Assassin's Creed III

bil : à la fin Daithe devait justement lui demander s'il l'avait bouffé mais j'ai coupé la partie là

Je prévois aussi de faire une anecdote sur David, un de ces quatre.

Rassurez-moi, vous savez qui est David Baudrain ?

Anecdote n°2

" Lewis and Clark " ; Boston, 12 Septembre 1803

David assit au comptoir profitait d'une bonne bière tout en écoutant un de ses amis. L'auberge des Trois Renards était le QG des Assassins à Boston. Discret mais à la fois visible et connue , l'endroit collait avec délice à l'image des Assassins.
Thomas Wallcot en était le propriétaire.

" Alors les jeunes, on profite du repos."
" En effet!" répondit John Dame, l'ami de David
" Comme toujours Thomas."

Les deux amis trinquèrent et finirent leurs verres d'un seul coup. Thomas était repartit à ses occupations de barman.

" Alors comme ça le mentor veut que participe à cette expédition."
" Oui, lui répondit John, il pense que cela serait un atout de taille pour la confrérie. Je serais même sous les ordres du secrétaire particulier du Président Thomas Jefferson: Meriwether Lewis."
" Ah, et le but de l'expédition consiste en quoi?" il demanda à Thomas de resservir leurs verres
" Nous devons rejoindre l'Océan Pacifique par voie terrestre en traversant le continent. Mais le mentor m'a aussi mis en garde. Il se pourrait que les Templiers envoient un des leurs dans l'expédition. En plus de nouer des relations avec les différents membres de l'expédition et de jouer mon rôle, j'aurais en plus la prime de débusquer un possible ennemi."
" Tout un programme en clair." lui répondit David
" Oui mais je suis ravit rien qu'à l'idée d'en faire partie. Dans les années à venir, on en parlera longtemps croit moi."
" J'espère juste que tu rentrera en un seul morceau."

Les deux jeunes hommes se mirent à rire, prenant la chose pas très sérieusement. David lança un regard à la salle et remarqua les deux jeunes apprenties sur une table. Il lança un bon coup de coude à son ami.

" Hey, qu'est-ce qui te prend, j'ai bien faillit tout renverser."
" Sa te dit un peu de compagnie féminine pour ce soir" et David lança un coup de tête vers les deux filles.

Un large sourie se dessina sur le visage de John.

" Sacré David, les femmes te perdront."

Ils se levèrent en emportant une bouteille avec eux.

Bilbonch ça va péter!!! maintenant il faut trouver un moyens de les sauver ou alors nous expliquer leurs mort

Spitfire ça y est, accepté? donc après neuf ans, il a du s'en passer des choses, un petit flash back, même épuré, pas contre

t'as fais gaffe aux fautes
mais ne néglige pas la ponctuation, les points d'intérrogations notament.

1.5point et 600

bilbonch : les Lenskonch vont venir les sauver

Lenski : Etant donné que les Assassins Républicains et les Lenski s'entendent assez mal au vu de leurs divergence d'opinion politique, je vois pas trop de raison aux Lenski de sauver les Assassins

Surtout de risquer leur vie pour eux

Heu, oui
Mais je ne fait pas des anecdotes qui se suivent chronologiquement.

David rentre en 1799 dans la confrérie mais je n'est pas encore fait cette partie de son histoire. Dans le "présent" il est en 1804 donc sa fait seulment cinq ans qu'il est assassin.

Tableau des compétences

David Maxwell

-> Force : 2
-> Résistance : 2
-> Déviation : 1,5
-> Vitesse : 1,5
-> Escalade : 1,5
-> Discrétion : 1,5
-> Compétence : Inconnue

-> Argent: 1 600 $

Renommée (partie 1) :

