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Assassin's Creed IV : Black Flag

Sujet : [RP] L'héritage des Ombres
chocoassassin57
Niveau 10
28 février 2013 à 17:15:37

Jet pour mon texte j'ai le droit de faire un truc genre relier un évènement de la mission a mon anecdote ?

Jet_lag
Niveau 10
28 février 2013 à 17:27:16

Oui oui bien sur :hap:

chocoassassin57
Niveau 10
28 février 2013 à 17:31:21

Et je peut faire en sorte que mon assassin rencontre un assassin noir ( personnage beaucoup utilisé mais sa description et retourner dans tout les sens soit il est avec les assassins soit avec les templiers ou même un vulgaire chasseur de prime)

Jet_lag
Niveau 10
28 février 2013 à 17:41:17

C'est ton scénar, à toi de te débrouiller pour sque ça soit cohérent :ok:

_destroyers_
Niveau 10
28 février 2013 à 18:21:13

Qui s'occupe de ghyt en fait? :noel:

chocoassassin57
Niveau 10
28 février 2013 à 18:23:08

Ghyt arrête

Peil
Niveau 55
28 février 2013 à 18:24:04

Jet, t'as pris ton temps avant de venir :hap:

C'est moi, Bilbo :hap: /

Lenski
Niveau 10
28 février 2013 à 18:26:31

C'est lui bilbo :hap: /

Flamme mon correcteur a disparu :hap: /

chocoassassin57
Niveau 10
28 février 2013 à 18:27:06

C'est CTM non ?

Lenski
Niveau 10
28 février 2013 à 18:28:34

C'est flamme :hap: /

chocoassassin57
Niveau 10
28 février 2013 à 18:29:17

Il doit être sur youp.....Tube

_destroyers_
Niveau 10
28 février 2013 à 18:33:35

Faux, j'y vais que le dimanche :noel:

Ah, c'est pas de moi qu'on parlait? :hap:

... c'était une blague :hap:

chocoassassin57
Niveau 10
28 février 2013 à 18:37:16

Youporn>All

Jet_lag
Niveau 10
28 février 2013 à 18:47:08

Merci pour ton avis choco

Bilbonch, j'en suis à la page 4, juste qu'on commençait à me presser :noel:

Peil
Niveau 55
28 février 2013 à 19:14:11

Le Boucher (partie 3) :

