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Assassin's Creed III

Sujet : [JEU] L'ère des Assassins
Alcahe
Niveau 10
22 octobre 2012 à 18:43:25

Ah, enfin quelqu'un ! :noel:

Et désolé de demander, mais est-ce que quelqu'un pourrait noter ma mission svp ? :-)

[rock_n_troll]
Niveau 10
22 octobre 2012 à 18:45:50

Pas moi :noel:

Je ne suis guère correcteur :hap:

Alcahe
Niveau 10
22 octobre 2012 à 18:47:15

[rock_n_troll] :d) Maiiiieuh... :-(

:hap:

[rock_n_troll]
Niveau 10
22 octobre 2012 à 18:48:20

Je n'ai pas le niveau requis :noel:

Jet_lag
Niveau 10
22 octobre 2012 à 18:49:09

Moi je l'ai pas lu, désolé je le ferait plus tard.

Et ishuya, on a mis ce système pour que ça soit relativement cohérent, pour pas que des ton premier texte tu massacre 53 soldats sans rien te prendre.

Masi si t'écris bien, ça sera pas une contrainte :oui:

Alcahe
Niveau 10
22 octobre 2012 à 18:49:37

[rock_n_troll] :d) Et c'est quoi le niveau requis ? Juste pour pas crever idiot... :question:

Jet_lag
Niveau 10
22 octobre 2012 à 18:50:32

Y a pas de niveaux :gni:

Enfin faut juste ne pas écrire kikko/sms :hap:

[rock_n_troll]
Niveau 10
22 octobre 2012 à 18:51:10

C'est au dessus du mien :noel:

[Laflamme]
Niveau 10
22 octobre 2012 à 18:51:11

Bah il ne sera jamais maître sachant que le jeu est mort :pf:
Sinon 600 pièces d'or et 2 points :pf:

Bilbo1997__
Niveau 10
22 octobre 2012 à 18:51:50

J'ai un chap en cours d'écriture si ça vous intéresse :pf:

Alcahe
Niveau 10
22 octobre 2012 à 18:53:08

[Laflamme] :d) C'est pour moi ? :(

Bilbo1997__ :d) J'aime bien tes textes. :noel:

[Laflamme]
Niveau 10
22 octobre 2012 à 18:54:07

Ouais :pf:

Alcahe
Niveau 10
22 octobre 2012 à 18:56:57

[Laflamme] :d) Merci. :)

Stats :

Force : 5
Résistance : 5
Déviation : 4
Vitesse : 5
Escalade : 4
Discrétion : 4,5
Folie meurtrière ( Augmente la schizophrénie d'Alec et le transforme en vraie bête sauvage :sournois: ) : 4
Argent: 5 600

Et je prends la mission Plus ils sont grands… :diable:

Bilbo1997__
Niveau 10
22 octobre 2012 à 20:43:21

Le Projet Réincarnation (partie 2) :