1766, France…

-Attrape donc cette épée, gamin.
Lucien n’eut que le temps de se retourner et d’écarter les bras pour saisir au vol un sabre en bois qui vola vers lui. Le poids de l’arme le surprit et il faillit basculer en arrière mais il s’adossa à un mur et reprit son équilibre.
Le jeune Malroy, alors âgé de neuf ans, était déjà traité comme un maître Assassin par ses pairs. Et c’était bien la première fois que, dans l’enceinte du Q.G, quelqu’un d’autre que son père Edouard ou que le mentor, ou encore que le vieux Saisy, se permettait de l’appeler « gamin ».
Lucien leva la tête et eut un sursaut.
L’homme qui lui faisait face était grand. Très grand. Maigre, aussi. Et il n’inspirait pas la confiance.
Vêtu d’une tunique grise identique à celle des paysans, d’épaulières en métal souple, d’avant-bras en cuir et d’un simple pantalon de tissu, ainsi que de vieilles bottes usées, il avait un visage parsemé de cicatrices, de brûlures et de marques en tout genre.
Ses cheveux, blancs, alors qu’il devait avoir la trentaine – quoiqu’il était difficile de deviner son âge avec un visage comme le siens- ne poussaient plus que sur l’arrière de son crâne et retombaient sur sa nuque et ses épaules, complètements dénoués.
A leur aspect, Lucien pensa tout de suite qu’il ne devait pas les laver très souvent.
L’homme avait aussi une barbe naissante au menton. Ses yeux, enfoncés dans leurs orbités, étaient assez malsains et son regard semblait vide de toutes émotions.
-Amène-toi, mon garçon.
L’homme dépassa Lucien et traversa un couloir avant de disparaître au tournant, sans même s’assurer que l’enfant lui avait obéis. Lucien, stupéfait, resta bouche-bée. Comment un homme tel que lui, sans aucun doute un nouveau serviteur, puisque l’enfant ne l’avait jamais vu de toute sa vie alors qu’il vivait au Q.G, osait lui parler aussi insolemment, à lui, Lucien Malroy, le fils d’Edouard Malroy, un des plus illustres Assassins que le monde ait connu ?
Sans s’en rendre compte, Lucien suivit le mystérieux personnage jusque dans la cours du Q.G, où s’exerçaient déjà quelques apprentis Assassins.
L’homme se plaça au centre d’une petite arène discrète, dans un coin, au sol couvert de sable. Il croisa les bras et attendit que Lucien l’ait rejoint.
-Pas comme ça, mon garçon.
-Hein ?
-Ton arme, tu ne la tiens pas correctement. Les deux mains sont réservées aux épées lourdes, aux claymores, aux haches de combat ou aux marteaux. Ce sabre est une aiguille.
-Que… Mais elle est lourde !
-Il y a simplement un peu de plomb dedans. Son poids est parfaitement adapté à un enfant de ta carrure.
Lucien se força à lâcher l’épée de sa main gauche et à ne la tenir que de sa main droite, sans que la lame en bois ne touche le sol. Mais qui était donc cet individu ?
-Qui êtes-vous, d’ailleurs ? De quel droit me donnez-vous des ordres ?!
-Un peu plus de respect quand tu parles à tes aînés, mon garçon. Je suis Wyald Stenthar, Assassin. C’est ton père qui m’a demandé de t’enseigner le combat.
-Je sais déjà me battre. Je suis un Malroy, j’ai été entraîné à tuer depuis ma naissance !
-Erreur, mon garçon. Tu sais agiter une lame devant tes adversaires, ou la planter sournoisement dans leur dos. Un exercice à la portée de n’importe quel imbécile. Ton père a été très claire sur ce point : « Apprend lui à combattre ». Et c’est ce que je vais faire.
-Les Malroy ne reçoivent pas de leçons d’autrui, récita le petit Lucien, comme un texte répété des dizaines de fois. Ils reçoivent leurs formations par les membres plus expérimentés de leur famille, leurs parents ou leurs frères.
-Encore une fois, erreur. J’en suis la preuve vivante.
-Je…
-Ce que je vais t’enseigner, mon garçon, c’est…
-Je m’appelle Lucien.
-Et moi Wyald, pourtant, désormais, tu m’appelleras « maître ». De ce fait, je t’appellerais « mon garçon ». J’en profite pour te dire que la prochaine fois que tu me couperas la parole de la sorte, c’est ta langue que je trancherais. Mon garçon.
Lucien déglutit.
-Je recommence : Ce que je vais t’enseigner, mon garçon, ce n’est pas la façon de frapper son ennemi, comme un animal, de la même manière qu’un soldat, afin de le réduire en bouillie. Je ne vais pas non plus te donner des leçons sur la façon de planter ta dague dans le dos d’un homme, par derrière, au tournant d’une ruelle. Ce que je veux t’enseigner, et ce que je vais t’enseigner, c’est l’Art, avec un grand « A », de combattre. Grâce, souplesse, fluidité, rapidité. Tu ne vois sans doute les lames que comme des outils de meurtre, et c’est ainsi que ton père a voulu que tu les vois, jusqu’à maintenant. Bientôt, mon garçon, tu les verras comme des excroissances de ton corps. Je vais faire de toi un prédateur.
Lucien haussa un sourcil.
-Si vous êtes un Assassin, pourquoi ne portez-vous pas la même tenue que les autres ?
-La mienne est plus confortable.
-Mais… Vous rejetez le symbole même de la Confrérie, depuis des millénaires, pour une simple question de confortabilité ?
Wyald eut une grimace cruelle.
-Tu sauras bientôt que sur le champ de bataille, il vaut mieux porter une tenue confortable… qu’être mort.
Lucien resta silencieux.
-As-tu déjà tué, mon garçon ?
-Euh… Oui.
-Combien de fois ?
-Seize fois.
-Ah. A ton âge, j’avais déjà plus de sang sur les mains que toi. Bon, approches, et essai de me toucher.
Lucien s’élança, sans la moindre parole. Ce qu’il désirait le plus, c’était de faire ravaler à cet homme son insolence et son arrogance. Et il allait lui montrer, le résultat de toutes ses années d’entraînement. Il était un Malroy, un futur Assassin d’élite. Ce n’était tout de même pas un vulgaire maître d’arme qui allait lui résister !
Par quinze fois, Lucien tenta de toucher Wyald, du bout de sa lame de bois, déployant toute son agilité, sa force, sa vitesse et sa technique.
Par quinze fois, il se retrouva au sol avec une violente douleur sur le poignet, son épée roulant à ses pieds, le regard sombre de son « maître » posé sur lui, sans avoir atteint son objectif.
-Eh bien, ce n’est pas très glorieux, mon garçon. Se faire désarmer, retourner, et écraser au sol. Une fois, d’accord. Deux fois, ou trois fois passent encore. Mais quinze fois. Tu es sûr d’avoir subi un entraînement depuis ta naissance ?
Il sembla réfléchir une seconde puis ajouta :
-Mon garçon.
Lucien se releva rageusement.
-C’est finis, ça ne m’amuses plus ! Mon père ne vous a jamais demandé de m’entraîner ! Vous êtes un menteur qui s’amuse à maltraiter des enfants ! Je m’en vais, je ne reviendrais plus ! Ne m’adressez plus la parole, si vous me croisez, ou je jetterais mes gardes à vos trousses !
Wyald sourit, pour la première fois de la séance.
-Tant mieux, dit-il. La première leçon est terminée. Demain, je t’attendrais à huit heures, au même endroit. Sois à l’heure.
-Peuh ! Vous allez attendre longtemps ! Allez au diable !
-A demain, mon garçon.
-La ferme !
Lucien s’éloigna.
Le lendemain, il revint, à l’heure dite. Et les véritables leçons débutèrent.