1250, France…

Rodrigue Weldez ôta tranquillement le foulard jaune qu’il portait autours du cou. Ce signe distinctif lui permettait d’être très vite reconnu par ses employeurs, quand ceux-ci venaient lui proposer un contrat, mais il avait pour habitude de l’enlever dès que sa mission commençait.
Il faisait chaud, ce jour là, et le tueur à gage transpirait. Tout ce qu’il désirait, c’était une chope de bière bien fraîche.
Il stoppa son cheval devant une maison en bois, près d’une petite rivière.
Un minuscule vieillard était assis sur un rondin de bois et grignotait un morceau de pain. Quand il vit Rodrigue arriver, il se leva en s’appuyant sur une canne tordue et sourit, laissant apparaître trois dents pourries dépassant de sa lèvre inférieure.
-Ah, mais qui vient donc rendre visite à papy ? Il se sent bien seul, ces temps-ci.
-Recule, tu sens atrocement mauvais.
Et c’était vrai. Le petit vieillard empestait la charogne. Ses vêtements étaient troués et sales. Son visage était crasseux et son œil gauche injecté de sang, sûrement à cause d’une maladie.
-Tu es bien désagréable avec moi, aujourd’hui, fit le petit vieux. Papy t’as énervé ?
-J’ai soif.
Rodrigue Weldez descendit de sa monture avec un soupir. Il avait les cuisses douloureuses, et le dos plein de courbatures. Son âge commençait à se faire sentir.
-Qu’est-ce que tu veux, Weldez ?
-Je t’ai dit que j’avais soif, vieillard sénile et bouché. Apporte-moi une bière, et du lard aussi, car mon estomac est vide. Dépêches-toi. C’est comme ça que tu traites ta clientèle ?
Les yeux du petit vieux s’illuminèrent.
-Ah, tu viens pour faire affaire avec papy ? Papy à tout ce que tu cherches, et plus encore. Oh, oui. On trouve tout chez papy, et sa merveilleuse cabane. Viens, viens, je vais te montrer ma marchandise. Suis le petit papy.
-Nous discuterons affaire après.
-Très bien, très bien. Entre quand même. Il ne fait pas bon de rester dehors quand le soleil tape aussi rudement, foi de papy. Papy le sait. Papy a l’habitude. Papy a l’expérience.
Les deux hommes entrèrent dans la maison. Le minuscule vieillard était encore plus âgé que le tueur à gage. Il était tellement ratatiné que son menton touchait presque sa poitrine, et qu’il avançait avec une lenteur exaspérante, ce qui contrastait fortement avec la démarche souple et assurée du colosse barbu à ses côtés.
Si on pouvait dire de Rodrigue Weldez une chose, c’était qu’il était bien conservé.
Le petit vieillard le fit s’asseoir à une table et lui servit un bol de soupe aux lardons et aux choux, ainsi qu’une tranche de fromage et une bouteille de bière. Rodrigue Weldez mangea bruyamment, ignorant royalement le vieux qui l’observait.
Quand il eut terminé, il émit un rôt et se leva en tapotant son ventre musculeux.
-Je suis repu. Ta cuisine laisse à désirer. Bon, on peut commencer à discuter sérieusement.
-Viens dans la cave. La cave aux merveilles. Papy va t’y mener. Suis-moi. On trouve tout ce qu’on veut, dans la cave aux merveilles, à condition qu’on y mette le prix. Oh, oui. Papy aime bien l’argent. Allez, viens.
-Je sais, je suis déjà venu.
Les deux hommes descendirent dans la cave de la cabane. C’était une salle très spacieuse, aux murs de pierre froide, éclairée par quelques torches. C’était un fouillis indescriptible.
Il y avait là des caisses remplies d’armes, ou de nourritures. Dans un coin étaient empilées des armures venant de tous les horizons. De la viande et des carcasses d’animaux étaient pendues au plafond par des crochets. Dans une dizaine de cage s’agitaient des bêtes féroces comme des loups ou des chiens enragés.
-Ceux-là je les vends au baron du coin, fit le vieillard. Il organise des combats, le soir, dans son château.
Rodrigue savait bien à qui il avait affaire.
Personne ne connaissait son nom, mais c’était lui le trafiquant le plus influent du pays. C’était bien simple. Tout ce qui avait un prix, on pouvait l’acheter, ici. Dans la « cave aux merveilles ». Drogue, armes, papiers illicites, nourriture, poisons, animaux.
Et même des humains.
Dans un coin de la pièce, en effet, une demi-douzaine de femmes étaient enchaînées à un mur. Elles étaient couvertes d’hématomes, signe que le petit vieux les avait battu, ou alors son fournisseur. Elles ne portaient aucuns vêtements.
