Assassin's Creed IV : Black Flag

J'ai C/C alors j'ai pas du faire gaffe

Ludo : comme j'en ai eu marre de bider j'ai taillé dans la longuer des textes /

T'es plutôt généreux, la c'est une phrase oui.

+ oui c'est la flamme, flameche si tu veux l'énerver(avec cette orthographe (et comme orthographe est féminin, je mets cette)

Je ne connais pas de Laflamme

Bon, il serait peut être temps que j'honore ma réputation .

Oh flemme malheureusement.

Tiens souffres ! Correcteurs de mes deux

[1782, Amérique]
Loras se jeta derrière un buisson tout en rechargeant son fusil. Il avait encore du mal à comprendre comment avait commencé son cauchemar. Alors que Dimitri avait disparu pendant presque un an, l'équipage avait continué son travail et Loras s'était endurci malgré les mauvaises conditions d’hygiène. Pourtant, un jour, Dimitri était revenu, avait tiré son épée, et avait donné l'ordre de faire voile vers l’Amérique. Il ne se donna même pas la peine de cacher leur participation future dans la guerre sévissant au sein des colonies anglaises. Un problème du à l'usure du navire et de mauvais vents les avaient éloigné du reste des troupes et ils se retrouvaient ainsi tous perdu au sein du vaste Nouveau Monde. Loras avait bien tenté de s'échapper mais il fut rappelé à l'ordre par des officiers présents, l'empêchant de fuir cette guerre à laquelle il avait toujours voulu participer mais dont il ignorait jusque-là la cruauté. Le choc avait été dur lorsque, perdus au milieu d'une forêt, ils firent la rencontre d'un contingent ennemi.
-Relèves-toi !
Loras tourna la tête et vit Dimitri, pistolet en main, avancer vers l'origine des projectiles. Malgré le dégoût qu'il lui inspirait, il ne pouvait s'empêcher d'admirer son courage. Suivit d'un seul soldat lui rechargeant un pistolet, le temps que Dimitri fasse feu avec le second, il avançait presque sans s'arrêter sauf pour se mettre à couvert quelques temps. L'assassin paraissait presque à son aise dans cette bataille. Peut être que l'impression d'invincibilité qu'il véhiculait y était pour quelque chose mais la majorité de ses hommes le suivaient lorsqu'il avançait. Loras ne put que faire une prière avant de recharger son fusil et de courir vers les couleurs rouges vives qu'il voyait au loin. Il y eut soudain des ordres criés et les couleurs rouges se rapprochèrent de plus en plus vite. En un temps assez court les soldats britanniques furent sur eux, prés à engager le combat au corps à corps. Le templier ouvrit le feu, abattant un opposant avant de tenter de s'en prendre à un adversaire isolé.
-Je vais me faire tuer, pensa Loras.
Le templier planta sa baïonnette dans la jambe de son adversaire avant de dégainer son épée et de lui trancher la gorge. Il se mit à courir vers un autre soldat et lui fit subir un sort semblable. Le troisième tenta une attaque vers le ventre du templier qui dévia avec son épée avant de lui planter la lame dans le cœur. Sans réfléchir, il se condamnait à frapper et à bloquer autant de coups que possible, espérant ne pas mourir lorsque plusieurs hommes l'attaquaient. Soudainement, il sentit un changement dans les combats avant de voir la plupart des britanniques reculer. Il entendit soudain des cris d'encouragement et se tourna dans leur direction pour voir Dimitri tenant une tête humaine par les cheveux, un cadavre d'officier à ses pieds. Il pointa soudainement son épée vers les soldats anglais en pleine débâcle.
-Vélaut ! Hurla le noble.
Les soldats prés de lui le regardèrent un moment ne comprenant visiblement pas ce qu'il venait de dire. Finalement il poussa un soupir avant de prendre un air agacé.
-Massacrez-les !

