Assassin's Creed IV : Black Flag

1 - oui /
2 - Bah moi /

Ah GG la rapidité !
+ Ok, je vais sérieusement songer à rejoindre même si rien de sur encore. Juste une dernière question, en RP j'ai tendance à mettre parfois un accompagnement musical en plus de mon texte. J'ai vu personne d'autre faire de même du peu que j'ai vu mais ça gênera pas, si ?

ça me génera pas vu que généralement j'écoute pas la musique allant avec mais rien ne t'en empêche

+ malade, j'ai du mal à dormir /

Pas plus mal

D'accord d'accord, merci pour la vitesse de réponse à une heure pareille. Sur ce, je vais me coucher car si je suis spotted par mes géniteurs, ils vont rapidement se montrer inversement proportionnels à ma durée de vie.

Sur ce, bonne nuit ou bonne journée, au choix !

Gyth est parti, polo porté disparu
J'ai plus d'élèves

et shadow a été absorbé paar la faille temporelle /

Pell J'ai l'habitude de tout te donner quand la mission est fini, mais si tu as besoin, avec 4 textes, ça te fait 7 points, 1000xp, 1500 pièces d'or pour le moment

Même ici ma faille fait des ravagé

T'as vu le récap' toi?

destroyer, j'ai terminé mon anecdote x)

Bah postes /

Bah il l'a posté

Bah elle est postée

Bah c'est bien /

• Prends une voie venue d'outre-tombe *

Je ne passe plus..... Plus le temps....a++++

• balance du sel sur white*

Au revoir le fantôme /

Euh je la vois pas, donc tu me donne au moins le liens

Et flamme, c'est les 4 textes de Pell que j'ai noté

http://rp-l-heritage-des-ombres.forumjv.com/1-105416-1169-1-0-1-0-recap.htm#message_3880
Non mais je parlais à Jet et le lien se trouve là /

Texte rapide pour combattre le bide /

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Le lendemain.
Loras était seul, dans une pièce où tout avait été brisé. Il n'avait pas trouvé d'autre moyen pour apaiser sa fureur. Les assassins avaient tué son ami et l'avaient laissé pourrir au milieu d'une ruelle comme un vulgaire morceau de viande. Il savait qu'il s'agissait des Lenski. Il ne pouvait s'agir que d'eux. Il avait été prudent et avait tout fait pour les fuir mais ils avaient dû retrouver sa trace. Quoi qu'à bien y réfléchir il était possible qu'ils aient trouvé Robert grâce aux liens qu'il entretenait avec son propre père. Loras bouillonnait intérieurement. Non seulement les assassins lui avaient prit ses parents mais ils lui prenaient également ses amis. Il fut soudain prit d'un doute violent : et si le colosse et sa sœur avaient récupéré la liste des compagnons de Loras dans le bureau de son père ? Ils n'auraient qu'à faire le lien avec le Père Michel et ils pourraient tous les frapper les uns après les autres. Et où était la garde promise par Misère, celle dont il avait promit la protection ? Cet assassin le trahissait-il depuis le début ? Les Lenski ne l'avaient-ils laissé vivre que pour traquer tous les autres membres de la conjuration ?
-Le Père Michel ! Cria Loras en se préparant à partir pour aller le protéger.
-Trop tard, lâcha une voix.
Loras se retourna pour voir Misère entrer dans la chambre par une fenêtre. L'assassin poussa un long soupir et tenta de reprendre son souffle.
-Je devais le retrouver pendant que tu t'énervais mais nos ennemis ont frappé. Ils ont été assez brutaux et ne se sont pas contenté d'un seul prêtre. Ils ont tué d'autres hommes dans la maison de Dieu. Je suis arrivé trop tard. Moi présent, les choses auraient été différentes.
-Qui me dit que tu n'as rien fait toi-même ?! S'exclama Loras. Tu es un assassin, non ?! Pourquoi pas un traître ?
-Je comprends tes doutes, répondit Misère d'un ton calme. Il est vrai que venant du camp ennemi je ne dois pas inciter à la confiance. Si tu veux tout savoir, ces derniers temps j'étais occupé à intriguer. -J'ai réussi à convertir une noble de la cour à notre cause. D'ailleurs la Garde que je t'ai promit devrait bientôt finir sa formation. Il est bien plus dur d'apprendre à se battre à des adultes mais cela devrait suffire.
-Pourquoi devrais-je te faire confiance ? Toi qui est toujours masqué face à moi ?
Misère porta alors la main à son masque mais finit par se raviser et ne le retira pas. Il se contenta de dégainer son épée et de tendre la poignée à Loras.
-Si tu ne me fais pas confiance, enfonce cette lame dans mon corps jusqu'à ce celle ressorte de mon dos, prononça l'assassin avec conviction.,
-Je pourrais le faire...
-Oui, tu pourrais mais tu ne le feras pas car tu te poses des questions. Qui suis-je ? Que sais-je ? Tu veux en savoir plus sur ceux qui nous ont précédé et sur les fragments d'eden.
-Il n'y a pas que ça ! Comment pourrais-je avoir confiance en toi ?! Depuis le début tu ne fais que remettre mon idéal en cause ! Tu veux l'orienter vers une révolution sanglante à la suite de laquelle tu prendras le pouvoir, c'est ça ?!
Il y eut un long silence puis Misère se mit à rire comme un enfant face à un chien qui pète.
-Moi, roi de France ? Demanda Misère en riant. Je n'y avais jamais pensé. Quelle drôle d'idée que celle-là. Je ne cherche aucun trône.Je ne veux que, tout comme toi, l'égalité. La vraie égalité, celle qui verrait tous les hommes égaux entre eux jusqu'à ce qu'un gouvernement trop faible offre trop de liberté et affaiblisse le peuple. Et puis que ferais-je sur le trône ? Je suis un homme d'action, je ne peux que douloureusement rester assit plus d'une heure alors une journée entière.... Quel destin ?! Pourrir sur le trône de France en enchaînant les maîtresses dans son lit.
Il y eut soudain un grand silence. Loras ne comprit pas et la seule réaction de Misère fut de lever un poing à hauteur de son visage et de l'ouvrir comme pour recevoir un objet.
-Mes taisyklé, prononça alors l'assassin.
-Quoi ? Demanda Loras.
-Rien, se reprit Misère. Écoutes, je comprends que tu puisses avoir du mal à me faire confiance mais... Je crois que tu auras d'autres problèmes à gérer. Tes compagnons ont commencé à agir par eux-mêmes et aucun ne semble considérer ton idéal comme un projet valable.
-Que veux-tu dire ?
-Ils utiliseront la peur et la force si tu n'agis pas.
-Eh bien tant pis ! N'est-ce pas toi qui me trouvais trop idéaliste ?
-Il y a des limites à tout, répondit calmement Misère.
-Que veux-tu réellement ? Demanda le templier.
-Instaurer la démocratie, répondit l'assassin. Instaurer le gouvernement par le peuple.
-Et la tyrannie de la majorité ? Dresser la majeure partie de la population contre le reste et légitimer ainsi le pouvoir ? Pointer du doigt les déviants, les présenter comme des dangers et se prétendre le protecteur de la population « normale » ?
-Cette démocratie ne sera pas parfaite, admit Misère. Nous, les assassins, nous battons pour protéger le peuple des tyrans. La démocratie....
-Mettra en place d'autres tyrans, répondit Loras.
-Et nous les combattrons, répondit l'assassin.
-Et si nous avions tort ? Demanda Loras d'un air triste. Si nous ne faisions que combattre l'esclavagiste d'un peuple pour le remplacer par un autre bien pire ? Si tout cela ne servait à rien ?
-Nous tentons d'améliorer le quotidien de nos enfants à venir, répondit Misère. Nous nous battons pour eux et , lorsqu'ils viendront au monde, ils auront aussi à se battre pour protéger leurs enfants à venir. Ce que nous sommes sur le point d'accomplir, nous ne le verrons peut-être jamais de notre vivant. Tout ce que nous faisons aujourd’hui change la face du monde de demain.
-Je ne sais plus si nous avons raison, répondit le templier.
-Tout dépendra de celui qui écrira l'Histoire. Nous gagnons, nous devenons des héros. Nous perdons, nous devenons des traîtres à la Nation. C'est aussi simple que cela. Il n'y a jamais de bons ou de mauvais. Il n'y a que des victorieux et des vaincus.

