As : ouais , c'est le problème quand on trouve l'inspiration à minuit 
Tu peux me citer , si tu veux
Sujet :
[JEU] L'ère des Assassins
As a compris 
Au début je voulais faire un truc comme dans le multi mais bon , ça me soulait
Les mecs vous avez remarqué que personne ne fête la 100 pages ?
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Allez As ont va voir si tu corrige bien 
Anecdote 1
Etats Unies 2012
-Debout Monsieur Martinez.
-Monsieur Vidic, je crois bien que c’est la première fois en deux mois de captivités qu’il me semble entendre une pointe de joie dans votre voix.
-Nous touchons au but de notre opération, dit il en m’entrainant dans la salle principal. Je pense que d’ici deux semaines nous auront terminé.
-Si vous le dites. Mais je doute qu’en deux semaines on atteigne le moment où Ludovico cache la bague, répondis-je en m’allongeant sur l’animus.
-Nous ne cherchons pas la bague Monsieur Martinez, lança Vidic en faisant démarrer l’animus.
Mars 1781
L’élite parmi l’élite
Cela faisait maintenant 1 mois que je faisais le même cauchemar toutes les nuits. Les sept fantômes apparaissaient devant moi et m’appelaient « Le dernier de Vae Victis ». Au début je faisais comme si de rien n’était mais après un mois sans arriver à dormir plus de 2 heures d’affilées je pris la décision d’en parler au maître de Fett. Après un entrainement à la dague dans le jardin du manoir je décidais de me lancer.
-Maestro j’ai quelque chose à vous dire, commençais-je d’un ton moins assuré que ce que j’aurais voulus.
-Qu’y a-t-il Ludovico ?
-C’est à propos du fragment d’éden. Toutes les nuits je fais le même rêve étrange. Et pour une raison qui m’échappe je suis sûre que vous savez ce qui m’arrive.
-Je vais te dire tout ce que je sais mais tu dois me promettre de tout écouter avant de tenter de me tuer, dit le maître d’un air las.
-Euh… Si vous voulez, répondis-je en craignant la suite.
-Cette bague, est l’un des seuls fragments d’éden qui est resté entre les mains de notre ordre depuis la nuit des temps. Vae Victis est un groupe d’élite d’assassins. Malheureusement très peu d’entre nous peuvent la porter. Tu es exactement le huitième à survivre à son toucher. Les sept autres sont déjà rentrés dans la légende de notre ordre.
-Qui sont-ils ? demandais-je fasciné par le discourt du maître.
-Aucune idée. Ces dossiers sont très secrets et connus seulement par le Grand Maître et quelques un de ses conseillers. Je sais juste que ces assassins étaient tous de vrais génies.
-Ce sont… eux les fantômes dans ma tête, bafouillais-je maladroitement.
-Surement. Ces hommes et ces femmes sont célèbres parmi notre ordre. Si ils peuvent t’apprendre quelque chose ça serait parfait. Mais ta journée s’annonce longue, dans très peu de temps ton entrainement sera finit et tu repartiras vers l’Espagne pour accomplir ta mission qui est de reprendre Barcelone. Mais les Templier sont présents depuis prêt de deux siècles dans cette ville et ils ne se rendront pas aussi facilement. Tu devras mener une armée la bas pour les faires sortir. Tu pourras surement compter sur les quelques assassins présent dans Barcelone et aussi par mes propres hommes mais ça ne suffira pas. Je t’ai obtenu un rendez-vous avec la famille Lenski. Les assassins de la fleure de Lys peuvent être un précieuse atout. Dimitri t’aime bien il agira surement en ta faveur mais tu devras par contre convaincre le patriarche des Lenski ainsi que les frères de Dimitri. Je te fais confiance tu y arriveras.
-Donc je dois convaincre des fantômes dans ma tête de m’apprendre leurs techniques et les Lenski de me soutenir dans mon action pour Barcelone. J’aurai préféré qu’on me laisse seul dans une forêt Russe avec un pistolet chargé d’une seul balle plutôt que de m’approcher du manoir Lenski mais bon j’ai pas vraiment le choix.
