Se connecter

Assassin's Creed III

Sujet : [JEU] L'ère des Assassins
tar-trufade
Niveau 7
21 novembre 2012 à 18:55:25

Bonjour un nouvel assassin veut intégrer la confrérie !

Prénom: Rakesh
Nom de famille: Tartrufash
Âge: 25 ans
Nation: Inde, parle Hindi et Anglais.
Sexe: Homme
Description: Rakesh est un homme sans pitié qui n'hésite pas à tuer tout ceux qui s'opposent à lui. Cependant il rechigne à tuer les enfants (encore heureux), c'est bien la preuve qu'il reste un peu d'humanité en lui. Il ne doute pas en le credo des assassins, tant que ce dernier lui permet de tuer des gens.
Histoire: Rakesh est né dans la campagne du sud de l'Inde. Il a grandi dans une famille d'agriculteurs normale. Lorsqu'il a 20 ans, ses parents veulent qu'il reprennent en main l'exploitation agricole. Il refuse et décide de les éliminer, après il transforme l'exploitation en plantation de cannabis. Cependant lorsque les troupes anglaises commencent à débarquer dans son pays, il se sent emplit du devoir de combattre pour son pays. Cependant il préfère s'engager aux côtés des assassins.

Spitfire-XII
Niveau 6
21 novembre 2012 à 18:55:39

Au fait, j'ai posté mes histoires sur le forum et l'anecdotes n°1 est quelque peu différente de celle d'ici.

Lenski
Niveau 10
21 novembre 2012 à 19:20:01

tar : heu accepté même si voilà :peur:

Bilbo1997__
Niveau 10
21 novembre 2012 à 19:21:34

Violence (partie 2) :

Le hall du théâtre était complètement vide, excepté une femme somnolente au guichet. Les quatre Assassins le traversèrent calmement. Le plan était simple. Tuer Frieder au péril de sa vie.
John enfoncerait la porte. Shugar avait préparé la suite. Ce serait lui qui s’élancerait en avant et qui égorgerait la cible. Clyde avait décidé de le couvrir, sur sa droite, et de se placer entre lui et la Réincarnation, si celle-ci serait présente.
Cynthia, elle, ouvrirait le feu sur la famille de Frieder tandis que John abattrait le soldat sur la gauche. Les quatre Assassins avaient préparés le plan avec minutie, répétés leur chorégraphie des dizaines de fois jusqu’à la connaître par cœur, dans ses moindres détails.
Sur le papier, l’assassinat en lui-même serait d’une simplicité enfantine. Assez enfantine pour que même un Assassin standard s’en charge.
En vérité, tuer Frieder ne serait qu’une formalité.
La véritable difficulté apparaîtrait quand les Assassins devraient fuir les lieux. Autant dire qu’avec une Réincarnation à leurs trousses, il serait très compliqué de battre en retraite discrètement sans y laisser quelques plumes.
C’est pour ça qu’il avait été décidé que Clyde resterait derrière pour couvrir la troupe et retenir le Spectre. Au risque de mourir, il ne devait sous aucun prétexte laisser la Réincarnation partir à la poursuite des trois autres Assassins.
L’idéal serait donc d’éliminer rapidement le Spectre, en profitant de l’effet de surprise, et de partir rapidement. Bien entendu, aucun des quatre Assassins ne se faisait d’illusion, en remontant un long couloir éclairé menant à la salle de théâtre.
La mission ne se passerait pas comme ça.
Les quatre Assassins se stoppèrent devant l’entrée d’un couloir. Au fond étaient postés deux soldats, arme en main. Ils ne les avaient pas repérés. Shugar sortit un couteau et le lança. La lame tourbillonna et frôla la gorge du premier militaire avant de se ficher dans la tempe du second.
Le soldat s’écroula. Le premier resta debout, les yeux ouverts et du sang jaillissant d’une longue coupure le long de sa gorge. Shugar avait bien calculé son coup.
-Cachez les deux cadavres, fit Clyde. Il ne faudrait pas qu’ils nous gênent pendant notre fuite.
John et Cynthia s’exécutèrent. Enfin, les quatre Assassins se regardèrent. Clyde se pencha et dit d’une voix basse :
-Derrière cette porte se trouve notre cible. Vous êtes prêt ?
-Comme toujours, lâcha John en souriant.
-Bien sûr, répondit Shugar avec un hochement de tête.
-Ce soir, Hitler perdra une de ses hommes, conclut Cynthia d’une voix calme.
John s’avança vers la porte. Il passa un dernier regard sur ses compagnons. Ceux-ci étaient en position. John inspira et prit un peu d’élan en serrant les dents.
Enfin, il bondit.