1943, France occupée…

John Magerlan alluma une cigarette et en saisit l’extrémité entre ses lèvres. A ses côtés, deux Assassins et Clyde, assis autours d’une table. John épousseta ses vêtements. Pour l’occasion, les quatre Assassins portaient des uniformes nazis flambants neufs.
Clyde regarda sa montre.
-Il ne devrait pas tarder.
John passa son regard sur ce qui l’entourait. Il se trouvait au milieu d’un bistrot enfumé, dans un petit village de campagne. Plusieurs soldats Allemands étaient présents dans la salle et se reposaient après une dure journée de travail, à quelques mètres des villageois habitués.
Un des Assassins tapota nerveusement sur le bord de la table.
-Fait chier. Toujours en retard ces connards. Si dans cinq minutes il n’est pas arrivé, on se barre. Pas question de foutre en l’air notre couverture. C’est déjà louche que des officiers comme nous se retrouvent dans un bar paumé comme celui-ci…
-Du calme Marcel, fit Clyde en enlevant une casquette nazi et en essuyant la sueur de son front à cause de la chaleur. Reste impassible. Notre informateur est important. On ne doit pas louper cette occasion.
-Et moi, intervint John. Dans l’histoire je fais quoi ?
-Tu es uniquement là pour nous couvrir en cas de problème. Contente-toi de la fermer, d’écouter et de garder ta main sur la crosse de ton flingue.
-Notre homme sera accompagné ? demanda le quatrième Assassin.
-Normalement non. C’est un ancien secrétaire d’Hitler qui a gardé des contacts dans l’armée et qui sait tout ce qu’il se passe dans les hautes sphères du gouvernement Allemand.
-On sait, le coupa John. D’ailleurs le voila.
Un petit homme chauve entre dans le bistrot, des lunettes sur le nez et un uniforme nazi sur le dos. Il devait avoir dépassé la quarantaine de peu. Il ne cherchait pas à cacher le pistolet automatique à sa ceinture.
Il alla directement s’asseoir à la table des Assassins, sans jeter un seul regard aux alentours.
-Rien n’est vrai…
-Tout est permis, compléta Clyde. Enchanté monsieur Gribbles.
-Vous êtes monsieur Clyde ? C’est un honneur.
Les deux hommes se serrèrent la main, sans un sourire. John garda un visage impassible, laissant échapper des nuages de fumée de ses narines. Les deux autres Assassins gardaient la tête tournée vers les clients du bar.
Leur seul regard suffisait à ce que les personnes présentes aux tables voisines détournent les leurs et ne cherchent pas à capter la conversation.
-Vous êtes en retard. Quelque chose vous a retardé ?
-Non. Je n’ai pas beaucoup de temps alors je vais être bref. Il y a trois informations importantes que j’ai à vous confier. Une fois que ce sera fait, je quitterais la France et j’irais m’installer aux Etats-Unis. Je crois que la gestapo me soupçonne d’avoir des liens avec vous. J’ai une famille.
-Je comprends. Parlez.
-La première information concerne l’heure : Frieder Krouchner sera présent à la représentation à onze heures du soir, pour la dernière séance. Il sera accompagné de son épouse et de ses deux enfants.
-Quelle place occupera-t-il ?
-La loge n°2. A gauche de la scène, la plus éloignée mais celle qui offre la meilleure vue.
-La deuxième information ?
-Son escorte comprendra six soldats. Deux à ses côtés, dans la loge même. Deux à l’extérieur de la loge, postés de part et d’autres de la porte. Et enfin, deux au bas des escaliers qui mènent à l’entrée du théâtre.
-Troisième information ?
-Attention, celle-ci est assez colossale. Ne laissez rien paraître. Une des Réincarnations fera partie de l’escorte.
Clyde ne bougea pas d’un pouce. Il eut un sourire en coin.
-Un des exécuteurs personnel d’Hitler ? Pour une simple pièce de théâtre ?
-Le Führer soupçonne un attentat contre son ministre. A juste titre. Il est prudent.
-Réincarnation ? fit John. C’est quoi ça ?
-Je t’expliquerai, répondit Clyde sans détourner son regard de l’informateur. Merci pour ces informations. Nous allons boire un dernier verre et sortir. Vous, vous allez en commander un deuxième et le siroter au comptoir. Ensuite, vous partirez à votre tour. Compris ? Bien. Garçon ! Cinq whiskys !
-Un pastis pour moi, fit l’un des deux Assassins. Avec un peu d’eau.
-Quatre whiskys et un pastis avec de l’eau !
-Ca arrive, répondit le tavernier, derrière son comptoir, en essuyant les rebords d’une chope.
Soudain, John sentit une main se poser sur son épaule. Il leva distraitement la tête et vit un grand homme blond se tenir derrière lui, une casquette noire sur la tête et un insigne nazi en argent sur le col, vêtu d’un imperméable noir.
L’informateur pâlit.
-H… Hanz Von Durkën !
-Si je pensais te revoir ici, Wallace.
Le dénommé Hanz éclata de rire et tendit sa main. L’informateur la serra en tremblant légèrement. Hanz se tourna vers les Assassins déguisés en officiers Allemands et leur fit un signe de tête en souriant amicalement.
-Je peux m’asseoir à votre table ? demanda-t-il dans un Allemand si impeccable que même John qui ne maîtrisait pas parfaitement cette langue parvint à le comprendre. Si je ne vous gêne pas, bien entendu.
-Vous ne nous gênez pas, répondit Clyde en souriant à son tour. Garçon ! Un whisky de plus !
Hanz s’assit avec légèreté et serra la main des Assassins, tour à tour.
-Présente-nous, Wallace, dit Clyde.
-Hanz Von Durkën, général de la gestapo. Hanz, voici Hubert Fraüman, fit-il en faisant un signe vers Clyde. A côté, Liren Traskein, Edgar Litchiezt et Herman Dubert. Nous sommes tous les cinq des vieux amis et…