Je saluai le maître avant de sortir du manoir. Les Lenski habités dans un manoir de la banlieue parisienne même si ils passaient le gros de leur temps à Versailles. Je pris une calèche fournit par les Assassin pour mis rendre au plus vite. Le rendez-vous était dans 30 minutes et être à l’heure était ma priorité. Le cocher me déposa avec 5 minutes d’avances. Le manoir des Lenski étaient un beau bâtiment de style gothique qui semblait perdu au milieu de nulle part. Pourtant la ville la plus proche se trouvait à 2 minutes mais les arbres bloqués la vue. Je montais les quelques marches qui me séparait du perron. La porte s’ouvrit avant même que je sonne. Une servante s’éclipsa pour me laisser entrer. Le hall d’entré était assez sobre mais donnez sur plusieurs pièces qui s’emblaient bien plus vives et éclairés.
-Nous vous attendions monsieur Lazaro. Le patriarche, ses deux fils et sa fille vous attendent dans la grande salle. Puis-je prendre votre veste ? demanda la servante en baissant les yeux.
-Non laissez je vais le faire moi-même, répondis-je interloqué par le regard effrayé que me lancé la servante.
Surement n’avais-je vraiment pas l’habitude des domestiques. Enfin bref, je posais ma veste au porte manteau puis je suivis la servante jusqu’à une salle plus loin dans la maison. Deux gardes poussèrent les immenses portes en marbres pour me faire entrer dans une salle de réunion.
La pièce était très grande. Les Lenski étaient tous assis dans différents fauteuils en cuirs. Le patriarche, assis entre tous ses enfants, avait aux moins 60 ans voir plus et portait un costume noir fait sur mesure probablement. Andrey Lenski ce tenait à sa droite dans un costume violet. Il avait les cheveux coupés très courts et un visage qui semblait taillé dans le roc. Ses muscles ressortaient sous son costume. A la gauche du patriarche se trouvait mon ami Dimitri qui me lançait un regard d’encouragement. A la gauche de Dimitri se trouvait Sonia Lenski, sa sœur, en tenue d’assassin. Elle avait surement une mission juste après.
-Bonjour monsieur Lazaro. Je vous en pris prenez un siège, dit le patriarche en indiquant un fauteuil face à toute la famille.
-Bonjour à vous Votre Grâce. Je vous remercie d’avoir accepté de me rencontrer, dis-je calmement en m’asseyant.
-Jérôme a énormément insisté pour ça. Enfin vous connaissez déjà Dimitri et voici mon premier fils Andrey ainsi que ma fille Sonia même si je suppose qu’on vous a déjà briffé là dessus.
-Nous sommes la pour parler affaire Votre Grâce, la présence de vos enfants est elle absolument nécessaire ? demandais-je mal à l’aise face à tous ces Assassin.
-Toute action armée demande l’implication de mon fils Andrey pour la terre, de Dimitri pour les attaques naval et de Sofia pour l’infiltration. Ne sachant pas la nature de votre demande j’ai jugé préférable de tous les faire venir, répondit le patriarche d’un air calme. Et maintenant parlons affaire. Qu’attendait-vous de mes assassins ?
-Comme vous le savez je suis Barcelonais, et je pense que ma ville a passé suffisamment de temps sous le contrôle des Templier. J’ai besoin de votre soutient pour la reprendre.
-Et en quoi cela m’aiderait ?
-Comme vous devez le savoir Barcelone est un des premiers ports Européens. Si je deviens maître de la cité les assassins de la Fleur de Lys pourront se servir de Barcelone comme port de transition vers bien des destinations. La bella peut aussi vous permettrais de commercer plus rapidement avec les autres pays d’Espagne, récitais-je sans faire de faute.
