Assassin's Creed IV : Black Flag

ok je refait ça
Mais je peux mettre une nouvelle organisation ou je dois l'enlever ?

Assassins tu es obligé je pense

Apres pour les templiers, indirectement
Tu peux toujours garder ton organisation que tu voulais en disant que c'est "une branche" des templiers par exemple
Ou un lien du genre tu vois?
Du moment que c'est un peu lié

Mais apres remarque il n'y a pas que les templiers donc je ne sais pas trop...

Sois tu attends un autre mentor pour savoir quoi faire, sois tu changes, et choisira entre tes deux fiches celles que tu préfères si les deux sont acceptées

• crash d'un TARDIS*

On m'a appelé ?

Lenski
Megatron dans sa fiche fait intervenir une organisation autre que les templiers en ennemie. Ça passe ou pas?

Merci d'être passé

Hum ça peut marcher .... Tant que ça ressemble pas trop à Naruto et que ça reste relativement réaliste /

• retourne dans son TARDIS et disparait*

Ok bah bienvenue magatron
Tu es accepté

J'approuve Lenski. /

ouai genre une branche secondaire quoi, mais si on peut pas, pas go mettre des templiers

désolé du double post mais ne vous en faite pas, c'est pas parce que je prend obito que je vais faire du naruto hein
je vais rester dans le theme Ac sans katon et autres trucs fantaisiques.

Et pour les capacités sur 10, on fait comment pour augmenter leur niveau ?

Megatron tu peux laisser comme tu as fais si tu le souhaites comme l'ont donc dit Lenski et glace à condition, je cite, de ne pas tomber dans du naruto

Si tu veux changer des choses dans ta fiche, tu peux toujours

Moi j'y vais, donc vois avec un autre correcteur pour plus d'information si besoin
Bonne nuit

Megatron quand tu fais un texte, en fonction de la qualité tu reçois plus ou moins de:

- argent pour acheter des armes et de l'équipement
- des points de compétence (ce que tu demandes).
- des points d'XP pour augmenter dans la hiérarchie des assassins.

ok bah je posterais demain

Bon, la partie 3 était un peu trop longue, alors je la divise en deux Du coup la suite arrivera sûrement plus rapidement.

Anecdote :

~ Chapitre 2 : L'Ombre des mers, Partie 3 ~

Un bruit sourd résonna dans le crâne tout endolori du jeune Assassin. Il faisait noir. Il se sentait oppressé, sans forces. Pendant plusieurs minutes, Liam ne sut plus où il se trouvait, ce qu’il faisait, ni même qui il était. Mais il n’avait pas de réponses à ses deux premières questions. Au bout d’un instant, le jeune homme sentit un mal de tête lui submerger le crâne, comme si un étau l’enserrait, puis qu’un immense marteau frappait sa tête avec férocité. Liam se rendit compte qu’il avait en fait les yeux fermés. Il essaya de les ouvrir, en vain. Ses paupières étaient trop lourdes. Il ne pouvait même pas bouger. Alors qu’il essayait tant bien que mal de faire un mouvement pour être sûr qu’il contrôlait encore ses muscles, Liam émit une petite plainte de douleur.
- Tiens, notre petit ami semble s’être réveillé, déclara une voix qui parut très lointaine au garçon. Allez, fais pas le timide, viens dire bonjour.

Liam sentit une force l’attraper, puis le soulever de là où il se trouvait. Soudain, il ne sentit plus les mains qui l’agrippaient deux secondes auparavant. Avant qu’il ait le temps de se demander ce qui se passait, le jeune homme tomba lourdement sur le sol. Il ouvrit les yeux instantanément, et, le souffle coupé, ressentit une intense douleur dans tout son corps que le choc de l’impact avait ravivé. Liam cligna plusieurs fois des yeux pour se réveiller. Le jeune garçon reçut un coup de pied d’une force phénoménale dans l’abdomen, ce qui eut pour effet de le retourner. Ce n’est que lorsque la corde frotta ses poignets, déchirant des lambeaux de peau, qu’il se rendit compte qu’il avait les mains liées dans le dos. La joue écrasée contre ce qui semblait être une pierre froide, Liam entendit un rire tonitruant briser le silence, avant de refermer les yeux.