-…Nous avions pensés que cela nous ferait du bien de passer un petit peu de temps ensemble, entre nos pauses, termina Clyde en s’écartant pour laisser un serveur déposer six verres d’alcool sur la table.
-Ah, de vieux amis hein, dit Hanz. Vous êtes des officiers ?
-Général Fraüman, répondit Clyde avec un air modeste. Mes trois compagnons sont colonels.
-Je ne vous ai jamais vu par ici, général Fraüman.
Il y eut un silence. John, gardant un visage totalement neutre, posa discrètement sa main sur sa ceinture, près de son holster. Les deux autres Assassins fléchirent les genoux, lentement. Le sourire de Clyde laissa place à un visage grave.
-Nous avons été basés ici il y a peu, dit Clyde. Il est normal que vous n’ayez pas entendu parler de nous.
Hanz éclata de rire.
-Ha ! Ha ! Ha ! Ha ! Ha ! Je plaisante, je plaisante ! J’ai été maladroit, comme toujours. Pas vrai Wallace ? Donc vous êtes nouveau ici ?
L’atmosphère se détendit légèrement.
La conversation se poursuivit. Finalement, Clyde s’étira.
-Bien, il est tard. Je pense que nous allons nous en aller, hein les gars ?
John sourit et hocha la tête. L’un des deux Assassins bailla. L’informateur eut une expression soulagée. Hanz resta figé, avec un sourire froid sur le visage.
-Vous parlez anglais ?
Il ne s’adressait pas seulement à Clyde, mais aussi à toutes les personnes présentes à table. Les Assassins tournèrent lentement la tête vers lui dans le silence le plus total. Leurs regards s’étaient faits effrayants.
-Non, répondit l’un des deux Assassins.
Clyde, qui s’était levé, se stoppa.
Hanz se gratta le front en fermant à demi les yeux.
-Wallace, Wallace…
Puis, il enchaîna dans un Anglais parfait, avec un accent irréprochable.
-Nous allons parlons dans la langue de Shakespeare si vous voulez bien ? Inutile d’alerter les autres clients. Quatre points vous ont trahis, « général Fraüman ». Le premier c’est que je reçois le dossier de tout nouvel officier affecté dans la région, et que je l’étudie personnellement. Ce qui nous amène au deuxième point : Je n’ai pas reçu vos dossiers. Jamais. Le troisième point : Tout général digne de ce nom connait Hanz Von Durkën, l’un des plus hauts gradés de la gestapo, surnommé « l’exterminateur ». Or, aucun d’entre n’a réagis en entendant mon nom. Enfin, le quatrième point : J’ai une très longue carrière derrière moi et j’ai fréquenté de très grands hommes dans ma vie mais jamais une seule fois je n’ai croisé un regard tel que le vôtre. Vous n’avez pas le regard d’un général. Vous avez le regard d’un tueur de ma trempe.
Il sourit de toutes ses dents.
-Asseyez-vous, « général Fraüman ».
Clyde obéit.
Hanz mit sa main dans sa veste et un cliquetis retentit.
-J’ai dégoupillé une grenade, dit le membre de la gestapo. Si je lâche la gâchette, elle explose. Maintenant, vous allez tranquillement me suivre jusqu’à la base la plus proche. Wallace, je ne m’attendais pas à ça de toi. Un vendu… Un traître… Tu recevras un châtiment exemplaire. Vos cadavres seront pendus en haut de la Tour Effeil, bande de chiens.
Hanz avait parlé avec une grande agressivité mais en gardant un sourire calme.
-Allons-y.
-Restez assis, Von Durkën, dit John d’une voix sombre en écrasant sa cigarette sur la table.
-Comment ?
-Moi aussi je vais parler comme toi. Il y a deux points sur lequel tu t’es trompé. D’abord, le « général Fraüman », à mes côtés, n’est pas un tueur de ta trempe. Moi non plus, et eux non plus d’ailleurs, fit-il en désignant les deux autres Assassins. Le deuxième point, c’est que j’ai plus de sang sur mon petit doigt que tu n’en auras jamais sur tes mains dans toute ta vie. Vie qui s’arrête ici.
Clyde s’alluma une cigarette à son tour et en cracha le nuage par les narines. Il porta la main à sa ceinture.
Hanz sourit de toutes ses dents.
-Ca va être un carnage, dit-il. Il semblerait que vous oubliiez que vous êtes entouré de soldats Allemands.
-Nous verrons bien qui survivra à ce qui va suivre, répondit Clyde avec un sang-froid impressionnant. Petite prédiction : Ce ne sera pas vous, Hanz Von Durkën.
-Amusant. Voyons donc qui de nous deux est né sous la meilleure étoile.
La scène qui suivit fut tellement rapide que des yeux ordinaires n’auraient pu la suivre.
En une fraction de seconde, l’Assassin à gauche de Hanz dégaina sa lame secrète et lui planta dans les parties intimes. Celui de droite se jeta sur lui et serra la gâchette de la grenade, à travers le manteau du nazi, pour l’empêcher d’exploser malgré le fait qu’Hanz l’avait lâché.
A l’exact moment où la lame secrète s’enfonça dans ses testicules, Hanz dégaina un revolver de sa main libre et le pointa vers Clyde.
Clyde, lui, à la seconde où Hanz avait terminé sa phrase, avait tiré son propre pistolet. John, avec une synchronisation parfaite, envoya un coup de pied dans la table qui se renversa et s’interposa entre Hanz et Clyde.
Le membre de la gestapo vida son chargeur devant lui, en criant de douleur à cause de ses bijoux de famille déchiquetés, mais sa vue bouchée par la table, il ne toucha personne. Clyde, lui, tira trois balles qui transpercèrent la table et explosèrent le crâne du nazi.
A l’instant où les coups de feu retentirent, les soldats Allemands alentours se levèrent d’un bond et dégainèrent leurs armes à feu.
L’Assassin à droite de Hanz relâcha la pression sur la grenade.
John n’eut que le temps de se jeter en arrière.

