outil. Très pratique, c’était léger, facilement transportable et ça portait assez loin.
Les autres devaient se contenter de gros appareils de la taille d’un véhicule, impossible à bouger ou à cacher, et aussi discret qu’une vache rose au milieu d’un camp de concentration.
Peter régla les commandes de la radio et sortit un petit casque de sa veste qu’il mit sur ses oreilles et qu’il brancha à son appareil. Ensuite, il tourna diverses molettes pour tenter de retrouver la fréquence de la radio du Q.G.
Finalement, il entendit un grésillement.
-Salut Peter, fit la radio.
-Je suis bien au Q.G ?
-Pas exactement. C’est moi, Franz. Tu n’es pas content de m’entendre ?
-Oh, salut grand-frère. Comment ça va ? Tu as piraté la fréquence ? Depuis quand tu sais faire ça ?
-Je vais plutôt bien et pour répondre à ta question, j’ai appris il y a peu. Dis donc, tu as nettoyé une base Allemande à toi tout seul ? Et tu as récupéré des documents top-secret ? Pas mal.
Peter entendit le son d’un sifflement faussement impressionné, dans le casque. Franz eut un petit rire.
-Qu’est-ce que tu veux ? lança Peter.
-Je voulais ces documents pour moi. Ca m’embêterait que la confrérie des Assassins puisse les avoir en sa possession alors que moi je ne pourrais pas les lire.
-Dommage mais je les ai trouvés avant toi. J’ai gagné.
-Et oui, tu as été plus rapide.
-Au fait, comment tu sais que j’ai nettoyé la base ? Ca c’est passé il y a dix minutes et je suis le seul témoin de la scène. Où es-tu ?
-Quelque part. Un indice : Je te vois mais toi, tu ne me vois pas.
Peter regarda par la vitre brisée de la portière. Il était entouré de bâtiments abandonnés. Franz l’observait obligatoirement depuis unes de ces fenêtres. Mais dans le noir, impossible de le repérer. Ca aurait déjà été compliqué d’apercevoir une personne ordinaire alors Franz Même en plein jour, il fallait être un maître pour pouvoir le repérer.
-Bon, je renonce à te chercher, fit Peter. Dommage pour les documents hein ? J’ai gagné aujourd’hui mais tu gagneras peut-être une autre fois.
-Regardes dans le coffre de la voiture, Peter.
Le ton de Franz était amusé, comme celui d’un enfant qui prépare une bonne blague. Peter sortit de la voiture, le casque toujours sur les oreilles et la radio en mains. Il adorait les blagues, depuis tout petit. Particulièrement celles de son frère.
Peter s’approcha du coffre et l’ouvrit.
Il y avait un carton. Peter le déchira et écarquilla les yeux alors qu’un léger sourire de stupéfaction se dessinait sur ses lèvres.
Sur une petite bombe à retardement était collé un petit papier avec écrit dessus : « Je gagne toujours. Signé : Ton grand-frère adoré ».
La bombe explosa.