Soudain, il se souvint. Tout se bouscula dans sa tête. L’auberge. La route. Les pirates. L’homme qui lui avait reproché d’avoir adressé la parole au pêcheur. Le pêcheur… L’Ombre des mers ! Liam ouvrit à nouveau les yeux, alerte. Sa joue gauche était étalée contre une pierre froide. En face de lui, il ne voyait que ce qui semblait être un pied de table ou de chaise, et un mur de pierre. Du coin de l’œil droit, Liam aperçut le plafond, qui paraissait lui aussi fait de roche. Une voix lui parvint, venant de derrière lui :
- Bon alors, tu t’réveilles ?
- Relève-le, ordonna une seconde voix empreinte d’autorité.
Presque aussitôt, Liam entendit des bruits, puis se sentit encore une fois soulevé de terre. Tandis que sa tête lui tournait de plus belle, et qu’une lumière aveuglante due à son mal de tête lui brouillait la vue, on le força à se remettre sur pied. Soudain, le jeune homme se prit une gifle qui aurait pu lui décrocher la tête des épaules. Il ouvrit aussitôt les yeux, pour faire face à quatre hommes, qui le dévisageaient d’un sourire cruel.

Le garçon resta de marbre, et observa les différentes personnes qui lui faisaient face. Debout sur la gauche se trouvait le pirate barbu qu’il avait déjà vu dans la taverne et qui l’avait mis hors d’état de nuire. A sa droite se tenait l’un des deux chauves qui avait lui aussi été présent dans l’auberge. A l’extrême droite de ce quatuor, un homme était penché sur l’épaule du pirate qui était assis au milieu. Il avait un bras autour de son cou, et le second sur l’autre épaule, tandis que Liam ne pouvait voir son visage, masqué par un immense chapeau. Soudain, le pirate leva la tête vers le jeune Assassin. Ses yeux bleus le fixèrent, et alors seulement le garçon se rendit compte que ce regard était celui d’une femme. Elle était habillée avec des habits pirates d’homme, et ses cheveux blonds, qui dépassaient de son chapeau sur le devant de son visage, étaient cachés sous le tricorne, ce qui lui donnait au premier coup d’œil un air masculin. Mais les traits de sa figure étaient bel et bien féminins, bien dessinés, donnant à ce visage une beauté des plus attirantes. Liam songea sombrement que beaucoup d’hommes avaient du se faire piéger par la belle femme. Néanmoins, quelque chose dans son regard, et dans son sourire, laissait transparaître une cruauté qui retirait toute la beauté et la finesse présentes chez elle. Ce n’est que lorsque le sourire de la jeune femme s’agrandit encore que Liam détourna les yeux, pour les poser sur le dernier individu présent, assis sur une chaise. Voyant le regard du jeune homme posé sur lui, le pirate releva un peu plus la tête et lui adressa la parole, avant que Liam ne puisse l’observer davantage :

- Bonsoir mon garçon, déclara-t-il calmement. Tu te souviens de moi j’espère ?
Face à lui se tenait le pêcheur qu’il avait tenté, en vain, de sauver des pirates. Ou plutôt, cet homme n’était que l’ombre du quinquagénaire qui s’était trouvé assis seul à sa table. Le pirate devant lui n’avait plus aucune hésitation ni rien d’innocent dans son regard, qui était dur et impénétrable. Il avait délaissé ses habits pauvres de pêcheur pour les remplacer par une tunique et un manteau, tous deux sanglés par deux ceintures de cuir, portant deux pistolets, et un sabre au côté droit. Ses cheveux gris en bataille étaient dissimulés par un grand tricorne, qui laissait juste entrevoir la brûlure de son front. Alors qu’en pêcheur, la cicatrice de sa joue gauche le montrait comme un pauvre homme qui travaillait rudement, la chair rouge et boursouflée lui donnait à présent un air de démon, plus cruel encore. Seul, en pauvre marin, il paraissait naïf, innocent et aussi fragile qu’une brindille. Mais ainsi vêtu, armé, et avec ce regard sombre et dur, il dégageait une autorité cruelle et démoniaque. Il n’avait à présent plus rien en commun avec le pauvre homme que Liam avait tenté de sauver, et, malgré la différence de corpulence avec ses hommes, on devinait aisément qui était le plus à craindre.