-Je sais toutes ses choses monsieur Lazaro. Alors même si ces propositions sont juteuses ce n’est pas ce qui m’intéresse. Ce que je veux savoir c’est entre quelles mains je place la vie de mes hommes. Les Templier ne lâcheront jamais Barcelone et ils sont extrêmement nombreux dedans. Je vais obligatoirement perdre des hommes. Mais avez-vous seulement les tripes pour reprendre la ville ? demanda le patriarche avec un air de dédain.
-Monsieur Lenski, dis-je en haussant un peu le ton, je suppose que vous savez comment j’ai obtenu le surnom du Sénéchal ? Au cas où vous ne le sauriez pas c’est dut au faite que j’ai tué deux commandants Templier qui s’étaient mis sur ma route. Sachez une bonne chose duc de Lenski : Mes ennemis sont légions mais je n’ai pas d’égal. Sur ce je m’en vais. Si votre réponse est positive faite le moi savoir, lançais-je en me dirigeant vers la porte.
-Monsieur Lazaro, dis le patriarche.
-Oui ?
-Votre demande a été acceptée.
-Un grand merci à vous, dis-je en quittant le manoir Lenski.
La servante me donna ma veste puis m’ouvrit la porte. La calèche m’attendait devant le manoir, prête à partir. A peine avais-je descendus les marches que Dimitri déboula derrière moi.
-Bien joué mon ami. Honnêtement je n’aurai pas crus que tu y arriverais mais apparemment j’avais tort.
-C’est bon de savoir qu’on croit en nous, ironisais-je en riant.
-Pour la petite histoire je pars d’ici deux jours en mer pour défendre la flotte française contre les corsaires Espagnols. C’est mon frère qui mènera nos troupes au sol et ma sœur dirigera la flotte. J’espère que tu y arriveras.
-Buena suerte mi amigo, dis-je en posant une main sur l’épaule de Dimitri.
-Buena suerte, répondit-il en retournant chez lui.
Je pris la calèche et reprit la direction du QG des assassins. L’assassin ouvreur de porte était toujours à son post et me laissa entrer. J’allais directement dans le bureau du maître. J’entrais sans frapper et découvris le maître en pleine discussion avec une personne familière. Luna d’Aubusson.
-Re bonjour Maestro. Señorita, dis-je en baisant la main de Luna.
-Cela faisait longtemps monsieur Lazaro ou devrais-je dire le Sénéchal, dit Luna en riant.
-Alors Ludovico comment c’est passé ton affaire ? demanda le maître en ouvrant un livre pour noter mon rapport.
Je pris le second siège puis raconté au maître mon échange avec le patriarche Lenski. Luna d’Aubusson écoutait mon discourt avec beaucoup d’attention.
-Dimitri m’a ensuite souhaité bonne chance avant de rentrer chez lui.
-Très bien joué Ludovico tu as réussi à te sortir du piège Lenski, chose que peu de personnes savent faires. Par contre il me semble que je vais devoir prolonger ta journée, dit le maître en refermant son livre.
-Quel sera mon prochain travaille Maestro ?
-Mademoiselle d’Aubusson ici présente doit rejoindre sa résidence à l’autre bout de Paris. Malheureusement pour rejoindre sa demeure il lui faut traverser le quartier militaire. Un quartier sous contrôle Templier pour le moment. Je compte envoyer Cédric y remédier sous peu mais en attendant je veux que tu monte dans la calèche de notre chère amie et que tu l’escorte jusqu’à sa destination.
-Ce sera fait, répondis-je en sortant du bureau avec Luna.
-Venez monsieur Lazaro mon transport est devant le manoir.
Je suivis la dame jusqu’à sa magnifique calèche tiré par deux chevaux noirs parfaitement brossés. Si le maître se soucié tant de la santé de mademoiselle d’Aubusson c’est parce que la maison d’Aubusson possédait une très grande puissance militaire qu’ils mettaient très gentiment au service des Assassins. La dame s’assit en face de moi et la calèche démarra. Elle me dévisagea un instant avant d’entamer la conversation.
-J’y pense je n’ai jamais eu la chance de vous remercier pour mon sauvetage.