Lucien a quel niveau là? Le niveau d'un maître Assassin ou d'un Assassin lambda car j'aimerais évaluer au niveau de Wyald

Lucien est considéré comme un maître Assassin car il est un Malroy et c'est une tradition de les considérer comme tel, même dès leur naissance, mais il est loin d'avoir déjà le level d'un vrai maître Assassin

Il est bien plus balèze qu'un Assassin standard, mais pas encore au niveau Shan quoi ( Shan au début de son aventure )

Oublions pas qu'il a que neuf ans

Dimitri devait déjà être né

Lucien est un peu plus vieux que lui

Je m'en rappelle du premier texte où il apparaît, j'ai crût que ça allait être un véritable boulet

Sinon ce serait marrant une rencontre Lucien et Dimitri \ /

Moi aussi, Lucien en mode "le gars chiant"

T'avais bien caché son jeu

Lucien a un an de plus qu'Andrey , et quatre de plus que Dimitri

Petite question, j'ai vu que Shan devait aller dans les colonies américaines. Y est-il allé et si oui, y est-il encore durant les années 1799 à 1802?

Shan est mort en 1784

Il a passé quelques mois aux Etat-Unis en 1782 mais a passé la majeure partie de sa vie en Angleterre, est resté deux ans en Amérique du Sud, et est décédé en France.

Leeve, lui, a fait un petit tour dans les Caraïbes en tant qu'esclave, dans les colonies, en 1808, mais il s'est rendu plusieurs fois aux USA dans sa vie.

Mais, entre 1799 et 1802, aucun de mes personnages ne se trouvait dans les colonies Américaines.

Ok, merci pour la réponse.