- J’ai si changé que ça ? demanda le « pêcheur » avec amusement, en voyant les yeux de Liam posés sur lui.
Liam crispa la mâchoire, mais ne répondit pas.
- Tu es bien moins bavard que la dernière fois, n’est-ce pas ? Tu sais, cette fois où tu es venu me parler à ma table, si sûr de toi.
Alors qu’il parlait, le pirate s’était levé de sa chaise, et se rapprochait de plus en plus de Liam.
- Cette fois, poursuivit-il, où tu m’as planté ta lame dans la cuisse pour me forcer à te parler, aussi.
Un sourire cruel commençait à se former sur son visage, le rendant encore plus vil. Il porta la main à son dos et dégaina un petit poignard, qui était cependant bien acéré au vu de la lame qui étincelait.
- Je vais de dire une chose. Je ne supporte pas qu’on me dise ce que je dois faire, et encore moins qu’on m’humilie de la sorte, petit. Et retiens bien ceci : personne ne blesse l’Ombre des mers sans représailles !

Alors qu’il disait ces mots, le pirate attrapa Liam par l’épaule avec une incroyable force qui contrastait avec sa petite taille et son corps d’apparence chétif. Le jeune Assassin comprit alors comment cet homme pouvait tromper les apparences aussi aisément. Le mercenaire lui saisit ensuite le bras, avant de le lui retourner dans le dos, de façon à immobiliser le pauvre garçon.
- Sans rancune, déclara-t-il alors d’un ton posé.
Et il planta son couteau aussi aiguisé qu’une dent de requin dans l’arrière de la cuisse de Liam. Alors que la lame pénétrait sa chair, le garçon poussa un hurlement qui déchira l’air et se répercuta de tous les côtés dans la caverne de pierre. L’Ombre des mers – puisque c’était ainsi qu’on le surnommait – laissa la petite dague quelques secondes plantée dans la peau du jeune homme, puis, d’un geste brusque et barbare, il la retira, couverte de sang. Liam tomba à genoux, et reçu de plein fouet le plat de la botte du pirate dans la figure, le faisant tomber à terre pour la énième fois ce jour là. Enserrant sa cuisse avec ses mains, le garçon tentait en vain de stopper l’afflux de sang, qui se déversait sur la pierre, lui donnant un aspect sinistre.

Satisfait, l’Ombre des mers essuya son poignard avec un chiffon qu’il portait au côté. Il se tourna vers ses camarades.
- Très bien, on y va. Thomas, tu restes ici pour le surveiller, déclara-t-il à l’intention du grand barbu.
Et ils sortirent par une petite porte de bois qui se trouvait au fond de la caverne, tandis que le dénommé Thomas se dirigeait vers une table pour s’y asseoir, en attendant que son capitaine revienne. Liam gémissait, sa plaie le faisant atrocement souffrir. Au bout de plusieurs minutes, il essaya de bouger sa jambe. La douleur redoubla d’intensité, mais il y parvenait tout de même. Heureusement pour lui, le coutelas ne semblait pas avoir déchiré le muscle. Abattu, perdu, Liam tomba dans une sorte de transe, à mi-chemin entre l’éveil et le sommeil.

J'ai bien aimé Nahtar =)

Bah voici mon premier post, c'est la première fois que j'en fait un long.

[ Année 1215; Dans des montagnes reculées du Japon]

Obito, qui était partit s'entraîner dans des montagnes avec un maître, fini son entraînement encore plus fort que jamais. A l'aube, il quitta l'antre où il vécu pendant 17 ans, et repensa au massacre de son village par les Empiricons, qui s'avèrent être une sous branche des templiers.

Il remercia son maître qui lui a tout appris et partie. Obito descendit donc de la montagne, armée de son épée, et des ses couteaux cachés.
Ils savaient que les montagnes étaient un bon endroit pour les embuscades, et que les voleurs aimaient être en hauteurs pour piller les marchands, ou même les gens seul qu'ils soient armées ou non.

Il ne savait pas encore qu'il était surveillé. Obito continua donc son chemin, sans se soucier de grands choses, puisqu'il savait pertinament que si des brigands tente de l'attaquer, ils ne seraient plus de son monde.