Bilbo1997__
Niveau 10
22 octobre 2012 à 21:15:01

Le topic est beaucoup plus actif qu'avant donc le topic coule très vite :(

Bilbo1997__
Niveau 10
22 octobre 2012 à 21:19:28

Le forum*

Lenski
Niveau 10
22 octobre 2012 à 21:19:57

ça ressemble à inglorious basterd :cute:

Et pendant ce temps von Leinsnitz tisse sa toile ~ :sournois: ~

Bilbo1997__
Niveau 10
23 octobre 2012 à 06:56:16

Lenski : Oui, cette scène est un clin d'oeil évident à ce film :-)))

Alcahe
Niveau 10
23 octobre 2012 à 21:58:11

Mission :

http://www.youtube.com/watch?v=cly40JbG8TE&feature=related

Chapitre 149
Les deux mon général.
26 avril 1514, Venise, maison des Bonni.

Je me levais en sueur. Devant moi, Peter et mon ex-capitaine, Jacques. "L'autre" était ce dernier. Peter me fixa et ricana :

"Tes fantômes te hantent, Alec. On va te torturer, toi, les autres assassins, cette famille... Tu vas être brisé.
_ Je le suis déjà, pleurais-je. Pourquoi vous vous acharnez sur moi, nom d'un chien ?!
_ Parce que tu as tué ma soeur, tu m'as blessé, tu nous a laissé pour morts à Viana. Tu as rejoins les assassins, nos ennemis. Tu es un homme mort... Ahaha !"