1942, Allemagne

John Magerlan, une cigarette entre les dents, sortit du bar, derrière le dénommé Clyde.
C’était un homme de grande taille, maigre, portant un chapeau beige qui lui cachait les yeux, vêtu d’un imperméable dont les bords traînaient au sol. John le suivit jusqu’à une belle voiture blanche, garée derrière le bar.
Clyde s’installa sur le siège conducteur et fit signe à John de s’asseoir à côté, siège passager.
John obéit tout en recrachant un nuage de fumée. Il se laissa tomber sur le siège et referma la portière avant de poser ses pieds sur le tableau de bord d’un air nonchalant. Il tourna la tête vers Clyde.
-Qu’est-ce que vous me voulez ?
Clyde retira son chapeau, dévoilant des cheveux gris malgré un visage plutôt jeune, d’une trentaine d’année.
-Tout d’abord, je me nomme Clyde Gimberdon. Et je suis venu d’Amérique pour vous rencontrer, monsieur Magerlan.
-John. Juste John.
-On peut se tutoyer ?
-Si tu me vouvoie, je te pète la gueule.
-Bien.
Clyde n’avait pas l’air impressionné une seule seconde. Il sourit et sortit lui-aussi une cigarette de sa poche avant de l’allumer et d’en inspirer plusieurs petites bouffées d’un air délicat. Il recracha des petits ronds de fumée qui allèrent s’écraser sur le pare-brise.
-Monsieur M John, commença-t-il. Sais-tu de qui tu descends ?
-De mon père et de ma mère.
-Hum Un peu plus loin que ça.
-J’en sais rien.
-Tu descends d’une lignée millénaire d’Assassin.
John étouffa un rôt avant d’écraser sa cigarette sur le dossier de son siège.
-Une lignée d’Assassin ? Ah ouais ?
-Tu sais ce qu’est un Assassin ?
-Un type qui tue des gens.
-C’est le sens courant. Je te parle des Assassin avec un grand « A ».
-C’est des Types, avec un grand « T », qui tuent des gens.
-Les Assassins sont des guerriers immémoriaux qui luttent depuis la nuit des temps contre un ordre rival appelé les Templiers. Les deux ordres combattent pour la paix mais leurs idées sont diamétralement opposées. Les Templiers pensent que la paix vient du contrôle et de l’ordre alors que les Assassins défendent l’idée que la paix vient de la liberté et du chaos.
-‘Sont cons.
-Il y a longtemps, les Assassins étaient très nombreux, présents dans tous les coins du globe, extrêmement puissants et dangereux. Aujourd’hui, ils sont discrets et se terrent dans des caves qui leurs servent de Q.G. Ils ne sont plus présents partout, et dans les quelques pays où ils sont actifs, ils ne sont qu’un nombre restreint qui n’osent plus se battre au grand jour, comme avant, préférant agir dans l’ombre. Et seule une petite poignée d’Assassin est vraiment dangereux pour les Templiers.
-Hum
-Les Templiers, quant à eux, ont vu leur nombre augmenter d’année en année, sans s’arrêter. Actuellement, ça me fait mal de le dire mais ils sont plus puissants que jamais. Moi, je suis un Assassin. John, j’aimerais que tu entre dans notre ordre.

Lenski
Niveau 10
17 juillet 2012 à 15:46:17

j'aime bien le coup de la vache rose :rire:

Lenski
Niveau 10
17 juillet 2012 à 19:13:30

-Allez les gars , on se secoue les saucisses de Francfort et on va botter les culs de ces autrichiens .

elle est mythique cette réplique quand même :rire:

Bilbo1997__
Niveau 10
17 juillet 2012 à 19:52:47

Je préfère le coup de la vache rose :hap:

Lenski
Niveau 10
17 juillet 2012 à 19:56:53

la vache c'est une pensée :noel:

En même temps , imaginez que t'es sur le point d'aller te battre et que c'est ça l'ordre d'aller au combat :rire:

Bilbo1997__
Niveau 10
17 juillet 2012 à 20:21:16

"aussi discret qu’une vache rose au milieu d’un camp de concentration. "

Cette réplique peut se sortir dans de nombreuses situation.

Ton voisin a une grosse bagnole, bruyante et qui fait de la fumée et tu veux partir en mission infiltration, tu lui dis : "Mais bordel, Gérard, ta voiture elle est aussi discrète qu’une vache rose au milieu d’un camp de concentration. :sarcastic: "

Dans une dîner de famille, Jeanne-Josette, la soeur du beau-frère du cousin au troisième degrès d'oncle José rôte, tu lui sors : "ah ok, aussi discret qu’une vache rose au milieu d’un camp de concentration. :hum: "

T'es en pleine filature avec un compagnon, et là le mec fait un gros bruit, genre il renverse un truc et tout donc la cible est perdue et au moment où tu dois rendre des comptes devant ton chef tu lâche : "bah ouais mais c'est Maurice, il est aussi discret qu’une vache rose au milieu d’un camp de concentration. :honte: "

Ca claque et en plus c'est une réplique qui se sort partout :hap:

Lenski
Niveau 10
17 juillet 2012 à 20:24:24

Si tu veux :noel:

Lenski
Niveau 10
17 juillet 2012 à 20:34:10

bilbo : cap de sortir ça dans une synagogue ? :o))

Bilbo1997__
Niveau 10
17 juillet 2012 à 20:37:44

Lenski : Avec des gardes du corps, une immunité judiciaire et si y'a pas grand monde, pourquoi pas ? :noel:

Nan, moi je le ferais pas mais Peter en serait capable :hap:

Lenski
Niveau 10
17 juillet 2012 à 20:42:09

:noel:

Enfin bon .... les phrases dépendent du contexte :noel:

Bilbo1997__
Niveau 10
18 juillet 2012 à 12:35:14

Les Lenski, une famille millénaire de guerrier Assassins luttant pour la liberté, passant, au fil des âges, de soldats, nobles, assassins, capitaine d'infanterie... clown :noel:

Sujet : [JEU] L'ère des Assassins
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