Il pensa à son entraînement intensif, où il avait du travaillé son endurance, son maniement des armes, sa dexterité, mais également son mental, sa force physique et sa vitesse. Il aimerait tomber sur des brigands pour avoir un réel aperçu de sa puissance.

Obito marcha tranquillement vers la ville, pour pouvoir trouver une personne qui pourrait s'occuper de lui en attendant de fonder son organisation, et mettre fin aux Empiricons, mais également aux templiers.

Les heures s'écoulèrent, il était au vu de la place du soleil, aux alentours de midi. Obito avait faim, la prochaine ville étant encore à quatre heures de marche, il décida de chasser le chamois. Il regarda de partout, essaiya d'entendre le cris de l'animal en question.

Soudain, il en entendit un, et s'approcha en direction du cri. Il se cacha derrière des pierres, regarda par dessus, et vit à son grand étonnement un pâturage, avec des chamois, chèvres et vaches, ainsi qu'une grande maison. Il alla à la porte, frappa et attendit.

Une personne âgée lui ouvrit et demanda :
-"Que puis-je faire pour toi mon jeune garçon ?"
Il n'eut pas le temps de répondre que les brigands qui le surveillait apparurent. Ils étaient une petite dizaine, et leur chef prit la parole :
-"Moi, Peskaito prend possession de ce lieu. Vous n'êtes que deux, alors que nous sommes une dizaine. Rendez vous et nous vous laisseront la vie la vie sauve".
-"Ce sont des gens comme vous qui ne méritent pas de vivre, je vais vous montrer les fruits de mon entraînement" rétorqua Obito avec un air méprisant en le pointant du doigt.
-"Je t'att..."

Il n'eut pas le temps de finir sa phrase, qu'il tua sur le coup Peskaito avec sa lame caché qui se trouvait dans sa manche, avec la laquel il a pointé du doigt. La personne âgée n'avait pas dit son dernier mot, et les brigands purent voir les pistolets au volet des fenêtres. Ceux ci étaient tenus par les enfants de cette personne. Ils se mirent à ouvrir le feu et l'un des brigands cria :
-"Nous subissons un feu nourrit... Partons de cet endroit, ils ont réussi à tuer notre chef"

Au final, quatre à cinq brigands partirent en vie. Obito reprit :
-"J'étais venu vous voir pour savoir si vous pourriez me donner à manger. Je viens de quitter mon maître qui en avait fini avec mon entraînement et j'ai oublier de prévoir des provisions".
-"Avec ce que vous avez fait et dit, je ne peux refuser. Entré donc mon jeune" répondit la vielle femme.

Obito mangea, fit connaissance, remercia ces généreuses personnes puis reprit son chemin en direction de la ville. C'était cinq heures et demi, et arriva enfin en ville.

Allez hop, la partie 4 Normalement, encore une partie et j'enchaîne avec une autre Anecdote La Partie 3 est deux posts avant, pour ceux qui ont pas vu

megatron : Je lirai après, là j'ai pas le temps

Anecdote :

~ Chapitre 2 : L'Ombre des mers, Partie 4 ~

Le garçon recouvra ses esprits un peu plus tard. Lentement, le jeune homme tourna sur lui-même et se retrouva allongé sur le dos. Exténué, il attendit ainsi, les yeux fixés dans le vague, vers le plafond rocheux. Soudain, une douleur lancinante dans sa cuisse lui rappela le poignard de l’Ombre des mers. Il porta instinctivement ses mains à sa chair endolorie. Bien qu’il souffrait encore, la douleur semblait s’être apaisée un peu. En prenant son temps, Liam se redressa et s’assit en tailleur. Sa tête lui tourna un bref instant, mais il se reprit et parvint à se contrôler. Un peu plus sûr de lui que la dernière fois, Liam put examiner avec plus de détails l’endroit où il se trouvait. Il s’agissait d’une caverne de pierres sombre, dont seul un petit rayon de lumière filtrait du plafond, à travers les rochers. Il y avait quelques tonneaux et chaises, ainsi qu’une table sur laquelle le pirate barbu était assis.