L’épaule en avant, il enfonça la porte avec brutalité. La scène qui suivit ne dura que quelques secondes, et fut très confuse.
La loge était très sombre, éclairée seulement par la lumière venant de la scène. Shugar dépassa John avec la vitesse d’un serpent se jetant sur sa proie, tira un couteau de sa ceinture et égorgea Frieder d’un geste sec, vif, faisant voler des gouttes de sang dans tous les sens.
« C’est bon, se dit John. Cible éliminée. Mission accomplie. On peut mourir tranquille. »
Cynthia bondit à son tour et dégaina un pistolet muni d’un silencieux avant de vider son chargeur sur les trois sièges devant elle, occupés par la famille de Frieder, sa femme et ses deux enfants. John tourna la tête et lança un couteau à l’instinct.
Celui-ci se planta entre les deux yeux du soldat, n’ayant même pas eu le temps de réagir.
Enfin, une fraction de seconde plus tard, Clyde s’élança, un pistolet à silencieux sorti.
Il se positionna à la droite de Shugar et pressa la détente. Plusieurs coups de feu, atténués par le silencieux dont était équipée son arme, retentirent. La loge fut brièvement illuminée par une série de flash.
Finalement, Clyde s’arrêta de tirer dans le mur qui lui faisait face. Les quatre Assassins se regardèrent. Ils étaient seuls maintenant.
-Le Spectre n’était pas là alors, fit Cynthia.
-On s’en fout, dit Shugar en retroussant ses manches couvertes de sang et en se dirigeant vers la sortie. Cible assassinée. On se casse, et plus vite que ça.
La porte se referma brusquement devant eux. Shugar réagit vite et s’élança avant d’envoyer son pied devant lui de toutes ses forces, mais trop tard. Un cliquetis avait résonné dans la loge, signifiant que la porte était verrouillée.
-C’est quoi ces conneries ? grogna John.
Clyde, lui, ne dit rien. Il se contenta de faire feu à cinq reprises sur la porte. Cela n’eu d’autres résultats que de révéler, sous la couche de bois, des plaques de métal. La porte était blindée. Cynthia lâcha une insulte et jeta un coup d’œil vers la salle de théâtre en contrebas.
Les spectateurs, concentrés sur le spectacle, n’avaient rien entendus ou remarquer.
-Bordel !
Shugar, Clyde et John foncèrent en même temps vers la porte et la heurtèrent, épaule en avant, sans le moindre résultat.
-Ca a marché tout à l’heure ! cria John.
-Ta gueule ! ordonna Clyde d’un ton nerveux. Les spectateurs vont t’entendre !
-La porte devait être ouverte, fit Shugar en secouant la tête. Putain… On est tombé dans un piège !
Clyde s’agenouilla devant la porte et tira un crochet de sa poche. Il l’enfonça dans un mécanisme, à l’endroit correspondant à la serrure.
-Une serrure à pendule rétractée. Une des plus complexes à ouvrir, surnommée « le cauchemar des voleurs ». Les cambrioleurs les plus expérimentés peuvent mettre une à deux heures pour en déverrouiller une, avec du matériel de bonne qualité.
-En combien de temps estimes-tu pouvoir l’ouvrir ? demanda Shugar avec une voix sombre.
-Quinze minutes si je suis concentré.
-Je t’accorde cinq minutes, pas une seconde de plus. Au-delà, il est possible que je ne puisse plus le retenir.
-Qui ça ? fit John.
Shugar ne répondit pas et se retourna vers un coin de pénombre. John écarquilla les yeux. Cynthia porta la main à sa bouche, de surprise. L’homme qui venait d’apparaître, les bras croisés, ricana, adossé au mur.
-Bonsoir messieurs les Assassins. Vous êtes effectivement tombés dans un piège. Perspicace, Shugar.
-Comment tu connais mon nom, sale chien de nazi ?
-Sans importance.
-T’as raisons, ducon. Je me fous royalement de savoir comment t’as fait pour entrer ici sans qu’on te voit et pour avoir survécu à notre assaut. La seule chose dont je suis sûr, c’est qu’Hitler va perdre une de ses pièces maîtresses, ce soir !
-Pièce maîtresse ? C’est trop d’honneur, James.
Shugar devint pâle, la bouche entrouverte et les yeux écarquillés, de stupéfaction et de colère.
-Je t’interdis de m’appeler comme ça, sale bosch !!!
Il tira deux couteaux de sa ceinture et bondit, comme un fauve enragé. John rechargea nerveusement son pistolet, imité par Cynthia. Le Spectre décroisa les bras et se mit en position de combat, avec un visage beaucoup plus sérieux.
Clyde, lui, était mortellement concentré sur sa serrure.
La vie de ses compagnons dépendait de lui et de lui seul, car il ne faisait aucun doute que Shugar ne retiendrait pas la Réincarnation plus de cinq minutes.
Si ce n’est moins…

tar-trufade
Niveau 7
21 novembre 2012 à 19:22:12

Comment ça voilà ? il est bien mon perso :hap:

[Laflamme]
Niveau 10
21 novembre 2012 à 19:22:51

Il est un peu psychopathe :pf:

Lenski
Niveau 10
21 novembre 2012 à 19:26:11

Ouais il est bien :noel:

Niveau psychopathe on a quand même pas mal de concurrents :noel:

Lenski
Niveau 10
21 novembre 2012 à 19:29:27

Tar : ton perso est néé en quelle année par contre ? :o))

Jet_lag
Niveau 10
21 novembre 2012 à 19:57:24

Bilbonch :d) wanre la réincarnation qui va tous les étriper ~ :hap: ~ nan vraiment sympa, je suis à fond dans ton histoire la :noel:

et du coup, c'était bien Frieder ou des leurres?

trufade :d) J'ai fais quelques recherches sur le chanvres à l'époques, et j'ai pu voir qu'il était principalement utilisé pour les cordages et voiles de bateaux. Du moins pour les occidentaux. Car les indiens le fumaient pour ses effets. Donc je pense que tu peux déjà faire une histoire en rapport avec son champ et les anglais :hap:

Lenski
Niveau 10
21 novembre 2012 à 20:05:26

tar : Par contre il est de quel camp ? :fou:
Marathe ? Moghol ? sultanat du Mysore ? :fou:

[Laflamme]
Niveau 10
21 novembre 2012 à 20:06:23

Bilbo j'espère que tu vas pas faire comme les 5 minutes dans DBZ qui dure 4-5 épisodes de 25 min :noel:

Lenski
Niveau 10
21 novembre 2012 à 20:07:45

+1 flamme :rire:

Alcahe
Niveau 10
21 novembre 2012 à 20:08:50

Salut tout le monde ! :hap:

Bon, promis, demain, mission. :noel:

Jet_lag
Niveau 10
21 novembre 2012 à 20:22:06

Yo alca :hap:

Moi je m'ennuis pas pendant les chap de bilbo :noel:

tar-trufade
Niveau 7
21 novembre 2012 à 20:29:39

Il est dans aucun camp réel, il veut juste défendre les Indiens de la colonisation anglaise.

"Chef, je veux une mission ! Tuer des anglais :bave: !!!"

[Laflamme]
Niveau 10
21 novembre 2012 à 20:31:05

Voilà ta mission: protéger au péril de ta vie, des anglais en ne pensant que du bien d'eux :sournois:
Et vendre un peu de weed dans le tas :noel:

Jet_lag
Niveau 10
21 novembre 2012 à 20:36:44

Rappelons qu'au XVIIeme siècle, le chanvre est une valeur sûre :cool:

:o)

Plus sérieusement

Sabotage :d) les anglais transportent leurs marchandise par voie maritime. Couper les cordes des bateaux, afin de ralentir leurs transaction et mettre à mal leur commerce

Bilbo1997__
Niveau 10
21 novembre 2012 à 20:39:19

Mickael est un vrai psychopathe :hap: Quand il torture un gars, il ne reste pas un cadavre ou des morceaux de chaire, non, juste une tâche de sang par terre :noel:

Violence (partie 3) :