Peu après.
-Et bien voilà ! Nous sommes quelque part, s'enthousiasma Dimitri.
Ayant réussi à sortir de la forêt les soldats avaient fini par trouver une auberge vide, à l'exception de l'aubergiste qui affichait une joie sans borne de les voir arriver. Un campement établi à la va-vite autour de l'auberge et ils étaient prêts à se reposer ou à résister. Loras, pour sa part, avait été choisir par Dimitri pour s'occuper de l'entretien de son feu et lui servir à manger. Dans l'esprit du templier c'était une occasion en or pour éliminer cet assassin mais d'un autre côté il semblait tant savoir ce qu'il faisait que le tuer mettrait en danger la vie de tous les autres combattants sous ses ordres.
-Pourquoi avons-nous débarqué ? S'indigna un officier. En bateau nous serions déjà...
-Déjà là où les anglais s'attendent à nous voir arriver, le coupa Dimitri. Le problème de nos ennemis est la difficulté du ravitaillement. Si nous le coupons nous les affaiblissons considérablement et, en plus de cela, une force de quelques centaines d'hommes se manœuvre bien plus aisément que les milliers d'hommes sortant du champ de bataille. D'ailleurs combien sommes-nous ?
-Nous ne disposons que de trois cent vingt hommes, répondit un officier dont l'embonpoint indiquait une certaine aisance. Trois cent contre....
-Contre une infime poignée de soldats anglais. Leurs défaites ont affaibli leur moral et si nous parvenons à couper leur ravitaillement nous affaiblirons leur discipline. Un soldat qui a faim se bat moins bien et obéit moins à ceux qui sont sensé le commander. Notre force réduite empruntera les chemins pour avancer vers les zones de combat et l'infanterie légère ouvrira la voie.
-Et la cavalerie ? Nous disposons d'une trentaine de....
-Ils serviront d'éclaireurs. Si jamais nous avons à faire face à un ennemi, ils seront les premiers à mourir. De plus ils n'attireront pas l'attention et passeront pour des simples messagers.
-Nous parlons de la cavalerie, voyons ! Nous parlons de....
-Nous parlons de fantassins se déplaçant rapidement, trancha Dimitri. Maintenant laissez-moi étudier les cartes et....
-Jeune homme, commença le gros officier, j'ai servi alors que vous appreniez à lire et à écrire. Je désapprouve vos méthodes de...
-Cela ne m'importe guère, répondit Dimitri. Peut-être étiez-vous autrefois un grand et magnifique guerrier, mais aujourd’hui vous êtes alourdi par les années, les médailles, les charges et votre argent. Si vous désirez me rappeler votre glorieux passé, prenez un fusil ou un cheval et mêlez-vous aux soldats. Je ne vous ai pas vu pendant le combat, étiez-vous parti dormir prés d'une souche ?
-J'aidais les blessés à...
-Vous avez fui le combat comme un lâche, ayez au moins la noblesse de l'admettre ! Maintenant, sortez de cette chambre avant que je n’entache grandement votre honneur.
-Et comment comptez-vous le faire ? Demanda l'officier sur un air de défi.
Dimitri passa derrière lui et le tira d'un coup sec par le col avant de le tirer vers la porte de la chambre et de l'en jeter comme un vulgaire ivrogne.
-Est-ce possible de confier des postes si importants à de tels idiots ? Commenta Dimitri pour lui-même.
Loras ne prit pas la peine de répondre, comprenant très bien que Dimitri avait prononcé ces mots pour lui-même. Le templier fut assez étonné de voir son comportement vis-à-vis d'autres nobles et surtout dans une telle situation. Coupé de tout, il aurait pu s'appuyer sur les avis des autres officiers issus de la noblesse mais au lieu de cela il rejetait leurs avis et remettait en cause leur efficacité.
-Apportes-moi une bougie, demanda Dimitri.
Loras exécuta l'ordre et observa Dimitri penché non pas sur des cartes mais sur des dessins illustrant des soldats dans divers uniformes et aux multiples équipements, la cavalerie paraissant relativement absente dans la quantité assez considérable d'illustrations.
-Les armes évoluent.... Pas les soldats.... Il faut absolument réformer l'armée...
Dimitri rangea la plupart des images affichant des soldats de l'infanterie de ligne tandis qu'il disposait sur la table quelques fusils ainsi que des balles. Loras reconnut un exemplaire de celui qu'il utilisait mais pas les deux autres.
-Nos fusils sont efficaces … en ligne …. trois voire quatre ou même cinq coups pour les meilleurs soldats ….
Il observa une carabine posée sur une table .
-Les américains les ont utilisé pour éliminer les gradés . Augmenter leur cadence de tir est sans doute la meilleure chose à faire … Ajouter des rainures augmente la précision alors il faudrait en ajouter autant que possible mais c’est difficile ….
Il observa de nouveau les projectiles ainsi que les rapports de bataille et les illustrations représentant les mouvements des différents corps d’armée .
-Il faudrait également augmenter le rythme de tir . Peut être que …. Un fusil très précis et un autre à tir rapide . Le tir roulant serait ainsi conservé , demandant trois voire quatre lignes ….. Non … La puissance de feu de l'artillerie rendrait cette formation vulnérable.
Il regarda rapidement une carte du relief de la région .
-Il n’y a pas assez de plat . Un talus ou un creux et c’est toute la ligne qui s’effondre . Une rivière ou un marécage à traverser et c’est la fin d’une armée si elle y est prise …..