- Heureusement pour toi qu’tu t’es réveillé avant qu’le Capitaine arrive, déclara-t-il. Sinon, ton réveil aurait été un peu brutal…
Liam se tourna vers lui mais ne répondit pas. Cependant, son regard interrogateur en disait long.
- Il va arriver, t’fais pas de soucis, poursuivit le marin. Mais je s’rais toi, je s’rais pas si pressé de le voir…
Liam se retourna, ne souhaitant pas parler. Il repéra un chiffon sale posé sur le dossier d’une chaise, non loin. Le jeune Assassin se mit à quatre pattes pour aller le chercher. Le pirate posa les yeux sur lui, puis haussa les épaules. Liam attrapa le bout de tissu troué et le noua fermement autour de sa cuisse blessée. Cela ne soulageait en aucun cas la douleur, mais au moins le torchon stopperait-il le sang si ce dernier se remettait à couler.

La porte s’ouvrit avec fracas, laissant entrer un homme de plus petite taille que les trois pirates de l’auberge, mais tout aussi musclé. Un bandeau crasseux maintenait ses cheveux en place. Il jeta des brefs coups d’œil dans la petite grotte, et s’adressa au pirate barbu assit sur la table :
- C’est parti. Le Capitaine veut que tu lui amènes le prisonnier. Et vite.
Le mercenaire se leva d’un bond et se dirigea vers Liam en deux grandes enjambées. Il lui empoigna le bras et le força à se mettre debout.
- Ca y est, tu vas enfin le retrouver, comme tu voulais, dit-il avec un ton de moquerie dans la voix.
Le second pirate, toujours dans l’encadrement de la porte, hocha brièvement la tête et ressortit aussi rapidement qu’il était rentré. Le barbu le suivit et Liam fut contraint de leur emboîter le pas. Etant donné qu’il s’était réveillé dans cette pièce, c’était la première fois que le jeune homme voyait par où il était entré. Tiré par le brigand, Liam suivait d’un pas rapide.

Ils traversèrent un long couloir de pierre, si étroit que ses membres effleuraient sans cesse la roche dure, écorchant ses habits et sa peau. Liam devait promptement écarter la tête lorsque celle-ci passait trop proche des torches qui étaient fixées au mur pour éclairer le petit tunnel. Après un instant, la lumière commença à pénétrer dans le boyau, indiquant au garçon qu’ils déboucheraient bientôt hors du couloir. Ils arrivèrent dans une immense salle, dont les murs et le toit étaient toujours faits de pierre. Cependant, une large trouée s’étendait sur sa droite, laissant entrevoir la mer qui s’étendait de ce côté, scintillant tel un cristal sous le soleil. Ce dernier faisait pénétrer ses rayons dans la large caverne, l’éclairant ainsi comme s’il n’y avait pas eu de toit. Liam eut à peine le temps d’observer tous les hommes d’équipage et autres brigands qui s’affairaient sur diverses embarcations ou provisions que son guide l’entraînait déjà du côté opposé de la salle. Il le mena droit face à une large porte de bois, vernie et peinte. Le pirate qui était venu les prévenir adressa un signe de tête à son camarade, puis se retira. Le mercenaire barbu avança de quelques pas, et toqua à la porte grâce aux lourds anneaux de fer qui y étaient suspendus. Presque aussitôt, le passage s’ouvrit en grinçant.

Liam et son « guide » pénétrèrent dans une seconde caverne, cependant bien plus petite que la précédente. Elle ressemblait plus à celle où Liam avait été détenu prisonnier. Néanmoins, cette grotte-ci été bien meublée, avec de nombreuses tables, bibliothèques remplies de vieux livres ou encore avec des sièges de cuir. Un feu crépitait vers la gauche, dans un renfoncement rocheux, créant une cheminée naturelle. Droit devant le jeune homme se trouvait un grand bureau, recouvert de parchemins, de cartes, d’encriers et d’instruments de navigation, comme des compas ou des astrolabes. Assis derrière son bureau se tenait l’Ombre des mers, le Capitaine de tous les pirates présents dans ce lieu, et près de lui, la femme que Liam avait déjà vu. Un sourire se dessina sur les lèvres du capitaine. Il claqua des doigts, et, sans hésitation, le barbu lâcha Liam, fit demi-tour et sortit de la pièce. Un silence s’installa, bientôt brisé par l’Ombre des mers :