Nom complet:Anthémius de Sparte
Âge ou date de naissance:20 ans
Pays:Grèce
Epoque:Antiquité (-85)
Sexe:Masculin

Description physique puis morale:Etant né à Sparte, j'ai était initié au combat dès mon plus jeune âge, née pour combattre, mais pas uniquement, né pour découvrir la vérité. Je n'étais pas le meilleur combattant du monde mais j'avais une volonté de fer, mon épée était près a faire saigné, surtout en cette période où les Romains attaquent et envahissent la Grèce. Près a me battre pour ma propre survie, pour défendre Sparte et la Grèce !! A cette époque en Grèce, nous portions toujours la même tenue, je possédais des sandales, une épaulière doré sur mon épaule gauche, une cuirasse légère doré surmonté d'un petit linceul de couleur rouge qui tombe sur sur mon omoplate droit recouvrant ainsi mon épaule. Je possédais également la défense habituelle des spartiates,un heaume qui ne restera pas indéfiniment sur mon visage et un bouclier rond, qui lui aussi sera surement plus souvent a terre que en train de me défendre. Je possédé également des chiskoniskos et des cnémides . Lors d'un combat dans les arènes d’entraînements, un jeune spartiate me façonna une cicatrice qui traversa mon oeil droit, sans mon heaume, je l'aurai perdu ...

Histoire: Dès mon plus jeune âge, comme la tradition le souhaitait, je développa mes talents de combattant, comme la plupart des spartiates, je vénéra le grand Arès Dieu de la Guerre. Je n'est jamais connu mes parents, ceux qui m'ont adopté mon indiqué qu'ils devaient pas me dire d'où je venais, sur cette folie furieuse, alors âgé de 17 ans et possédant toujours une épée, je les tua, ils ne m'était pas indispensable, mon père m'avais toujours traité pour un moins que rien et ma mère en avait que faire de mon existence ... Je continua ma vie à Sparte, augmentant mes compétences au combat et ma popularité dans la cité où 3 ans plus tard, je rencontra quelqu'un qui allait bouleversé mon existence, Cyrus ...