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Assassin's Creed III

Sujet : [JEU] L'ère des Assassins
Lenski
Niveau 10
16 juillet 2012 à 11:24:10

Dimitri lui n'en fait pas beaucoup :pf:
Enfin en même temps il a un sens inné de la stratégie qu'il met en application même avec ses relations personnelles et puis il passe des jours , voire des mois entiers à réfléchir :pf:
Il y a juste en Amérique ou il a pété un petit cablou car il avait pas l'habitude mais bon :pf:
en fait s'il avait été dans le camp français il aurait pu être maréchal d'empire et demander un petit royaume .... s'il l'avait voulu :pf:

Lenski
Niveau 10
16 juillet 2012 à 11:30:28

j'ai un personnage , une histoire , une époque , mais ça risque d'être particulièrement éreintant pour moi de l'écrire donc pour l'instant j'hésite

:spoiler:
ça doit se passer durant les guerre austro-prussienne et franco-prusse :pf:

:spoiler:

[Laflamme]
Niveau 10
16 juillet 2012 à 12:17:35

Pendant les années 1870? :pf:

Lenski
Niveau 10
16 juillet 2012 à 12:18:55

Non , pendant les années 320 :pf:

[Laflamme]
Niveau 10
16 juillet 2012 à 12:23:48

Ah ça remonte à longtemps :pf:

Lenski
Niveau 10
16 juillet 2012 à 12:25:08

c'était ironique :pf:

Lenski
Niveau 10
16 juillet 2012 à 12:34:10

Je t'ai fait gagner au master au fait :pf:

[Laflamme]
Niveau 10
16 juillet 2012 à 12:40:12

Merci :cute:

wgw2810
Niveau 9
16 juillet 2012 à 12:43:00

bonjour je suis nouveau est ce que on a le droit de crée un assassin alors que les autre sont expérimenter merci de me répondre cordialement wgw2810 :-)

Lenski
Niveau 10
16 juillet 2012 à 12:44:10

Oui tu peux venir :pf:

[Laflamme]
Niveau 10
16 juillet 2012 à 12:49:04

Ouais mais t'écouteras les critiques qu'on te donne pour t'améliorer car sinon tu peux passer ton chemin :pf:

[linkc]
Niveau 10
16 juillet 2012 à 12:59:13

+1 Flamme :pf:

wgw2810
Niveau 9
16 juillet 2012 à 13:01:47

oui maitre :noel:

Lenski
Niveau 10
16 juillet 2012 à 13:07:51

flamme sera ton^maître pour pouvoir te châtier :sournois:

[Laflamme]
Niveau 10
16 juillet 2012 à 13:16:55

Oui et non :pf:
En attendant le retour de Jet :pf:

Lenski
Niveau 10
16 juillet 2012 à 13:33:53

En attendant le retour des cookies dégeu :-(

Lenski
Niveau 10
16 juillet 2012 à 13:36:10

Je crains mes prochaines chapitres :-(
ou ce seront mes meilleurs ou je me vautrerai dans les grandes largeurs en plus d'avoir écrit un chapitre éreintant :pf:

Bilbo1997__
Niveau 10
16 juillet 2012 à 14:32:37

Résistance :