- Alors mon garçon, ton séjour chez nous se passe bien ?
- Vous ne me faites absolument pas peur, rétorqua Liam d’une voix dure.
- Je trouve cela un peu arrogant, de la part de quelqu’un qui est mon prisonnier, et à ma merci, répliqua le capitaine, amusé.
- Certes, vous m’avez piégé avec votre jeu des apparences. Mais je suis plein de ressources.
- Tu es bien trop sûr de toi, mon jeune ami, répondit-il tout en se levant. Néanmoins, je me doute que même si tu fais beaucoup d’erreurs, je ne dois pas en commettre pour ma part en sous-estimant un Assassin.
A ces mots, Liam se troubla, puis se ressaisit, néanmoins trop tard. L’Ombre des mers avait aperçu son regard inquiet.
- Tu te demandes sûrement comment je connais votre ordre si secret. Eh bien sache que je sais beaucoup de choses, et que je ne suis pas qu’un pirate qui parcourt les mers à la recherche de pillages. Alors maintenant, dis-moi, que me veulent les Assassins ?

Liam ne savait plus quoi répondre. Jamais lors de ses petites missions d’apprentissage, qu’il soit accompagné de son mentor Matahi ou même seul, il ne s’était trouvé face à quelqu’un qui connaissait l’existence de leur Ordre. Et il ne savait plus comment se comporter.
- Je te conseille de répondre, l’ami, ou ta deuxième cuisse risquerait d’en prendre un coup, le somma-t-il en désignant le bandage avec la large tache de sang.
- Je… Je ne sais pas, répondit finalement le jeune Assassin, en toute honnêteté.
- Je vois… Tu n’es donc qu’un pion… Sans doute tes maîtres ne te considèrent-ils pas assez intelligent pour connaître les raisons de votre lutte.
- Je connais ces raisons ! rétorqua vivement Liam. Et ce ne sont pas mes maîtres !
- Holà, du calme mon ami ! Alors pourquoi ne sais-tu pas ce que tu fais ici ?
- Je suis en mission, voilà tout. Je devais enquêter…
- Tu agis sans te poser de questions… Tu es prisonnier de ton propre Ordre… Vois-tu, c’est pour cela que j’apprécie les pirates. De tous les hommes sur Terre, nous sommes les seuls à jouir d’une vraie liberté. Tu as toujours fait ce qu’on t’a dit de faire, tu te rendais là où tu devais te rendre, comme on te l’avait ordonné. Mais moi, je suis un véritable homme libre. Personne ne me dicte ce que je dois faire. Je suis le seul maître des mes actes, le seul maître de mes destinations, là où personne ne s’est encore jamais rendu.
- Ce n’est pas de la liberté…
- On voit que tu n’as jamais navigué sur les mers ! Mais ne t’en fais pas, tu vas vite te rendre compte de quels types de paradis on trouve au milieu des océans !

Du coup j'hésite à poster la suite, puisqu'apparemment pleins de gros pavés c'est pas très attirant

... ... Bon, bah si il y a des survivants ici, je fais un magnifique triple post.. Même si je pense que c'est totalement mort ici

Liam recula de quelques pas, à la recherche d’un quelconque objet lui permettant de se défendre. Mais, alors que ses yeux furetaient de tous les côtés, une voix féminine l’interpella :
- Oh, je ne ferais pas ça si j’étais toi. Tu es blessé, fatigué, seul et visiblement incompétent, alors que nous sommes deux, et armés.
Le jeune homme tourna la tête et tomba nez à nez face à la femme pirate qui s’était trouvée dans sa « cellule ». Elle paraissait encore plus attirante ainsi, d’une beauté mortelle, qui avait certainement dû coûter la mort à certains pauvres marins.
- Ah, mais oui, quel mauvais hôte je fais, j’ai oublié les présentations ! s’exclama alors l’Ombre des mers. Eh bien, mon jeune Assassin, je te présente Cristelle, ma nièce. Son père, mon frère, est décédé en combattant en mer pour le compte de la Couronne, l’imbécile. Sa mère me l’a confiée avant de mourir elle aussi, ne sachant pas encore mes activités réelles. Mais Cristelle s’en est trouvée très accommodée, n’est-ce pas ?
- Effectivement, déclara simplement l’intéressée.
- Mon équipage la prend pour mon joujou, mais Cristelle est en réalité le cerveau de nombreux enlèvement ou autres pillages. Elle m’est très utile, et ma réputation ne serait pas la même sans elle. Cependant, il serait trop dangereux pour elle de se faire connaître à sa juste valeur. Puisque, comme tu peux en témoigner je suppose, j’ai pour ma part un certain talent de dissimulation.