Francis, Michelo, Emilio, Dante et Benjamin apparurent. Ils sourirent, puis partirent dans un fou rire. Ils se transformèrent. Dante avait une balle dans la tête et saignait du nez, Benjamin état coupé de part en part, Emilio avait du sang sur la poitrine, Michelo avait trois balles dans la poitrine et Francis était couvert de sang. Je me vis soudain. J'eus un mouvement de recul ; j'avais un bras en moins, du sang partout sur le visage, la barbe rasée, les lèvres déformées et une énorme cicatrice à la jambe gauche. Je m'approchais de mon double.

"C'est pas vrai... Geignîmes, mon clone et moi-même.
_ Carmine ? Décidément, ça va pas bien, chez toi..."

C'était Flore. Je revins de mes pensées. J'étais en face Flore, elle-même semblait douteuse.

"T'arrives à rire tout seul, toi ? Plaisanta-t-elle.
_ Ahem... Toussais-je. Au fait, tu peux me dire où j'ai rangé mon masque, s'il te plaît ?
_ Juste ici; Indiqua Flore."

Je pris mon masque. C'était le même que Mike, sauf qu'il y avait marqué dessus : "Assassino". Je le pris et le mit.

"Ca te vas bien ! Me flatta-t-elle."

Je m'approchais.

"Il faut que j'aille voir Gino. Et merci pour le compliment.
_ Bien sur. Approuva-t-elle. Bonne journée, l'assassin cinglé !"

Je sortais de la maison et me dirigeais vers le QG. Lorsque j'entrais, Mike parlais à Annie, une assassin. En me voyant, Mike bondit sur ses pieds.

"Carmine ! Joli masque ! Tu vas en avoir besoin ! Déclara-t-il. Suis-moi."

Je le suivis, jusque dans le bureau de Gino. Ce dernier était en train de parler à Dino. Lorsque mon chef me vit, il interrompit Dino et m'interpella :

"Heureux de te voir, Carmine. On a un problème. Viens."

Je suivais Gino. Il me montra une feuille cloué au mur. Dessus, le visage du "casqué", de Peter et d'un inconnu, Pedro Sangeli.

"Qui est cet homme ? M'étonnais-je.
_ Un général des Templiers. Il vient d'arriver en ville. On ne peut pas l'attaquer tout de suite, à moins que l'un de nous en ait assez de la vie, et encore. Il faut observer es habitudes, ect... Je te charges de la mission."

  • Plus tard.*

J'avais tant bien que mal réussi à localiser le Templier. C'était la fin de la journée, et il fallait que je fasses attention...

Je suivis le général. Il s'arrêta devant un docteur.

"Monsieur ? Demanda-t-il. C'est pour quoi.
_ Je peux vous acheter du poison ?
_ Mais ?! Bien sur que non ! Répliqua le médecin.
_ Et maintenant ? Ironisa le Templier, une bourse pleine dans les mains.
_ Ah, oui... D'accord."

Je secouais la tête de honte. Le templier, content de son forfait, s'en alla. Je perdis le contrôle et le suivis. Il allait devant une maison de passe. Je le suivis. Il entra et s'approcha de la patronne. Après un dialogue, le templier monta, accompagné d'une fille. La patronne m'appela :

"Bonjour ! Vous voulez "discuter" avec une fille ,
_ Non merci, Refusais-je. Je suis déjà pris, j'attends juste un ami."

Après dix longues minutes, l'homme revint et reparti, je pus enfin reprendre le contrôle et courais derrière lui. Il se retourna et me vit. Automatiquement, il s'enfuit. Je disparus dans la foule et il s'arrêta. Je pus l'entendre dire :

"Bah, ce ne devait pas être grand chose. Maintenant, direction la gondole.
_ Hein ? M'étonnais-je."

Il avait un casque qui m'empêchait de voir ses cheveux, mais ses yeux étaient verts. Il devait avoir un certain âge car son visage était ridé et sa barbe se faisait blanche. Le templier était aussi affublé d'un long manteau, ce qui lui donnait un certain air mystérieux. Il s'en alla et se dirigea vers le Canal, talonné de près par moi-même.

IL arriva près du Canal. Pedro fit signe à une gondole. Un garde ramait. Il n'y avait personne dans les parages. Il faudrait l'assassiner ici.

Pedro monta dans la gondole, qui repartit. Je fis de même, il était temps de rentrer faire mon rapport.