Il prit une illustration de cavalier et la rapprocha de la bougie.
-Les voltigeurs ! Rapides à déployer , ils agissent de la même façon que les dragons mais … leur fragilité au corps doit être compensée …. Non ! Il faut repenser la façon d’utiliser les soldats ! Les cuirassiers , s’ils devaient être opposés à des tireurs d’élite tels que ceux des américains doivent se concentrer sur leurs charges . Un voltigeur devrait ainsi se déplacer sur la croupe d’un cuirassier , celui-ci lui offrant un léger apport de feu , le temps que les voltigeurs se mettent en place avant de lancer une charge sur les lignes déjà déstabilisées par les tirs des-dits voltigeurs ...
Dimitri observa alors une illustration représentant un officier marchant devant ses soldats .
-Ces lignes …. Trop difficilement manœuvrables il faudrait les remplacer par quelque chose …. Peut être de petits groupes très mobiles chargés de désorganiser les lignes , à la façon des tirailleurs…
Il observa une illustration de soldat russe .
-Un mortier à main … Il faudrait que la quatrième ligne , celle qui ne tire pas , tire ne serait-ce qu’un coup une fois que la troisième ligne se serait baissée . La ligne ennemie serait perturbée suffisamment longtemps pour reprendre la manœuvre de feu roulant ! C’est ça ! Il ne suffirait donc que de deux salves , voire peut être trois , désorganiser les lignes ennemies avant de charger !
Soudain l'assassin poussa un long soupir.
-Plus l'on multiplie les lignes plus l'on s'expose à l'artillerie. Les anglais ont déjà déployé des soldats sur deux lignes afin de couvrir une plus grande surface mais... Le rythme de tir face à la cavalerie rendrait une telle formation fragile, encore plus face à un ennemi usant de trois lignes. Avec une supériorité numérique considérable, cela pourrait être viable mais sans une nette supériorité... Comment pourrait-on arriver à un équilibre ? Trois rangs, un premier armé de carabines, un deuxième de mousquets et un troisième par des mortiers à main... Mais... En cas de charge de cavalerie, il serait bien trop compliqué de former un carré...
Dimitri observa les illustrations représentant les cavaliers.
-La cavalerie a une trop faible marge de manœuvre pour évoluer. Quel que soit le changement d'équipement ou de tactiques, sa puissance reste relativement la même. Serait-il possible de la remplacer par quelque chose ? D'autant qu'élever des chevaux pour le combat demande beaucoup de temps et d'argent. Peut-être Leonard de Vinci avait-il quelque chose dans ses plans....
Il se mit à réfléchir avant d'observer la représentation d'un canon. Il se concentra soudain sur les roues soutenant la pièce d'artillerie.
-Et si.... En réduisant la taille des projectiles et en créant plusieurs espaces tournant autour d'un seul axe... Il n'y aurait qu'à mettre la poudre et à tourner la roue à munition...
Il dessina un premier plan avant de ranger toutes les illustrations dans une pochette en cuir. Alors que Loras pensait que l'assassin allait se coucher, Dimitri tira une petit boite de son sac ainsi qu'un flacon et une petite sous-coupe dans laquelle il versa le contenu du flacon. Il ouvrit la boîte et posa délicatement le contenu dans le récipient. Loras eut un moment d'incompréhension avant de reconnaître des yeux. L'assassin alluma un bâtonnet d'encens et mit le feu au liquide tout en commençant à en respirer la fumée.
-Aides-moi, murmura Dimitri.
Loras observa la scène, à la fois inquiet et intrigué. Dimitri parut pendant un court moment insensible à ce qui aurait pu se dérouler dans sa chambre tandis qu'il respirait les émanations. Il parut que la fumée issue de l'immolation des yeux devait l'inspirer car il afficha soudain un air à la fois plus reposé et plus confiant. Il sortit une carte des environs prêtée par l'aubergiste et se mit à suivre une route à l'aide de son doigt.
-Nous emprunterons la route principale avant de tourner vers l'intérieur des terres boisées afin de couper l'aide des indiens aux anglais !
Il se tourna subitement vers Loras, comme si ses yeux l'avaient percé à jour.
-Vas prévenir mes minables subalternes. Dis leur de se tenir prêt à marcher.

Heureusement que Ludo va me remplacer pour te corriger

Tu ne respectes même pas la convention des écrivains.

Mais comme il y'a des russes je te mettrais 131903813/20.

Flamme/glace : évidément ce texte va avec le précédent c'est juste qu'il était trop long /

Rawne : nan c'est juste un culte qu'il rend à une cqela °
C'est expliqué dans un de mes précédents textes

Oui mais c'est pas moi qui doit te corriger donc je n'ai pas l'obligation de lire

Moi c'est simple.

Russe = très bien.
Pas russe = merdique.

C'est toi mon correcteur attitré

J'ai rien attitré du tout

PP > C'est pour ça que tes textes sont merdiques

Humour, ranges ce flingue

Je m'achète une épée courte 2ème main avec mes 1200 pièces d'or .

• ne range pas le flingue*

Moi pas humor!

Vodka alors?

Je peux créer une page spécialement pour mon Assassin

ici : http://rp-l-heritage-des-ombres.forumjv.com/0-105416-0-1-0-1-0-0.htm

Ouais mais poste les textes corrigés

Ok .