Le réveil sonna, annonçant le début de mon plan. Je devais rester folcaliser sur mon objectif toute la journée. Je pris donc mon petit-déjeuner assez rapidement, et je courus m'habiller. J'étais a la fois excité, et anxieux. Mes parents me dirent au revoir, et moi, je me dirigeais vers le métro.
Tout semblait se passer exactement comme je l'avais prédit: Willy n'était pas là, personne dans la station et dans la rame, mais le plus important, l'événement qui allait tout changer, se trouvait au premier arrêt.
Et elle fit son entrée, seule, elle fit un pas à l'intérieur, mais malheureusement pour elle, elle fit tomber son sac avec ses affaires de cours. Et c'est à ce moment là que les mots de Willy traverserent mon esprit " Saisis ta chance ! ". Je me levais donc, avec une pleine confiance en moi, et je me dirigeais vers elle, tel Jules César marchant sur la Gaule, la tête haute, le corps droit, et avec une démarche noble et assurée. Je me baissais, et je l'aidais à ramasser ses affaires. Une fois le travail terminé, on commença a discuter:
"-Merci beaucoup. Dit-elle.
-Y a vraiment pas de quoi ! Toi aussi, tes amis font grève ?
-Et oui. Je me retrouve donc seule..
-On est 2 alors.
-Ah...Et ça te gêne pas ?
-Non, c'est moi qui aime venir les jours de grève donc bon...
-Ça nous fait un point commun.
En entendant ces mots, je compris que mon plan allait fonctionner.
Je me dirigeais donc vers le lycée, et m'empressais de rejoindre la salle de cours. Il n y avait que trois filles, je leur demandais donc si on avait beaucoup de cours. Elle me répondirent que "Non, et on finit a 13h30". Je passais donc les prochaines heures a contempler l'extérieur, et a regarder ma montre. J'étais pressé, si pressé que je ne passais qu'une quinzaine de minute à la cantine.
Enfin libéré, je me dirigeais vers le métro d'un pas rapide et déterminé. Elle était là, et semblait vouloir m'attendre. Elle entra dans la rame, et je la suivis de près. Je lui mis une petite tape sur l'épaule pour signifier ma présence.
-Dis, tu fais quelque chose cet âprem ?
-Non...Pourquoi ?
-Je voulais te proposer de venir chez moi, mes parents sont pas là et je vais certainement m'ennuyer seul.
Elle réfléchit quelques secondes.
-D'accord ! Ça marche.
On se rendait donc chez moi. Je lui fis visiter la maison, et je me posais sur le canapé. Elle le fit aussi, mais sur moi.
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Je mis mes bras autour de son corps et on commenca a s'embrasser de désir. Je lui enlevais son pull, pendant qu'elle enlevait mon sweat. Je lui descendis sa jupe, et elle m'aidait a descendre ses collants. Et enfin, je lui arracha son tee-shirt. Elle était donc assise sur moi en sous-vêtements de couleur noire. Son soutien gorge semblait me demander de l'enlever, ce que je fis. Je plaçais alors ma tête entre ses seins, en embrassant chacun d'eux,et elle me retira mes vêtements. Je la plaquais sur le canapé, et je lui retirais sa culotte en dentelles. Elle était allongée devant moi, nue, et sa beauté ne faisait qu'augmenter au fur et a mesure que mon pénis s'approchait de son vagin. Heureusement que je savais où mon père rangeait ses préservatif. Je l'enfila, et m'allongea sur elle. Je commençais enfin a l'honorer. J'y allais calmement, et ses petits cris me plaisaient fortement. Et je lui jeta un regard, elle souriait, l'air de dire " Plus fort ! ". J'enfonçait alors mon pénis au plus profond d'elle. Elle criait très fort, si fort que les voisins auraient pu entendre s'ils étaient là. Mais ces cris me poussait aussi à continuer, et à y aller plus fort. On continua comme ça pendant un peu plus de 45 secondes avant que je ne lâche. C'était notre première fois à tous les deux. Et on s'allongea l'un a côté de l'autre, prêt à recommencer.