Note : Désolé si c'est court, j'étais en manque d'inspiration. :rouge:

Force : 5
Résistance : 5
Déviation : 4
Vitesse : 5
Escalade : 4
Discrétion : 4,5
Folie meurtrière ( Augmente la schizophrénie d'Alec et le transforme en vraie bête sauvage ) : 4
Argent: 5 600

Voilà. :-d

Bilbo1997__
Niveau 10
24 octobre 2012 à 19:36:41

Le Projet Réincarnation (partie 3) :

1943, France occupée…

La grenade explosa. L’Assassin de droite se jeta brutalement sur le côté en se protégeant le visage avec son bras, mais celui de gauche n’eut même pas le temps de retirer sa lame des testicules du nazi.
John et Clyde plongèrent en arrière avec une synchronisation parfaite.
L’explosion les souffla avec violence et les fit rouler jusqu’à l’autre bout de la salle. Des débris de bois et des morceaux de tripes volèrent dans tout le bistrot. Les soldats nazis les plus proches furent carbonisés par les flammes.
John fit une roulade rapide et se redressa à moitié et pointant son pistolet devant lui. Les soldats Allemands levèrent leurs canons. Le tavernier, derrière son comptoir, mit Clyde en joue avec un fusil. Celui-ci tira un deuxième revolver de sa ceinture et se leva d’un bond.
Un vacarme assourdissant de rafales de balles emplit la pièce pendant une dizaine de secondes. Les coups de feu éclatèrent de toute part, à un rythme rapide.
Sur le comptoir, les bouteilles d’alcool explosèrent. Les tables et les chaises furent déchiquetées en quelques secondes. Les murs et le sol se recouvrirent de milliers d’impacts. Les balles fusèrent dans tous les sens en faisant gicler des nuages de sang.
Finalement, le silence revint.
John regarda autours de lui, le doigt toujours posé sur la gâchette de son arme, prêt à tirer.
Le bistrot était maintenant envahi par la poussière et la fumée. Du sang tâchait le sol et le plafond. Les cadavres jonchaient le parquet en lambeaux. Une odeur de poudre et de chaire brûlée flottait dans l’air.
Clyde, à côté de John, rangea ses revolvers.
L’Assassin qui s’était jeté sur la droite se releva avec difficulté. Il était resté à plat ventre pendant la fusillade et avait mitraillé les jambes des soldats. Un filet de sang coulait de son front et son uniforme était déchiré.
Clyde était décoiffé et couvert de poussière.
John, lui, gardait un œil fermé à cause d’un débris qui lui était rentré dedans. Du sang coulait de sa paupière et maculait son menton et son torse. Il sentait une douleur chaude dans son orbite mais refusait de penser à quoi que ce soit.
Un gémissement retentit, au sol. Un soldat nazi se roula sur le dos, les deux mains plaquées sur son ventre ensanglanté.
-Sales chiens de traîtres ! hurla-t-il en toussant.
-Tiens, un survivant, fit John.
Il l’acheva d’une balle dans le crâne avant de souffler sur le nuage de fumée qui sortait du canon.
-Cassons-nous, ordonna Clyde en enjambant le cadavre de l’informateur et en se dirigeant vers la sortie.
John et le troisième Assassin le suivirent.