Liam se renfrogna. Il aurait plutôt dit que le pirate avait un talent de métamorphose. En effet, ainsi habillé, avec sa tunique, ses armes, son tricorne et cette expression sur le visage, il n’y avait plus aucun point commun avec le pêcheur de la taverne.
- Evidemment, presque personne ne connaît ni mes liens de sang avec Cristelle ni son véritable rôle sur le navire. Je compte sur toi pour garder le secret, n’est-ce pas ? Enfin, ce ne devrait pas être trop dur là où nous t’emmenons. Enfin, assez parlé, on a une petite route à faire tu sais.
Le capitaine contourna son bureau et passa devant Liam. Il ouvrit le battant de la porte et fit signe au garçon de le suivre. Ce dernier obéit, bientôt suivi de Cristelle, qui venait de lui emboîter le pas. L’Ombre des mers avançait d’un pas sûr et décidé, et presque tous les brigands s’arrêtaient dans leur travail pour regarder leur capitaine passer. Liam n’osait même pas imaginer jusqu’où allait leur loyauté face à cet homme qui leur permettait de tout avoir, par leurs pillages, saccages, rançons et meurtres.

- Tous ces hommes sont sous mes ordres, indiqua le capitaine, bien que Liam l’ait deviné. Evidemment, ils ne font pas tous partie de mon véritable équipage, mais ils me servent et effectuent les tâches que je leur donne, ils sont assez doués pour ça. Un peu comme toi, qui est un pion pour tes maîtres, tu vois.
Liam ne prit même pas la peine de répondre, trop intimidé par la grosse centaine de pirates présents en ce lieu.
- Les hommes qui sont ici ne sont pas tous des marins. Certains sont simplement des charpentiers, poursuivit-il en indiquant les hommes qui s’affairaient sur les coques de bateau, des cuisiniers etc. J’ai plusieurs petits bateaux qui effectuent des petites missions, mais je dispose de trois véritables navires. Deux sont commandés par deux hommes de confiance, mais même leur propre équipage ne les appelle pas « Capitaine ». Je suis le seul Capitaine ici. Quant à moi, je dirige mon vaisseau, le magnifique « Fantôme Noir ».
Liam voyait à son expression que le pirate se plaisait à lui présenter ainsi toute la force dont il disposait.
- Mais ne t’en fais pas, tu vas avoir l’immense privilège de voguer à bord du « Fantôme ».

Le jeune homme traversa un petit ponton de bois qui enjambait un étroit cours d’eau. Le trio se dirigea ensuite vers la large trouée. Bientôt, les pierres qui constituaient le sol de la grotte laissèrent place à des planches de bois. En entendant le clapotis des vaguelettes sous ses pieds, Liam devina que les pirates avaient dû construire ces pontons de bois au bord de la roche qui se trouvait au contact de l’eau, pour élargir la place. Il leva les yeux et trouva juste devant lui un grand navire qui tanguait légèrement, amarré à la passerelle de bois, sur lequel s’affairaient beaucoup d’hommes.
- Voici le « Faucon », lui indiqua l’Ombre des mers. C’est l’un des deux autres bateaux dont je dispose.
Liam garda les yeux fixés sur le beau bâtiment, d’un beau bois brun et vernis. Les voiles des deux mâts étaient roulées, indiquant qu’il ne comptait pas partir bientôt. Alors qu’il avançait presque à reculons, fasciné par le navire, l’Ombre des mers interpella le jeune homme :
- Et voici le Fantôme Noir.