1944, France occupée…

Cela faisait trois minutes que le Spectre et Shugar se battaient.
L’Assassin, armé d’un long couteau de boucher dans chaque main, assénait des coups très rapides et calculés pour tuer en une fraction de seconde. Un homme ordinaire aurait qualifié ses mouvements de démoniaques. Un expert en art martial aurait dit qu’ils résultaient d’années d’entraînement tellement éprouvantes que ce n’était pas humain.
Pourtant, le Spectre esquivait souplement chaque coup, laissant la lame des couteaux passer à quelques millimètres de sa peau, le frôlant, parfois, mais ne le touchant pas une seule fois.
En vérité, les deux hommes se battaient à l’instinct, à cause de l’obscurité ambiante, ce qui rendait la scène encore plus impressionnante.
John et Cynthia étaient immobiles, à quelques mètres, leurs armes pointées devant eux, mais les deux hommes combattaient trop vite et de façon trop rapprochées pour qu’ils puissent tirer sans risque.
Clyde était couvert de sueur. Le plus grand cambrioleur du monde aurait eu besoin de plusieurs heures de préparation et d’une centaine de crochet solides pour déverrouiller une serrure pareille. Clyde, lui, ne disposait que de deux minutes et luttait avec un seul crochet, sans parler de la pression monstrueuse qu’il avait.
Ses doigts, agiles, faisaient tournoyer le crochet dans le mécanisme de la porte à une vitesse défiant tous les records, et avec une précision exceptionnelle et une prudence de prédateur, afin de ne pas briser le crochet.
Cela aurait signé leur arrêt de mort à tous.
L’erreur n’était tout simplement pas permise.
-Grouille ! hurla Cynthia vers Clyde.
-Fermes-là, la coupe John. Laisse-le se concentrer bordel !
Shugar bataillait bravement mais ses coups ralentissaient d’une façon infime, qui n’échappa pas à la Réincarnation. Il commençait à fatiguer.
Délivrer de telles attaques, aussi précises, puissantes, rapides et mortelles, pendant trois minutes entières, sans s’arrêter une seule fois, et dans le noir le plus complet, en ne se fiant qu’aux sons, était un exercice éprouvant.
Le Spectre avait été plus malin.
Se contentant d’esquiver, il avait ainsi économisé ses forces, sans risquer de mourir en voulant bêtement contre-attaquer, et se faire trancher la jugulaire par un coup de couteau vif et impitoyable.
Bien sûr, la Réincarnation n’aurait certainement pas vaincu Shugar en combat singulier, à l’arme blanche. Mais se contenter d’esquiver tous ses coups et lui porter une attaque fatale, en une fraction de seconde, une fois qu’il serait épuisé… C’était envisageable.
-Merde…
C’était Clyde.
Shugar se stoppa, une demi-seconde, afin d’écouter. Le Spectre lâcha un ricanement, car il avait sans doute compris.
-La serrure est reliée à un détonateur, fit Clyde. Si je l’active, une bombe explose. Une bombe, du genre à n’épargner personne dans la salle.
Le ricanement du Spectre se fit plus sonore.
John secoua la tête, avec un air nerveux.
-Ne me dis pas que…
Clyde déglutit.
-Je viens de l’activer.

1757, France…

Edouard Malroy faisait les cent pas devant la porte de la chambre. Il avait les cheveux trempés de sueur et se rongeait les ongles. Le mentor, les bras croisés dans le dos, s’approcha de son plus fidèle ami, un sourire aux lèvres.
-Tu te fais trop de soucis, Ed. Ce n’est pourtant pas ton premier enfant. Ne t’inquiète pas. Marie est une dure à cuire. Ce n’est pas un troisième accouchement qui l’a tuera.
-Je ne m’inquiète pas, répliqua Edouard avec sécheresse.
Le mentor eut un rire discret.
Aucun bruit, en dehors des encouragements de la sage-femme, ne sortait de la chambre. Pas un cri de douleur. Oui, Marie était une dure à cuire.
Soudain, des pleurs retentirent. Le mentor haussa un sourcil.
-Ah, je crois que…
Edouard s’était déjà précipité dans la chambre.
Sa femme, Marie Malroy, couverte de sueur mais présentant un visage des plus sereins et un sourire ravi, tenait dans ses bras un nourrisson encore couvert de sang. Edouard, les mains tremblantes, se pencha sur son épouse et lui passa la main dans ses cheveux.
Edouard l’interrogea du regard. Marie hocha la tête.
-Oui, Ed…
Le mentor entra dans la chambre, un air chaleureux sur le visage, suivit de deux enfants. L’un de huit ans, et l’autre de cinq. Les deux petits Malroy. A la porte, une trentaine d’Assassins, dont les plus influents et les plus célèbres de France, certains venus de l’étranger, étaient courbés pour voir à l’intérieur. Tous souriaient.
-Oui, répéta Marie, exténuée.
Edouard prit le bébé avec une douceur inhabituel chez un homme aussi froid que lui.
-C’est un garçon, compléta la sage-femme.
Edouard le souleva au-dessus de sa tête et partit dans un grand rire.
-Lucien, ce sera ton nom, mon fils !
Les applaudissements des Assassins résonnèrent dans tout le Q.G, et la fête qui suivit dura jusqu’au matin.

Lenski
Niveau 10
21 novembre 2012 à 20:53:48

bil : c'est ce qui fait son charme :cool:

Bilbo1997__
Niveau 10
21 novembre 2012 à 21:02:22

Lenski : Mais en fait, il a bouffé le cadavre :hap:

Sujet : [JEU] L'ère des Assassins
   Retour haut de page
Consulter la version web de cette page