1942, France occupée

Le général Shultz regarda ses cartes. Une paire de valet. Pas mal. Il jeta un œil sur son adversaire, le jeune Von Zotërr. Il était mince, de silhouette athlétique, les cheveux noirs et plaqués en arrière, une cigarette dans la bouche.
Ses yeux étaient verts foncés, tout comme son uniforme. Il portait le brassard nazi sur son bras droit, comme le général Shultz, et comme toutes les personnes présentes dans la base.
-Alors, fit le général, il parait que vous êtes la figure montante en ce moment.
Von Zotërr sourit et regarda ses cartes.
-Eh bien oui, je commence à être connu il faut croire.
-L’opération « Cheveux d’Anges » y est pour quelque chose.
L’opération « Cheveux d’Anges », le mois dernier, dirigé par le jeune Von Zotërr, avait causé la mort d’une troupe entière de soldats Anglais, ce qui avait fait monter Von Zöterr en grade. C’était un jeune homme ambitieux, intelligent et remarquablement bon quand il s’agissait de diriger des hommes.
Nul doute qu’il irait loin. Shultz n’en doutait pas.
La partie de carte se finit. Il était tard. Il ne devait plus y avoir grand monde dans la base.
Von Zotërr se leva. Il sourit.
-Merci pour cette partie de carte, général. J’ai beaucoup appris.
Il contourna la table pour aller chercher son manteau. Shultz commença à ranger les cartes. Von Zotërr enfila sa veste et se plaça dans le dos du général. Celui-ci sentit une lame se poser sur sa gorge, délicatement.
-Que
-J’ai trois choses à vous dire, général.
-Von Zotërr, si c’est une blague
-Premièrement, je ne suis pas Von Zotërr mais Peter Malroy. Deuxièmement, Von Zotërr a été assassiné il y a quelques jours par mes amis. Troisièmement, je fais parti de la Résistance.
Shultz voulut se lever et dégainer son pistolet mais la lame s’enfonça dans sa gorge avec un bruit étouffé. Shultz hoqueta et tomba à genoux, les deux mains plaquées sur son cou, du sang jaillissant de sa blessure.
Peter Malroy le regarda agoniser en silence avant d’écraser sa cigarette sur la table. Il déchira le brassard nazi à son bras et se dirigea vers un des meubles dans la pièce. Il ouvrit un tiroir et en sortit des documents.
Après avoir vérifié leur contenu, Peter sortit de la pièce.
Il saisit au passage le pistolet de Shultz, qui était tombé par terre.
Deux hommes en uniforme nazi traversèrent un couloir. Le premier salua Peter amicalement. L’autre fronça les sourcils en voyant les tâches de sang sur sa chemise et l’absence de brassard où figurait une croix gammée.
Peter mit le deuxième en joue et tira. La balle lui transperça le crâne, faisant gicler du sang sur son compagnon, ainsi que des morceaux de cartilage et de cervelle.
Le nazi qui avait salué Peter resta figé. Peter lui tira trois fois dessus avant qu’il ne s’écroule.
Puis, le Résistant descendit des escaliers. Il sortit une cigarette de sa poche et l’alluma avant d’en inspirer une grande bouffée. Il entendait déjà les soldats monter, ayant entendu du bruit à l’étage. Peter laissa échapper un nuage de fumée de ses narines.
Quatre hommes en uniformes surgirent dans la pièce, armes en main.
Peter fit un pas et écrasa sa cigarette dans l’œil du plus proche. Celui-ci se plia en deux en hurlant et appuya sur la gâchette de la petite mitrailleuse qu’il tenait. Peter le prit par le col et le tourna en direction de ses compagnons.
Le soldat aveuglé fit feu. Les autres nazis aussi. Peter, caché derrière le militaire, attendait que les coups de feu cessent. Le silence revint au bout de quelques secondes.
Il lâcha le cadavre percé de trous du soldat et vérifia qu’ils s’étaient tous entretués avant de ramasser sa cigarette, dans l’orbite du nazi, et de la porter à sa bouche pour en inspirer une autre bouffée. Il ramassa une mitrailleuse et sortit de la salle.
Le hall était vide. Tous les autres soldats étaient partis depuis longtemps.
Peter jeta tranquillement sa cigarette par terre et l’écrasa avec son pied, tout en époussetant ses vêtements pleins de poussière et de sang. Une odeur de poudre flottait dans l’air. Une odeur de victoire aussi.
Le jeune homme sortit de la base, d’un pas tranquille et assuré. Il ne croisa que deux soldats sur son chemin. Il ne laissa que deux cadavres derrière lui.
La révolte était en marche.