Allemagne…

-Nein ! Nein ! Nein ! Jusqu’à quand ces soviétiques vont-ils nous résister ainsi ?!
-Eh bien, Mein Führer, nous n’y pouvons rien. Les Russes nous repoussent et l’hiver est rude pour nos hommes.
Hitler frappa violemment sur la table qui lui faisait face.
-Nein !!!
Il sortit un couteau de sa ceinture et le lança vers son général qui avait parlé. La lame tourbillonna et alla se ficher entre les deux yeux de l’officier. Celui-ci ouvrit la bouche mais aucun son n’en sortit. Il s’écroula et une mare de sang s’élargit autours de sa tête.
Hitler se racla la gorge et épousseta ses épaules, comme s’il tentait de reprendre son calme.
-Je me suis un peu énervé.
Les trois généraux restant se regardèrent, couverts de sueur. Il ne faisait pas bon de mettre Hitler en colère. Quand cela arrivait, il devenait imprévisible. La Pomme lui avait conféré d’étranges pouvoirs et avait modifié son corps, le rendant bien plus fort, rapide et précis qu’un homme ordinaire.
Un homme sortit de l’ombre, à l’autre bout de la pièce.
-Calme-toi, Führer, fit-il d’une voix douce. Quand vas-tu te décider à nous envoyer à la frontière Russe ? Nous ne ferions qu’une bouchée des quelques résistants qui t’agacent.
-Non ! Trop tôt. Vous êtes mes cartes maîtresses. Les Réincarnations ne doivent pas être utilisées n’importe comment et vous n’êtes pas infaillible. L’échec du Faucheur, il y a un an, le prouve. Franz Malroy a été plus fort que lui.
-Plus malin, pas plus fort.
-Tais-toi ! Ne conteste pas ton supérieur !
Hitler fit volte-face et tira un second couteau. Celui-ci alla se planter dans la gorge de la Réincarnation. L’homme tomba à genoux et, finalement, sur le ventre, avec un hoquet. Hitler grogna.
-Cesses de jouer. Relève-toi Alejandro.
Alejandro se redressa et retira le couteau de son cou. L’entaille se referma rapidement sans qu’une seule goutte de sang ne coule.
-Ces Réincarnations sont des monstres, murmura un officier à l’oreille de son voisin.
-Toi ! Je t’ai entendu ! cria Alejandro en se retournant.
Un petit pistolet jaillit de sa manche et alla se placer dans sa main. Un coup de feu retentit et l’officier fut projeté en arrière, un trou fumant dans la poitrine. Alejandro contourna la table et se plaça au-dessus du cadavre.
Il vida son chargeur sur le corps de l’officier avant de ranger son arme, comme si de rien n’était. Les deux officiers restant étaient pâles, stupéfaits. Un cercle sombre s’élargit sur le pantalon de l’un des deux, au niveau de l’entrejambe, alors que du liquide jaune coulait le long de ses jambes.
L’autre avait l’air sur le point de s’enfuir en courant.
Hitler se contenta de s’appuyer à la table et de poser une main sur son front.
-Ces soviétiques me rendront fous…
Un soldat entra brusquement dans la pièce.
-Führer !
-Quoi ?
-Nous venons d’apprendre que votre agent Hanz Von Durkën affecté en France a été tué lors d’une fusillade, ainsi que quatorze soldats Allemands et un ancien secrétaire d’état. Le message vient d’arriver, mais des troupes ont déjà été envoyées inspecter le lieu. Et un cadavre à été retrouvé, portant un tatouage étrange sur le dos.
-Soyez plus précis !
-Il portait cet emblème entre les deux omoplates, juste en-dessous de la nuque.
Le soldat montra à toutes les personnes présentes un mystérieux emblème sur une photo en noir et blanc. Celui des Assassins. Bien entendu, dans la pièce, seuls Hitler et Alejandro Gemini avaient connaissance de cette information. Pour les deux officiers et le soldat, c’était un simple tatouage tribal pouvant représenter une appartenance à un gang de rebelle quelconque.
Hitler serra les poings.
-Maudits Assassins ! Je les ferais tous aligner sous l’arc de triomphe et je les ferais fusiller un par un devant le peuple Français ! J’appuierais moi-même sur la gâchette quand le canon du fusil sera pointé sur le mentor !
Alejandro tira un canif de sa veste et commença à se curer les dents avec la pointe en acier, avec un sourire en coin.
-Allez Führer. Si les Assassins sont dans le coup, ce n’est pas avec tes hommes que tu mettras un terme à l’affaire. Tu n’as plus le choix. Envoyer les Réincarnations sur le terrain est nécessaire.
Hitler regarda fixement la table, une veine sur la tempe. Une profonde colère brillait dans ses yeux.
-J’ai une autre information, mein Führer, fit le soldat.
-Parlez.
-Eh bien…
Le soldat se gratta la tête.
-Il semblerait qu’un individu nommé « l’As de Pique » vous ait envoyé un message. Et il semblerait que les secrétaires chargés de trier les colis l’aient laissé passé sous votre ordre. Vous voulez le lire ?

Sujet : [JEU] L'ère des Assassins
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