Liam tourna la tête et eut le souffle coupé. Au loin dans l’eau, à environ une quarantaine de mètres, se trouvait un navire noir comme l’ébène. Seuls des morceaux de métal argenté présents à divers endroits sur la coque contrastaient avec le teint sombre du bateau, ainsi qu’une plaque d’or, où Liam devinait les mots « Fantôme Noir » gravés dans le métal. Le vaisseau était long et fin, mais ne semblait pas être très large. Les deux mâts avaient leurs voiles déroulées, dont le tissu gris-blanc claquait au rythme du vent. Aucune figure de proue ne se trouvait sculptée à l’avant du navire, certainement par manque de temps. Au sommet du Grand mât était hissé un large étendard noir, sur lequel on pouvait voir une silhouette pâle encapuchonnée, enveloppée dans une tunique en haillons, dont la tête était celle d’un squelette. Elle tenait dans chacune de ses mains un sabre recourbé. Liam eut la chair de poule en observant ce sinistre pavillon, et n’osa même pas imaginer la terreur que des marins avaient dû ressentir en voyant s’approcher le long navire d’ébène, avec son drapeau virevoltant au grès du vent.

- Il est magnifique, n’est-ce pas ? demanda l’Ombre des mers en voyant les yeux ébahis du jeune Assassin. Un deux mâts, huit canons, et trois ponts. Mon équipage est composé d’environ cinquante pirates, tous plus intrépides les uns que les autres. Nous sommes la terreur de ces mers, mon garçon.
Liam contemplait le bateau avec toujours autant d’effroi.
- Le Fantôme est un vaisseau extrêmement rapide. Il est d’une grande finesse et glisse sur les eaux comme une ombre. Comme il n’est pas très large, et très léger dans sa composition, il est très manœuvrable. Cependant, il ne possède pas de très grandes cales pour rapporter beaucoup de marchandises, car je lui ai privilégié la vitesse et la maniabilité. C’est pourquoi le « Neptune », mon troisième bateau, beaucoup plus imposant, s’occupe majoritairement de remplir nos cales. Il est bien plus gros, mais avec tous les inconvénients qui vont avec.

Ils se dirigeaient vers une jetée où étaient amarrées plusieurs barques lorsqu’un homme accourut vers eux. Essoufflé, il se stoppa devant l’Ombre des mers, s’inclina et prit la parole :
- Capitaine, nous avons un prisonnier. On en a capturé un autre comme lui non loin, qui furetait près du repaire. Il avait exactement les mêmes vêtements.
L’Ombre des mers fit volte-face avant de fixer Liam avec un regard d’acier.

Disons que tant de texte d'un coup

Bah après t'es pas obligé de lire d'un coup, voire pas obligé de lire du tout.. Mais quand j'suis motivé pour écrire, bah j'écris Mais en fait je me demande si ma façon d'écrire correspond vraiment à ce qu'on attend sur le RP, et je pense pas J'écris plus des longs textes, surtout des Anecdotes, alors qu'on attendarait plus des petites missions normalement..

Nahtar je vais te débider

Pour les correcteurs, on est vraiment obliger de faire des long posts ? Car lui qui suit (comme post) est assez court ! Par contre imaginons que l'on tue des gens, on peu les fouiller et récupérer (si'ils en ont) leur argents ?

Et la MAJ se fait quand ?

[Année 1215; Ville]

Obito qui entra dans la ville, regarda autour de lui. Il y avait tant de marchands, paysans, et chevalier, qui ne savait plus où donner de la tête. Malheureusement, il se rappela qu'il n'avait aucun sous en poche, et qu'il devait partir à la recherche d' Albornos. Celui-ci était un grand assassin, reconnu par une grande majorité de personnes, même au sein des templiers qui le craignaient surtout pour sa vitesse.

Il demanda à des passants, si'ils le connaissait. Mais Obito savait bien qu'un assassin avec un tel renommé serait facilement trouvable.

Il se dirigea vers une étroite et sombre ruelle, non éclairée par la lumière du soleil. Il marcha tranquillement, quand une lettre accroché à une flèche percute un mur. Obito prit la lettre et la lue.

"Rendez vous devant la fontaine aux dauphins, j'ai ouïe dire que vous vouliez me parler"

Il alla donc vers cette fameuse fontaine, et au bout d'une quinzaine de minutes, il arriva et vit un homme.

Obito s'approcha et dit discrètement :
-"Connaissez vous cet homme ?" en montrant la photo.
L'homme se retourna, et il lui répondit :
-"C'est moi que tu cherches. Je vois qu'au fond de toi tu es quelqu'un de bien, parlons de cela dans ma cachette"