1942, Allemagne

Le bar était bruyant, enfumé, et il régnait une odeur de sueur et d’alcool. Le mélange donnait un résultat ignoble.
Au comptoir, un homme, assez large d’épaule, portant une courte barbe et un collier de dents, vêtu comme un clochard, s’enfilait bières sur bières.
-Une autre, cria-t-il à la serveuse.
-Vous avez assez bu monsieur.
-Ta gueule. T’es là pour remplir les verres, sourire et montrer ton cul, pas pour faire la morale. Allez, donne-moi ça.
Il lui prit la bouteille des mains et remplit de nouveau son verre. Il voulut le porter à ses lèvres mais la serveuse lui arracha des mains et jeta son contenu par terre. L’homme resta figé, les sourcils froncés et un air énervé sur le visage.
-J’ai dit : Vous avez assez bu, répéta la serveuse. Dégagez de mon bar.
L’homme prit une expression boudeuse d’un enfant qui vient de se faire gronder. Il quitta le tabouret sur lequel il était assis et saisit une petite bouteille de cognac, au passage, avant de se diriger vers la sortie du bar d’un pas hésitant, visiblement ivre.
Une main se posa sur son épaule.
-Eh, connard, fit une voix.
L’homme se retourna pour voir un autre homme, très musclé, portant des vêtements de motards, le dévisager.
-La serveuse t’a dit de ne pas boire. Donne la bouteille.
Les amis du motard, assis à une table, ricanèrent. L’homme regarda sa bouteille, puis le motard, la bouteille, le motard, la bouteille, le motard. Finalement, il ouvrit la bouche.
-Et qu’est-ce que tu vas en faire de c’te bouteille ?
-J’vais la boire, pourquoi ?
Les autres motards ricanèrent de nouveau. L’homme resta silencieux un instant avant de déboucher la bouteille et de la porter à ses lèvres. Il la finit en deux gorgées. Les spectateurs de la scène se turent, impressionnés par une telle descente.
Le motard serra les dents.
-Sale
L’homme recracha tout l’alcool qu’il avait bu au visage du motard. Celui-ci recula de quelques pas en criant. L’homme prit la bouteille par le goulot et la fracassa sur le crâne du motard, qui tituba, posa un genou à terre et s’agrippa au rebord d’une table.
L’homme sortit un briquet et une cigarette de sa poche. Il l’alluma et la coinça entre ses lèvres avant de jeter le briquet allumé sur le motard trempé. Il s’enflamma instantanément et courut vers la sortie en hurlant, telle une torche humaine.
L’homme inspira une bouffée de sa cigarette et recracha un nuage de fumée.
-Les enfants ne devraient pas boire, lâcha-t-il.
Les amis du motard se levèrent et sortirent des couteaux de leurs poches.
-Enfoiré, on va t’apprendre à qui t’as affaire.
-Venez prendre votre branlée les gosses, fit l’homme.
-Arrêtez, cria la serveuse en tentant de s’interposer.
Un homme, dans le fond du bar, leva les yeux. Un des motards attrapa la serveuse par les cheveux et la jeta au sol.
-La ferme !
L’homme du fond se leva et sortit un pistolet de sa ceinture. Quatre coups de feu retentirent dans le bar. Les quatre motards s’effondrèrent, morts. L’homme ivre avait regardé la scène sans bouger. Il fumait paisiblement sa cigarette.
L’homme du fond s’approcha de lui.
-Monsieur Magerlan ?
-Ouais, c’est moi.
-Suivez-moi, j’ai à vous parler.
-Et t’es qui d’abord ?
-Je m’appelle Clyde. Nous avons beaucoup de choses à nous dire, vous et moi.

Lenski
Niveau 10
16 juillet 2012 à 15:05:45

Ouais !!!! Vive les allemands \ :pf: /

Bilbo1997__
Niveau 10
17 juillet 2012 à 09:59:58

C'est désert :pf: Tout le monde est à la plage ? :pf:

Sujet : [JEU] L'ère des Assassins
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