-Ce n’est rien Señorita je fais juste mon travaille, répondis-je en jetant un coup d’œil dehors mal à l’aise à l’idée de traverser un quartier Templier.
-Non ce n’est pas rien quand même. Enfin bon, j’ai appris de mon oncle que vous allez nous quittez.
-Ma terre natale me rappelle à elle.
-La belle Barcelone. Une ville des plus magnifiques. Et vous qui vous prétendiez Sénéchal à la frontière.
-Je n’aurai pas pus deviner votre appartenance à l’ordre.
-Je vous pardonne mais faites attention, les femmes sont bien plus dangereuse qu’elles en ont l’aire.
-Ca je veux bien le croire.
-Ces faits mis à parts. Les Templier sont présents à Barcelone depuis plus de 200 ans. Vous pensez vraiment pouvoir briser une présence aussi ancienne ?
-Les hommes sont stupides, ricanais-je.
-Que dites-vous ?
-Les hommes s’imaginent que le temps encre leurs réalisations à un endroit. Comme si plus rien ne pouvait les faires bougés. On n’oublie bien vite que tout ce qu’il faut pour changer le coure des choses c’est la volonté d’un seul homme.
A ce moment là la calèche s’immobilisa et le chauffeur ouvrit la porte. Nous étions arrivés à destination.
-J’espère vous revoir bientôt, dit Luna en me regardant d’un air fascinée.
-Ca sera avec plaisir señorita, répondis-je en souriant.
Le conducteur ferma la porte et me ramena au manoir. Durant le trajet je regardais par la fenêtre quand un mal de tête me pris. Je clignais des yeux avant de me retrouver encore face aux sept fantômes.
-Bienvenue à toi, dernier de Vae Victis. Tu vas commencer un nouvelle entrainement à partir d’aujourd’hui.
-Lequel d’entre vous sera mon instructeur ? demandais-je plus calme que d’habitude.
-Tu a le droit de choisir ton premier instructeur, dit encore le même fantôme qui était d’ailleurs le seul à parler.
-Je veux commençais par vous, dis-je en montrant le porte parole du groupe.
-Tu es à partir d’aujourd’hui et pour un temps illimité, l’élève de Darius l’assassin Perse.
Très bon texte 
mais il y a un petit peu de fautes de frapes :
Les lenski habités 
habitaient
Le maitre se soucié souciait
Ca je veut bien ... ça
mais bon sa arrive a tous le monde, rien de bien méchant.
Je dirais 2 points 500 argent
Ludo : j'ai pas tout lu mais je vois juste un truc :
Les Lenski sont des marquis , pas des ducs 
Lut tout le monde.
ludo, je te dirais juste que, au lieu de dire l'assassin ouvreur de porte, tu pourrait dire le portier. (et un assassin qui ouvre des portes à longueurs de journée a dû merder encore plus que le mien 
)
Ludo J'aime bien ton dernier chapitre mais pourquoi le Maestro lui demande de pas tenter de le tuer?
ben il lui a quand même fait porter une bague qui permet de parler à des fantômes et le maître sous eentend quand même que certain sont morts en esseyant.
As merci, pour la dernier faute c'est juste que je trouve pas comment faire ç en majuscule. Je reffet mon profil. Et Lenski pardon pour l'erreur j'ai pas trouvé l'endroit ou tu en parler et il me semblait pourtant bien que c'était des ducs. Enfin tant pis. Et merci pour ta citation aufaite 
.
Ludo : à chaque fois qu'ils se présentent , ils se présentent comme des marquis 
Preuve que je sature à force de te lire. 
D'ailleur je souhaite bien du courage à As pour cette semaine
Je serais moins actif cette semaine
Pour laisser as tranquil
Hey pourquoi tu me laisse jamais tranquille moi
Non non lens reste comme ça, j'adore l'faire
Ludo il me semble que sur word si tu met "Ca" il te le corrige en laissan la majuscule, mais c'est vrai que c'est chiant
Parce que tu as plus d'expérience que lui
Bien le 2000ème post inutil
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