Le petit vieux remarqua que Rodrigue Weldez les fixaient. Il passa sa langue sur ses chicots noirâtres.
-Tu en veux une ? Papy te les vends. Donne ton prix. Des jeunes fermières, capturées il y a quelques jours, toutes fraîches. Vierges. Propres. Obéissantes. Papy a veillé à ce qu’elles le soient. Oooh oui. Mais la dernière n’est pas à vendre. Papy la garde pour sa consommation personnelle. Ho ! Ho ! Ho ! Consommation personnelle… Papy est encore en forme. Alors, tu en veux combien ?
-Aucune. Je ne suis pas ce genre de client.
-Ah, oui. Toi, mon petit Weldez, tu cherches autre chose, hein ? Hi, hi, hi. Dis-moi donc. Papy va te dénicher ça dans son bazar. Papy a tout. A condition d’y mettre le prix.
-Tu l’as déjà dit.
Rodrigue Weldez tira sa hache de sa ceinture et la montra au petit vieux.
-Elle m’a servi longtemps, mais je m’en suis lassé. Il me faut un nouvel outil.
-Lame ébréchée… Hum, elle n’est pas si abimée que ça. Papy connait un forgeron clandestin qui la remettra à neuf. Papy a des contacts. Oh, oui.
-Je ne veux pas la faire réparer mais acheter une nouvelle arme.
-Combien tu as sur toi ?
Rodrigue lança une bourse par terre. Le petit vieillard se jeta dessus comme un chien sur un os et la fourra dans son manteau. Puis, il caressa sa canne.
-Bon, bon… Je vais te montrer ma marchandise.
Une des femmes gémit, sous son bâillon, et s’agita, faisant grincer ses chaînes. Le petit vieux se précipita sur elle et lui asséna un coup de canne à la tempe qui l’assomma sur le coup et lui laissa une traînée de sang sur le visage.
-Pas bien ! Méchante fille ! Papy va t’apprendre, à gémir pour attirer l’attention du client !
-Vieillard ! hurla Rodrigue. Tu t’amuseras avec tes filles plus tard. J’attends ta marchandise !
-Oui, oui. Oh, oui, je m’amuserais plus tard.
Le petit veux ratatiné traîna une caisse d’arme jusqu’au centre de la cave et s’appuya sur sa canne, haletant. Il sortit quelques armes diverses.
-Un cimeterre oriental, d’excellente qualité, bien qu’un peu usé. C’est un nomade du désert Africain qui me l’a vendu pour une bouchée de pain. La lame est équilibrée et très tranchante.
-Non, je n’aime pas le style.
-Celle-ci est une claymore Normande, bien robuste. Elle appartenait à un chevalier estropié sur le champ de bataille. Elle coupe bien. Tu veux l’essayer sur une des filles, là-bas ?
-Non, trop lourde. Il me faut quelque chose de plus léger.
-Hum… Ah, papy a ce qu’il te faut. Regarde. Un fleuret. Sa pointe est si acérée qu’elle transpercerait un sanglier de part en part, sans même se tordre, perforant os et tripes comme du beurre. J’ai eu du mal à me la procurer. Les plus grands orfèvres du pays ont fabriqués sa garde, en or massif. Prend, prend. Soupèses-là. Vois comme elle est légère comme une plume.
Rodrigue Weldez secoua la tête.
-Trop fragile. Tiens ? Montre-moi cette arme.
Le petit vieux sortit un sabre de la caisse. Magnifique, la lame étincelait. Elle était à la fois légère et solide, et son fil était fin comme une feuille de papier. Rien que la regarder pouvait couper. Des vieilles runes celtes étaient gravées le long de la lame en argent.
-Oh, bon choix. Excellent choix. Unes de mes meilleures épées. Elle a connu le sang. C’était un pirate du nom de Jakkar le Sauvage qui la maniait, autrefois. Une lame de tueur. La légende dit qu’elle aurait tranchée cent têtes.
-Ces légendes futiles ne m’intéresses pas. Elle a un nom ?
-Oôrvaslutnïr.
-Qu’est-ce que ça veut dire ?
-« La faucheuse des vagues », dans la langue nordique traditionnelle.
-Hum… Je la baptiserais Tonnerre.
-Tu l’achètes ?
-Oui.
-Excellent choix, répéta le vieillard avec un regard pervers. Eh bien, tu connais la sortie ? Je ne te raccompagne pas. N’hésites pas à rendre de nouveau visite à papy, si tu as besoin de quoi que ce soit.
Il renifla.
-Et puisse Tonnerre goûter rapidement à du sang frais.

[CTM]
Niveau 10
28 février 2013 à 20:05:20

Gyth tu pars? :(

chocoassassin57
Niveau 10
28 février 2013 à 20:11:05

Il est partie oui

Lenski
Niveau 10
28 février 2013 à 22:24:19

Dommage
  :-(
:-( :-(

_destroyers_
Niveau 10
01 mars 2013 à 12:18:43

Je veux un papy comme le tiens :noel:

[Laflamme]
Niveau 10
01 mars 2013 à 13:00:58

Lenski > 5 points, 700 pièces d'or et 800 XP :pf:
Bien Pitior qui est misère? :hap:

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